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08 juillet 2017

Nicolas Dupont-Aignan appelle le Gouvernement à ne pas céder aux lobbies pharmaceutiques - Voir son communiqué du 8 juillet 2017

Éditorial de lucienne magalie pons

Dans un communiqué de presse du 8 juillet 2017  Nicolas Dupont-Aignan appelle le Gouvernement à ne pas céder aux lobbies pharmaceutiques :

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Vaccins : J'appelle le gouvernement à ne pas céder aux lobbies pharmaceutiques !

Alors que des manifestations sont organisées aujourd’hui à Paris, Nantes, Grenoble et Strasbourg, contre le projet de rendre obligatoire 11 vaccins, contre 3 aujourd’hui (diphtérie, tétanos et poliomyélite), la ministre de la santé a appelé à avoir « confiance dans les vaccins ».
Déjà en 2008, l’Etat et l’industrie pharmaceutique avaient retiré en catimini le vaccin DTP du marché pour le remplacer par le vaccin hexavalent, rendant systématique l’injection de trois vaccins non obligatoires (coqueluche / haemophilus influenzae type b / hépatite B). Mais le Conseil d’Etat a rendu une décision le 8 février dernier en faveur des familles, suite à la mobilisation de plus d’1 million de pétitionnaires. Les fabricants de vaccins sont restés muets attendant un nouveau ministre de la santé et faisant croire qu'il fallait 10 ans pour obtenir ce DTP, alors qu'ils le fabriquaient antérieurement ! Les juges ont laissé, à Agnès Buzyn, jusqu’au 8 août 2017 pour prendre une décision.
Au-delà du coût de la mesure, 110 à 120 millions €/an à la charge de la sécurité sociale et au bénéfice des laboratoires, les Français doivent savoir que vacciner les enfants contre 11 maladies graves d'un coup est en soi un geste médical risqué ! D'autant plus que deux mois après la naissance le système immunitaire n'est pas en place, il faut attendre 18 à 24 mois.
Pourquoi rendre obligatoire la vaccination des nourrissons de plus en plus tôt, notamment contre l’Hépatite B, cette infection sexuellement transmissible, à risque pour les personnes au contact du sang, comme le personnel soignant ? Ce vaccin n’est-il pas protégé par brevet ? La Cour de Justice de l’Union européenne a d’ailleurs constaté, ce 21 juin, des indices suffisamment forts pour établir un lien entre vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques afin d’ouvrir un droit à l’indemnisation des victimes !
Pour ce qui est des adjuvants utilisés, notamment l’aluminium, ils sont déjà interdits pour les animaux ! Pourquoi le maintenir alors que sa toxicité est prouvée par des travaux scientifiques menés dans notre pays ?
J’avais déjà dénoncé cette vaccination forcée, le 10 mars, sur mon blog (http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Non-à-la-vaccination-forcée-de-nos-enfants-avec-l-hexavalent-%21).
Le vaccin DTP, sans aluminium, a fait ses preuves depuis des années. Ce n’est donc pas une question de confiance dans les vaccins, comme le dit Agnès Buzyn, mais simplement dans les choix formulés par le gouvernement.
Je ne suis pas contre la vaccination, qui a prouvé son utilité, mais contre la vente forcée de 11 vaccins, sans le recul nécessaire. J’appelle le gouvernement à suspendre sa décision d’étendre l’obligation vaccinale et à relancer la commercialisation du vaccin DTP, sans aluminium, sans mercure et sans nanoparticules
Je demande également l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire pour faire la lumière sur l’opportunité de rendre obligatoire ces 8 autres vaccins. Il en va de la santé de nos enfants !

Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la France

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