Éditorial de lucienne magalie pons
Le "dialogue social" chauffé à blanc depuis quelques semaines vient d'atteindre quelques degrés de plus entre les syndicats patronaux, les syndicats de salariés et l'exécutif, qui risquent de faire de la Convention sociale des 7 et 8 Juillet soit une coquille vide, soit un champ de bataille !
Le "dialogue social" chauffé à blanc depuis quelques semaines vient d'atteindre quelques degrés de plus entre les syndicats patronaux, les syndicats de salariés et l'exécutif, qui risquent de faire de la Convention sociale des 7 et 8 Juillet soit une coquille vide, soit un champ de bataille !
Nous le savons les organisations syndicales patronales en veulent toujours plus au profit des Entreprises , les organisations syndicales patronales tirent une sonnette d'alarme et se sont unies pour lancer un appel au Président de la République et au Premier Ministre, un appel qui s'apparente à un ultimatum, ils réclament en soulignant notamment la croissance en berne, et le chômage à la hausse, la mise en œuvre rapides des aides et des réformes promises et du Pacte de responsabilité, qui tardent à venir, et menacent de ne pas assister à la"Grande conférence Sociale" des 7 et 8 juillet.
Cette alerte intervient alors que certaines mesures du "Pacte de responsabilité et de Solidarité "à l'Assemblée Nationale dans le cadre de l'examen
La CGPME ( Confdération Générales des Petites et Moyennes Entreprises) présente sur son site en date du Mercredi 25 juin le plaidoyer de son Président pour les entreprises, adressé au Président de la République, sous forme de lettre ouverte laquelle figure en Pdf sur le site de la CGPME.
Nous reprenons ci-dessous en copié/collé l'article de la CGPME , et retranscrite en clair, la lettre ouverte adressé par son Président au Président de la République :
de source CGPME :
copié/colé :
" mercredi 25 juin 2014
" Monsieur Hollande, les PME n'ont plus le temps d'attendre
" Le malaise gronde chez les patrons de TPE et PME.
Entre inquiétude et exaspération, ils ne comprennent plus les règles du
jeu gouvernemental. Jean-François Roubaud, président de la CGPME, tire
la sonnette d'alarme et adresse un plaidoyer pour les entreprises au
Président de la République.
" Lettre ouverte de Jean-François Roubaud au Président de la
République
" Monsieur le Président de la République.
" A l’issue des élections européennes vous avez annoncé
"plus de rapidité dans la mise en oeuvre des mesures". Paul Claudel
disait "ce n’est point le temps qui manque, c’est nous qui lui
manquons".
" C’est bien là le risque à l’heure où les défaillances
d’entreprises atteignent des sommets.
Les TPE/PME françaises sont actuellement mises à rude
épreuve. On peut se rassurer en voyant un retournement, un frémissement ou un
demi-tour. Mais ce n’est pas ce que nous entendons de la part des chefs
d’entreprise. Au contraire, l’inquiétude grandit et l’exaspération gagne du
terrain.
" Les discours lénifiants sur la baisse des charges ou les
simplifications administratives restent virtuels. Seul le CICE est passé du
discours aux actes.
" A l’inverse les mesures anti entreprises pleuvent comme
autant de mauvaises nouvelles annonciatrices d’une tempête. Déjà les effets de
certaines mesures, bien réelles celles-là, se font sentir.
" La suppression des aides et les nouvelles contraintes sur l’apprentissage
ont entrainé un recul de près de 10% des jeunes en apprentissage. Qu’à cela ne
tienne, on va plus loin et l’on adopte une Loi qui aura pour conséquence de
rendre plus difficile l’embauche de stagiaires, qui, de toute façon, c’est bien
connu, sont exploités.
" La fiscalisation des heures supplémentaires a durement
impacté le pouvoir d’achat de nos salariés. Qu’importe, la part patronale des
complémentaires santé subira le même sort dans l’indifférence générale. Les
employeurs n’ont qu’à augmenter les salaires !
" Mais tout cela n’est rien par rapport à la véritable armada
anti emploi qui est en train de se mettre en place.
" Interdire, sauf dérogations, les contrats de travail de
moins de 24 heures hebdomadaires c’est se priver de plusieurs centaines de
milliers d’emplois alors que notre pays compte actuellement près de 2 millions
de personnes travaillant moins de 24 heures par semaines ! Un pays qui affiche
plus de 3 millions de chômeurs va interdire le travail à mi-temps !
Presque aussi fort, la mise en place d’un compte individuel
de pénibilité exigeant la tenue de fiches pour chaque salarié. Même Courteline
n’aurait osé l’imaginer.
" Quant au renforcement des pouvoirs de l’inspection du
travail qui, demain, pourra exiger tous les documents qu’il souhaite, que cela
soit ou non prévu dans le Code du travail, et ordonner aux frais de
l’entreprise des expertises avant, le cas échéant, d’arrêter l’activité, cela
relève de la provocation avec un Code du travail qui fait plus de 3000 pages.
" Tout se passe comme si les textes étaient pensés par, et
pour, des entreprises avec des DRH, des responsables des relations sociales,
des Comités d’entreprises. Ce n’est pas le cas de l’immense majorité des
entreprises dont 97% ont moins de 20 salariés. Ce sont celles-là qui créent des
emplois, ce sont celles-là que représente la CGPME.
" Nous avons le sentiment qu’on écoute toujours les mêmes dans
une sorte de "socialement correct" qui arrange tout le monde. Il faut
pourtant entendre la vérité. Si l’on veut que les entreprises embauchent, elles
doivent pouvoir licencier. Elles ne doivent pas non plus craindre de franchir
ces fameux seuils sociaux synonymes de contraintes supplémentaires. Mais ne
nous trompons pas. Un employeur embauchera si son carnet de commande le permet,
tous les Pactes du monde n’y changeront rien, sauf peut-être dans quelques
grands groupes du CAC 40 capables de prévoir leur plan de charges sur plusieurs
annéesPis encore mais il faut le dire, le travail au noir est en train de
repartir par exemple dans le domaine des services à la personne et les
travailleurs détachés continuent de sévir au détriment de nos entreprises.
C’est cela la réalité que nous vivons.
" "L’économiquement correct" n’est malheureusement
pas en reste. On nous assène les dividendes et les marges des entreprises comme
autant de gros mots en confondant là encore, grandes et petites entreprises.
L’entrepreneur qui prend un risque sur ses biens propres et qui se rémunère au
travers des seuls dividendes mérite-t-il le matraquage fiscal dont il est
victime ? Savent-ils, les donneurs de leçons, que sans marge des entreprises
privées il n’y a pas d’investissement, pas d’emploi, pas de système de
protection sociale, pas de fonction publique… Et pourtant là encore, force est
de constater que les dernières annonces fiscales laissent de côté les plus
petites entreprises. La baisse généralisée de l’IS réclamée par la CGPME attendra,
comme attendra le taux réduit d’IS pour les résultats réintégrés au capital des
PME, au profit de mesures qui concernent moins de 10% des entreprises
françaises.
"A trop crier dans le désert nous perdons patience.
"Il faut maintenant entendre ces TPE/PME qui font la
croissance et l’emploi et ne pas se contenter de les saluer dans les discours.
Nous réclamons des simples mesures de bon sens inscrites dans la durée.
Allons-nous en être réduits nous aussi, comme viennent de l’annoncer les CCI
dont beaucoup sont présidées par des chefs d’entreprise membres de la CGPME, à
refuser de participer à "tous les travaux en cours avec le
gouvernement" ? La Conférence Sociale de juillet devra, cette fois-ci,
prendre en compte nos demandes.
Notre rôle est de vous alerter avant qu’il ne soit trop
tard.
..............................
suite de notre éditorial:
Les médias se sont saisis de ces "recommandations patronales" et dans des articles ils indiquent , nous citons ..."que si cette Conférence sociale ne
prend pas en compte les demandes des TPE/PME, la CGPME menace de "suspendre les travaux avec le gouvernement" comme l'on fait les chambres de commerce etet de l'industrie ... " , et que ...: ".
Le Medef, s'est lui aussi interrogé sur "l'intérêt de participer à la
conférence sociale". .....
Les médias ajoutent, nous citons ...... L'organisation proteste contre l'application à
partir du 1er janvier 2015 d'un dispositif de compensation pour les
salariés exposés à des travaux pénibles, financé par une taxe patronale,
malgré des ajustements apportés par le gouvernement. Elle juge les
décrets "mal rédigés" et "inapplicables"....
fin de citations
______________/
suite de notre éditorial
Par ailleurs et à l'appui de cette "bronca" les patrons ont lancé dimanche dans le JDD un « cri d'alarme » en direction de François Hollande.
Ils
appellent à la mise en œuvre rapide des aides promises aux entreprises et du pacte de responsabilité qui tardent à venir, selon les
organisations patronales.
Dimanche (et Lundi sur son site) le JDD publie en exclusivité la lettre ouverte dans laquelle huit organisation patronales (Medef, Afep, CGPME, UPA,
Unapl, FNSEA, Asmep-Eti, Croissance+) demandent au Gouvernement d'appliquer les réforme promises , notamment : baisses des impôts et des charges,
simplification des normes, réduction des dépenses publiques.
Les JDD rapporte notamment que .. " les chefs
d’entreprises déplorent les "blocages" corporatistes et les "postures"
politiciennes qui entravent la mise en œuvre du pacte de responsabilité" et que ...:
Tout en souhaitant une union nationale pour mettre fin au "lent déclin"
du pays, ils encouragent l’exécutif à rester ferme sur ses engagements." , en joutant :" ..
Les patrons se sont décidés à monter au créneau après la publication
des mauvais chiffres de la croissance et du chômage cette semaine. Ils
déplorent dans le même temps la façon dont le compte pénibilité est
diligenté par le gouvernement.
Le JDD a décrypté dans son article le document d'appel des patrons :
Appel au Président de la République et au Premier ministre
Les entreprises, de toute taille et de toute catégorie, et les entrepreneurs croient en l’avenir
de notre pays
: la France est un grand pays qui garde des atouts pour retrouver sa
place dans le monde. Ses entreprises, sa capacité entrepreneuriale, son innovation, la qualité de ses
services publics, sa créativité font notamment partie de ses atouts.
Pourtant, depuis une décennie, notre pays s’affaiblit, et contrairement à nos voisi
ns européens, aucun signe de reprise ne s’annonce. Au lieu de libérer les énergies, notre
réglementation contraint les initiatives, au lieu de reconnaître et de valoriser les succès,
nous les dénigrons, au lieu d’encourager les initiatives, nous contrôlons
et sanctionnons.
Les semaines qui viennent seront cruciales pour notre avenir collectif. Aujourd’hui, la force
et le rayonnement d’un pays passent, qu’on le veuille ou non, par la force et le rayonnement
de ses entreprises, des plus petites aux plus gran
des. Les solutions aux problèmes de notre pays(emplois, formation, intégration, pouvoir d’achat, ...), passent nécessairement par le développement des entreprises.
Or force est de constater que la croissance ne redémarre pas. L'Insee vient d'en apporter la
démonstration. L'investissement est à l'arrêt et les derniers chiffres du chômage nous
rappellent à une réalité dramatique qui touche tous les Français. Il n’y a pas de fatalité, mais
il faut, pour inverser ce lent déclin, une détermination, des mesures résolues, et sans doute
plus que tout, le rétablissement de la confiance des entrepreneurs et toutes les parties
prenantes de l'entreprise : salariés, investisseurs, partenaires, clients... Chacun peut et doit y
participer.
Monsieur le Président de la Répu blique, Monsieur le Premier ministre, vous avez tous deux
prononcé des discours qui ont redonné espoir aux entrepreneurs et aux entreprises de
notre pays. Vous avez annoncé la mise en œuvre d’un Pacte de responsabilité comme la
seule voie possible à la sortie de notre pays de la crise. Mais devant la situation d’urgence
qui est la nôtre, il faut agir rapidement, avec détermination et constance.
Or depuis quelques semaines, nous constatons que les actes ne suivent pas toujours les
discours.Il nous faut désormais assumer, dans l’action, une politique en faveur de la croissance et de
l’emploi, donc des entreprises et de leurs salariés.
Les entreprises et les entrepreneurs, qui sont les acteurs de la croissance et l’emploi,
souhaitent pouvoir investir, embaucher, innover en France. Pour cela elles ont besoin de
perspectives et de confiance dans l’amélioration de leur environnement. Elles ne veulent
plus d’un taux de chômage qui progresse et pénalise si fortement les jeunes et les séniors.
C’est pourquoi, nous vous demandons solennellement de répondre à notre appel par trois
actes concrets qui permettront de redonner la confiance en l’avenir pour notre pays et nos
concitoyens
Voir la suite de ce document ci-dessous après un blanc que je n'ai pu réduire en copiant/collant
1.
Inclure de manière explicite et
rapidement l’ensemble du Pacte de responsabilité
dans la loi.
Cela signifie des textes qui programment clairement sur les trois
prochaines années les trajectoires de baisse du coût du travail et de la fiscalité. Cela
signifie aussi savoir prendre des mesur
es efficaces
plutôt que de privilégier la
posture, et savoir mettre en place des procédures performantes de collaboration
entre les acteurs concernés. Ainsi, les décrets prévus sur la pénibilité n’ont pas été
assez travaillés et sont aujourd’hui inapplica
bles et coûteux, les dispositions relatives
au temps partiel doivent être ajustées...
2.
Mettre en œuvre avec le Parlement un moratoire sur tout texte législatif et
administratif
qui viendrait complexifier notre réglementation, mettre des contraintes
ou renforcer les contrôles et les sanctions sur les entreprises et les entrepreneurs.
Notre environnement fiscal et réglementaire a besoin de simplification et de stabilité.
Dans ce chantier majeur, il faut engager un véritable travail partenarial qui ail
le au
-
delà des postures. Cessons enfin de surtransposer les directives et textes européens.
3.
S’attaquer aux réformes structurelles
qui permettront une baisse rapide et
durable des dépenses publiques. Il est possible aujourd’hui de mettre en œuvre u
ne
baisse des dépenses publiques sans toucher à la qualité des services publics et tout
en préservant l’investissement qui permet de préparer le futur. Mais il faut accepter
de regarder enfin les blocages structurels, de toucher à des tabous ou des dogmes,
de moderniser, de capitaliser sur les fonctionnaires et leur envie de faire... Il faut le
gérer en commun, sans cliver, et les entreprises sont prêtes à participer et à
accompagner cette mutation. Mais il faut que vous acceptiez de lancer enfin cette
dynamique au-delà de premières mesures limitées.
Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier ministre, notre appel solennel
est avant tout un cri d’alarme de citoyens français inquiets pour l’avenir de leur pays.
Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier ministre, il y a urgence à agir et vous avez les cartes en main.
fin du document
Note : Ce document est signé par Pierre Gattaz Président du Medef, Jean-François Roubaub Président CGPME, Jean-Pierre Crouzet Président Upa, Xavier Beulin Président FNSA, Michel Chassang Président Unapl, Pierre Bringuet Président Afep, Stanislas de Bentzmann Président Croissance +, Elisabeth Ducotter Coprésidente d'Asmep-Eti , Philippe d'Ornano Coprésident d'Asmep-Eti.
____________________________________________/
suite de notre éditorial :
Du côté des syndicats qui réclament une tout autre politique économique , la CFDT, FO et la CGT
économique, dénoncent que l'absence du patronat remettrait en cause l'existence
du Pacte de Responsabilité La CFDT estime que la non participation du
patronat à cette conférence pourrait remettre en cause le Pacte de
responsabilité, "qui doit permettre de recréer des marges pour les
entreprises, en contrepartie de la création d'emplois". "Si le patronat
ne vient pas (...) il faudra y mettre fin", a estimé son secrétaire
général, Laurent Berger sur RTL,
- la CGT toujours opposée au Pacte, estime qu'il y
a "urgence sociale", alors que le nombre de demandeurs d'emplois ne
cesse de progresser. Les mesures de lutte contre le chômage sont mises
en oeuvre "à budget constant"." Il n'y a pas un sou pour aider les
salariés les plus en difficultés mais 30 milliards d'euros sont accordés
aux entreprises sans contrepartie pour les salariés ( ndlr : baisses de charges
prévues par le Pacte, )", estime ce syndicat"
(Ce syndicat dans un communiqué que vous trouverez en Revue de Presse indique qu'il n'assistera pas à la Conférence sociale)
- Force Ouvrière (FO), revendique dans un communiqué qu' " Au lieu d'un
'pacte de responsabilité'... c'est un changement de politique
macroéconomique tant au niveau européen et national" .., "
axé sur la relance de la consommation et du pouvoir d'achat"
La tension s'accentue dans tous les milieux syndicaux, à mon avis ça va chauffer à blanc dans tous les milieux syndicaux, exécutif et parlementaire et dans la classe politique entre la Gauche et la droite, sans doute au sein même de la majorité socialiste, avec les "frondeurs en pétard" qui vont y trouver matière à s'insurger, à engager "une guérilla parlementaire" comme on s'en doute aiguisée par l'opposition , voilà en prévision une en bataille d'amendements qui va pimenter les séances de l'Assemblée Nationale.
Si tous les syndicats patronaux et aussi ceux des salariés décidaient de boycotter la Conférence sociale ce serait le "« Summun jus, summa injuria »qui viendrait signer un nouvel échec pointé de l'exécutif !
Ça risque de faire concurrence dans les journaux et sur les écrans à la Coupe du Monde !
Le premier des ministres à réagir à l'appel des patrons, a été le ministre de l'Economie Arnaud Montebourg dimanche soir sur BFMTV ( publié ensuite dans le JDD)
Le Ministre Arnaud Montebourg a indiqué dimanche en parlant des "patrons" "ne pas comprendre"
leurs motivations.
"Je ne les ai jamais entendus sous Sarkozy", a-t-il fait remarquer ensuite
ndlr : Faut-il s'en étonner !
Ce matin Thomas Thevenou porte-parole du groupe PS à l'Assemblée nationale a invité le
président du Medef à "faire preuve de responsabilité" en "participant à
la conférence sociale du mois de juillet". Thomas Thévenoud assure que
"le dialogue social est au cœur du redressement économique de la
France."(voir la vidéo en revue de presse).
REVUE DE PRESSE :
Arnaud Montebourg sur BFMTV : un extrait
Arnaud Montebourg sur BFTMV - Dimanche soir - l'intégrale -
voir aussi l'article du JDD :
Hier
Montebourg "ne comprend pas" les critiques du patronat
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Pénibilité: Gattaz menace de boycotter la Conférence sociale
lentreprise.lexpress.fr/.../penibilite-gattaz-menace-de-boycotter-la-confer...
Il y a 2 heures - Paris, 30 juin 2014 - Le président du Medef, Pierre Gattaz, a menacé lundi de boycotter la conférence sociale des 7 et 8 juillet, si l'organisation ..__________________________________________________/
La Cgt communique qu'elle n'assistera pas à la conférence sociale : voir ci-dessous
Renault-Cléon appelle au boycott de la conférence sociale ...
communisteslibertairescgt.over-blog.net/article-renault-cleon-appelle-au-...
Il y a 3 jours - Il en sera de même pour la Conférence sociale des 7 et 8 juillet au cours ... sociales mettant en péril tout notre système de protection sociale.
_____________/
- L'Express - il y a 1 heureParis, 29 juin 2014 - Le numéro un de Force ouvrière Jean-Claude Mailly ... "Ca promet une conférence sociale rock n' roll" et des tensions qui ...
- RFI - il y a 11 heures
- L'Express - il y a 1 heure
Grande Conférence Sociale au CESE - Présidence de la ...
www.elysee.fr/photos/grande-conference-sociale-au-cese/Partager sur plus de réseaux sociaux : Grande Conférence Sociale au CESE. Partager sur Linkedin (nouvelle fenêtre) ... 24 Juin 2014. Partager sur Facebook... Patronat: appel à François Hollande en vue de la ... - RFI
www.rfi.fr/.../20140629-france-medef-patronat-appel-hollande-conferen...Il y a 12 heures - A quelques jours de la conférence sociale des 7 et 8 juillet 2014, l'ensemble des organisations patronales lance un appel au président de la ...Conférence sociale | France info
www.franceinfo.fr/liste/conference-socialeConférence sociale. Pierre Gattaz, invité de France Info, a lancé un cri d'alarme sur INTERVIEW. dimanche 29 juin 2014 18:21 ...
Pénibilité: Gattaz menace de boycotter la Conférence sociale
www.leparisien.fr › Flash actualité - EconomieIl y a 2 heures - Pénibilité: Gattaz menace de boycotter la Conférence sociale ... Revenant sur l'appel des patrons publié dans le Journal du ... La menace d'un boycott patronal a déjà provoqué de nombreuses réactions côté syndical. ... Asnières : polémique au sujet d'un tournage coquin à la mairie (92); 11:15Le Pakistan ...
Termes manquants :polémiquesEconomie - Actualité économique - Le Nouvel Observateur
tempsreel.nouvelobs.com/economie/De Claude Soula - La lettre des patrons qui promet une conférence sociale "rock n' roll" · 30 réactions ... Pour Jean-Claude Mailly, de FO, cela annonce une conférence sociale "rock n' roll". La lettre des ..... Le coût des travaux de la résidence de William et Kate suscite la polémique ... Vidéo · Gattaz appelle à son tour Niel à être "prudent" ...Europe1 : Radio d'Actualité et News Politique, Culture ...
www.europe1.fr/Economie Gattaz n'exclut pas un "boycott" de la conférence sociale ... "Malade mental": polémique chez Babybel ... Téléphonie mobile : les opérateurs s'attaquent aux appels en Europe ... RÉACTIONS - L'ex-internationale française, a été nommée samedi au poste ..... Les patrons pressent le gouvernement d'agir. Hier ...
- Les Échos - il y a 1 heureJe pourrais ne pas aller à la conférence sociale », a en effet assuré Pierre Gattaz ce lundi sur l'antenne d'Europe 1. L'occasion pour lui ...
- Le Point - il y a 2 heures
- Francetv info - il y a 2 heures
Plus d'actualités pour "conférence sociale menaces de boycotte"
le patron du Medef menace de boycotter la Conférence ...
www.ledauphine.com/.../penibilite-le-patron-du-medef-menace-de-boyc...Il y a 2 heures - Le président du Medef, Pierre Gattaz, a menacé lundi de boycotter la conférence sociale des 7-8 juillet, si l'organisation patronale n'obtenait ...Pénibilité. Gattaz menace de boycotter la Conférence sociale
www.ouest-france.fr/penibilite-gattaz-menace-de-boycotter-la-conferenc...Il y a 3 heures - Le président du Medef, Pierre Gattaz, a menacé lundi de boycotter la conférence sociale des 7 et 8 juillet, si l'organisation patronale n'obtenait ...Compte pénibilité: Gattaz menace de boycotter la ...
www.bfmtv.com › Économie › Emploi › Emploi, SocialIl y a 3 heures - ... ce lundi 30 juin. Il a notamment menacé d'un boycott de la conférence sociale si ce dernier ne reculait pas sur le dossier de la pénibilité.Pierre Gattaz menace de boycotter la conférence sociale ...
videos.tf1.fr/.../pierre-gattaz-menace-de-boycotter-la-conference-sociale-...Il y a 1 heure - Pierre Gattaz, le patron du Medef a menacé sur Europe 1 le chef de l'Etat de boycotter la conférence sociale si le pacte de responsabilité ne se ..."harcèlement législatif" et menace de boycotter la ...
www.francetvinfo.fr › Eco / ConsoIl y a 3 heures - Le Medef dénonce un "harcèlement législatif" et menace de boycotter la conférence sociale. Invité sur Europe 1, le patron du Medef, Pierre ...Le Medef menace de boycotter la Conférence sociale ...
https://fr.news.yahoo.com/medef-menace-boycotter-conférence-sociale-0...Il y a 4 heures - Le Medef fera-t-il la politique de la chaise vide pour la Conférence sociale des 7 et 8 juillet ? L'organisation patronale pose un ultimatum au ...Conférence sociale: le Medef menace de boycott - Le Figaro
www.lefigaro.fr/.../97002-20140630FILWWW00061-la-conference-soc...Il y a 2 heures - Le président du Medef, Pierre Gattaz, a menacé ce matin de boycotter la conférence sociale des 7-8 juillet, si l'organisation patronale ...Pénibilité. Le patron du Medef menace de boycotter la ...
www.letelegramme.fr/.../penibilite-le-patron-du-medef-menace-de-boyc...Il y a 3 heures - Pierre Gattaz, le président du Medef, menace de boycotter la Conférence sociale des 7 et 8 juillet, si l'organisation patronale n'obtient pas ...Pénibilité : le Medef menace de boycotter la conférence ...
www.usinenouvelle.com › SocialIl y a 43 minutes - VIDÉO Le 30 juin, sur Europe 1, le président du Medef Pierre Gattaz a brandi la menace d'un "éventuel boycott" de la conférence sociale des 7 ...
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