Éditorial de lucienne magalie pons
Pour répondre aux questions de Christophe Jakubyszyn ce vendredi 21 septembre dans la matinale de LCI Benjamin Griveaux s'est exprimé en porte- parole du Gouvernement, mais aussi, souvent, en homme politique et à titre personnel.
Concernant les différentes annonces qui ont fait l'actualité politique de la semaine. notamment sur la suppression annoncée dans le cadre du budget 2019 d'une vingtaine d'impôts obsolètes et peu rentables ( Mini-Taxes, Taxe farine, taxe poinçons, taxe sur les "copies privées" etc) . il a déclaré : "Ce n'est pas un cadeau fiscal, c'est une remise à plat parce que parfois il y a des taxes dont même le sens échappait à ceux qui les avaient créées" "On a cette tradition bien française à Bercy d'empiler des taxes d'une année sur l'autre", a-t-il ironisé en évoquant "l'inventivité fiscale dans notre pays", qui nécessitait un "travail de nettoyage."
Concernant les différentes annonces qui ont fait l'actualité politique de la semaine. notamment sur la suppression annoncée dans le cadre du budget 2019 d'une vingtaine d'impôts obsolètes et peu rentables ( Mini-Taxes, Taxe farine, taxe poinçons, taxe sur les "copies privées" etc) . il a déclaré : "Ce n'est pas un cadeau fiscal, c'est une remise à plat parce que parfois il y a des taxes dont même le sens échappait à ceux qui les avaient créées" "On a cette tradition bien française à Bercy d'empiler des taxes d'une année sur l'autre", a-t-il ironisé en évoquant "l'inventivité fiscale dans notre pays", qui nécessitait un "travail de nettoyage."
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Alors que l'idée d'alourdir la fiscalité sur les droits de succession avait été évoquée par Christophe Castaner, Benjamin Griveaux a confirmé que le gouvernement avait coupé court à cette possibilité.
Le rôle d'un mouvement politique, c'est d'être un agitateur dans un débat d'idées", a-t-il avancé pour expliquer la proposition " retoquée" de Christophe Castaner. et en concluant sur ce sujet, il a précisé : "le Président a clairement affirmé le souhait que nous ne touchions pas aux droits de succession."
Sur la PMA Benjamin Griveaux s'est exprimé de façon personnelle "Je suis un défenseur de la PMA donc je fais la distinction entre PMA et GPA", a-t-il rappelé, en réaction aux inquiétudes des évêques de France qui craignent que l'extension prévue de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules ne mène à une autorisation de la gestation pour autrui (GPA).
Interrogé sur l'éventualité que l'on revive des instants aussi compliqués que ce qu'il s'est passé pour le Mariage pour tous, il a indiqué "je ne le souhaite pas", en ajoutant : "Les mots blessent, les mots ont beaucoup blessé. J'ai le souvenir de gens dans les rues de France défilant avec des pancartes comparant les homosexuels à des animaux c'est intolérable. Je ne le souhaite plus."
invité à réagir à l'hypothèse avancée par Geoffroy Lejeune, ce vendredi dans sa chronique "La politique" sur LCI, d'une candidature d'Edouard Philippe à la Mairie de Paris Benjamin Griveaux a répondu : "Je crois qu'il l'a comparé à Jacques Chirac, il y a un grand principe en politique c'est que l'historie ne se repasse jamais de la même manière", a-t-il conclu après avoir rappelé au sujet de sa propre candidature qu'il ne donnerait sa réponse qu'au printemps. "Avant de savoir qui est candidat, je pense que les Parisiens veulent probablement changer de maire", a-t-il estimé.
Nous n'avons retenu que ce qui revient le plus souvent
dans les réactions des médias et observateurs, mais
d'autres points sont abordés dans cet interview
que nous vous invitons à suivre ci-dessous:
Je n'ai pas apprécié le ton impératif de Benjamin Griveaux ... les opinions qu'il défend en matière sociale sont celles de la ligne politique du Gouvernement, une ligne politique dont seuls quelques individus qui auraient une mentalité de gagne-petits pourraient se satisfaire, j'enlève 30 euros à l'un, je donne 5 euros l'autre , j'économise 25 euros pour ceci et pour cela, tout ça reflète au sommet de l'Etat une mentalité de comptables bricoleurs qui veulent jeter de la poudre aux yeux des uns et des autres et je ne pense pas que notre sort sera amélioré , puisque de toute évidence ces petites aumônes mesquines ne rattraperont pas, loin s'en faut, l'augmentation constante du coût de la vie.
Nous n'avalons pas les couleuvres que Benjamin Griveaux veut nous faire gober pas plus que celles de son patron.
Nous n'avalons pas les couleuvres que Benjamin Griveaux veut nous faire gober pas plus que celles de son patron.
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