Certains journaliste
ont la mémoire très courte , il sont époustouflée par la déclaration de Donald Trump ( qu’il
qualifient de « sensationnelle dans le sens négatif du terme) quand le
candidat républicain a répondu au
modérateur Chris Wallace Fox News qui lui posait la question «
Accepterez vous le résultat de l’élection ? »
«Je verrai le moment
venu», a répondu Donald Trump en évoquant «les médias malhonnêtes» et «des millions de
gens inscrits sur les listes électorales qui ne devraient pas y figurer». Il a
ajouté AUSSI que, au regard de ses
«crimes», …….. «Hillary Clinton ne
devrait pas avoir le droit d'être candidate. Rien que de ce point de vue, je
dis que l'élection est faussée»
Incrédule, Wallace interloqué a reposé sa question et Trump a confirmé: «Je
vous le dirai le moment venu. Je vais laisser durer le suspens».
Et les journaliste
scandalisés d’écrire « cette fois encore, ce n'est pas un message qui va
contribuer à la paix civile » …….. , d’après eux « cette
rupture avec le consensus politique le plus ancré dans la tradition américaine
annonce une fin de campagne - et des lendemains de scrutin - très tendus. »
Il rappellent qu’ en vertu de cette tradition,
le perdant reconnait « gracieusement » (sic) sa défaite, félicite le
vainqueur et assiste en bonne place à son investitures sur les marches du
Capitole au mois de janvier suivant , selon la tradition …
* parenthèse :
* parenthèse :
On croit rêver en
lisant ces stupidités , ils oublient que lors de l’élection présidentielle des
Etats-Unis du 7 novembre 2000 qui mettait en présence le démocrate Al Gore et
le républicain Georges W. Buch , ce dernier devancé par Al Gore n’a pas accepté
le résultat de l’élection et que ce n’est
qu’ après maints recomptages qu’il
a été déclaré vainqueur après plus d’un mois de scandale politique. Ces derniers
résultats furent contestés par le candidat démocrate devant la Cour suprême de
Floride et devant la Cour suprême des États-Unis. Celle-ci estima dans son
arrêt Bush v. Gore le 12 décembre 2000 que le recompte ordonné par la Cour
suprême de Floride était anticonstitutionnel par 7 voix contre 2 et, par 5 voix
contre 4, qu’il était impossible d’effectuer un recompte constitutionnel dans
les délais impartis par la Constitution des États-Unis. Elle annula l'ultime
recomptage manuel des voix ayant encore lieu dans le comté de Miami-Dade,
désignant de facto George W. Bush comme vainqueur de l'élection présidentielle.
Les recomptages privés effectués en 2001 par un consortium de plusieurs
journaux américains et par l’Université de Chicago démontrèrent que si le
recomptage spécifique demandé par Al Gore dans les trois comtés avait abouti,
il n'aurait pas pu inverser la tendance favorable à Bush, tandis qu'un
recomptage de l'ensemble de l’État de la Floride aurait promu vainqueur le
démocrate Al Gore.
Enfin, après toutes ces
procédures contestables Georges W. Busch avait été officiellement élu par le Collège
électoral des États-Unis le 18 décembre,
et est devenu président des
États-Unis le 20 janvier 2001.
* fin de la parenthèse
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* fin de la parenthèse
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Il faut souligner comme
vous le verrez dans les articles en Revue de Presse que Donald Trump et Hillary
Clinton sont en opposition sur tous les grands sujets, ils se sont affrontés sur la Cour suprême, les armes à feu,
l'avortement, l'immigration, l'économie, la lutte contre l'Etat islamique etc ….. sur la Russie, Hillary Clinton a accusé le candidat républicain d'être «une marionnette
de Poutine».
Sur d’autres sujets Donald Trump a insinué que Clinton avait manipulé les
femmes qui l'accusent d'attouchements inappropriés, à l'instar des perturbateurs
dans ses rassemblements électoraux.
Clinton a mis en avant son parcours « consacré au service public », et caricaturé
le parcours « autocentré » de Donald Trump, elle s’est souvent autorisé à éviter de répondre en lançant des sarcasmes à son adversaire, ou en le traitant de menteur, ou d'incapable, et autre gracieusetés
du genre, ou bien encore en reprenant à son compte pour les lancer contre
Donald Trump des critiques formulées récemment par Obama contre le candidat
démocrate en déclarant qu’il n’avait pas la capacité de gouverner les
Etats-Unis, elle a aussi traité Donald
Trump comme nous l’avons dit plus haut de
« marionnette de Poutine », tout et n’importe quoi !
Donald Trump le candidat républicain a soutenu une performance solide pendant une heure et demie, il s’est
montré offensif et combatif, mais plus discipliné que
dans le débat précédent, mais là encore
les journalistes partisans d’Hillary Clinton
expliquent que son attitude va
amener bon nombre d'électeurs indécis à
se demander s'il défendrait la Constitution et la démocratie comme il incombe
au président, en soulignant qu’aucun commencement de preuve n'étaye sa mise en cause du processus électoral et éventuellement du résultat des élections.
Après ce bref résumé
nous vous invitons à prendre connaissance de la REVUE DE PRESSE :
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