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26 septembre 2014

REVUE DE PRESSE EUROPEENNE DU 25 SEPTEMBRE 2O14

Éditorial de lucienne magalie pons




C’est toujours avec un certain  recul  donc un certain retard  que les médias européens, notamment  allemand, italien, suédois, espagnol, relatent les conflits en cours dans le Proche et Moyen-Orient, dans lesquels cependant  certains de leur pays  sont  engagés, il est vrai moins que la France.

Ils sont plus rapides à relater les questions qui intéressent l’Union Européenne, l’orientation politique, financière et économique des pays de l’UE , mais   en matière de conflit ils  se focalisent  de préférence   sur la crise  Ukrainienne et les menaces de sanctions contre la Russie. 

C’est  ce que vous propose de découvrir ci-dessous en prenant connaissance de la Revue de Presse européenne du 25 septembre 2014 , de Source Euro:/Topics



Revue de presse européenne du 25/09/2014

À LA UNE
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Un touriste français assassiné par des djihadistes
Le touriste français qui avait été kidnappé par des terroristes islamistes en Algérie est mort. Une vidéo de sa décapitation a été publiée mercredi sur Internet. Ses ravisseurs avaient précédemment lancé un ultimatum à Paris, en exigeant la fin de l'intervention militaire française contre l'EI. Pour les commentateurs, l'engagement militaire contre l'EI, bien que contraire au droit international, s'avère justifié. Ils appellent la France à ne pas se laisser intimider.

Libération - France
La France ne doit pas céder au chantage
Après la décapitation du touriste français Hervé Gourdel par un groupe terroriste algérien affilié à l'EI, la France ne doit pas se laisser intimider, écrit le quotidien de centre-gauche Libération : "Hervé Gourdel, qui aimait les sommets, est mort en raison d'une guerre qui lui était totalement étrangère. Il était à l'image des Français, qui prennent brutalement conscience des risques qu'ils encourent pour s'opposer au fanatisme islamiste. Certains diront que tout cela était précipité, que nous nous sommes engagés dans ces opérations sans être directement concernés. ... Douter maintenant, c'est justifier la tactique des barbares. Fléchir au milieu du drame, c'est troquer l'intelligence pour la faiblesse. La juste horreur devant le crime ne doit pas conduire à la peur irraisonnée. La France peut-elle s'abstraire des tragédies du monde ? On sait bien que non." (25.09.2014)

» page d'accueil (Libération)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Crises / Guerres, » Mondial, » Afrique du Nord
Tous les textes disponibles de » Laurent Joffrin
Suivre les débats » Une vaste coalition contre l’EI
Die Zeit - Allemagne
Obama occulte le droit international - à bon escient
Le président américain Barack Obama a annoncé mercredi devant l'Assemblée générale de l'ONU la poursuite des frappes contre des positions de l'EI en Irak et en Syrie. Il a appelé la communauté internationale à se joindre à ce combat. Bien que les raids aériens d'Obama ne se conforment guère au droit international, ils s'avèrent justifiés, écrit l'hebdomadaire libéral Die Zeit : "Il est évident qu'on ne peut comparer un autocrate qui annexe des territoires étrangers par le biais de séparatistes pilotés à distance à un chef d'Etat élu démocratiquement qui, après avoir longtemps hésité, ordonne des raids aériens. … On ne peut dégager une règle générale de ce qui a commencé en Syrie ; les frappes aériennes d'Obama ne découlent du droit international. … Oui, il a passé outre le droit, mais pour une bonne cause, ou du moins pour une cause juste : pour arrêter, ou tout au moins freiner, le triomphe des djihadistes, et, espérons-le, pour mettre bientôt un terme à la catastrophe humaine et morale de la guerre civile syrienne." (25.09.2014)

» page d'accueil (Die Zeit)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Crises / Guerres, » Terrorisme, » Armée, » USA, » Iraq, » Syrie
Tous les textes disponibles de » Heinrich Wefing
Suivre les débats » Une vaste coalition contre l’EI

Sydsvenskan - Suède
On ne peut escompter une action de l'ONU contre l'EI
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté mercredi une résolution qui engage tous les pays à prévenir le départ de terroristes potentiels vers des zones de conflit. Une nouvelle preuve de l'impuissance de l'ONU, selon le quotidien libéral Sydsvenskan : "Quand son rôle s'avère primordial, l'ONU se retrouve trop souvent paralysée par les contradictions politiques. Ce n'est donc pas elle qui mène aujourd'hui l'intervention militaire contre le fléau de l'EI. … Ce sont les Etats-Unis. Quand la barbarie gagne du terrain et que les génocides couvent, on s'en remet comme d'habitude aux Etats-Unis et à leur force militaire plutôt qu'à l'ONU. … L'ONU ne peut être meilleure que ses Etats membres. Voilà l'excuse souvent avancée pour justifier les espoirs régulièrement déçus que l'on place en elle. Il semble malheureusement que l'ONU telle qu'elle a été pensée ne peut fonctionner que dans un autre monde ; un monde meilleur, exempt de conflits graves et de guerres." (25.09.2014)


La Vanguardia - Espagne
Une guerre qui sera longue et intensive
L'Occident doit se préparer à une guerre longue au Proche-Orient, avec la probabilité d'un engagement terrestre, redoute le quotidien conservateur La Vanguardia : "Tout le monde est d'accord pour dire qu'une offensive aérienne ne suffira pas pour proscrire le péril terroriste. L'expérience de la guerre en Afghanistan le montre très clairement. Et pourtant, Obama a rejeté à plusieurs reprises l'intervention de troupes terrestres, y compris l'envoi de conseillers militaires. … Tandis que l'Etat islamique et Khorasan, un nouveau groupe proche d'Al-Qaida, ont proféré la menace d'étendre le conflit, un groupe djihadiste algérien a kidnappé et décapité un Français, en réaction à l'intervention française en Irak. Tous ces éléments indiquent qu'il faut se préparer à une guerre longue et intensive." (25.09.2014)


POLITIQUE
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Salzburger Nachrichten - Autriche
Ukraine, vers un conflit gelé
Les parties au conflit en Ukraine ont décidé ce week-end de mettre en place une zone tampon d'une largeur de 30 kilomètres tout au long du front. A cet effet, l'évacuation de la zone a déjà commencé. Le journal chrétien-conservateur Salzburger Nachrichten ne croit pas à une paix durable mais prévoit un long conflit gelé : "Sur les plans économique et politique, l'Ukraine connaît de graves turbulences. … Ni une zone tampon, ni le retrait de soldats réguliers de part et d'autre ne peuvent y changer quoi que ce soit. En effet, ce sont les séparatistes soutenus par Moscou qui devraient se retirer, dont la majorité ne provient même pas de la région, ce qui explique qu'ils ne se soucient guère du sort des populations locales. Les populations d'Ukraine orientale sont fort probablement soulagées que les tirs aient cessé, mais elles ne souhaitent probablement pas non plus un scénario transnistrien. En plus du chômage, la criminalité et l'arbitraire y sont rois. Si le conflit en Ukraine orientale est maintenant gelé, cette partie de l'Ukraine suivra probablement la même pente." (24.09.2014)

» article intégral (lien externe, allemand)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Crises / Guerres, » Economie, » Ukraine, » Russie, » Europe orientale
Tous les textes disponibles de » Susanne Scholl
Suivre les débats » L'autonomie pour l'Ukraine orientale ?

Il Sole 24 Ore - Italie
Bien questionner la nouvelle Commission
La nouvelle Commission européenne se soumettra lundi aux questions du Parlement européen. Ce sera l'occasion de répondre à deux interrogations délicates, écrit le journal économique libéral Il Sole 24 Ore : "La première concerne le droit de veto accordé aux sept vice-présidents, censé pouvoir freiner les initiatives des commissaires placés sous leur supervision. S'agit-il ici d'une véritable restriction des compétences des commissaires, ou bien d'un faux-semblant ? … La seconde question sensible concerne le programme conjoncturel de 300 milliards annoncé par [le nouveau président de la Commission] Jean-Claude Juncker en juillet devant le Parlement. S'agit-il d'une nouvelle manne financière, ou de moyens extraits de fonds déjà existants, issus de la BEI [Banque européenne d'investissement] et du budget européen ? De fonds privés ou publics ? Dans la seconde hypothèse, d'où viendront-ils, dans une Europe où les budgets nationaux sont taillés au cordeau, et où les pays qui en ont les moyens, comme l'Allemagne, refuseront d'investir leur argent dans des projets européens ?" (25.09.2014)

» page d'accueil (Il Sole 24 Ore)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Européenne, » Europe
Tous les textes disponibles de » Adriana Cerretelli

Galamus - Hongrie
Une nouvelle politique étrangère pour la Hongrie
La Hongrie a un nouveau ministre des Affaires étrangères. Péter Szijjártó vient officiellement de prendre la succession de Tibor Navracsics, qui ralliera la Commission européenne. C'est l'amorce d'une nouvelle politique extérieure hongroise, estime l'essayiste Tamás Bauer sur le portail de gauche Galamus : "Le ministre des Affaires étrangères du deuxième gouvernement Orbán (2010-2014), János Martonyi, était un partisan de l'intégration de la Hongrie aux instances euro-atlantiques. Martonyi évoquait constamment une politique extérieure 'axée sur les valeurs', et il se référait aux valeurs de l'ordre démocratique occidental. … Orbán entend désormais mener une politique étrangère qui n'est plus guidée par les valeurs, mais par les intérêts économiques. La future politique de Szijjártó reposera sur deux axes : elle ciblera les démocraties occidentales d'un côté, les régimes autoritaires orientaux de l'autre." (23.09.2014)

» article intégral (lien externe, hongrois)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Relations Internationales, » Hongrie, » Europe orientale
Tous les textes disponibles de » Tamás Bauer

Ilkka - Finlande
Népotisme politique en Finlande ?
Après le départ des verts de la coalition gouvernementale en Finlande, le Premier ministre conservateur a nommé son ancienne attachée de presse, Sanni Grahn-Laasonen, au poste de nouvelle ministre de l'Ecologie. Le quotidien libéral Ilkka flaire le népotisme : "Il semblerait que plus on est proche du chef du parti, plus il est facile de gravir les échelons politiques. A l'heure des nominations, on n'oublie pas ses camarades. En l'espace de quelques mois, la ministre ne pourra accomplir grand-chose au ministère de l'Ecologie, ni heureusement y faire trop de dégâts. La notoriété qu'elle peut acquérir à ce poste l'aidera pour les élections [dans six mois]. … Stubb aurait pu rendre ce service à quelqu'un d'autre qu'à son ancienne attachée de presse." (25.09.2014)

» article intégral (lien externe, finnois)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Politique Intérieure, » Élections, » Finlande

RÉFLEXIONS
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Financial Times - Royaume-Uni
Les sunnites, victimes oubliées du Proche-Orient, par Roula Khalaf
Si les attaques des djihadistes de l'EI contre les Kurdes, les yézidis et les chrétiens en Syrie et en Irak sont à l'origine des frappes aériennes américaines, il ne faut pas oublier que ce sont les sunnites qui souffrent le plus dans la région, rappelle la chroniqueuse Roula Khalaf dans le quotidien libéral Financial Times : "Alors que nous nous réjouissons de la protection des minorités et de ce qui subsiste du tissu multiculturel du Proche-Orient, nous perdons souvent de vue la majorité. … La majorité arabe à laquelle je fais référence, c'est la majorité sunnite, et la vérité, c'est que les membres de cette branche de l'islam ont souffert plus que d'autres ces dernières années. Il suffit de regarder la Syrie, où un régime brutal, issu d'une minorité, s'emploie depuis plus de trois ans à réprimer dans le sang une rébellion majoritairement sunnite. En Irak, où les sunnites sont peut-être moins nombreux que les chiites, ils se sont néanmoins vus marginalisés et spoliés depuis le démantèlement du régime baasiste en 2003. De nombreux Syriens ont observé les frappes aériennes américaines de cette semaine avec effarement, car aucun Américain ne s'était précipité pour les sauver des armes chimiques et des bombes à sous-munition employées par le régime d'Assad." (24.09.2014)


ÉCONOMIE
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De Telegraaf - Pays-Bas
Les pilotes gâtés d'Air France
Après dix jours de grève, la compagnie Air France a annoncé mercredi qu'elle suspendait provisoirement le développement de sa filiale low-cost Transavia. Or de nouvelles grèves sont prévues d'ici vendredi. Le quotidien conservateur De Telegraaf fait part de son mécontentement : "Les pilotes refusent d'accepter des réductions salariales, dont le but affiché est de donner la possibilité à la filiale Transavia de concurrencer les compagnies low cost Ryanair et Easyjet, en pleine expansion. Sans aucun scrupule, ces pilotes gâtés infligent des pertes quotidiennes de 20 millions d'euros à la compagnie et nuisent par la même occasion à son partenaire, [la compagnie néerlandaise] KLM. … Et comme si cela ne suffisait pas, Air France a décidé de lâcher du lest aux grévistes. Cela en dit long sur les errements de la compagnie. Mais c'est aussi symptomatique d'une France qui reste dominée par des syndicats de gauche. Un pays qui continue de s'endetter et qui refuse de comprendre qu'il faut procéder à une réforme drastique du marché du travail pour pouvoir rester compétitif." (25.09.2014)

» page d'accueil (De Telegraaf)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Entreprises, » France, » Pays-Bas

Kathimerini - Grèce
Grèce : la patience est de mise
Le Premier ministre grec, Antonis Samaras, a laissé entrevoir lors de sa visite à Berlin mardi la fin prochaine de la récession. Le pays sort de la crise et n'a pas besoin de nouveaux programmes financiers, a-t-il déclaré lors de sa rencontre avec la chancelière Angela Merkel. Il faudra que tous les participants fassent preuve de patience pour que le calcul de Samaras se vérifie, affirme le quotidien conservateur Kathimerini : "Ce ne sera pas une mince affaire. Les ministres, qui n'ont rien fait jusqu'à aujourd'hui, sont tenus de mettre enfin en œuvre les obligations du pays. Le Parlement devra prendre des décisions difficiles, davantage liées à des réformes qu'à de nouvelles coupes. Il ne faut pas oublier que nous avons devant nous la perspective d'une nouvelle ère. Flegme et fermeté sont de rigueur pour retrouver la voie de la normalité. Les membres du gouvernement doivent s'abstenir de tenir des propos alarmistes ou grandiloquents." (24.09.2014)


Polityka Online - Pologne
Les mines polonaises, responsables de leur déclin
Mercredi, à la frontière avec la région russe de Kaliningrad, des mineurs polonais ont bloqué des transports de charbon russe, auxquels ils imputent une part de responsabilité dans la situation difficile du secteur minier. Pourtant, ce dernier est l'artisan de son malheur, rappelle le portail de centre-gauche Polityka Online : "Cette industrie se nuit à elle-même. On y trouve encore des contrats dans lesquels la part du travail à proprement parler correspond à 30 à 40 pour cent du salaire seulement [le reste étant des primes et des avantages financiers]. Ces privilèges sont des vestiges de l'ère communiste que l'on ne parvient pas à éradiquer. … Ils n'existent nulle part ailleurs, dans aucun autre métier et dans aucun autre groupe de la société. Ce secteur vit encore dans le passé, coupé des réalités économiques." (25.09.2014)

» article intégral (lien externe, polonais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse » Énergie, » Economie, » Pologne, » Russie, » Europe, » Europe orientale
Tous les textes disponibles de » Jan Dziadul

Lietuvos rytas - Lituanie
L'abattage rituel crée de nouveaux débouchés pour la Lituanie
Le Parlement lituanien a adopté mardi des amendements qui autoriseront à partir de l'année prochaine l'abattage rituel d'animaux, sans anesthésie préalable. Le quotidien libéral Lietuvos rytas salue cette décision : "Il ne fait aucun doute que l'embargo russe sur les produits alimentaires en provenance de l'UE a influencé la décision des politiques. Les paysans lituaniens placent de grands espoirs dans les marchés des pays musulmans : ils espèrent que la légalisation de l'abattage rituel pourra compenser au moins une partie des pertes entraînées par le boycott de Moscou. … Le gouvernement du pays doit aider une agriculture en difficulté, avant tout en supprimant tout ce qui peut faire obstacle à l'exportation. La légalisation de l'abattage rituel est un pas significatif dans ce sens, car il pourra ouvrir des portes vers les marchés musulmans, mais aussi vers le marché israélien." (25.09.2014)


Jutarnji List - Croatie
Les Croates méfiants envers les emprunts d'Etat
Le gouvernement croate prévoit d'émettre de nouveaux emprunts d'Etat, d'après des informations qui ont filtré du ministère des Finances. Le quotidien libéral Jutarnji List se demande qui voudra bien les acheter : "L'émission d'obligations en Croatie est un jeu très spéculatif, car on ne s'attend pas à ce que l'Etat en augmente un tant soit peu la valeur un jour. Pendant ce temps, le génie économique chinois Jack Ma a su mobiliser les investisseurs pour rassembler à la Bourse de New York 25 milliards de dollars pour son entreprise Alibaba. Pour les convaincre, il a dû leur promettre monts et merveilles, et prouver qu'il pouvait tenir ses promesses. Le gouvernement croate, pour sa part, compte sur le patriotisme de ses citoyens, car il est incapable de tenir des promesses de nature économique. Le désastre est prévu d'avance, car les Croates préféreront investir dans Alibaba que dans l'Etat." (25.09.2014)


SOCIÉTÉ
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24 Chasa - Bulgarie
Clientélisme rural en Bulgarie
L'engagement de 'gardiens de villages' financés par l'Etat, entrepris en mars par le gouvernement socialiste qui a démissionné depuis, avait vocation à réduire la criminalité galopante dans les campagnes et à créer 5.000 nouveaux emplois. Le quotidien 24 Chasa en dresse un bilan assez décevant : "Les villageois se plaignent de ce que les gardes publics se tournent les pouces à longueur de journée. … De plus, pour décrocher un de ces emplois mal rémunérés, il faut montrer patte blanche, à savoir sa carte du parti. Le but de la mesure n'était donc pas de protéger la propriété des villageois mais bien de récompenser les militants du parti. Ceci montre une fois de plus que la création d'emplois subventionnés par l'Etat a un effet quasi nul. Bien que le dispositif ait déjà coûté plus de 17 millions de levas [près de neuf millions d'euros], la situation des populations villageoises n'a pas changé d'un iota en termes d'emploi et de sécurité." (24.09.2014)


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La revue de presse européenne est une offre du Centre Fédéral pour l'Éducation Politique (Bundeszentrale für politische Bildung/bpb). Elle est élaborée par n-ost Réseau pour l'Information sur l'Europe de l'Est. Elle ne représente pas l'opinion du Centre Fédéral pour l'Éducation Politique. L'intégration des liens hypertextes à la revue de presse ne signifie pas que le Centre Fédéral pour l'Éducation Politique soit d'accord avec les idées manifestées sur ces sites web.



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