Beaucoup de bruit et de partis pris chez les politiques et les médias et dans les réseaux sociaux , au sujet de 2 jeunes femmes musulmanes voilées qui se sont présentées dans le restaurant "Le Cénacle" à Tremblay en France en Seine Saint-Denis, et dont l'une a filmé avec un smartphone dissimulé, leur échange pour le moins mouvementé avec le patron du restaurant , qui a la suite n'a pas accepté de les servir dans son établissement et les a refoulées.
De la manière dont les médias traitent l'affaire, on ne sait pas qui a orienté la conversation et on voit bien que les rédacteurs et présentateurs se plaisent à embrouiller l'affaire.
Mais une simple remarque de ma part consiste à dire que ces jeunes filles musulmanes savaient parfaitement que ce restaurant sert du vin et toutes sortes de plats non hallal dont du porc , donc première question dans quelles intentions, sinon de provoquer un incident, sont-elles venues précisément dans ce restaurant ?, ensuite pourquoi l'une d'entre elles a-t-elle immédiatement et spontanément filmé la conversation à l'insu du propriétaire avec un smartphone dissimulé, tout laisse à penser que c'est un incident qu'elles avait prémédité pour pouvoir se plaindre ensuite de discrimination.
J'ouvre une parenthèse penseriez- vous que c'est innocemment qu'un consommateur non musulman se présenterait dans un restaurant affichant Hallal pour commander des grillades de porc?
J'ouvre une parenthèse penseriez- vous que c'est innocemment qu'un consommateur non musulman se présenterait dans un restaurant affichant Hallal pour commander des grillades de porc?
Donc soit vous vous vous bandez les yeux et vous vous placer des bouchons dans les oreilles et vous êtes donc de parti-pris pour soutenir qu'elles ont été victimes de discrimination et que le patron est un "raciste" , soit si vous êtes logique et sans parti-pris vous pouvez comprendre que cet incident a été prémédité, sans doute même commandité et prémédité à l'avance.
C'est le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), qui les soutient qui a annoncé que les victimes, après avoir été entendues par la police tandis et qu'une enquête ait été ouverte par le parquet de Bobigny pour «discrimination à caractère racial», viennent de porter plainte lundi.
Le CCIF a aussi annoncé son intention de se porter partie civile et a réclamé dans «des sanctions exemplaires» pour que cesse «l'impunité des violences et discriminations islamophobes», par ailleurs ce collectif a dénoncé la «responsabilité» du restaurateur et des clients restés dans «l'indifférence» et selon lui aussi de l'indifférence gouvernement et de la classe politique, les accusant d'avoir créé «les conditions de la survenue d'actes comme celui-ci».
Ce qui est faux et mensonger puisque pour ne citer que deux exemples de réactions politiques
1 - Laurence Rossignol la ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes a réagi en ces termes sur Twetter au lendemain des faits, : laurence rossignol
ndlr : La Dilcra est la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme afin d'engager investigations et sanctions contre le comportement intolérable de ce patron de restaurant»
2/ de même, dans un communiqué, le député-maire de la ville, François Asensi, a pour sa part condamné «des propos haineux et stigmatisants». «La population tremblaysienne se sent meurtrie et indignée par une attitude contraire aux valeurs de tolérance, de fraternité et de justice que promeut au quotidien la municipalité de Tremblay-en-France». Ajoutons que François Asensi a aussi dernier a saisi le procureur de la République lundi matin.
Enfin rappelons que dans l'affaire des Burkini, c'est à la requête du CCIF (en autre) que le Conseil d'état à suspendu l'arrêté d'interdiction du Burkini du Maire de Villeneuve Loubet.
Donc pour en revenir sur cette affaire des 2 jeunes femmes voilées prétendues discriminées le CCIF intervient en se portant partie civile, et par ailleurs se répand en propos inadmissibles contre le gouvernement et la classe politique en dénonçant faussement " l'indifférence du gouvernement et de la classe politique" , et en les accusant d'avoir créé «les conditions de la survenue d'actes comme celui-ci», et en réclamant aussi que cessent «l'impunité des violences et discriminations islamophobes»
J'espère qu'au moins la Ministre Laurence Rossignol et François Asensi recadreront le CCIF, il s'agit de propos diffamatoires et intolérables contre le gouvernement et l'autorité municipale de François Asensi.
Enfin concernant la prétendue «impunité des violences et discriminations islamophobes»,que soulève le CCIF c'est la justice qui est mise en cause, et là encore l'appareil judiciaire devrait en toute logique recadrer le CCIF pour ce propos mensonger.
Enfin nous le souhaitons !
Par ailleurs il est temps aussi que les médias et les politiques se reprennent et analysent les faits avec la neutralité qui s'impose , quand on sait que c'est haram (péché) pour les musulmans pratiquants de s'installer dans un restaurant qui sert du vin et des plats non hallal dont du porc, la première des choses à faire c'est de s'interroger sur l'intention réelle de ces 2 jeunes femmes voilées musulmanes munies d'un smartphone dissimulé , en se présentant précisément en toute connaisance de cause dans ce restaurant,et de se demander si elles ont agit délibérément de leur propre initiative ou bien si un mouvement collectif ou communautaire les a commandité ou manipulé , payées peut-être même, pour créer cet incident.
REVUE DE PRESSE :
20minutes.fr | - |
|
F.H.. Publié le 29.08.2016 à 19:32; Mis à jour le 29.08.2016 à 19:32. « Des gens comme vous, j'en veux pas chez moi. » Les propos du patron du restaurant gastronomique Le Cénacle à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), filmé à son insu par l'une des ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire