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05 octobre 2016

ALSTOM sauvé par l'ETAT avec nos impôts ! ( note - questions au gouvernement du 4- 10 - 2016 - revue de presse )

Éditorial de lucienne magalie pons

Les médias depuis quelques semaines étaient en transes et ne manquaient pas d’entretenir le suspens sur le devenir du site Alstom de Belfort en arrêt de production, il est évident que lors de la première séance de question au gouvernement ce sujet  ne pouvait être ignoré, et c’est par cette première question que la séance de l’Assemblée Nationale  du Mardi 4 Octobre s’est ouverte.
Comme vous le verrez en lisant l’extrait du compte-rendu de cette séance le suspens n’a plus lieu d’être puisque le premier Ministre Manuels Valls, dans ses réponses aux députés a expliqué la solution "stratégique"  trouvée par le Gouvernement.
Toutefois vous remarquerez aussi que les députés dans leurs questions ont fait ressortir quelques particularités assez singulières, notamment Monsieur le Député Fréric Reiss - Les Républicains - ,   en soulignant    que les   15 TGV qui seront commandés par l’Etat en direct seront réservés aux lignes intercités Bordeaux-Marseille et Monpellier-Perpignan et ne rouleront qu’à 200 kilomètres à l’heure, et non à la vitesse de 320 kilomètres à l’heure qui est leur vitesse habituelle commerciale.
-  ci-dessous nous reproduisons en copié /collé la séquence Alstom : 
Questions au Gouvernement
M. le président. L’ordre du jour appelle les questions au Gouvernement.
Alstom
M. le président. La parole est à M. Frédéric Reiss, pour le groupe Les Républicains.
M. Frédéric Reiss. Monsieur le Premier ministre, l’annonce de l’arrêt de la production sur le site de Belfort a été un choc rude pour les salariés d’Alstom. Le Gouvernement semble enfin avoir mesuré l’ampleur du problème. L’État va commander en direct quinze TGV destinés aux lignes Intercités Bordeaux-Marseille et Montpellier-Perpignan. Ils rouleront à 200 kilomètres à l’heure, et non à 320 kilomètres à l’heure, leur vitesse commerciale habituelle. Cette réponse à court terme est d’autant plus surprenante qu’on attendait la pérennisation des activités d’Alstom à Belfort et sur les différents sites français.

À l’été 2015, le Gouvernement suscitait beaucoup d’espoirs en annonçant 1,5 milliard d’euros d’investissement pour renouveler les trains Intercités. Mais l’État, qui, en tant qu’autorité organisatrice, détient un rôle décisionnaire en matière de renouvellement du matériel roulant, a renoncé aux contrats-cadres signés en 2009 avec Alstom et Bombardier. Le Gouvernement a décidé d’un nouvel appel d’offres, synonyme de destruction d’emplois industriels, à cause des délais et de surcoûts financiers, dus à des frais incompressibles de développement, d’adaptation et d’homologation. À Reichshoffen, le ralentissement actuel de la production a découlé du trou réel du plan de charge pour début 2018 – 1 000 emplois sont concernés.

À de multiples reprises, M. Alain Vidalies a annoncé, à propos de la convention TET – trains d’équilibre du territoire –, une commande de trente trains supplémentaires dans le cadre du marché existant entre la SNCF et Alstom. La parole de l’État sera-t-elle respectée ? Pouvez-vous, monsieur le Premier ministre, confirmer la date de cette commande ? Les annonces concernant le site de Belfort permettront-elles de préserver l’excellence de la filière ferroviaire française ? (Applaudissements sur les bancs du groupe Les Républicains.)
M. le président. La parole est à M. le Premier ministre.
M. Manuel VallsPremier ministre. Monsieur le député, c’est bien volontiers que je vais vous répondre – et j’y reviendrai juste après – à propos de ce dossier qui nous a mobilisés, avec Michel Sapin, Alain Vidalies et Christophe Sirugue, lequel se trouvait encore ce midi à Belfort.

Sur un tel sujet, il faut éviter la polémique et les approximations…
M. Christian Jacob. Ce serait bien d’éviter aussi la démagogie !
M. Manuel VallsPremier ministre. …comme celles que j’ai entendues aujourd’hui, et qui viennent d’ailleurs de responsables politiques de tous bords.

Vous le savez, le Gouvernement avait pris l’engagement que l’activité ferroviaire serait maintenue sur le site Alstom de Belfort, avec la volonté de préserver et de développer l’activité du groupe sur les autres sites. Avec le plan présenté ce matin, cet engagement est tenu. Il est essentiel pour notre pays, pour nos grandes entreprises de transport, la RATP et la SNCF, comme pour l’avenir de la filière ferroviaire dans son ensemble et pour Alstom, de préserver le site de Belfort et ses compétentes ; c’est un enjeu majeur pour l’emploi et pour notre politique industrielle.

C’est sur la base de cette conviction que nous avons ouvert un dialogue avec Alstom, après une décision qui a surpris tout le monde, et que nous avons mené une concertation étroite avec les élus locaux et les organisations syndicales. Et c’est ce travail qui a permis de faire émerger aujourd’hui une solution collective. Le plan repose sur trois axes concrets : une modernisation profonde de la production ferroviaire de Belfort ; un développement des activités de services ; des investissements significatifs pour une diversification du site, avec des apports de l’État, des collectivités territoriales et de l’entreprise.

Il va de soi que de nombreuses questions restent encore en suspens, vous venez de les évoquer. Néanmoins, ce qui me paraît essentiel, je veux insister sur ce point, c’est le maintien de la charge de travail à Belfort et de notre avance technologique en matière ferroviaire, qui passe par une transformation et une modernisation de la production sur le site, comme cela a été annoncé ce matin.

Comme je ne veux pas être plus long, je me contenterai, monsieur le député, de faire une remarque. Les mêmes qui ont mis en cause le Gouvernement, il y a quelques jours, parce qu’il ne prendrait pas ses responsabilités, parce qu’il ne jouerait pas son rôle d’actionnaire ou tout simplement parce qu’il ne viendrait pas au secours d’entreprises d’État comme la SNCF et la RATP, évoquent aujourd’hui – y compris un ancien ministre des transports – un « bidouillage ». C’est assez étonnant ! (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain et du groupe radical, républicain, démocrate et progressiste. – Exclamations sur les bancs du groupe Les Républicains.)

Nous avons assumé nos responsabilités incombant à l’État actionnaire : sans l’intervention de l’État, mesdames et messieurs les députés, l’entreprise Alstom n’aurait pas été en position d’annoncer aujourd’hui, non seulement qu’elle allait développer le site de Belfort, mais aussi que ses salariés, sur tous ses sites de production, pouvaient voir l’avenir d’une autre manière. Nous assumons toujours nos responsabilités.
M. Sylvain Berrios. Avec nos impôts !
M. Manuel VallsPremier ministre. Cette critique est du reste assez étonnante car je ne l’ai jamais entendue à propos des Rafale et de Dassault. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain. – Exclamations sur les bancs du groupe Les Républicains.) Vous avez une drôle de vision de ce qu’est le rôle de l’État actionnaire. Il assume ses responsabilités quand il s’agit du Rafale, grâce notamment à l’action de Jean-Yves Le Drian en faveur des exportations, ce qui n’avait jamais été fait jusqu’à présent. Et nous assumons aussi nos responsabilités quand il s’agit d’Alstom. (Mêmes mouvements.)
M. Yves Fromion. Quelle malhonnêteté !
Alstom
M. le président. La parole est à M. Frédéric Barbier, pour le groupe socialiste, écologiste et républicain.
M. Frédéric Barbier. Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Je veux y associer le président du groupe socialiste, écologiste et républicain, Bruno Le Roux, puisque le siège d’Alstom se trouve dans sa circonscription.

Le 7 septembre, le PDG d’Alstom annonçait la fermeture, d’ici 2018, de son site historique de Belfort.
M. Pierre Lellouche. On n’a qu’à y construire des Rafale !
M. Frédéric Barbier. Immédiatement, le Président de la République et le Gouvernement, d’une façon très volontariste, se sont saisis du dossier. Avec 400 emplois directs et 800 emplois dans la sous-traitance, ce sont plus de 1 000 familles et tout un territoire qui vivaient avec la terrible crainte de voir disparaître leur avenir familial, professionnel et économique. L’État doit s’engager en faveur des salariés pour que le site de production de Belfort, avec son ingénierie, sa filière de recherche et développement ainsi que ses services, soit pérennisé. Nous voulons encore être fiers de notre savoir-faire à la française, de nos technologies, et de notre expérience.

Oui, il faut plus d’État, pour reconstruire l’outil industriel excessivement dégradé que nous a laissé le précédent gouvernement de droite.
M. Frédéric Barbier. Oui, il faut des mesures qui permettent de sauvegarder à moyen terme le site de Belfort puis de le pérenniser. Oui, il faut un État stratège, qui intervient, protège et permet à nos entreprises de renouer avec le succès. (Exclamations sur les bancs du groupe Les Républicains.)
M. Christian Jacob. Un gouvernement stratège, ce serait une bonne chose aussi !
M. Frédéric Barbier. L’État l’a fait lors du sauvetage de Peugeot Citroën, dès 2012.

Oui, enfin, la solidarité, cette valeur en laquelle nous croyons, continuera d’irriguer notre action, malgré les cris de ceux qui veulent souvent y voir de l’assistanat.

Monsieur le Premier ministre, je tiens à vous remercier, vous et le gouvernement que vous dirigez, pour l’effort important que vous consacrez au sauvetage de l’usine de Belfort et de la filière du transport ferroviaire. L’État doit jouer son rôle dans l’histoire industrielle de la France. Alstom est l’histoire ; Alstom est la France. Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous détailler le plan proposé par le Gouvernement et négocié avec Alstom  ? (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain.)
M. le président. La parole est à M. le Premier ministre.
M. Manuel VallsPremier ministre. Monsieur le député, vous connaissez bien ce dossier et vous avez eu raison de rappeler que l’État stratège doit s’engager. J’ai déjà évoqué les trois axes qui permettent aujourd’hui de voir l’avenir avec plus d’optimisme pour ce groupe et pour ses salariés.

Je l’ai dit, le maintien de la charge de travail à Belfort et celui de notre avance technologique en matière ferroviaire passe d’abord par une transformation, une modernisation de la production sur le site. Ainsi, Alstom et l’État consacreront 30 millions d’euros, d’ici deux ans, aux activités d’ingénierie touchant au développement du TGV du futur. Alstom investira également 30 millions, d’ici 2018, pour développer et industrialiser une plate-forme de locomotives de manœuvre hybrides ou diesel, bien adaptées au marché.

Ce n’est donc en rien, messieurs Busserau et Hamon, du « bricolage » ; c’est de la stratégie. (Exclamations sur les bancs du groupe Les Républicains.) Si vous connaissiez le dossier et si vous aviez écouté les annonces présentées ce matin par le PDG d’Alstom et le secrétaire d’État Sirugue, vous n’auriez pas utilisé cette expression. Oui, grâce à cette vision stratégique, nous avons pérennisé le site d’Alstom.

M. Jean-Luc Laurent. Très bien !

M. Manuel VallsPremier ministre. Le deuxième axe repose sur le développement des activités de maintenance et de nouvelles activités de services. Belfort doit devenir le centre européen de référence de la maintenance des locomotives du groupe Alstom. Nous avons obtenu que cette activité emploie 150 salariés, contre 60 initialement prévus par l’entreprise.

Le troisième axe, enfin, concerne la diversification des activités du site et l’investissement dans les activités d’avenir : d’ici 2020, Alstom investira 5 millions d’euros pour préparer la production à Belfort d’autres types de véhicules, plus modernes et innovants.

Vous le voyez, l’État et l’entreprise ont su travailler ensemble. Il s’agit bien d’engager une transformation profonde du site de Belfort, en lui offrant de nouvelles opportunités de croissance.

Mais, nous le savons, cette transformation prendra du temps, et, dans l’intervalle, il est nécessaire de garantir l’activité du site. Or cette activité sera, et nous l’assumons, assurée par des commandes nouvelles. Nous avons consulté la SNCF pour faire le point sur les commandes en cours et donner de la visibilité à Alstom, et il y aura des commandes.

Nous, nous assumons le rôle de l’État stratège, nous, nous assumons le rôle des services publics, quand l’opposition, elle, propose de faire des économies de 150 milliards et de mettre en cause à la fois l’État stratège et les services publics. (Exclamations sur les bancs du groupe Les Républicains.)

Mesdames et messieurs les députés de l’opposition, je le dis avec d’autant plus de conviction que, comme de nouvelles études le montrent, nous avons stoppé le déclin industriel de notre pays. (Mêmes mouvements.) Et si cela a été possible, c’est parce que nous avons agi, vous connaissez bien ces dossiers, monsieur Barbier : nous avons agi sur PSA Peugeot Citroën ; nous avons agi sur Renault ; nous agissons sur les chantiers navals STX ; nous agissons sur DCNS ; nous agissons sur Alstom.

Mme Laure de La Raudière. Et sur Florange ?

M. Manuel VallsPremier ministre. Nous avons une vision stratégique qui permet à la France de garder son industrie, son indépendance, ses salariés, ses entreprises. Voilà ce qui nous différencie de ceux qui ne savent que critiquer, au moment où nous rencontrons des succès, de ceux qui n’ont pas la bonne vision du monde. Notre vision du monde, c’est celle d’un État qui regarde le monde tel qu’il est et qui agit pour sauver notre industrie et nos emplois. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, écologiste et républicain.)

M. Christian Jacob. Détendez-vous, plus que trois mois avant Noël !

Fin de l’extrait …
 oo0oo

Mon    commentaire :

 Dans ses explications le Premier Ministre Manuel Valls  s’est défendu d’une critique de « bidouillage » ,   a souligné par la suite   à  un certain moment  «  ……….  sans  l’intervention de l’État, mesdames et messieurs les députés, l’entreprise Alstom n’aurait pas été en position d’annoncer aujourd’hui, non seulement qu’elle allait développer le site de Belfort, mais aussi que ses salariés, sur tous ses sites de production, pouvaient voir l’avenir d’une autre manière. Nous assumons toujours nos responsabilités. »

Ce qui lui a valu une réponse de  M. Sylvain Berrios. Avec nos impôts !

C’est tout à fait ma conclusion une solution "stratégique" du gouvernement qui nous coûte très cher !

REVUE DE PRESSE :
note : 

1/ ce que certain médias ont d'abord noté c'est que commander 15 TGV pour les faire circuler sur des lignes inter-cités à vitesse réduite est une bouffonnerie  sur toute  la ligne , nous avons donc sélectionner quelques 8 articles sur le sujet  ; 


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