Pharmaciens, huissiers,
notaires, médecins... les professions libérales sont appelées à garder portes closes mardi,
pour une journée de grève qui s'annonce particulièrement suivie, en riposte au
projet gouvernemental de réforme des professions réglementées.
"La base est très
mobilisée dans toutes les professions libérales", affirme Chirine Mercier,
déléguée générale de l'UNAPL.
L'Union nationale des
professions libérales (UNAPL), qui a appelé à une "journée sans
professionnels libéraux", s'attend une participation "très
forte".
En cause, le projet de loi "pour la
croissance" annoncé début juillet par le gouvernement, qui inclut un volet
sur les professions réglementées et remet en question leurs monopoles et leur
tarifs.
Des rassemblements sont
prévus dans toute la France à l'initiative des syndicats, l'UNAPL, a diffusé une liste ( non exhaustive de vingt villes,) dont Paris, Bordeaux, Marseille, Montpellier,
Nantes ou encore Toulouse.
A Paris, plusieurs
organisations de professionnels de santé (pharmaciens, biologistes et médecins )
appellent à un regroupement devant le Sénat
à 12H30 avant de rejoindre le ministère de l'Economie.
Après les
manifestations des notaires et des huissiers à Paris à la mi-septembre, les
pharmaciens seront cette fois-ci à la pointe de la mobilisation, avec un taux
de fermeture des officines avoisinant 90% en moyenne.
Toutefois des pharmacies de garde, réquisitionnées pour
assurer la permanence des soins, seront ouvertes
toute la journée.,. ( Chaque Agence régionale de santé a mis en ligne une liste
des officines de garde pour la journée de mardi.)
La Confédération des syndicats médicaux
français (CSMF, majoritaire) conseille aux praticiens de "s'adapter
en fonction de la situation locale" et des cabinets médicaux resteront
parfois ouverts pour quelques heures.
Les greffiers des tribunaux de commerce ou les
administrateurs et mandataires judiciaires, privés de droit de grève,
manifesteront leurs inquiétudes auprès de leurs publics respectifs.
Parmi les mesures qui
inquiètent ces professionnels, certaines font l'unanimité contre elles, notamment l'ouverture du capital des sociétés d'exercice
libéral (SEL) à des non-professionnels, un projet qualifié
d'"inacceptable" par Michel Chassang, président de l'UNAPL.
Ce projet de loi fondé en partie sur un rapport de
l'Inspection générale des finances (IGF), gardé secret depuis mars 2013 et publié
la semaine dernière, a relancé la
contestation des professions visées.
Rappelons que le rapport de l’IGF vise le fonctionnement de pas
moins de 37 professions dites réglementées, en plus de leurs
réactions inhérentes à la défense de l’exercice de leur activité, les
représentants des professions libérales (qui ont appelé leur affiliés à fermer
les portes de leurs officines ou de leurs cabinets ce mardi 30 septembre) veulent aussi connaître les suites que le Gouvernement
entend donner au rapport de l’IGF ;
En effet tout baigne
encore dans un certain flou artistique pour ainsi dire, sauf que les représentants
des professions libérales savent déjà que le monde finance pourra exercer dans leur secteur d’activité en créant des
sociétés d’exercice libéral dans
lesquelles ils regrouperont des salariés, médecins par exemple…
Rappelons que dans son
rapport l’IGF préconise plutôt qu’elle ne propose (tout dépend de la lecture)
d’abolir le monopole des pharmaciens sur la distribution des médicaments à prescription facultative, comme l’aspirine
par exemple, ce qui aboutirait à une possible libéralisation du marché des
médicaments sans ordonnance, ce qui provoque aussi l’inquiétude des
pharmaciens.
De son côté la ministre
de la santé, Marisol Touraine, a expliqué vendredi 26 septembre sur RMC qu’elle
n’était « pas favorable à la vente de médicaments dans les grandes surfaces »,
mais en revanche elle juge « utile »
que « l’on regarde s’il y a des produits qui ont besoin encore aujourd’hui
d’être appelés médicaments ».
Rappelons aussi qu’en 2013
l’autorité de la concurrence s’était déjà à l’époque prononcée en faveur de la libéralisation du marché des
médicaments sans ordonnances.
Notre avis :
- En ce qui nous regarde nous sommes contre la
libéralisation du marchédes médicaments sans ordonnances, en effet même
l’aspirine, si l’on retient ce seul exemple, comporte de nombreuses
contre-indications qui en cas de prise sans prescription médicale peut s’avérer
extrêmement dangereuse, c’est pourquoi les pharmaciens lorsqu’ils vendent ce
genre de médicaments sans ordonnance, le plus souvent mettent en garde les
patients en les informant des contre indications.
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Suite de notre éditorial:
Face à la fronde des
professions concernées, Emmanuel Macron,, ministre de l’économie, de
l’industrie et du numérique , a repoussé la réforme à 2015 et assuré qu'elle serait
limitée à de "petits déblocages". (sic !)
Mi septembre il avait déclaré
dans un souci d’apaisement on s’en
doute : …."On ne va pas résoudre les problèmes des Français en
sacrifiant les notaires ou les pharmaciens. Il ne faut pas raconter
d'histoires. Je ne vais pas dire qu'on rendra 6 milliards de pouvoir d'achat
aux Français, ce n'est pas vrai, c'est une illusion"..
"Des paroles
incontestablement apaisantes" ,, avait alors estimé Monsieur Chassang , le
Président de l’UNAPL, qui depuis a changé d’avis , en effet il estime
maintenant que le gouvernement
"n'a donné aucun signe d'ouverture et persiste à vouloir maintenir une
réforme absurde".
"Si aucun signe
positif n'est adressé aux professionnels libéraux, d'autres actions seront
annoncées demain" ( ce mardi), a-t-il
prévenu en forme d'ultimatum à
Emmanuel Macron le Ministre de .., en
annonçant qu’une nouvelle conférence de presse est d’ores et déjà programmée à
15 h 00 ce mardi
ooOoo
La réforme envisagée
portant sur la déréglementation des professions libérales soulève des réactions
différentes de la part des professionnels libéraux visés par le rapport de l’Inspection générale
des finances, selon leur fonctionnement
et leur branche d’activités ,
cette journée de mobilisation
commune rassemblera donc aussi
bien des médecins généralistes, des médecins
spécialistes, des dentistes, des
chirurgiens dentistes, des biologistes médicaux, des ophtalmologues, des masseurs-kinésithérapeutes-rééducateurs
, des pharmaciens, des dentistes, etc… qui fermeront leurs cabinets, officines et
bureaux , mais dont les
revendications ne seront cependant pas
toutes les mêmes.
Plusieurs
autres professions réglementées sont concernées, notamment les huissiers, les
administrateurs et les mandataires judiciaires, les greffiers des
tribunaux de commerces, les
commissaires-priseurs.
Certains de
ces professionnel n’ont pas le droit de faire grève, ce sont les huissiers, les
administrateurs et les mandataires judiciaires, et les greffiers des tribunaux
de commerces..
Mais tous
s’associent à cette journée de protestation.
Exception à
la règle, les avocats concernés par la réforme envisagée par le gouvernement, aborderont cette journée de mobilisation en
ordre dispersé, en effet bien que le Conseil national des barreaux ait appelé à
la grève, l’ordre des avocats de Paris et le Syndicat des avocats de France
(SAF) ont appelé à ne pas la suivre au motif la réforme ne toucheraient pas leurs conditions de rémunération.
Les médias
développent dans leurs articles les réactions
des représentants des professions libérales concernées par le projet de
réforme, mais ils insistent plus particulièrement comme vous le verrez en revue de presse sur celles de l’Ordre des pharmaciens, et celles des représentants des
professionnels de santé.
Toutefois nous
résumons brièvement, ci-dessous, non
seulement les réactions des pharmaciens et des professionnels de santé, mai
aussi la position des représentants des
autres branches d’activités libérales :
Le Centre
national des .professions libérales de santé a fait paraître un communiqué met
en garde sur les réformes envisagées en
écrivant notamment : « Si la réforme envisagée par le ministre de l’économie,
de l’industrie et du numérique supprimait la réglementation instaurée par
l’Etat, un véritable séisme secouerait le système de santé et remettrait en
question la sécurité sanitaire dans notre pays »
Les Pharmaciens
Les
pharmaciens s’inquiètent de la possible ouverture du capital des sociétés
d’exercice libéral (SEL) et de l’arrivée d’actionnaires non pharmaciens dans
leurs officines, ils redoutent l’entrée de groupes financiers qui mettrait en
péril leur vocation de service public.
Leur Ordre, rappelle
notamment que .. « le pharmacien doit être propriétaire de l’officine dont il
est titulaire » et qu’ « il ne peut être
exploitant que d’une seule officine car il est tenu à une obligation d’exercice
personnel ».
Rappelons
que dans son rapport l’IGF préconise plutôt qu’elle ne propose (tout dépend de
la lecture) d’abolir le monopole des pharmaciens sur la distribution des
médicaments à prescription facultative,
comme l’aspirine par exemple, ce qui aboutirait à une possible libéralisation
du marché des médicaments sans ordonnance, ce qui provoque aussi l’inquiétude
des pharmaciens.
De son côté
la ministre de la santé, Marisol Touraine, a expliqué vendredi 26 septembre sur
RMC qu’elle n’était « pas favorable à la vente de médicaments dans les grandes
surfaces », mais en revanche elle juge « « utile » que « l’on regarde
s’il y a des produits qui ont besoin encore aujourd’hui d’être appelés
médicaments ».
Rappelons
aussi qu’en 2013 l’autorité de la
concurrence s’était déjà à l’époque prononcée
en faveur de la libéralisation du marché des médicaments sans ordonnances.
___
notre avis :
notre avis :
En ce qui nous regarde nous sommes contre la
libéralisation du marché des médicaments sans ordonnances, en effet même l’aspirine,
si l’on retient ce seul exemple, comporte de nombreuses contre-indications qui
en cas de prise sans prescription médicale peut s’avérer extrêmement
dangereuse, c’est pourquoi les pharmaciens lorsqu’ils vendent ce genre de
médicaments sans ordonnance, le plus souvent mettent en garde les patients en
les informant des contre indications.
Imaginez une personne hémophile qui ignore sa maladie et qui avale 4 à 6 comprimés par jour pour calmer un mal de tête ou des douleurs ... Bonjour les dégâts ..!
____________________/
- suite de notre éditorial :
Imaginez une personne hémophile qui ignore sa maladie et qui avale 4 à 6 comprimés par jour pour calmer un mal de tête ou des douleurs ... Bonjour les dégâts ..!
____________________/
- suite de notre éditorial :
Les médecins généralistes et spécialistes :
Les médecins généralistes ne sont pas (pour le moment) directement concernés par le
projet de réforme, mais ils sont eux aussi invités par plusieurs de leurs
syndicats à fermer leurs cabinets, mardi 30 septembre, le syndicat des médecins
libéraux (SML) explique qu’ils entendent protester par solidarité avec les pharmaciens
et les dentistes.
Ils font valoir
que le motif principal de leur mécontentement réside aussi dans le contenu du
projet de loi santé, attendu en octobre, qui prévoit notamment la généralisation
du tiers-payant. MG-France, le principal
syndicat de généraliste explique dans un communiqué : …« Ce projet
continue de dépecer la médecine générale en découpant en morceaux le champ
d’activité du généraliste ».
Pour la Confédération des syndicats médicaux français,
qui représente généralistes et spécialistes, avec la réforme sur les
professions réglementées et le projet de loi santé en préparation, « le
gouvernement va mettre en œuvre les mesures les plus destructrices de
l’histoire contre la médecine libérale ».
Les dentistes et chirurgiens dentistes :
Les dentistes et chirurgiens-dentistes redoutent que les patients puissent se faire
poser des prothèses directement chez les prothésistes, selon eux cette
proposition heurte le secret médical et pose la question de la protection du
patient, leur Ordre souligne que le chirurgien dentiste engage aujourd’hui
seul sa responsabilité médicale envers son patient
Ils craignent la suppression du numerus
clausus. « Une telle mesure mettrait à mal la qualité de l’enseignement,
sachant par ailleurs que les universités françaises sont déjà en surcapacité »,
fait valoir l’Ordre national des chirurgiens-dentistes.
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Notre avis :
On peut craindre de voir arriver sur les
places, les marchés ou dans les
rues des quartiers populaires des « arracheurs
de dents » ambulants, comme autrefois, d’autant
que certains quartiers ne sont pas ou difficilement couverts en permanence par la police , pour des raisons que tout le monde connait
_________________
- Suite de notre éditorial :
Les
ophtalmologistes :
Le syndicat national des ophtalmologistes de France
(SNOF) appelle ses adhérents à se joindre au mouvement pour protester contre la
« démédicalisation de la prescription de lunettes annoncée dans le projet de
loi ».
L’organisation rappelle que « La non-reconnaissance de
la profession d’optométriste était une promesse de campagne de François Hollande
», en dénonçant dans un communiqué, ….«
les dangers de la loi qui autoriseraient certains opticiens sans formation
médicale à dépister les maladies oculaires et les placerait en position de
prescripteurs-vendeurs ».
Laboratoires et biologistes médicaux libéraux :
Les syndicats représentatifs
des biologistes médicaux libéraux
refusent que « la réalisation des examens de biologie médicale, qui sont à
l’origine de 60 à 70 % des diagnostics médicaux, soit abandonnée aux mains
d’intérêts financiers » …., si
l’ouverture du capital des sociétés d’exercice libéral est retenue dans le
projet de loi.
Les kinésithérapeutes, rééducateurs et masseurs :
La Fédération française des masseurs-kinésithérapeutes
rééducateurs appelle les 64 000 kinés libéraux à fermer leurs cabinets. « Les
masseurs-kinésithérapeutes ne sont en aucun cas les voleurs du pouvoir d’achat
des Français », proteste leur Fédération
dans un communiqué. Elle refuse aussi le projet d’ouverture des SEL et s’oppose à la fin éventuelle du numerus
clausus.
______
notre avis :
______
notre avis :
Nous les approuvons n’importe quel rebouteux prétendument « doué » pourrait
ouvrir boutique , bonjour les dégâts !
Et puis alors
comment contrôler certains Instituts de
massage actuellement dans le collimateur des autorités pour certaines pratiques,- sur
lesquelles je ne m’étendrai pas-, qui pourrait alors sous enseigne et sous couvert de kinésithérapie
rééducatrice, pourrait exercer leur
pratique en toute sérénité ?
________________________/
Les notaires
Le Conseil supérieur du notariat (CSN) a appelé toutes
les études de notaires à fermer leurs études
ce mardi, toutefois une permanence sera assurée en cas d’urgence, dans
les chambres régionales départementale des notaires ou les Conseils régionaux
des notaires
Les notaires refusent la libéralisation des conditions
d’installation, ils veulent notamment conserver le monopole sur la rédaction et
l’authentification des actes, et préserver leur tarif proportionnel au montant
des transactions immobilières.
Les huissiers et les commissaires-priseurs
La Chambre nationale des huissiers de justice soutient
le mouvement mais laisse le choix à ses membres d’ouvrir ou non leurs études
mardi. Elle s’inquiète notamment de la possible ouverture du capital des études
à des investisseurs extérieurs.
Les
commissaires-priseurs, eux, appellent à une « journée morte ».
Les
administrateurs et les mandataires judiciaires
Ils ne peuvent pas faire grève, nous l’avons indiqué
plus haut, mais certaines études
devraient néanmoins refuser d’accueillir le public. La profession s’inquiète
notamment de l’ouverture du capital des études à des investisseurs extérieurs.
Les
greffiers des tribunaux de commerce
Ces derniers non plus n’ont pas la possibilité de
cesser le travail et les greffes resteront donc ouverts.
Le Conseil National des greffiers des tribunaux de
commerces indique dans un communiqué qu’ils
communiqueront à leurs interlocuteurs,
juges et usagers, leurs inquiétudes.
REVUE DE PRESSE
Reuters - il y a 32 minutes
LeMonde.fr - il y a 33 minutes
LePoint.fr -
il y a 35 minutes
___________/
Atlantico.fr - il y a 9 minutes
L'Express.fr - il y a 21 minutes
La Voix du Nord
|
- Il y a 8 heures
|
Un mouvement de grève est prévu ce
mardi en réaction aux dispositions du projet de loi sur les professions
réglementées. Parmi elles, les pharmaciens
tirent la sonnette d'alarme. Ils nous expliquent leurs revendications contre la
vente de médicaments ...
Les pharmaciens protestent contre le projet de réforme des
professions réglementées. En ce qui concerne les officines, le gouvernement
envisage d'autoriser la vente des médicaments délivrés sans ordonnance dans
les grandes surfaces. Il prévoit
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Les professions libérales, en
particulier les pharmaciens, protestent ce mardi contre un projet de réforme
du gouvernement. Le point sur les conséquences un peu partout en France.
Imprimer. Zoom moins. Zoom plus. 0. Voter (0). Forte grève des ...
Éditorial :Grève des pharmaciens : je ne suis pas une nantie, je défends
mes ...Le Nouvel
Observateur
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Les pharmaciens seront massivement en grève ce mardi car ils ne
veulent pas que les médicaments sans prescription médicale soient mis en
vente dans les grandes surfaces. Mais qu'en est-il des tarifs pratiqués dans
les officines d'une même ville ?
Maubeuge » Médicaments » |
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Un grand mouvement de protestation
frappera le Cambrésis ce mardi. Sont concernées une soixantaine de
professions libérales, dont plus de la moitié issue du monde de la santé :
biologistes, médecins généralistes… et pharmaciens.
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En Saône-et-Loire, 215 des 217
officines du département sont en grève ce mardi 30 septembre, dont Emmanuel
Macron, Ministre de l'Economie, a estimé qu'il s'agit d'un mouvement
«légitime». 59 pharmacies ont
été réquisitionnées en Bourgogne.
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Les officines réquisitionnées ce
mardi dans l'Orne : pharmacie
Baroukh-Masson (63 rue d'Alençon à Condé-sur-Sarthe, 02 33 32 08 55) ; pharmacie du Forum (3 rue de
Champagne à Argentan, 02 33 36 22 89) ; pharmacie Giroux-Moulin (21 rue Saint-Jean ...
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Les officines du Boulonnais
(hormis deux qui sont réquisitionnées) resteront fermées toute la journée
mardi. Les pharmaciens
protestent contre le projet de loi qui vise à déréglementer leur métier. La
grande distribution pourrait être autorisée à ...
|
Il devrait être difficile de
trouver une pharmacie ouverte,
demain. Les syndicats de pharmaciens
ont lancé un appel à la grève, ce mardi 30 septembre, partout en France. Une
fermeture massive des officines est attendue et en Ariège, le mouvement ...
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Des gardes seront assurées dans
les pharmacies ce mardi,
journée de protestation des professions libérales dont font partie les pharmaciens, dans le cadre du projet
de réforme des professions règlementées. Les officines protestent contre le
projet du ...
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Médecins, dentistes, pharmaciens, avocats etc, certaines
professions libérales sont en grève ce mardi. Elles se mobilisent contre la
réforme des professions réglementées. Un service minimum est mis en place
pour l'offre de soins. C'est une journée très ...
|
||||||||
Une grève massive des pharmaciens est prévue ce mardi,
pour protester contre le projet de loi sur les professions réglementées, qui
mettrait fin au monopole des officines pour la vente des médicaments sans
ordonnance, non remboursables. Mais devant ...
|
Sur la trentaine de pharmacies tourquennoises, toutes
seront en grève ce mardi, pour répondre à un appel de grève national. Toutes,
sauf la pharmacie du
Pont-de-Neuville. Celle de la Marlière a été réquisitionnée.
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Les syndicats de pharmaciens ont appelé, mardi
prochain, à une grève nationale pour protester contre la vente de médicaments
dans les grandes surfaces. Afin de garantir la continuité des soins et
d'assurer l'approvisionnement de la population, l'Agence ...
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Mais s'il y en a bien qui sont
dans le viseur de Bercy, ce sont les pharmaciens.
Deux points posent problèmes. Le premier, c'est l'ouverture du capital des
officines. «Même s'ils nous présentent une version édulcorée en stipulant que
ce n'est que pour ...
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Si vous avez des médicaments à
vous faire délivrer ce mardi, sauf urgence, attendez plutôt demain. Toutes
les pharmacies du secteur
seront fermées, sauf celles qui ont été réquisitionnées (à Gondecourt et
Pont-à-Marcq). Une grève historique contre ...
|
Les pharmaciens redoutent en effet que l'arrivée de médicaments en
grande et moyenne distribution déstabilise l'organisation du secteur et
encourage la venue de capitaux financiers. "Ces gens ne rechercheront
que la rentabilité", affirme Charles Maux, ...
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Ce mardi, aucune croix verte ne
devrait clignoter en Flandre : quasiment toutes les pharmacies seront fermées. Un mouvement de grève inédit contre
la libéralisation de ce métier. En campagne, professionnels comme clients se
disent particulièrement ...
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La journée sans professions
libérales » c'est ce mardi. Ce mouvement s'annonce très suivi dans
l'Armentiérois, notamment dans les pharmacies.
Catherine Pasquesoone, qui tient la pharmacie
Benoit, à La Chapelle-d'Armentières sera en grève.
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