Éditorial de lucienne magalie pons
note : voir en fin d'article notre actualisation du Mercredi 17 août 2016
Editorial du Mardi 16 août 2016
Tous les on-dits détournés et floutage d'informations que la presse et l'audio-visuel "médias système" nous ont servis jusqu'à présent viennent de tomber grâce aux premières avancées de l'enquête qui a été ouverte pour "violences et dégradations" après les affrontements qui ont opposé une famille maghrébine à des habitants du village de Sisco en Corse
Rappelons qu'une violente rixe a éclaté samedi soir à Sisco opposant une famille maghrébine, des touristes et des jeunes Corses et des habitants de Sisco venus sur une plage pour défendre leurs enfants après avoir été alertés.
Les enquêteurs ont auditionnés une vingtaine de personnes et ont pu ainsi retracer une partie du déroulement de l'affrontement et nous commençons à savoir ce qui s'est passé Samedi à Sisco, bien sûr les médias-système continuent de parler "d'affrontements intercommunautaires", mais d'après les premières avancées de l'enquête qu'ils ne peuvent ignorer ce qu'il nous avaient raconté en faveur de la communauté maghrébine en tentant de culpabiliser les Corses et les touristes est faux. Ainsi depuis samedi ces médias-systèmes faisaient resoortir que des femmes en Burkini étaient prises en photo par des touristes et des jeunes corses qui les photographiaient d'une plage voisine, ce qui avait déclenché d'après eux la colère des hommes qui les accompagnaient, mais bien entendu ces gribouilleurs au service de la désinformation , n'indiquaient pas dans leurs articles et émissions qui exactement avaient attaqué qui, et dans tous ces détournements d'informations ont n'y voyait pas très clairs, sauf à se reporter sur des témoignages qui circulaient sur les réseaux sociaux, lesquels étaient volontairement mis de côté par l'information dite "officielle" qui restait tout aussi floue que celles de leurs médias-systèmes. Que savons nous aujourd'hui des premières révélations de l'enquête en cours , nous allons le résumer ci-dessous en n'entrant pas dans des développements pour rester brefs : Nous lisons d'après les articles en Revue de Presse plus bas : 1/ que d'après une source proche de l'enquête contactée par certains médias, à la mi-journée ce mardi , une vingtaine de personnes ont été entendues. 2/ qu' il ressort des auditions, notamment d'observateurs extérieurs, qu'une famille maghrébine avait considéré qu'elle avait privatisé la crique et qu'elle ne voulait pas être dérangée par d'autres personnes. 3/ on rapporte que cette famille s'est montrée particulièrement agressive", en déclarant "La plage est à nous. Nous voulons être seuls" 4/ Des touristes qui voulaient photographier le paysage ont été pris à partie et vilipendés , des insultes ont été échangées , des jeunes corses qui se baignaient non loin de là son venus à la rescousse des touristes vacanciers, la tension est montée , l'un des jeunes corses a pu appeler son père qui serait arrivé avec des habitants de Sisco, pour les défendre ( d'après les fameux médias : pour en découdre avec la famille maghrébine), 5/ ont peut lire " Des coups violents ont été donnés mais l'enquête doit déterminer précisément les responsabilités .... l'une des personnes souffre d'une blessure compatible avec un coup de harpon" 6/ les roues de voitures de certains villageois ont été crevées , les voitures de la famille maghrébine ont été incendiées. note : voici ce que nous relevons par ailleurs sur le site de RT : Les tensions seraient montées d'un cran entre les deux groupes lorsque, selon des témoignages, des pneus de plusieurs voitures ont été crevés par des femmes maghrébines. En réaction, des habitants des villages avoisinants auraient renversé une voiture et incendié deux véhicules appartenant à des membres de la communauté maghrébine. 7/ Les gendarmes ne sont parvenus à faire revenir le calme qu' après plusieurs heures. Pour la suite on apprend : 8/ que l a famille maghrébine vit dans la banlieue de Bastia depuis un certain nombre d'années. Au moment des faits, elle comptait sur les lieux 11 membres: quatre hommes (des frères et des cousins), quatre femmes et trois enfants. 9/ Deux des hommes sont connus de la justice, l'un pour des faits particulièrement graves (trafic de drogue, outrage et rébellion), l'autre pour des délits plus mineurs. 10/ Les touristes étaient au moins au nombre de deux. Selon"Le Monde" l'un est d'origine tchèque et connaît bien la région. 11/ Les habitants de Sisco : S elon les estimations des gendarmes, étaient entre 40 et 80. 12 / cinq personnes ont été blessées et se sont vues prescrire une Incapacité temporaire de travail allant de deux à dix jours, selon les médias 2 blessés du côté des habitants de Sisco, et 3 du côté de la famille maghrébine. 13 / on explique aussi que ces violences ne recouvrent aucun caractère religieux, un proche de l'enquête aurait indiqué : " A ce stade l'enquête n'a mis en évidence aucun fond religieux, il y a d'un côté, une logique de "caïd" et un comportement agressif de la famille maghrébine qui est inadmissible ", mais pour faire bon poids peut-être, le proche de l'enquête aurait ajouté : " de l'autre (côté) une réaction épidermique de violences des villageois qui est tout aussi inadmissible. note: " réaction épidermique de violences ? qu'est-ce à dire ? : C'est vite dit .. et mal dit , sans la réaction des villageois de Sisco qui sont arrivés à la rescousse des touristes et des jeunes corses ont peut imaginer qu'il y aurait eu peut-être des morts, sans imaginer les dégâts 14/ : il est aussi indiqué que " c ontrairement à ce qu'ont prétendu certains Corses, aucun cri à connotation religieuse de type "Allah Akbar" n'a été évoqué au cours des auditions 15 / on apprend que " les épouses de la famille ( maghrébine ) de Bastia n'étaient absolument pas vêtues d'un Burkini " , mais qu'elles se baignaient habillées, et les médias ajoutent : " . Ce qui n'a pas empêché le maire de Sisco de prononcer un arrêté contre le port de ce vêtement ..." 16/ d'après la source proche de l'enquête citée par les médias : . " L es femmes se baignaient habillées, tout comme les hommes d'ailleurs, mais pas en burkini. Et l'une d'entre elle n'était même pas voilée. Cette histoire se dégonfle", a considéré cette source et il est indiqué " aucun des protagonistes n'était connu pour des quelconques faits de radicalisation " . Que dire de tout cela ? : il est prématuré de tirer une conclusion, mais enfin tout de même, deux hommes de cette famille maghrébine sont connus de la justice, l'un pour des faits particulièrement graves (trafic de drogue, outrage et rébellion), l'autre pour des délits plus mineurs, on nous dit aussi que cette famille " avait considéré qu'elle avait privatisé la crique et qu'elle ne voulait pas être dérangée par d'autres personnes et s'est montrée particulièrement agressive en expliquant : " La plage est à nous. Nous voulons être seuls ", alors vraiment il est temps à mon avis de la mettre en face de ses responsabilités pour troubles à l'ordre public, mais pour le moment d'après ce que j'ai pu lire personne n'a été placé en garde à vue .. si j'ai bien lu c'est "incroyable mais vrai "
Actualisation du mercredi 17 Août
à 6 h 28 : j’ai écouté les premières informations du matin sur toutes
les radios qui se vantent chacune d’être
« la premières radio d’information » ou appréciation flatteuse
similaires … aucune ne mentionnent exactement les premières révélations de l’enquête,
on dit simplement que finalement le « burkini » n’est pas à l’origine
de la bagarre, et on reste encore dans le
flou en banalisant ces évènements sans citer que deux membres de la famille
Maghrébine était déjà connues de la
police l’un pour des faits grave, l’autre pour des faits moins important, … par contre ils indiquent qu’une partie de
cette famille maghrébine venait d’Espagne
… .
J’ai bien le sentiment que les médias dont je
parle cherchent maintenant à étouffer l’affaire ( ou « noyer le poisson »)
, puisque évidemment cette affaire ne va pas dans le sens qu’ils souhaitent c’est-à-dire
pouvoir accabler les Corses, les mettre en cause en première ligne, ce qui n’est ne leur plus possible au vu des
premières révélations de l’enquête.
Par contre, certains d’entre eux qui avaient
soutenu que les femmes du groupe maghrébin avaient
été photographiées en Burkini par les touristes et les Corses, maintenant
qu’ils viennent d’apprendre qu’elles n’étaient pas en Burkini mais se baignaient
tout habillées, s’offusquent ce matin sur l’arrêté pris par le Maire de Sisco
interdisant le Burkini alors que les femmes n’étaient pas en Burkini , mais se
baignaient habillées.
Par ailleurs du côté de l’enquête
judiciaire on a l’impression aussi que les enquêteurs sont dans l’embarras
et s’empêchent de mettre en cause la famille maghrébine ... et cherchent à
faire peser les responsabilités sur les
2 camps qui se sont affrontés,
sans doute pour satisfaire l’interprétation politique et médiatique de cette attaque, qui voudrait que les Corses et les touristes
soient à l’origine de la bagarre, alors qu’ils n’ont fait que se défendre
contre l’attaque dont l’initiative
revient à la famille Maghrébine qui avait investi le terrain et ne voulait pas
être dérangée !
REVUE DE PRESSE _ articles récents et moins récents_
www.lexpress.fr/.../corse-l-enquete -se-poursuit-apres-la-rixe-a-sisco _182...
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Il y a 12 heures - Or les premiers éléments de l'enquête n'établissent formellement que la ... Les habitants de Sisco , seuls protagonistes à s'être exprimés ...
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Il y a 1 jour - Le maire de Sisco Ange-Pierre Vivoni appelle ses administrés au calme devant la ... Une enquête est menée par la gendarmerie sous l'autorité du ... Dans l' attente des résultats de cette dernière, j'appelle la population à la plus grande retenue. .... Soyez les premiers informés de l'actualité en recevant les ...
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Il y a 20 heures - Enquête en flagrance pour violence en réunion, après la rixe de Sisco qui ... De la riposte épidermique immédiate de Sisco (Cap Corse) à la thèse .... le premier point commun, c'est l'idée d'avoir été choisi, d'être des gens ...
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Il y a 4 heures - L'altercation a opposé des habitants de Sisco à trois familles .... Maisles premiers éléments de l'enquête n'établissent formellement que la ...
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