Le Sommet Européen ( ou
Conseil Européen) s’est achevé hier Vendredi 28 Juin, il s’était ouvert la
veille à YPRES(Belgique) par une cérémonie
qui réunissait les chefs d’Etat
et de gouvernement et les hauts
responsables de L’UE , pour célébrer
dans cette ville martyre de la Grande guerre de 1914-1918 le centenaire de la
Première guerre Mondiale. Cette cérémonie fût l’un des points fort de ce
sommet, elle fût suivi d’un dîner de
travail.
Hier vendredi 28 juin il y a eu d’abord en ouverture la signature des accords avec d'association avec la Géorgie, la
Moldavie, et l' l'Ukraine
-
Les travaux se sont poursuivie par l’adoption
d’une stratégie portant sur les priorités pour l’Europe dans les prochaines
années, durant le mandat de la prochaine Commission , et puis aussi une
décision se rapportant à d'autres questions, notamment le climat, la préparation
de la conférence qui se tiendra à Paris à la fin de l’année 2015 et les
choix qu’il conviendrait d’adopter pour protéger les frontières de l’Europe
dans le cadre d’une politique globale de l’immigration.
Enfin selon l’ordre du
jour de ce conseil est intervenue la désignation du futur Président de la
Commission Européenne, le Conseil a désigné Monsieur Jean-Claude Junker à la quasi unanimité.
Cette désignation sera
soumise Parlement européen dont le vote devrait intervenir VERS LE 15 Juillet.
Sa nomination doit désormais faire l'objet d'un vote au Parlement. Sauf
surprise, M. Juncker devrait y obtenir au moins les 376 voix sur 751
nécessaires à son élection. Un nouveau sommet des dirigeants européens aura
lieu le 16 juillet pour désigner les autres postes de commissaires européens.
Dans notre revue de Presse ci-dessous en fin d'éditorial, vous
trouverez ce Sommet largement relaté et
commenté dans des articles assortis de réactions provenant de la classe
politique française et européenne.
Pour notre part nous
notons les points politiques essentiels ou considérés comme tels de ce Conseil
d’abord en ce qui concerne l’Ukraine, nous remarquons que le Président de l’Ukraine
a été très entouré comme s’il s’agissait de la vedette politique du jou, r alors
que pour le moment son pays se trouve dans une situation périlleuse tant en ce
qui concerne la sécurité, que les finances ou l’économie. On a pu voir dans
les médias les photos de Monsieur Borochenko, Président
de l’Ukraine, épanoui et très entouré, photographié avec Monsieur Barroso, Monsieur Hollande, Madame
Merkell et d’autres responsables et dirigeant de l’UE , comme s’il était déjà
une éminence dans le sérail de l’UE,
ensuite nous notons le deuxième point fort , je veux parler de Jean-Claude Junker dont la désignation par
le Conseil n’est une surprise pour personne tant elle a été préparée et négociée dans la classe politique européenne depuis des
semaines, d epuis le 21
juin il avait reçu aussi le soutien des dirigeants sociaux-démocrates européens.
On prête à cet homme politique de 60 ans, présenté comme un vétéran de la construction européenne, une réputation d'homme de consensus., on
rappelle qu’il s’est posé comme médiateur
entre la France et l’Allemagne, notamment par référence aux anciennes
négociations de traité de Maestricht, et aux questions de crises
monétaires, mais des analystes font
remarquer qu’il a toujours ménagé les intérêts du Grand-Duché du Luxembourg pour protéger « le plus longtemps
possible ce secret bancaire et ce dumping fiscal qui ont fait la fortune de la
place financière luxembourgeoise
En décembre 2013 une
certaine affaire de service secrets, lui fait perdre son poste de Premier Ministre
du Luxembourg, mais qu’à cela ne tienne ,
son riche carnet d’adresses le conforte dans sa position d’homme politique européen à
ramifications internationale, et il
reste une personnalité incontournable
dans les réunions, et de plus les médias
disent que de lui-même il a capacité de se fondre dans tous les milieux.
Quelques rumeurs ou ragots circulent cependant dans
les médias, certains pétendent qu’il on « pique du nez » dans certaines longues réunions ou séances , , d’autres
disent qu’il consomme beaucoup de tabac et d’alcool, et il parait que son
successeur à L’Eurogroup , le
Néerlandais Jeroen Dijsselboem, s’est
moqué de lui à ce sujet dans une émission de « divertissement ».
Aux derniers ragots on raconte qu’il essaierait de se
mettre à la cigarette électronique, mais on ne précise pas s’il a l’intention
de boire de l’eau à la place de l’alcool.
On s’agace d’une
« forme particulière d’humour grinçant » qu’il cultiverait
envers ses interlocuteurs, et qui finit par irriter certains d’entre eux
surtout lorsque qu’un jour ses propos de
ses mots ont provoqué la chute de l’euro.
Poutant cette
forme d humour plaît aux journalistes qui y voient avec leurs œillères habituelles
le contraire de la langue de bois des
politiques et de l'eurocratie.
Jean-Claude Junker s’informe de tout et on dit de lui qu’il dévore tout ce qui
s'écrit, et connaît les ressorts de la
sphère médiatique. « Il voit tout, lit tout, sait tout », a confié
un de ses anciens collègue, et du fait il passe pour « un fan de la
presse ».
En ce qui concerne les rumeurs et
les ragots qui circulent à son sujet il a pour réputation de ne pas en tenir
compte, toutefois certaines accusations dans les médias britanniques visant le passé de son père pendant la
seconde guerre mondiale l’ont fait réagir.
Ci-dessous nous résumons brièvement sa biographie, sa formation et sa carrière
d’homme politique :
Date et lieu de naissance : 9 décembre 1954 à Redange-sur-Attert le 9 décembre 1954
Etudes : Jean-Claude Juncker a
effectué ses études secondaires auprès des pères du Sacré-Cœur à l'École
apostolique de Clairefontaine (commune d'Arlon) en Belgique avant de passer son
baccalauréat classique-littéraire au lycée Michel-Rodange à Luxembourg.
Titulaire d'une maîtrise en droit de
l'Université de Strasbourg en 1979, il est assermenté comme avocat en février
1980 – mais n’exercera jamais ce métier-.
Carrière politique
Membre du Parti populaire chrétien
social (CSV) depuis 1974, il en devient, en octobre 1979, le secrétaire parlementaire,
il en sera le président entre janvier 1990 et février 1995.
Entre temps en décembre 1982, il est nommé au Gouvernement Luxembourgeois comme secrétaire d'État au Travail et à la Sécurité
sociale.
En
Juin 1984 il est élu au Parlement Luxembourgeois et sera nommé ministre
du Travail et ministre délégué au Budget dans le premier gouvernement dirigé
par Jacques Santer, puis 5 ans plus tard, après les élections législatives de
juin 1989, ministre des Finances et ministre du Travail.
GOUVERNEUR DE LA BANQUE MONDIALE
Gouverneur de la Banque mondiale de
1989 à 1995, Jean-Claude Juncker assume depuis 1995 la responsabilité de
gouverneur du Fonds monétaire international et de gouverneur de la Banque
européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).
PREMIER MINISTRE
En 1995, La désignations du Premier
ministre Jaques Santer à la Présidence
de la Commission européenne et sa
confirmation dans cette fonction par le Parlement européen , conduit le Grand-duc Jean à nommer
Jean-Claude Juncker Premier ministre et ministre d’État le 20 janvier 1995 ?,
mais il continue à exercer les fonctions de ministre des Finances, ministre du
Travail et de l'Emploi et ministre du Trésor.
ECOFIN
Jean-Claude Juncker participe au
Conseil pour les affaires économiques et financières (ECOFIN), étant un des architectes clefs du traité de
Maastricht, et notamment de ce qui relevait de l'Union économique et monétaire.
Après les élections législatives de
juin 1999, remportées par le Parti populaire chrétien social, Jean-Claude
Juncker est reconduit à la tête du nouveau gouvernement composé de
représentants du PCS-CSV et du Parti démocratique, mettant ainsi fin à une
coalition gouvernementale de quinze ans entre le PCS-CSV et le Parti ouvrier
socialiste luxembourgeois. Jean-Claude Juncker garde également les
portefeuilles des Finances et des Communications.
En juin 2004, après la victoire de
son parti, qui, avec plus de 35 % des voix, remporte vingt-quatre des soixante
sièges aux élections législatives, et trois des six sièges aux élections
européennes, Jean-Claude Juncker refuse, malgré la pression de la majorité des
dirigeants européens, le poste de président de la Commission européenne.
EUROGROUP
Lors de la réunion de Scheveningen
du 10 septembre 2004, Jean-Claude Juncker est porté à la présidence de
l'Eurogroupe, pour un mandat de deux ans, à compter du 1er janvier 2005, en
devenant ainsi le premier président permanent.
Durant le premier semestre 2005, il
a dû faire face à la non-ratification du projet de Constitution européenne de
la part de la France et des Pays-Bas et fut
également en désaccord avec Tony
Blair, le Premier ministre britannique
de l’époque, concernant le budget
européen.
Il est reconduit dans ses fonctions
pour un nouveau mandat de deux ans, courant jusqu'au 31 décembre 2008.
À Bruxelles, il a été une nouvelle
fois reconduit le 18 janvier 2010 pour un nouveau mandat de deux ans et demi.
Début Juillet 2013, Jean-Claude Juncker annonce la
démission du gouvernement pour le 11 juillet 2013, à la suite d'un scandale
concernant les services de renseignements, accusés d'avoir constitué une véritable police
secrète et politique en fichant illégalement des centaines de milliers de
citoyens.
Son parti, le Parti populaire
chrétien social, reste la première formation politique du Parlement lors des
élections législatives de 2013, mais perd des voix par rapport à la précédente électioN;
Jean-Claude Juncker n'est pas
reconduit à son poste de Premier Ministre …il est remplacé par Xavier Bettel.
Début 2014, il est désigné candidat
du PPE (battant le Français Michel Barnier) afin de mener la liste du parti aux
élections européennes de 2014 et donc de briguer le poste de président de la
Commission européenne en cas de victoires.
Les dirigeants de l'Union européenne le
désignent, le 27 Juin 2014, pour prendre la présidence de la Commission
européenne en novembre 2014.
Ses prises de positions politiques sur
les questions de santé, de préservatifs, d’avortement,
et de mariage homosexuel :
Jean-Claude Junker s’était dit alarmé par les propos de Pape Benoit XVI,
concernant les réserves que le Papa avait formulées sur l’utilisation du préservatif
comme moyen de lutte contre la contamination par le SIDA
Sur l’avortement, il prend parole en 2009 devant le Parlement
Luxembourgeois, dans son discours il
déclare qu’il souhaite élargir souhaite élargir les possibilités pour avorter
au grand-duché , (rappelons que l’article 353 du Code Pénal du grand-duché affirme que l'avortement n'est pas punissable
si la santé physique ou psychique de la femme enceinte est en danger)
A
ce sujet le Premier Ministre Jean-Claude Junker prend parole en 2009 devant le Parlement
Luxembourgeois , il déclare dans son discours qu’il souhaite élargir les
possibilités pour avorter dans son pays
et souhaite que ce soit désormais
possible en cas « détresse d’ordre physique, psychique ou social, en expliquant
:.. « Presque tout le monde dit que
l’avortement doit rester l’exception. Nous avons besoin d’une meilleure
éducation sexuelle à l’école. Nous devons préparer les enseignants de manière
optimale à cette mission d’explication et d’information. Si on veut limiter au
maximum le recours à la solution extrême que constitue l’avortement, il faut
encourager des alternatives préventives. Aussi est-il logique que nous
proposions l’accès gratuit aux moyens de contraception pour les femmes jusqu’à l’âge
de 25 ans. La loi de 1978 prévoit une solution restrictive autorisant
l’avortement sous réserve de certaines indications. »
Jean Claude Junker soutient l’introduction du
mariage homosexuel au Luxembourg.
Le résumé ci-dessus est bien entendu
très bref, mais il donne déjà une petite idée sur la personnalité de
Jean-Claude Junker, que Monsieur David Cameron Premier Ministre britannique ne
souhaitait pas voir désigner comme
Président de la Commission Européenne, mais pour compléter vous trouverez en
Revue de Presse des articles très documentés, non seulement sur les raisons de sa désignation récente,
mais encore sur sa ligne politique, ses activités, et sa personnalité.
Et bien entendu sur les raisons pour
lesquelles David Cameron parle de lui comme de « la mauvaise Personne »
pour la Présidence de la Commission Européenne, alors que les autres dirigeants
l’ont désigné franchement pour certains, avec une certaine hypocrisie pour d’autres qui dans les jours précédents la runion du Conseil n'étaient pas très chauds et se sont finalement ralliés .
Le dirigeant Hongrois Victor Orban s'est lui aussi opposé à la désignation de Jean-Claude Junker.
Plusieurs dirigeants européens ont exprimé leur soutien ou leur ralliement à Monsieur Juncker, «
un homme politique expérimenté », selon la première ministre danoise, Helle
Thorning-Schmidt, le premier ministre suédois, Fredrick Reinfeldt, a
estimé quant à lui que c'était « une question d'équilibre entre institutions »,
avec d'un côté le Conseil européen, représentant les Etats, de l'autre le
Parlement, et qu'il ne s'agissait « pas d'une question de personne ». M.
Juncker « est la personne qui peut être éluet, a-t-il
ajouté.
Lors de son intervention devant les
dirigeants européens, M. Cameron a dénoncé le mode de nomination de Jean-Claude Juncker, en critiquant un « arrangement de
couloir » conclu par ses collègues
européens.
Dans un twett David Cameron a expliqué : « Je leur ai dit qu'ils regretteraient toute leur vie le nouveau
processus de nomination du président de la Commission. Je défendrai toujours les
intérêts britanniques ».
Pour la France la désignation de Jean-Claude était "une logique", voici ce que déclarait le Président de la République François Hollande, vendredi, dans propos préliminaires à sa conférence de presse au sujet de la désignation de Jean-Claude Junker :
script - Extrait :
"________________ c’est lors
de ce Conseil que Jean-Claude JUNCKER a été désigné comme président de la
Commission européenne à condition – et la condition est importante – que le
Parlement européen ratifie cette décision. Pour la France, c’était une logique,
ce n’était pas un choix de personne, ce n’était pas un candidat que nous
soutenions, Jean-Claude JUNCKER, c’était une logique, une logique qui avait
commencé dès les élections européennes et leur préparation. Il avait été
clairement indiqué que c’était le parti qui arriverait en tête qui pourrait
avoir au lendemain des élections européennes la capacité de désigner celui qui
avait été préalablement présenté comme possible candidat à la présidence de la
Commission européenne, en l’occurrence pour le Parti Populaire Européen,
Jean-Claude JUNCKER. Nous avons respecté la lettre et l’esprit des traités. Ce
n’est pas facile pour un certain nombre de membres du Conseil européen et je
peux les comprendre et nous avons vu combien la position de David CAMERON était
délicate mais dès lors qu’il y a des règles qui sont posées, et je ne les ai
pas inventées, ces règles, elles viennent du Traité de Lisbonne, 2008, et que
chacun les avait bien en tête, eh bien, le processus doit aller jusqu’à son
terme et c’est le Parlement européen qui validera ou ne validera pas le choix
qui a été fait au Conseil européen. Un vote a eu lieu, et ça a été unanime sauf
deux pays, qui n’ont pas fait ce choix, le Royaume Uni et la Hongrie.
Mais pour nous, pour moi,
l’essentiel, c’était les orientations, c'est-à-dire le mandat qui par les chefs
d’Etat et de gouvernement, allait être confié à la future Commission
européenne. Les cinq priorités qui ont été retenues, correspondent et à ce que
nous avions souhaité, nous la France mais également un certain nombre de chefs
de gouvernement qui ont une sensibilité, celle de la social-démocratie.
extrait en script :
.......
Mais je veux revenir
d’abord sur l’Ukraine parce que depuis ce que nous avons fait avec Angela
MERKEL à Bénouville en Normandie, c’est-à-dire la réunion entre le président
POUTINE et le président/ POROCHENKO, la Chancelière et le président français,
il y a eu incontestablement des progrès, progrès trop faibles mais des progrès
que ce soit sur l’annonce d’un cessez-le-feu – ce fut la courageuse décision du
président POROCHENKO –, que ce soit l’annonce par Vladimir POUTINE de
renonciation d’une autorisation qui lui permettait de faire intervenir les
Russes éventuellement en Ukraine, que ce soit la libération d’un certain nombre
de personnes qui étaient retenues. Ça, c’est les progrès.
Je n’oublie pas une
première amorce de dialogue politique mais il y a encore des processus
extrêmement dangereux et qui n’ont pas cessé, des personnes qui sont encore
retenues, des postes-frontières qui ont été pris d’assaut par les séparatistes
et des manquements au cessez-le-feu ; il y a encore quelques jours, un
hélicoptère ukrainien a été abattu avec plusieurs morts. Donc j’ai souhaité
avec la Chancelière qu’il y ait une réunion avec le président POROCHENKO avant
que nous n’ayons à prendre de nouvelles décisions. Le Conseil européen a adopté
un texte qui prévoit que si quatre points ne sont pas respectés d’ici 72
heures, puisque le président POROCHENKO a accepté de prolonger le
cessez-le-feu, alors, des décisions devront être prises.
Ces points sont les
suivants : contrôle vérifié de la frontière entre l’Ukraine et la Russie ;
retour le plus vite possible aux autorités ukrainiennes des postes-frontières ;
libération de toutes les personnes retenues notamment celles qui relèvent de
l’OSCE et précisément chargées de faire les vérifications. On doit ajouter à ces
points des négociations qui doivent suivre le plan de paix. J’aurai avec
toujours la Chancelière des discussions dimanche au téléphone avec le président
POUTINE et le président POROCHENKO. Vous savez que nous avons déjà tenu au
moins deux conférences de cette nature avec la Chancelière. C’est la suite du
processus que nous avions ouvert en Normandie.
C’est important que
nous puissions agir, France et Allemagne unies, et que nous puissions faire que
le dialogue puisse être non pas encadré mais accompagné, dialogue entre le
président ukrainien et le président russe mais je le dis si – c’est le sens de
la décision du Conseil – s’il n’y avait aucun progrès sur les trois points que
je viens d’évoquer, le Conseil des ministres des Affaires étrangères aurait à prendre
des décisions conformément à ce qui a déjà été adopté. Par ailleurs, si la
crise devait se poursuivre et s’il y avait des éléments qui appelaient à ce
moment là à d’autres mesures, elles seront également adoptées mais nous n’en
sommes pas là et nous ne voulons pas en arriver là.
Je veux féliciter le
Conseil unanimement qui a adopté cette position parce que ce n’est pas facile,
parce que chacun sait qu’il y a des sensibilités différentes mais là, compte
tenu du processus que nous avons engagé, la Chancelière et moi-même, nous
pouvions donner une garantie que c’étaient les bons points qui devaient être
obtenus de la partie russe et que c’était de bonnes conditions qui étaient
posées, c’est-à-dire qu’il était possible de les atteindre. 72 heures, c’est
peu mais j’ai senti que le président POROCHENKO ne pourrait pas aller plus loin
s’il n’y avait pas une réponse du côté de Vladimir POUTINE et surtout des
séparatistes.
fin de l'extrait
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Conférence de Presse de François Hollande :
_propos préliminaires et réponses aux questions _:
_propos préliminaires et réponses aux questions _:
88888888888888888888888888888888888888888888888//
_
___________________
note : ci-dessous voir cet article qui contient une vidéo relatant les conditions de la désignation de JC-Junker
EUROPE - Jean-Claude Juncker désigné président de la ...
www.france24.com/.../20140627-jean-claude-juncker-president-comissi...
Il y a 1 jour - Les dirigeants européens ont désigné Jean-Claude Juncker comme candidat à ... s'y est opposé, ainsi que le sulfureux hongrois Victor Orban.
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CAMERON CRITIQUE JUSQU'AU BOUT
·
Cameron livre jusqu'au bout bataille
contre Juncker
David Cameron a affiché vendredi sa détermination à livrer jusqu'au bout
une bataille perdue contre Jean-Claude Juncker, dénoncé comme la "mauvaise
personne" pour diriger la Commission européenne.
_______________________________________________________
Lire l'analyse : Le combat perdu de David Cameron contre Jean-Claude Juncker
------------------------------------------/
Lire son portrait : Jean-Claude Juncker, le revenant
8888888888888888888888888888888888888888888888888888888888888
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Conseil européen du 26 et 27 juin 2014 - RPUE ...
www.rpfrance.eu › Salle de presse
Conseil européen du 26 et 27 juin 2014. Publié le 27 juin 2014. Email this article Email. Imprimer; Texte. - Interview du président de la République à Ypres, ...Conseil européen - Réunions du Conseil européen
www.european-council.europa.eu/council-meetings?lang=fr
19. Conseil européen. 19/03/2015 - 20/03/2015. Bruxelles. juin 2015. juin. 25. Conseil européen. 25/06/2015 - 26/06/2015. Bruxelles. Réunions antérieures ...Débat préalable à la réunion du Conseil européen des 26 et ...
www.rdse-senat.fr/rdse_41.html&typeid=3&soustypeid=37&sessiondate...
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www.senat.fr › Travaux parlementaires › La fonction de contrôle
Avant chaque réunion du Conseil européen des chefs d'État ou de gouvernement de l'Union ... Débat préalable au Conseil européen des 26 et 27 juin.
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