Léonarda et son père leur nouveau scénario pour rentrer en France

Éditorial de lucienne magalie pons



.Nouvelle séquence de "la bad story" :

Le père de Leonarda a plus  d'un tour dans son sac, on pourrait lui donner la palme du système D pour vivre aux crochets de la France, avec une certaine impudence voici  ses récentes déclaration;

- " François Hollande a merdé ... Je suis déterminé a revenir en France avec ma famille, je ferais tout pour y revenir j'attends juste d'avoir reuni assez d'argent pour payer un passeur. Je veux revenir en France car la bas on nous donne de l'argent"  et dans une autre déclaration   il  explique que dans un premier temps après avoir réuni l'argent pour payer le passeur, soit 20.000 euros environ, il passera en Croatie lui et sa famille passeront en Croatie et que de là toutes les frontières étant ouverte ils passeront en France.

Une voie royale en quelque sorte.

Dans le même temps la fille Léonarda change de registre, après avoir défié récemment qu'elle reviendra en France pour faire la loi et accusé Francois Hollande de n'avoir rien compris à sa situation, de n'avoir même pas lu les dossiers, d'avoir parlé au hasard pour la politique, la voilà maintenant  qu'elle vide son sac en changeant de ton, hier Lundi elle supplie  "la France" d'accepter son retour ensemble avec sa famille :  "La France doit nous accepter de nouveau. Je la supplie de nous permettre d'y revenir le plus vite possible parce que ce n'est pas notre maison, ici" au Kosovo.

On voit bien que pour Léonarda et sa famille la France  représente plus qu'un pays une aubaine sociale et qu'ils orchestrent  père et fille  un  nouveau scénario  pour persuader les esprits compassionnels qui les soutiennent  que la France leur doit tout.

Avec la complaisance des médias qui ne cessent de leur tndre leurs micros et de les produire en vidéos, ces deux personnages ne se sentent plus péter  leurs neurones.

Mais ce qui est grave c'est que ceux des  politiques et  associatifs de gauche qui continuent à les soutenir et leur ouvrir les bras,  sont suspendus à leurs déclarations  comme s'il s’agissait  de messages signifiants de leur détresse, alors que ces deux personnages  sont d'habiles manipulateurs rusés  que l'ont n'a que trop mis en scène  et entendus.