On ne le sait que trop les consommateurs sont des bêtes à tondre pour les industriels , les intermédiaires distributeurs et certains négociants fraudeurs et falsificateurs, cette fois il s'agit d'un nouveau scandale qui vient d'être découvert par retardement dans le cadre d'une enquête contre un trafic de viande de cheval et de viande en gros , mettant en cause des laboratoires scientifiques , des centres équestres, des négociants, des maquignons, des personnels d'abattoirs, des vétérinaires et un informaticien.
Selon France 3 Languedoc -Roussillon l'affaire porte sur des centaines de chevaux ayant participé "à des programmes scientifiques entre 2010 et 2012".
Ces animaux utilisés par des laboratoires de recherche se sont retrouvés dans le circuit agroalimentaire après falsification des documents de traçabilité", toujours selon France 3 Languedoc-Roussillon vingt-et-une personnes ont été interpellées, dont plusieurs personnes d'une même famille à Narbonne (Aude), suspectées d'être les cerveaux du trafic, un informaticien habitant à Reillanne (Alpes-de-Haute-Provence), quatre vétérinaires et treize maquignons qui servaient de rabatteurs, selon ce qu' a indiqué Brice Robin, le procureur de la République à Marseille.
"Je n'ai pas la preuve que ces animaux étaient toxiques ou qu'ils étaient nuisibles pour la santé humaine", a précisé le procureur de la République qui a indiqué qu'aucun examen toxicologique n'était présent dans le dossier
-suite de notre éditorial :
Une convention internationale prescrit que tout animal ayant servi à des programmes scientifiques ne peut être destiné ensuite à la consommation humaine.
Une source proche de l'enquête confirme : "Cela ne veut pas dire qu'il y ait eu un risque pour le consommateur, mais de toute façon, ces chevaux n'auraient jamais dû se retrouver dans l'assiette du consommateur."
Une convention internationale prescrit que tout animal ayant servi à des programmes scientifiques ne peut être destiné ensuite à la consommation humaine.
REVUE DE PRESSE
Selon France 3 Languedoc -Roussillon l'affaire porte sur des centaines de chevaux ayant participé "à des programmes scientifiques entre 2010 et 2012".
Ces animaux utilisés par des laboratoires de recherche se sont retrouvés dans le circuit agroalimentaire après falsification des documents de traçabilité", toujours selon France 3 Languedoc-Roussillon vingt-et-une personnes ont été interpellées, dont plusieurs personnes d'une même famille à Narbonne (Aude), suspectées d'être les cerveaux du trafic, un informaticien habitant à Reillanne (Alpes-de-Haute-Provence), quatre vétérinaires et treize maquignons qui servaient de rabatteurs, selon ce qu' a indiqué Brice Robin, le procureur de la République à Marseille.
A ce stade de l'enquête, il semble que le groupe Sanofi ait
été abusé. "Le laboratoire va se constituer partie civile", a précisé
le procureur de Marseille. Car, après s'être servi du sang des animaux pour la
fabrication et la recherche de sérums ou de vaccins, le laboratoire
pharmaceutique revendait les bêtes pour une somme modique à un marchand de
chevaux.
Selon France 3 Languedoc-Roussillon, les vaccins
expérimentés sur ces animaux auraient été testés et homologués par l'Agence
nationale de santé.
"Je n'ai pas la preuve que ces animaux étaient toxiques ou qu'ils étaient nuisibles pour la santé humaine", a précisé le procureur de la République qui a indiqué qu'aucun examen toxicologique n'était présent dans le dossier
Ces personnes ont été arrêtées dans le Gard, la Drôme et le Cantal.
Sont également soupçonnés d'avoir participé à ce commerce illégal des
personnels d'abattoir, notamment à Gérone en Catalogne.
Toujours selon France 3 Languedoc-Roussillon, les vaccins
expérimentés sur ces animaux auraient été testés et homologués par l'Agence
nationale de santé.
Déclaration du procureur de la République de Marseille Brice Robin :
Déclaration du procureur de la République de Marseille Brice Robin :
-suite de notre éditorial :
A ce stade, rien ne permet de dire qu'il y a un problème sanitaire",
a déclaré le ministre de l'Agroalimentaire, Guillaume Garot.
- suite de notre éditorial :
Les médias rapporte que Sanofi a précisé à francetvinfo que ces chevaux n'étaient en aucun cas destinés à l’alimentation mais qu’ils sont "suivis au-delà de la normale".
Les médias rapporte que Sanofi a précisé à francetvinfo que ces chevaux n'étaient en aucun cas destinés à l’alimentation mais qu’ils sont "suivis au-delà de la normale".
A l'AFP, le porte-parole du laboratoire a indiqué qu'il est précisé "dans
le certificat de vente, pas parce qu'il y a un danger mais par mesure
de précautions, que ces animaux ne doivent pas intégrer la filière
alimentaire".
Une convention internationale prescrit que tout animal ayant servi à des programmes scientifiques ne peut être destiné ensuite à la consommation humaine.
Une source proche de l'enquête confirme : "Cela ne veut pas dire qu'il y ait eu un risque pour le consommateur, mais de toute façon, ces chevaux n'auraient jamais dû se retrouver dans l'assiette du consommateur."
Une convention internationale prescrit que tout animal ayant servi à des programmes scientifiques ne peut être destiné ensuite à la consommation humaine.
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Le Huffington Post | - |
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