auteur : Lucienne Magalie PONS (2005)
Par la fente des voiles
On ne voit que leurs yeux
Brillants comme les étoiles
Que l’on voit dans les cieux
Dure loi de l’islam
Qui les tient enchaînées
Corps, esprits et âmes
Et les a aliénées
Dans ces mœurs ancestrales
Soumises et prisonnières
A la force du mal
De l’époux tortionnaire !
Et les hommes stupides
Seuls maîtres avec leur Dieu
De ces femmes candides
Qui ont de si beaux yeux
Ne voient même pas les larmes
Qui coulent sous les voiles
De ces femmes sans armes
Prisonnières comme l’étoile
D une lune en croissant
Cruelle comme la lame
D’un poignard menaçant
Qui fait taire leurs âmes
Et fait couler leur sang
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