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21 septembre 2018

Benjamin Griveaux se médiatise de plus en plus :voir son interview par Christophe Jakubyszyn ce vendredi dans la matinale de LCI,

Éditorial de lucienne magalie pons


Pour répondre  aux questions de  Christophe Jakubyszyn ce vendredi 21 septembre  dans la matinale de  LCI Benjamin Griveaux s'est exprimé en porte- parole du Gouvernement, mais aussi, souvent, en homme politique et à titre personnel.

Concernant les  différentes annonces qui ont fait l'actualité politique de la semaine. notamment sur la  suppression annoncée dans le cadre du budget 2019  d'une vingtaine d'impôts obsolètes et peu rentables ( Mini-Taxes,  Taxe farine, taxe poinçons, taxe sur les "copies privées" etc) . il a déclaré : "Ce n'est pas un cadeau fiscal, c'est une remise à plat parce que parfois il y a des taxes dont même le sens échappait à ceux qui les avaient créées" "On a cette tradition bien française à Bercy d'empiler des taxes d'une année sur l'autre", a-t-il ironisé en évoquant "l'inventivité fiscale dans notre pays", qui nécessitait un "travail de nettoyage." 
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Alors que l'idée d'alourdir la fiscalité sur les droits de succession avait été évoquée par Christophe Castaner, Benjamin Griveaux a confirmé que le gouvernement avait coupé court à cette possibilité. 

Le rôle d'un mouvement politique, c'est d'être un agitateur dans un débat d'idées", a-t-il avancé pour expliquer la proposition " retoquée" de Christophe Castaner. et en  concluant sur ce sujet,   il a précisé  : "le Président a clairement affirmé le souhait que nous ne touchions pas aux droits de succession."

Sur la PMA Benjamin Griveaux s'est  exprimé de façon personnelle "Je suis un défenseur de la PMA donc je fais la distinction entre PMA et GPA", a-t-il rappelé, en réaction aux inquiétudes des évêques de France qui craignent que l'extension prévue de la PMA  aux couples de femmes et aux femmes seules ne mène à une autorisation de la gestation pour autrui (GPA).

Interrogé sur l'éventualité que l'on revive des instants aussi compliqués que ce qu'il s'est passé pour le Mariage pour tous, il a indiqué  "je ne le souhaite pas", en ajoutant : "Les mots blessent, les mots ont beaucoup blessé. J'ai le souvenir de gens dans les rues de France défilant avec des pancartes comparant les homosexuels à des animaux c'est intolérable. Je ne le souhaite plus."

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