ITélé a rencontré, le 11 Octobre 2012, la « fine
fleur » des très proches
amis de l’ex-président Nicolas Sarkozy, pour les nommer Brice Hortefeux, Isabelle
Balkany, Alain Carignon et Guillaume
Pelletier, lesquels en parlant de la
nouvelle vie de l'ancien chef de l'Etat, démontrent, chacun selon son style, la quadrature du cercle, pourrions nous dire, d’un
retour en politique de Nicolas Sarkozy, qui d’après l’un des intervenants se
fonderait sur une très alchimie
particulière
Autant dire qu’ils cherchent à nous
démontrer la transcendance d’un problème
politique insoluble pour le moment et qui le restera jusqu’à ce que Nicolas Sarkozy la démontre
lui-même.
En 2012, la résolution de ce problème politique par les «
quadrateurs » reste spéculative.
De son côté Nicolas Sarkozy reste très discret sur son
éventuel retour en politique, il lui appartiendra, s’il se décide à revenir sur la scène
politique, de démontrer qu’il a trouvé le Pi de son retour sur la scène politique et qu’il a résolu sa
quadrature du cercle et qu’il en état de l’exposer en campagne 2017 sur l’Hexagone en se référant aux règles du
Pentagone.
A notre avis, en 2012 il est encore trop tôt pour en prévoir le
résultat ce sera en fonction du sens du vent de l’histoire nationale
qui est le seul à actionner les girouettes.
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Voir ci-dessous la vidéo de la rencontre
entre Itélé et ses invités. Cette émission présente, en même temps que les invités
s'expriment, des extraits filmés représentant Nicolas Sarkozy dans diverses activités sportives, mais encore et surtout des
extraits le représentants dans ses anciennes prestations de Chef d’État, de fait
cette émission est une émission
de complaisance et de propagande , en
faveur du retour en politique de Nicolas Sarkozy , retour tant souhaitée par
ses proches amis, mais aussi tant redoutée par nombreux de ses faux amis
leaders actuels de l'UMP, qui tirent des
plans sur la comète, pour remporter la Présidence de l'UMP et au -delà pour se présenter à la
""magistrature suprême" en 2017;
Vidéo - Source
Itélé -
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La nouvelle vie de Nicolas
Sarkozy - 11/10/12 à 13h00
En texte d'après les notes que nous avons prises :
Présentateur : Ils sont quatre, quatre proches de Nicolas Sarkozy à avoir accepté
de témoigner sur la nouvelle existence de Nicolas. Tous continuent de le côtoyer.
Après avoir passé 5 ans aux plus hautes fonctions, l’ex-chef de l’Etat veut aujourd’hui s’adapter et se réinventer
une vie.
Brice Hortefeux : Il lit beaucoup, il reçoit beaucoup ceux qui lui manquent, ses anciens collaborateurs,
ses anciens ministres, il fait, ce qui ne vous surprendra pas d’ailleurs,
beaucoup de sport, et donc il mène une
vie tout à fait, tout à fait normale (sic) normal
C’est un ex-président normal ( re-sic)
Présentateur Il est
difficile de croire, quand on a été pendant trente années aux affaires, nombreux d’ailleurs sont
ceux qui se sont interrogés sur son état juste après la défaite
Isabelle Balkany : Contrairement à ceux que certains ont prétendu,
il n’a jamais eu de blues, il a été très fatigué physiquement, ça c’est clair, après la campagne
présidentielle, mais Nicolas Sarkozy n’est pas quelqu’un qui a tendance au
blues.
Présentateur : Dans ses bureaux situés dans le 8me arrondissement
de Paris, Nicolas Sarkozy travaille nous ditons, parmi ses projets la création
d’une Fédération, mais l’activité
nationale et internationale reste aujourd’hui bien encore au centre de ses
préoccupations ?
Alain Carignon : Il s’intéresse au devenir du pays, il s’intéresse
à ce qui se passe dans le monde, il est très sensible aux questions des droits
de l’homme, qu’il a amené d’ailleurs à propos de la Syrie, mais voilà ses sujets !, il ne se mêle pas de politique politicienne
Présentateur : Depuis quelques semaines l’éventuel retour de Nicolas Sarkozy sur le devant de la scène
politique internationale intéresse à la fois les médias et publics, un
engouement qui surprendrait l’ancien chef d’Etat selon ceux qui l’ont rencontré
récemment
Brice Hortefeux : la vérité c’est qu’il par moment
le premier surpris…euh…des « Une » de la presse, il s’attendait pas
franchement à ce que trois mois et demi après son départ il ait les hebdomadaires
qui mettent en « Une » : ‘Et si Sarkozy avait raison’ ?, ça il ne s’y attendait
pas, la presse ne nous a pas habitué à ça pendant cinq ans.
Isabelle Balkany : Évidemment ça me touche, ça me touche
profondément, ça me touche profondément parce que c’est une reconnaissance de
ce qu’il a accompli pendant cinq ans et qui a tellement été critiqué
Présentateur : Le silence de Nicolas Sarkozy ne serait-il pas
finalement une stratégie pour susciter le désir, pour entretenir le mythe afin
de mieux revenir plus tard , certaine pas selon nos interlocuteurs qui affirment
que rien ne serait calculé sans pour autant fermer la porte à son retour
Isabelle Balkany : non ce n’est par ce silence qui nous motive, ce n’est pas une stratégie , c’est un
choix, un choix personnel qu’il a fait
et qu’il respecte comme il toujours respecté et assumé ses choix.
Guillaume Pelletier : Jusqu’à
présent Nicolas n’instrumentalise pas le silence ou … et ne fait rien du
tout pour préparer ou anticiper quoique
ce soit. On sait très bien qu’un retour …, et…, et…, se fonderait sur une
alchimie très particulière entre, des
possibilités, des circonstances, des évènements
qu’il est beaucoup trop tôt d’anticiper aujourd’hui. Mais en plus c’est très intéressant, parce
que c’est inédit et en plus il est très jeune, 57 ans en politique c’est 18 ans
en foot ball, c’est incroyable, c’est incroyable 57 ans en politique il y en a beaucoup qui commence
leur carrière à 57 ans
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