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21 septembre 2014

Les récents Blog-notes de Kader Hamiche

Éditorial de lucienne magalie pons

 C'est avec plaisir que nous retrouvons les récents Blog-notes de notre ami et correspondant Kader Hamiche, après une courte pause où il a retrouvé l'air pur des montagnes, le voici  revenu
 d'attaque et en pleine forme phiique et morale comme il nous l'explique dans son article du 8 septembre :

- extrait :

"J’avais besoin de respirer l’air pur et de ne plus voir le monde. Or, quoi de mieux que la montagne pour une ré-oxygénation du corps, de l’esprit et, même, j’en témoigne, du moral ?  Depuis vingt ans, je traînais l’idée obsessionnelle d’escalader le Port de Pailhères, qui culmine à 2001 m ; le plus haut col de l’Ariège. Plus tard, après mon premier Rallye des Camps en 1999, je commençai à rêver avec envie aux cols du Tour de France. Puis vint la lubie du Ventoux, que je pus exorciser deux fois en huit jours l’an dernier. Alors vint l’idée d’un périple ascensionnel dans les Pyrénées. Je suis donc allé « faire » les cols pyrénéens en vélo.

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Bravo Kader, je salue votre retour  et vous renouvelle mes sincères amitiés.
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Lire ses blog-notes :

Congrès du Comité Veritas à Saint-Laurent-du-Var.

    Ce dimanche 21 septembre a lieu à Saint-Laurent du Var le congrès annuel du Comité Veritas. (Programme) Celui de l’an dernier à Valras (Hérault) était d’une tristesse indescriptible. Je crois n’avoir pas été le seul à y avoir senti une odeur de mort. Il est vrai que le Palais de la méditerranée, bien trop vaste pour les quelques dizaines de participants, sonnait bien creux. Cette année, il y aura sans doute beaucoup plus de monde compte tenu du lieu choisi. Une chose est sûre : l’assistance n’y sera pas plus jeune qu’à Valras. 

Mourir sans avoir lutté ?

Sarko_Boutef                                                                                                                    On n’oublie pas !

    C’est le grand drame des Piénoirs que de n’avoir pas su intéresser leurs enfants à leur cause. Nous le payons aujourd’hui. Nous payons l’incapacité de nos aînés à comprendre qu’hors la politique active il ne pouvait y avoir d’issue favorable à notre combat. Les mêmes causes qui ont causé la perte de l’Algérie française et la nôtre expliquent l’oubli dans lequel la France et les Français ont définitivement relégué notre petite histoire. Et, plus grave, notre renoncement à la lutte vaudra à la France toute entière de sortir de l’Histoire avec un grand « H ». Et pourtant ! Ô combien il est évident que la perte de l’Algérie française et notre sacrifice ne sont, à cinquante ans d’écart, que le prélude à ce qui arrive sous nos yeux à notre pays ! Dès juillet 1962, alors que les siens restés au pays succombaient sous le couteau des égorgeurs de Harkis, le Bachaga Boualam l’avait pressenti et écrit dans son livre La France, mon pays Eh bien ! Nous y sommes !   Continuer la lecture

La France a touché le fond mais elle creuse encore !

    Depuis le 29 juillet dernier, je n’ai rien posté sur mon blog ; trop de fatigue, de dégoût, la volonté de ne plus rien voir, de ne pas savoir, l’envie de se rouler en boule et de se mettre sous la couette pour échapper au vertige d’une France qui sombre. J’ai donc décidé de prendre de la hauteur, au propre comme au figuré. A mon retour, je constatai que, bien qu’elles aient déjà fait toucher le fond à la France, nos élites creusent encore.

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La France insultée, la France rabaissée, la France minée…

Arreau vu des pentes d'Aspin                                                                                                    Prendre de la hauteur, pour trouver un peu d’oxygène… (Arreau vu des pentes de l’Aspin).

    J’avais besoin de respirer l’air pur et de ne plus voir le monde. Or, quoi de mieux que la montagne pour une ré-oxygénation du corps, de l’esprit et, même, j’en témoigne, du moral ? Depuis vingt ans, je traînais l’idée obsessionnelle d’escalader le Port de Pailhères, qui culmine à 2001 m ; le plus haut col de l’Ariège. Plus tard, après mon premier Rallye des Camps en 1999, je commençai à rêver avec envie aux cols du Tour de France. Puis vint la lubie du Ventoux, que je pus exorciser deux fois en huit jours l’an dernier. Alors vint l’idée d’un périple ascensionnel dans les Pyrénées. Je suis donc allé « faire » les cols pyrénéens en vélo. Continuer la lecture

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