01 février 2014

Frédéric Haziza de LCP a souhaité "l'euthanasie" à Béatrice Bourgess ( note et vidéo) :

Éditorial de lucienne magalie pons

En passant devant Béatrice Bourges (on se demande ce qu'il venait faire là)  Fréric Haziza  le bouffi d'orgueil,  l'a abordé et a tenu des propos ignobles hors caméras,  à  l'encontre de Béatrice Bourges,  il ne se doutait pas que des amis de Béatrice Bourges qui se trouvaient près d'elle, allaient immédiatement  lui demander  de répéter les propos qu'il  venait  de tenir, et qu'ils avaient entendus, mais cette fois en le filmant, ce à quoi il ne s'attendait pas.
Mais  il  n'a pas assumé ses propos en essayant de tourner lamentablement  les  mots  qu'il avait prononcés, mais ceux qui étaient là avec Béatrice Bouges  les avaient entendus et il a eu du mal à s'en sortir, encore il a voulu en rajouter   en reprochant à Béatrice Bourges de s'être tenu avec "un salopard" avec lequel selon lui , elle se tenait lors de la manifestation de dimanche dernier.

Béatrice Bourges et ses amis lui ont alors remis les pendules à l'heure, finalement il a fini par décrocher et alors qu'il partait il s'est entendu dire ce qu'il méritait, vous le verrez dans un très mauvais rôle dans la vidéo en fin de mon éditorial

Ce que vous verrez aussi en regardant la  vidéo c'est que  les forces policères qui ne cesse de faire pression habituellement sur Béatrice Bourges  24 h sur 24 pour l'empêcher de circuler,  et pour empêcher de l'approcher,  curieusement ne se trouvaient pas là, ont-il laisser le passage volontairement  d'eux-même pour  Frédéric Haziza ?  , étaient-ils prévenus d'avoir à se retirer  ?, avaient-il reçu  l'ordre  de le laisser passer, ( et de qui )  ou encore se sont-ils retirés pour ne pas avoir à l'éloigner ? 

En présence de la police je doute fort que Frédéric Haziza se soit risqué à tenir ses propos,


On peut  poser  ces  questions, certes  en principe  la presse a un droit de passage  en vertu de la liberté d'expression mais apparemment Frédéric Haziza ne venait pas rechercher un entretien, pas de caméra de son côté, non il  était la comme "en passant";

On pourrait penser qu'il était là à titre personnel, il en donnait l'apparence  sans voiture de presse, sans  équipe, ni  micros ni camera, mais le doute subsiste,  et c'est à LCP maintenant de dire s'il était en mission.

Et puis pourquoi a-t-il parlé d'  "euthanasie" ?, avec toutes les connotations que ce mot comporte dans notre société compassionnelle à sens unique, on voit bien que c'est une provocation sournoise, et qu'il comptait piéger Béatrice Bourges en espérant  sous l'offense, je dois dire l'insulte, une  réponse maladroite, il ne sait pas avec qui il joue.

Béatrice Bourges n'est pas entrée dans sa manœuvre, elle a gardé  la maîtrise de sa réponse sans qu'on puisse y trouver un renvoi cinglant, et c'est très bien ainsi parce que si du tac au tac elle lui avait retourné sa vacherie, (ce qu'il attendait et a attendu en vain) il aurait immédiatement alerté  ses chiens de garde des mouvements anti-racistes et  les médias et  se serait fait passer pour une victime de propos racistes.

Aurait-il été en mission il n'aurait pas  tenu  ce genre de propos, donc il faudra qu'il s'en explique :

Béatrice Bourges portera plainte contre Frédéric Haziza, et il faudrait qu'elle soit retenue ,  après que la police l'aura entendue,  procédé aux constations et  à l'enquête utile,  et dressé  son rapport pour le Ministère  public

C'est en effet le Procureur général (Ministère public) qui l'examinera  et décidera de la suite à donner.

Donc affaire à suivre.

 

Béatrice Bourges, en jeûne pour la France depuis 5 jours, a annoncé qu’elle portera plainte. Elle donnera à ce sujet une conférence de presse demain à 11h place Édouard Herriot.

RDV Place Édouard Herriot le samedi 1er février à 11h.

   Commentaire figurant sous la vidéo Youtube :
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Publiée le 30 janv. 2014
Frédéric Haziza veut l'euthanasie de Béatrice Bourges

Béatrice Bourges en est à son cinquième jour de jeûne devant l'assemblée nationale. Celui-ci ne prendra fin que quand les parlementaires se saisiront de l'article 68 de la Constitution permettant de destituer le président de la république.

Le journaliste de LCP, Frédéric Haziza, en passant, souhaite à Madame Bourges l'euthanasie, et assure qu'il ne la regrettera pas.

Malgré tous les témoins, Frederic Haziza, plein de courage, n'assume pas ses propos dès que les caméras sont sorties pour lui demander de répéter.



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