Il arrive à Gilbert Collard d’être excellent quand il s’occupe de
questions politiques importantes, il est moins bon
quand il passe son temps à dire tout et n’importe quoi dans l’Emission les
Grosses Gueules, et surtout encore bien moins bon quand il s’avise d’attaquer Jean-Marie Le Pen dans les médias-système pour ne pas rester en reste des attaques auxquelles se livrent trop souvent les « philippot
- grostesques », mais cette fois il faut reconnaître que Gilbert Collard a
fait du très bon travail en publiant sur son site officiel un article
scientifique et politique sur le
Réchauffement climatique.
C’est une excellente initiative de la part de Gilbert Collard, Député du Gard, de s’intéresser au réchauffement climatique et
de faire partager cet article sur son site et c'est bien là le rôle noble d'un
homme politique, de surcroit avocat , d'informer
ses électeurs sur un sujet d’actualités avec la conférence CAP 21 qui se
profile pour le mois de décembre prochain, plutôt que de se perdre dans des propos malencontreux
avec les médias système contre le
Président fondateur du FN. pour lequel il faut bien le dire les adhérents du FN
et de nombreux Français éprouve des sentiments de fidélité à ses principes.
Pour en revenir au Réchauffement
climatique, comme je retrouve dans cet article une excellente analyse qui reflète exactement ce que je pense, répète et écrit depuis des années à savoir sur
les mensonges et la propagande pseudo-scientifique internationale colportés par les politiques en place , les écologistes
et les médias pour instaurer une
fiscalisation mondiale.
En effet les discours et la menace du réchauffement climatique n’est qu’une théorie que les dirigeants veulent imposer
comme parole d’évangile, comme
une certitude à courte échéance pour terroriser les populations et les entreprises en prédisant des catastrophes apocalyptiques, tout en les
culpabilisant de surconsommer des énergies produisant des pollutions de dyoxide de carbone, C02 etc... responsables d' "un effet de serre dramatique", et qu'ils ont la prétention de réduire en instaurant des taxes en attendant de passer à une transition énergétique qui est annoncée mais qui en fait est toujours retardée en faveur du nucléaire , or ce discours alarmant ne repose
que sur des observations et données météorologiques de sources techniques aléatoires, et partielles
géographiquement, et sur une période
relativement courte, par rapport aux analyses et études très précises des géophysiciens et géologues
qui eux combattent cette théorie avec des arguments scientifiques indiscutables.
En effet des Géophysiciens et des Géologues de grandes renommée , mais aussi
des personnalités scientifiques et même
politiques,comme par exemple Claude Allègre, savant géochimiste, ancien Ministrede l'Education Nationale , de la Recherche et de la Technologie, ( qui sont tous écartés des débats officiels ) , combattent cette
théorie, en se fondant sur leurs recherches, observations, études et analyses selon des méthodes plus rigoureuses que celle du GIEC, il faut savoir notamment que les méthodes des
géophysiciens et des géologues se sont très développées et affinées depuis le
début de la recherche des pétroles , et leurs ont permis de découvrir, d’analyser et d’étudier,
d’après des prélèvement souterrains et maritimes horizontaux à très grandes profondeurs , des périodes glaciaires et interglaciaires très anciennes alternées
et de pouvoir prouver que dans des ères anciennes jusqu'à la nôtre se sont déjà produites des variations
climatiques à 10 reprises au moins, espacées d’environ 100
000 ans et de démontrer qu’ au début du quaternaire – notre
ère actuelle – notre planète Terre connaît des variations de son orbite et
de légères modifications de son axe de rotation, que cela a eu pour effet de provoquer de fortes
oscillations climatiques, la dernière
période glaciaire s’est étalée de 110 000 ans à 13 000 ans., que nous sommes en période de réchauffement
climatique et que d’ici à 10
000 ans, il faut s’attendre à l’avènement d’une nouvelle période de
refroidissement.
Après ce préambule il est temps de prendre connaissance ci-dessous de l’article publié sur son site
officiel par le Député Gilbert , vous y trouverez aussi des lien actif
conduisant vers des documents de références. :
·
Copié/collé :
Jean
Goychman – Réchauffement climatique : un mensonge planétaire pour un impôt
mondial
par Anthony L ·
15 juin 2015
Il y a une
dizaine d’années, un de mes amis, enseignant chercheur à l’Ecole Centrale et
physicien de son état, m’avait un peu étonné en me disant que Claude Allègre
avait probablement raison de ne pas croire à la théorie du réchauffement
climatique lié à l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère.
En 2009,
ayant appris qu’un géophysicien français nommé Vincent Courtillot allait donner
à Nantes une conférence sur ce sujet, j’ai décidé d’aller l’écouter.
Vincent
Courtillot est un scientifique, et il est donc un peu comme Saint Thomas. Il ne
croit que ce qu’il peut constater. Il a donc commencé par analyser la
méthodologie utilisée par les tenants de la théorie du dioxyde de carbone1.
Premier élément : comment ont-ils réussi à déterminer la température
moyenne de la Terre depuis 1850 et qui s’est occupé de collecter les
données ? Sa réponse est claire : toutes les données de mesure de
température viennent d’un laboratoire anglais, le HAD (Hadley Research Center)
Comment a
été établie la base des données moyennes ? Une grosse surprise nous
attend : Si les données terrestres proviennent de stations météo et
peuvent donc être validées, les données maritimes sont beaucoup plus
« aléatoires ». Il n’y a eu pratiquement aucun relevé de température
entre 1850 et 1900 et très peu jusqu’ en 1950. Rappelons que les océans
recouvrent les 2/3 de la planète. En fait, ils avaient découpés les océans en
carrés de 500 km de côté, et il suffisait d’un relevé de température de l’eau
de ce carré à un moment donné, pour que cette température soit affectée à
l’ensemble de la zone, quelquefois durant plusieurs années.
Plus curieux
encore, lorsque Vincent Courtillot et son équipe ont demandé au HAD de leur
fournir une copie de leurs enregistrements, celui-ci a refusé. Le conférencier
met donc en cause la notion de « température globale » en se
demandant si une telle température a réellement un sens physique, et en faisant
observer qu’elle ne peut être une température au sens de la thermodynamique.
Or, tout le
discours du réchauffement climatique est basé sur cette température globale qui
est censée augmenter au fil du temps en fonction du tonnage du dioxyde de
carbone résultant de l’activité humaine. Un peu gênant quand même.
Mais Vincent
Courtillot ne s’arrête pas là. Il produit ensuite les relevés de température
enregistrés au XXème siècle aux Etats-Unis et en Europe et compare les
résultats à ceux publiés par le GIEC2 Encore un sujet
d’étonnement : les courbes ne coïncident pas. D’après les services météo
des USA, l’année la plus chaude enregistrée sur le territoire américain est
1930. Cela revient à dire que ce qu’on veut à tout prix démontrer, à savoir que
la température moyenne augmente avec le temps, est faux. D’autant plus faux, d’ailleurs,
que nous apprenons quelques minutes plus tard qu’en réalité, la température de
la surface de la planète a plutôt tendance à baisser depuis 1998.
Je ne vais
pas commenter jusqu’au bout cette conférence et ceux qui sont intéressés
peuvent facilement se rendre sur le site : https://www.youtube.com/watch?v=uXeRbbM2AjY
Ce que nous
pouvons en retirer, c’est que la théorie du réchauffement climatique dû à
« l’effet de serre » du dioxyde carbone n’est pas d’une clarté aussi
aveuglante que ce qui nous est répété « ad nauseam » par l’ensemble
de la classe politique « bien-pensante » relayée par presque tous les
médias. J’ai fait quelques recherches sur le sujet, pour savoir notamment quand
cela avait commencé et j’ai découvert, non sans une certaine stupéfaction, que
son origine pouvait se trouver dans le « rapport sur la montagne de fer3 »
auquel Hongbing Song, auteur du livre « la guerre des monnaies »
faisait allusion.
Sans rentrer
dans les détails, ce rapport devait répondre à une question soulevée par la
Maison Blanche peu de temps après l’épisode des fusées de Cuba et qui peut se
résumer à : comment perpétuer les avantages d’un état de guerre lorsque la
paix risque de menacer le monde ?
Une des
réponses envisagées était basée sur la menace de la pollution de
l’environnement. Je cite le passage du livre de Hongbing
Song : « En redoublant d’efforts de propagande sur les méfaits
de la pollution, on pourrait atteindre un effet psychologique aussi effroyable
que la fin du monde après la guerre nucléaire » Alors, hasard ou pas, en
septembre 1987, à Denver, dans le Colorado, se tint la 4ème réunion
du « World Wilderness Congress » (Congrès Mondial de la Vie Sauvage).
2000 participants représentant une soixantaine de pays y assistaient. Environ
1500 d’entre eux furent assez surpris de recevoir un document
intitulé : « Déclaration de Denver pour la préservation de la
vie mondiale »qui préconisait la création de la « World Conservation
Bank ». La différence par rapport aux trois premières réunions fut la
présence de nombreux banquiers. Cette réunion fut dirigée par Edmond de
Rothschild et David Rockefeller.
En 1991, la
WCB prit le nom de GEF (Global Environment Facility) qui rappelait moins
l’emprise du milieu financier sur l’institution.
Une fois la
machine en place, il fallait lui donner « du grain à moudre » C’est à
ce moment que le fameux « dioxyde de carbone » a fait son entrée en
scène. (J’allais dire « sur le marché » mais n’anticipons pas)
Pourquoi le
carbone ? A cause de l’effet de serre, nous disent les gens du GIEC. Or,
il y a de nombreux autres gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone ne
représente qu’environ le quart de cet effet contre près de la moitié pour la
seule vapeur d’eau. L’explication vient probablement de la couleur noire du
charbon, qui est plus « parlante » au niveau de la pollution.
Et puis, on
ne touche pas (ou du moins pas encore) à l’eau. Et en particulier à l’eau
douce. On apprend très vite en économie qu’il existe deux ressources gratuites
et inaliénables : l’eau et l’air. Pour ma part, j’en ajouterais une
troisième, qui est la monnaie, mais c’est un autre débat.
Enfin, la
combustion des hydrocarbures utilisés comme carburant de tous les véhicules
motorisés rejette dans l’atmosphère du dioxyde de carbone. Cette constatation
n’était pas exempte d’arrière-pensée concernant les mouvements écologistes
naissants, dont les rangs étaient surtout constitués par des anciens gauchistes
ou communistes opposés par principe aux grandes multinationales pétrolières.
Ceci étant
posé, il restait à trouver ou inventer une autorité afin d’asseoir sur des
bases scientifiques incontestables cette théorie du réchauffement climatique dû
au rejet du dioxyde de carbone. Ce rôle a été dévolu au GIEC, créé en octobre
1988, soit un an après la réunion de Denver. Ce groupe d’experts
intergouvernemental sur l’évolution du climat a pour but officiel
« d’évaluer les informations d’ordre scientifique, technique et
socio-économique pour comprendre les risques liés au réchauffement climatique
d’origine humaine »
Vous
remarquerez qu’il n’est pas question de savoir si ce type de réchauffement
existe ou non. Sa réalité est admise dès le départ. Que voilà une curieuse
démarche. On proclame l’existence de ce risque avant même d’avoir mis élaboré
une véritable théorie scientifique qui aurait, au moyen d’observations et de
constatations irréfutables et démontrées, pu valider le résultat.
Car les
arguments qui permettent de mettre en doute cette théorie ne manquent pas. Les
travaux de Vincent Courtillot et de nombreux autres semblent suffisamment
convaincants pour au moins soulever la question. Mais là n’est pas mon propos.
Ce qui m’intéresse est de savoir quel est le but réellement poursuivi par ceux
qui sont à l’origine de la démarche. Alors, je vous entends déjà dire
« encore le complot ! » Peut-être.
La démarche,
après tout, est loin d’être stupide. Travailler à la mise en œuvre de moyens de
production d’énergie qui ne pollueraient pas notre planète est en soi
parfaitement respectable.
Car cette
pollution est incontestable. Qu’elle vienne du charbon, du pétrole ou du
nucléaire, nier ce fait serait irresponsable. Chercher à domestiquer d’autres
sources d’énergie ne peut être que profitable à la planète et ses occupants.
Mais est-ce le seul objectif ?
Je ne le
pense pas. J’ai le sentiment que tout ceci n’est que le paravent d’une démarche
beaucoup plus « sournoise » qui consisterait à financiariser à terme
des ressources qui sont vitales. Je veux parler de l’eau et de l’air. Car, si
on y réfléchit, la seule retombée « palpable » (dans tous les sens du
terme) c’est la taxe carbone. Son principe est de faire payer le pollueur à
hauteur de sa contribution à la pollution. En quoi cela va-t-il réduire la
pollution ? Nous payons une taxe carbone sur le carburant que nous mettons
dans notre voiture depuis le 1er janvier de cette année. La
pollution, qui est proportionnelle à notre consommation (d’après le calcul)
a-t-elle diminuée ? Les compagnies aériennes qui payent cette taxe, et outre
le fait qu’elle peut introduire une « distorsion de
concurrence », ont-elles diminué la consommation de leurs appareils ?
La réponse est non.
La taxe
carbone est née lors du fameux « protocole de Kyoto » en 1997. Le but
affiché était louable : inciter les entreprises à moins polluer.
Jusque-là, tout va bien. Les choses commencent à se compliquer avec
l’instauration des « quotas » vite appelés « droits à
polluer ». Pour soi-disant rendre le procédé plus efficace, la bourse du
carbone est créée en 2005. Qui dit bourse dit échange. Cela a donc permis aux
entreprises qui polluaient moins de revendre une partie de leurs quotas à
celles qui polluaient plus. On est loin du but initial.
Cette
transition, pour ne pas dire cette dérive généralisée, d’actions entreprises
dans le souci de préserver l’avenir en apparence mais qui, en définitive, se
traduisent par des prélèvements supplémentaires dans la poche d’un public qui
se trouve ainsi berné, devient insupportable.
Souvenez-vous
de l’écotaxe. Sa mise en place bénéficiait essentiellement à ceux qui en
avaient la gestion. Et en creusant un peu, on passait à Ecomouve, puis
d’Ecomouve à Goldman Sachs4. Cette taxe devait rapporter à
elle-seule 300 millions d’euros par an à ceux qui la percevait pour le compte
du fisc. A ce stade, le terme d’arnaque mérite d’être prononcé… Et c’est chaque
fois un scénario analogue, souvent dénoncé mais jamais remis en question.
Peut-être serait-il temps de remettre tout à plat afin de repartir sur des
bases saines.
La grande
réunion prévue à Paris à la fin de l’année pourrait servir de cadre à cette
opportunité, même si, aujourd’hui, un certain nombre de raisons peuvent laisser
penser qu’il n’en sera rien et qu’au contraire, on continuera dans le mensonge
d’une théorie fausse dont l’objet unique est d’enrichir le petit nombre de gens
qui contrôlent la totalité du système et qui s’appuie sur les peurs du futur
qu’il contribue à créer pour demander à chaque fois un peu plus.
Si nous
continuons dans cette voie, le jour arrivera où nous devrons payer pour
respirer l’air de notre planète.
1 La molécule de gaz carbonique ou dioxyde de carbone à
la propriété de réémettre une partie du rayonnement infra-rouge qu’elle
absorbe. Dans une serre en verre, le rayonnement émis par l’intérieur de la
serre est partiellement réfléchi, ce qui fait que la serre garde une partie de
la chaleur. En raison de cette propriété, le dioxyde de carbone est un gaz dit
« à effet de serre ».De là à dire que ce gaz est la cause unique du
réchauffement climatique, à l’exclusion de toutes les autres, il y a, a mon
avis, un cap infranchissable.
2 Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts en
Evolution du Climat) n’est pas un organisme réellement indépendant. Ces experts
se sont faits les défenseurs de la théorie du réchauffement climatique ayant
pour unique cause l’activité humaine à la surface de la planète
Pourtant, la
source principale de l’énergie captée par la planète est de loin de Soleil,
dont on pourrait croire le rôle largement prépondérant en ce qui concerne le climat
de la planète. C’est d’ailleurs ce qui m’a rendu cette théorie suspecte au
départ, ne comprenant pas comment un phénomène marginal pouvait avoir des
effets prépondérants.
3 Ce rapport a été traduit en français par Jean Bloch
Michel et publié par Calmann-Lévy sous le titre : « La paix
indésirable ? » La guerre des monnaies est publiée par les éditions
« le retour aux sources »
Et a été
traduite en français par Haibing Liu et Lucien Cerise
4 Voir l’article :
http://www.bastamag.net/Les-dessous-de-l-ecotaxe-quand
Jean Goychman
(fin du copié/collé)
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* suite et conclusion de mon Editorial :
Je ne consultais plus le site de Gilbert Colard depuis qu'il s'était retourné contre Jean-Marie Le Pen, mais comme je vois qu'il revient à des publications politiquement sérieuses sur des questions d'actualités qui ne peuvent rester sans réponses ou opinions manifestées clairement de la part de l'opposition, je vais de nouveau consulter son site périodiquement, s'il se tient dans cette ligne sérieuse je ne manquerai pas de tenir mes lecteurs au courant, mais s'il recommence à pétarader contre Jean-Marie Le Pen eh bien je le mettrai de nouveau à l'index pendant un certain temps.
@signé : Lucienne Magalie Pons
Je ne consultais plus le site de Gilbert Colard depuis qu'il s'était retourné contre Jean-Marie Le Pen, mais comme je vois qu'il revient à des publications politiquement sérieuses sur des questions d'actualités qui ne peuvent rester sans réponses ou opinions manifestées clairement de la part de l'opposition, je vais de nouveau consulter son site périodiquement, s'il se tient dans cette ligne sérieuse je ne manquerai pas de tenir mes lecteurs au courant, mais s'il recommence à pétarader contre Jean-Marie Le Pen eh bien je le mettrai de nouveau à l'index pendant un certain temps.
@signé : Lucienne Magalie Pons
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