Editorial de lucienne magalie Pons
De
jours en jours l’expulsion de Léonarda, la jeune colégienne d'une
famille kosovake renvoyée dans son pays le 9 Octobre donnent lieu à
des révélations sur les tribulations de sa famille, les médias nous
ont informés hier
que le père de famille Reshat Dibrani après près de cinq
ans de présence en France, aurait omis
plusieurs informations sur sa situation et qu'il reconnait avoir
acheté à Paris en 2011 un certificat de mariage 50 euros à Paris et
l'avoir versé à son dossier de demande d'asile .
Par
ailleurs d'après ce qu'il dévoile maintenant il serait lui né au
Kosovo, mais sa femme et ses enfants sont nés en Italie
Selon les informations,
le père de Leonarda a admis avoir utilisé et versé à son dossier de
demande d'asile un faux certificat de mariage, acheté 50 euros à Paris
en 2011.
"Toute la famille, ma femme et mes enfants, sont nés en Italie. Ils n'ont rien à voir avec le Kosovo", a-t-il déclaré sur BFMTV.
Reshat Dibrani, âgé de 43 ans, aurait quitté le Kosovo en 1973 ou 1974. Les médias écrivent et disent qu'il admet avoir menti, en regardant la vidéo n° 2 pour lui selon son interprétation "C"est pas mentir", c'est pour avoir des papiers. Parce que si je dis que j'arrive du Kosovo et qu'eux arrivent d'Italie, la France ne va pas me dire "Oui bien sûr, vous avez vos papiers tout de suite"", ... il ne semble regretter d'avoir "presque menti" que maintenant "avec ce qui arrive".Les médias rapportent aussi que Reshat Dibrani a raconté à l'Agence Reuters :
"Toute la famille, ma femme et mes enfants, sont nés en Italie. Ils n'ont rien à voir avec le Kosovo", raconte Reshat Dibrani à l'agence Reuters. "Ils sont nés en Italie et puis nous sommes venus en France. Nous avons menti aux autorités en disant que nous étions du Kosovo. Nous avons demandé l'asile en France et nous ne pouvions pas montrer nos papiers italiens. Nous avons dit que nous avions fui le Kosovo".
Par
ailleurs les médias rapportent que Reshat Dibrani dit avoir quitté le
Kosovo en 1973 ou 1974 et être prêt éventuellement à y rester, mais pas
ses enfants. "Les
enfants ont peur parce qu'ils ne connaissent pas la langue, ici. Ils
pleurent nuit et jour. Ils disent, 'Papa, qu'est-ce que tu nous as
fait ?' Je leur dit que ce n'est pas ma faute mais celle de la France", déclare-t-il.
Encore un mensonge !
"Ici, je ne parle pas la langue, je ne la comprends pas, j'ai peur que les gens se moquent de moi", raconte pour sa part Leonarda : "Ma maison est en France. En France, j'ai tout, mes amis, mon petit ami, mes professeurs, mon école, mon avenir (...) Je n'ai rien ici. Je ne sais pas pourquoi je suis au Kosovo."
Selon les mêmes sources, Leonarda raconte avoir tracté pour François Hollande: "j'ai laissé des enveloppes, avec mon père et ma soeur, pour que les gens votent pour Monsieur Hollande. Je ne sais pas pourquoi Monsieur Hollande il m'a ramenée au Kosovo".
Ce n'est pas son père qui sera capable de lui expliquer pourquoi elle se retrouve au Kosovo , ruses, mensonges, lamentations, accusations, ce n'est pas suffisant pour expliquer la situation de ces familles vont d'un pays à l'autre en Europe en se dirigeant de préférence en France où elles trouvent les meilleurs conditions sociales d’accueil par rapport à d'autres pays, encore faudrait-il pour y être intégrée que ces familles ne se contentent pas d'y envoyer leurs enfants dans nos collèges et écoles et fassent preuve d'une réelle volonté de s'intégrer, ce qui n'est pas toujours le cas.
Nous apprenons aussi que cette famille était suivie en France par le
Comité de soutien aux sans-papiers du secteur de Pontarlier, qui
s'occupait du dossier de la famille Dibrani.
Selon Gérard Guinot, le
porte-parole de ce comité Reshat
Dibrani le père de famille se livrait à des violences envers ses enfants et son épouse. Il en aurait été informé par les
enseignants du collège André-Malraux, que Leonarda, 15 ans, fréquentait.
L'épouse avait porté plainte avant de la retirer, selon Gérard Guinot.( Vidéo n°1)
Selon la presse française, le père de famille a eu en France des démêlés avec la justice pour des violences présumées sur sa fille et de petits larcins, et n'a guère montré, en quatre ans de présence sur le sol français, de volonté concrète d'intégration.
Selon la presse française, le père de famille a eu en France des démêlés avec la justice pour des violences présumées sur sa fille et de petits larcins, et n'a guère montré, en quatre ans de présence sur le sol français, de volonté concrète d'intégration.
En France depuis janvier 2009, la famille Debrani en attente de régularisation était logée gratuitement dans un centre d'hébergement, touchait 300 euros mensuels du Conseil général et bénéficiait de cartes alimentaires, dans ces conditions cette famille se considérait intégrée.
Selon la préfecture du Doubs, la famille Dibrani était entrée irrégulièrement en France en janvier 2009. Leur demande d'asile a été rejetée en août 2009, puis en appel en janvier 2011. Une demande de réexamen de leur dossier a été rejetée. Après un refus de séjour assorti d'une obligation de quitter le territoire prononcé en septembre 2011, dont la légalité a été confirmée en janvier 2012, le jugement a été confirmé en appel en février 2013 ( Le père a été expulsé le 8 octobre de France. La mère et ses six enfants le 9 octobre)
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PAR AILLEURS LES POLÉMIQUES MEDIATIQUES ET POLITIQUES SE POURSUIVENT ET SANS DOUTE REBONDIRONT QUAND LES RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE ADMINISTRATIVE SERONT CONNUES ET EXPLOITÉES PAR LA CLASSE POLITIQUE , CE SERA LE SUJET DE NOTRE PROCHAIN ÉDITORIAL ;
REVUE DE PRESSE :
Vidéo n° 1 :
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Affaire Leonarda: les mensonges et les vérités... par BFMTV
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Le Soir BFM: affaire Leonarda: le mensonge du... par BFMTV
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