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30 août 2016

Les 2 femmes voilées refoulées d'un restaurant portent plainte contre le restaurateur , le CCIF se porte partie civile ( note d'information et revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons

Beaucoup de bruit et de partis pris  chez les politiques et les médias et dans les réseaux  sociaux , au sujet de 2 jeunes femmes musulmanes voilées  qui se sont présentées dans le restaurant "Le Cénacle" à Tremblay en France  en Seine Saint-Denis, et  dont l'une a filmé avec un smartphone dissimulé,  leur échange  pour le moins mouvementé avec le patron du restaurant , qui a la suite n'a pas accepté de les servir  dans son établissement et les a refoulées.

 De la manière dont les médias traitent l'affaire,  on ne sait pas qui a orienté la conversation et on voit bien que les rédacteurs et présentateurs  se plaisent à embrouiller l'affaire.

 Mais une simple remarque de ma part consiste à dire que ces jeunes filles musulmanes  savaient  parfaitement que ce restaurant sert du vin et toutes sortes de plats non hallal dont du porc , donc première question dans quelles intentions,   sinon de provoquer un incident,  sont-elles venues précisément dans ce restaurant ?, ensuite pourquoi l'une d'entre elles a-t-elle immédiatement  et spontanément  filmé la conversation à l'insu du propriétaire avec un smartphone dissimulé, tout laisse à penser que c'est un incident qu'elles avait prémédité pour pouvoir  se plaindre ensuite  de discrimination.

J'ouvre une parenthèse penseriez- vous que c'est innocemment qu'un consommateur non musulman se présenterait dans un restaurant affichant Hallal pour commander des grillades de porc? 

Donc soit  vous vous vous bandez les yeux et vous vous placer des bouchons dans les oreilles et vous êtes donc de parti-pris  pour soutenir qu'elles ont été victimes  de discrimination et que le patron est un "raciste" ,  soit si vous êtes logique et sans parti-pris vous pouvez  comprendre que cet incident a été prémédité, sans doute même commandité et prémédité à l'avance.

 C'est  le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), qui les soutient qui a annoncé que les victimes,  après avoir     été entendues par la police tandis et qu'une enquête ait  été ouverte par le parquet de Bobigny pour «discrimination à caractère racial»,  viennent de porter plainte  lundi.

Le CCIF a  aussi annoncé son intention de se porter partie civile et a réclamé dans «des sanctions exemplaires» pour que cesse «l'impunité des violences et discriminations islamophobes», par ailleurs  ce collectif  a dénoncé la «responsabilité» du restaurateur et des clients restés dans «l'indifférence» et  selon lui   aussi  de l'indifférence  gouvernement et de la classe politique, les accusant d'avoir créé «les conditions de la survenue d'actes comme celui-ci».

Ce qui est faux et mensonger puisque pour ne citer que deux exemples de réactions politiques 


1  -  Laurence Rossignol  la  ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes a réagi en ces termes  sur Twetter au lendemain des faits,  : laurence rossignol 

J'ai saisi la @DILCRA afin d'engager investigations et sanctions contre le comportement intolérable de ce patron de restaurant


ndlr : La Dilcra est la   Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme afin d'engager investigations et sanctions contre le comportement intolérable de ce patron de restaurant»



2/  de même, dans un communiqué, le député-maire de la ville, François Asensi, a pour sa part condamné «des propos haineux et stigmatisants». «La population tremblaysienne se sent meurtrie et indignée par une attitude contraire aux valeurs de tolérance, de fraternité et de justice que promeut au quotidien la municipalité de Tremblay-en-France». Ajoutons que François Asensi a aussi   dernier a saisi le procureur de la République  lundi matin.


  Enfin rappelons que dans l'affaire des Burkini,  c'est à la requête du CCIF (en autre) que le Conseil d'état à suspendu l'arrêté d'interdiction du Burkini du Maire de Villeneuve Loubet.

Donc  pour en revenir sur  cette affaire des 2 jeunes femmes voilées prétendues  discriminées le CCIF  intervient en se portant partie civile, et par ailleurs  se répand   en  propos inadmissibles contre le gouvernement et la classe politique en  dénonçant faussement " l'indifférence du  gouvernement et de la classe politique" , et  en les accusant d'avoir créé «les conditions de la survenue d'actes comme celui-ci», et en réclamant  aussi que cessent «l'impunité des violences et discriminations islamophobes»

J'espère qu'au moins  la Ministre Laurence Rossignol et François Asensi recadreront le CCIF, il s'agit de propos diffamatoires et intolérables contre le gouvernement et l'autorité municipale de François Asensi.

Enfin concernant la prétendue «impunité des violences et discriminations islamophobes»,que soulève le CCIF c'est  la justice qui est mise en cause, et là encore l'appareil judiciaire devrait en toute logique recadrer le CCIF pour ce propos mensonger.

Enfin nous le souhaitons !

Par ailleurs il est temps aussi que les médias et les politiques se reprennent et analysent les faits avec la neutralité qui s'impose , quand on sait que c'est haram (péché) pour les musulmans pratiquants  de s'installer dans un restaurant qui sert du vin et des plats non hallal dont du porc, la première des choses à faire c'est de s'interroger sur l'intention  réelle de ces 2 jeunes femmes voilées musulmanes munies  d'un smartphone dissimulé , en se présentant  précisément en toute connaisance de cause  dans ce restaurant,et  de se demander  si  elles ont  agit  délibérément de leur propre initiative ou bien si un mouvement collectif ou communautaire les a commandité ou manipulé , payées peut-être même, pour créer cet incident.

  
 REVUE DE PRESSE : 

20minutes.fr - ‎il y a 9 heures‎
F.H.. Publié le 29.08.2016 à 19:32; Mis à jour le 29.08.2016 à 19:32. « Des gens comme vous, j'en veux pas chez moi. » Les propos du patron du restaurant gastronomique Le Cénacle à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), filmé à son insu par l'une des ...

Articles de fond

Atlantico.fr - ‎il y a 9 heures‎
Dans un communiqué publié ce lundi, le Collectif contre l'islamophobie en France demande "des sanctions exemplaires" afin que cesse "l'impunité des violences et discriminations islamophobes".

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