"S'espionner entre amis n'est pas du tout acceptable", s'est offusquée la chancelière allemande, Angela Merkel, dont le portable aurait été mis sous surveillance par Washington
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Nous attendions du Conseil Européen des 24 et 25 Ocobre 2013 qu'il consacre ses réunions de travail selon les thèmes qui avaient été annoncés par la France dans un communiqué de l'Elysée à savoir :
Le jeudi 25 octobre sur :
" L ' économie numérique" et "l'innovation des services", -, La croissance, la compétitivité, l'emploi », et « L’Union économique et monétaire »
Le Vendredi 25 octobre sur :
" Le partenariat oriental " -, et « Suites des évènements de Lampedusa »
D'après les premiers échos que nous relevons dans les médias les évènements de ces derniers jours concernant l'espionnage au sens larges de la NASA et les surveillances américaines des "têtes" des Etats européens se sont répandues sur le sommet européen comme des exsurgences prioritaires politique et sentimentales "entre amis" , sous la poussée forte des mécontentements des chefs d'Etats européens concernés qui ont exprimés leurs mécontentements de voir les États-Unis user de cette pratique à leur encontre, en soulignant un peu dans les mêmes termes résumés par la chancelière Alllemande "S'espionner entre amis n'est pas du tout acceptable".
Rassurez-vous quoiqu'en disent et en écrivent les uns et les autres, l'espionnage entre Etat ça c'est toujours fait entre amis comme entre ennemis, les services d'espionnages de tous les états sont là pour ça, donc tout ce cinéma n'est finalement qu'un prétexte pour eux de démontrer qu'ils vont se réconcilier en partageant leurs efforts pour espionner en amis et en commun le monde entier, c'est ce que j'en pense, vu que pour le moment aucun des amis en présence n'a franchi la ligne rouge ni claqué la porte des négociations et des pourparlers.
Quelques reproches accentués pour faire sensation et ensuite des protestations d’amitiés communes qui débouchent sur la recherche d'une entente collaborationniste, voila le scénario en trois temps du mondialismes de l'espionnage à plusieurs objectifs dont notamment politique et commercial..., et surtout de s'unir pour faire taire à jamais des cafteurs comme Edward Snowden avant qu'ils ne puissent s’échapper à Moscou ou ailleurs.
On comprend très bien l'inquiétude et l'urgence qui les saisit de trouver une entente coridale sur l'espionnage quand on sait que selon les révélations toutes fraiches du journal The Guardian du 24 octobre 2013, 35 leaders mondiaux ont été surveillés par la NASA .
Selon ce journal la Nasa aurait demandé en 2006 à de hauts responsables employés à la Maison Blanche, au Département d'Etat, ou encore au Pentagone de "partager leurs carnets d'adresses pour que l'agence puisse ajouter ces
responsables de premier plan , hommes politiques ou responsables militaires
à leur système de surveillance
Comme on s'en doute ces leaders mondiaux ont été surveillés dans tous leurs agissements politiques et privés et certains ne doivent pas se sentir à l'aise surtout en ce qui concerne leur vie privée, dans la vie de chaque personne il y des petits et grands secrets que l'on ne tient pas à dévoiler, encore moins à voir dévoiler par "des amis" celà se comprend parfaitement et aussi justifie en partie l'urgence qu'ils manifestent à régler la situation "entre amis".
Nous reviendrons dans un prochain éditorial quand l'affaire de l'espionnage se sera calmée pour parler des autres thèmes qui nous intéresse plus directement.
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