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02 février 2009

article de lucienne magalie pons

Avantages et inconvénients des centrales photovoltaïques


Pour Vaclav Klaus, le président tchèque, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'Union européenne, le réchauffement climatique n'existe pas.

Lors du forum économique mondial de Davos, samedi 31 janvier 2009, M. Klaus a déclaré : «Je ne vois pas de données statistiques" ...... "Je suis désolé de voir que certaines personnes comme Al Gore ne sont pas prêtes à écouter les théories concurrentes" sur le changement climatique. "Le militantisme écologique et l'alarmisme sur le réchauffement climatique sont un défi pour notre liberté, et Al Gore est une personne importante dans ce mouvement", a-t-il ajouté.

Si Monsieur Klaus était le seul au monde à soutenir que le réchauffement climatique n’existe pas, nous pourrions peut-être ne pas entrer en polémique à ce sujet, mais il se trouve que la thèse du réchauffement planétaire est contredite et démentie par d’éminents astrophysiciens et climatologues. Bien entendu les pouvoirs politiques et financiers musèlent ces savants pour faire soutenir le contraire, dans des buts essentiellement financiers.

Ainsi , La Thèse ou la menace du Réchauffement planétaire, très contestée par des climatologues et astrophysiciens sérieux, mais soutenue par des politiques et des experts commis par des milieux associatifs, thèse abondamment relayée par une nouvelle école de journalistes dits « climatologues » depuis quelques décennies, n’a pas manqué de favoriser les initiatives « prédatrices » de quelques grands groupes producteurs d’énergies, toujours avides de profits , qui n’ont pas manqué de lancer des opérations gigantesques, certaines déjà réalisées, d’autres en cours de réalisation, pour monopoliser toutes les initiatives et les profits financiers, privant ainsi les particuliers d’initiative individuelle, notamment en matière d’énergie solaire.

Ces grands groupes qui n’ont pour objectif que de réaliser des produits financiers et dont les implantations de centrale photovoltaïque s’étendent sur plusieurs centaines d’hectares, ne respectent pas l’environnement et la destination initiale du patrimoine des régions bien souvent touristique.

Leurs réalisations ou projet de réalisations sont souvent remis en cause par des écologistes, de associations de défense des paysages, et des particuliers, soucieux de préserver leur patrimoine culturel et touristique. Mais ils ne trouvent que peu d’audience dans les milieux politiques. Il est à noter que de telles implantations sont surtout contestées dans des régions touristiques, pour des raisons économiques en défaveur des acteurs commerciaux du tourisme local ou régional, ou dans des régions de productions agricoles pour des raisons de pollutions et de déchets toxiques (**), mais qu’elles sont mieux tolérées et admises dans des zones à fortes implantations industrielles.

(**)La présence même de produits polluants, en dehors du silicium, que l’on peut trouver dans ces installations tel que le trifluorure d’Azote (gaz 17000 fois plus toxique pour le réchauffement de la planète que le dioxyde de carbone), l’Arsenuire de gallium ou le Tellure de Cadmium… inquiète à juste titre dans l’utilisation de ceux ci à l’échelon industriel.


Les personnalités politiques locales et régionales , bien souvent « partagées » entre les intérêts financiers des groupes dont ils espèrent voir rejaillir un bénéfice sur leur commune, font souvent l’impasse sur les inconvénients environnemental et ne défendent pas efficacement les intérêts économiques culturels et touristiques de leur administrés, et le plus souvent bien au contraire soutiennent implicitement les intérêts financiers de ce genre d’implantations pour des raisons d’alignement politique.

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Avant d’entrer dans le vif du sujet, il serait intéressant que lecteur se reporte pour information à une étude de Bernard Beauzamy publié sur le Web, sous la référence « La mystification du réchauffement climatique SCM SA (réactualisée en 2006), étude qui avait transmise au Secrétariat Général de la Défense National et Premier ministre en 2001.

Cette étude n’est pas exhaustive, beaucoup de savants scientifiques et astrophysiciens partagent les mêmes convictions et leurs études, articles et analyses peuvent se retrouver sur le weeb.

Il ressort de la lecture du document de Monsieur Bernard Beauzamy, polytechnicien et mathématicien de renom international que :

1) Il n'existe actuellement aucune raison de penser que le climat global de la Terre connaisse une modification quelconque. Tous les arguments présentés pour prouver ces modifications reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle, des fautes de raisonnement.

2) Le climat, de tous temps et en tous lieux, a connu de fortes variations locales. Il n'existe aucune raison de penser que les variations locales actuelles sont plus importantes que par le passé. Bien plus, les données recueillies (par exemple l'élévation du niveau de la mer) ne montrent que le climat a été beaucoup plus sage au cours des 2 000 dernières années qu'au cours des 20 000 ans qui ont précédé. A l'inverse, les arguments prouvant par exemple une augmentation récente de la force des cyclones reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle, des fautes de raisonnement.

3) Si le climat global de la Terre évolue (ce que nous n'avons actuellement aucun moyen de savoir, faute de données suffisantes), des variations d'activité solaire peuvent en être la cause. On sait que de telles variations existent, mais on ne sait pas les quantifier, ni quantifier leur influence sur le climat. A l'inverse, les arguments portant sur des variations de l'orbite terrestre reposent sur des erreurs de raisonnement.

4) L'ensemble des actions humaines entreprises pour lutter contre le "réchauffement climatique" (limitation des gaz à effet de serre, etc.) est absurde, grotesque, dépourvu de contenu scientifique comme d'efficacité : il s'agit d'une prière lancée en une langue incompréhensible à un dieu qui n'existe pas.

5) Si un réchauffement venait à s'installer en France, ce ne serait qu'un retour à une situation ancienne : par le passé, le climat français a été plus chaud qu'aujourd'hui.

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Entrons dans le vif du sujet des avantages et inconvénients des implantations photovoltaïques, en prenant pour seul exemple un dossier en cours, qui vient de m’être transmis par l’un de mes correspondant, ou il est fait mention des avantages et inconvénients de deux projets d’implantation de panneaux photovoltaïque sur plusieurs hectares dont certains touristiques.

A la lecture de ces documents on peut se rendre compte que l’intérêt économique final pour le consommateur n’est pas évident et qu’en matière de pollution la concentration de telles implantations est productrices d’émanations et de déchets toxiques nuisibles à l’environnement encore plus polluante que les sources productrices d’énergies classiques.

Voici le dossier que m’a transmis mon correspondant :

« Le 19 Décembre 2008 a eu lieu un Conseil municipal important à La Vacquerie. La municipalité, suite à une requête de propriétaires fonciers et de la Compagnie du Vent (groupe GDF-Suez) devait décider d’une procédure de modification partielle et simplifiée du Plan Local d’urbanisme (PLU).

« Deux projets d’implantation de panneaux photovoltaïques sont proposés sur des terrains privés. L’un de 70 hectares sur le bois du Mas de Jourde en totalité sur la Commune de La Vacquerie ; situé en bordure de la D 152 approximativement en face de la sculpture de Paul Darde en direction de Vissec. L’autre de 80 hectares sur le GFA de Saint Martin d’Azirou en bordure de la D 9 qui mène, de Saint Baudile à la route de Ferussac, à 30 % sur notre commune.

Le projet du Mas de Jourde fait suite à un premier refus de modification de PLU pour un ensemble d’éoliennes, refusé pour avis défavorable de la DIREM. et l’hostilité de certaines associations de défense des paysages. Pour celui-ci les éoliennes ont été remplacées par des panneaux photovoltaïques et l’implantation a été déplacée pour ne pas être visible de la D 25. La modification rapide du PLU se justifie par les conditions avantageuses aujourd’hui de tels installations.

Cette procédure d'urgence néanmoins couteuse (environ 6000€) a été décidée au Conseil municipal du 19.12.08. Il va être demandé une aide financière à la communauté de communes pour participation aux frais.

L’intérêt des énergies renouvelables me semble justifié aujourd’hui par des arguments très éloignés des réalités citoyennes et environnementales. Hélas, il serait plus efficace aujourd’hui d’économiser les Mégawatts que l’on nous propose à travers ces projets pharaoniques et qui coutent très chers à la collectivité.

Le photovoltaïque coute 4 fois plus cher que l’éolien et demande des espaces paysagers qu’il transforme en no man’s land.

D’immenses espaces, clôturés, surveillés, de 150 hectares pour ces premiers projets où la vie pastorale, touristique (randonnées, VTT, spéléo…) ne sera plus permise. La vue même de ces milliers de m2 de panneaux brillant au soleil, ne sera plus possible, comment expliquer cela, dans une région Natura 2000 qui représente en 2009 son dossier pour figurer dans la liste des biens naturels du Patrimoine de l’UNESCO ?

**La présence même de produits polluants, en dehors du silicium, que l’on peut trouver dans ces installations tel que le trifluorure d’Azote (gaz 17000 fois plus toxique pour le réchauffement de la planète que le dioxyde de carbone), l’Arsenuire de gallium ou le Tellure de Cadmium…m’inquiète dans l’utilisation de ceux ci à l’échelon industriel.

Nos eaux souterraines sont abondantes et l’infiltration de telles substances à travers nos sols calcaires, pleins de cavités ou l’eau par lixiviation entrainera forcement des déchets toxiques.

Ce type d’installation d’usines solaires me semble par contre adapté par à des sites comme la zone industrielle de Malvesi à Narbonne où en décembre 2008 a été inauguré la plus grande centrale solaire française de 23 hectares. Elle devrait produire en 2012, 500 MW soit 7 MW en puissance totale.

Rappelons que ce site accueille aujourd’hui une usine de raffinage et de conversion de l’uranium exploité par la Société AREVA , qui s’est installé sur une ancienne usine de Soufre. La zone ayant subi de multiples incidents est soumise à la directive Seveso2

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Mon commentaire : il est indéniable que les astrophysiciens et climatologues avertis qui démentent la thèse du réchauffement planétaire sont muselés au profit d’une propagande alimentée par des politiques et des associations et des médias , tous asservis aux pouvoirs des groupes financiers producteurs d’énergie qui entendent monopoliser toutes les sources productives d’énergie à leur profit exclusif en privant les particuliers d’initiatives individuelles.

Il faut souligner aussi que lorsque de telles implantions sont envisagées dans des régions touristiques, les propriétaires de terrains qui se trouvent situés dans ces zones se voient proposer des indemnités de 1000 à 2000€ l’hectare et que certains d’entre eux appâtés, louent leur terrain sans discuter.

Ces implantations dénaturent des paysages naturels et sauvages qui font la richesse de ces petits coins de France où il fait bon vivre et qui se dégradent en laissant place à de nouveaux sites industriels.

.Ce sont des biens communs que nous souhaitons conserver autant pour ceux qui y habitent que pour les nombreux touristes qui randonnent au fil des ans sur les chemins silencieux.

Cela ne fait pas aussi l’affaire des actifs permanents ou saisonniers qui vivent sur le tourisme une bonne partie de l’année et qui se verront ensuite privés d’une grande partie de leur revenu.


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