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14 novembre 2013

Assemblée Nationale : Séance de questions au gouvernement très agitée hier ( notes, vidéo, compte-rendu)

Éditorial de lucienne magalie pons



Du mardi 12 novembre au vendredi 15 novembre au soir, l'Assemblée poursuit l'examen   en séances publiques  de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2014.

Hier mercredi après-midi   13 novembre la séance de questions au Gouvernement  a été très tendue, houleuse,  et par moment  hurlante,  notamment  lorsque les échanges entre les députés de l’opposition et le membres du gouvernement  ont porté sur les rythmes scolaires.


Nous avons choisi de souligner les échanges sur  les rythmes scolaires,  puisque hier les parents descendaient dans les rues pour manifester et qu’aujourd’hui ce sont  les enseignants qui sont en grèves et que les élus poursuivent leurs contestations. 


Il faut rappeler que Mercredi matin,  le Ministre de l’éducation Nationale avait qualifiés le  maires qui contestent  les rythmes scolaires de « délinquants  civils » en disant qu’ils doivent  appliquer la loi, ce qui déjà avait irrité les élus et les députés qui l’avaient  entendu, ensuite il a été question  de  d'accusations de délinquance civile  et de désobéissance civile, d'appel à  la désobéissance civile ...  une escalade de  propos accusatoires  de la part du Ministre qui n'ont pas été fait pour apaiser  les esprits.  



En séance ensuite  il a parlé de « récalcitrants », toujours au sujet de l’application de la loi, les députés de gauche soutenaient son propos  …. «  c‘est la loi … vous devez appliquer la loi « …criaient-ils  furieux, dressés  débout en s’adressant à un député UMP , qui était intervenu pour expliquer qu’il n’appliquerait pas les rythmes scolaires dans la commune dont ilest le maire,  mais aussi en criant à l’adresse de leurs homologues de droite, alors que les députés de droite répondait des bancs : «  ce n’est pas une loi  …. ce n’est pas une loi … »  jusqu’à ce que  presque en fin de séance des question, un député  UMP,  Monsieur Gilles Luron, au début d’une question portant sur un autre sujet, revienne sur la question pour   rappeler  au ministre  de l’éducation nationale qu’il ne s’agissait pas d’une loi mais d’un décret :, je cite :     «  M. Gilles Lurton. Un mot tout d’abord pour rappeler à M. le ministre de l’éducation nationale que les rythmes scolaires, à notre connaissance, n’ont pas fait l’objet d’une loi, mais d’un décret, qui n’a pas été débattu démocratiquement »

___________________________________________________________________________

Ndlr : parenthèse au sujet du décret,  rappelons qu’il s’agit  d’un Décret  signé par Jean-Marc Ayrault le Premier Ministre, et Vincent Peillon le Ministre de l’éducation nationale,  il s’agit d’un décret  exécutif, n°  2013-77 du 20 Janvier 2013 qui avait été présenté  préalablement en Conseil des ministres.

Pour en savoir plus    cliquez sur le lien actif ci-contre :  Décret n° 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l'organisation du ...www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte...categorieLien=id‎26 janv. 2013 - Objet : modification des rythmes scolaires dans l'enseignement du ... le présent décret prévoit la mise en place d'une semaine scolaire de ….

Fin de la parenthèse

___________________________________________________________________________/

Suite de l’éditorial :

La séance du reste a été tendue sur toutes les  autres questions, sauf à plusieurs reprises  en cours de séance   où de longues minutes ont été consacrées  dans le calme à la Garde sceaux Christiane Taubira , soutenue dans  ses épreuves par  Jean-Marc Ayrault, le Gouvernement et tous les députés.



oo0oo



Voici ci-dessous un extrait du compte rendu de la séance du 13 septembre  portant sur les rythmes scolaires :



Extrait :

……………………………..

Rythmes scolaires

M. le président. La parole est à M. Patrice Verchère, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.

M. Patrice Verchère. Monsieur le président, ma question, à laquelle j’associe mon collègue Bernard Gérard, s’adresse à Mme la ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la fonction publique.

Il y a un an, j’interpellais le ministre de l’éducation nationale sur les conséquences de la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires. (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC.) Je pourrai reprendre mon intervention d’alors, puisqu’un an après, aucune réponse sérieuse n’a été apportée aux inquiétudes des maires, notamment ceux des communes rurales.

Il est vrai que ce sont des problématiques qui échappent totalement à M. Peillon, faute d’avoir jamais été élu maire. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Les questions des maires à qui M. Peillon fait payer sa réforme sont pourtant simples : comment trouver des intervenants qualifiés aux horaires concernés ? Quelles activités proposer pour que cette période ne soit pas une simple garderie ? Quel financement pour cette décision unilatérale du Gouvernement ?

Le ministre tente de faire croire que les communes vont être aidées. Certes, une aide est bien envisagée et un fonds d’amorçage a été créé, mais celui-ci est d’ores et déjà insuffisant et l’aide prévue n’est pas pérenne, puisqu’elle est limitée à l’année de la mise en œuvre. Les élus locaux ne sont pas dupes de la manœuvre et se sentent méprisés par M. Peillon car, dans le même temps, le Gouvernement annonce une baisse sans précédent de leur dotation qui va sérieusement grever leur budget.

À l’heure où le Gouvernement est confronté au ras-le-bol fiscal des Français, le ministre ne laisse aux communes que le choix de l’impôt pour financer son projet.

M. Philippe Vitel. C’est scandaleux !

M. Patrice Verchère. Oui, cette réforme, avec beaucoup d’autres, cristallise les mécontentements. Hier, c’étaient les agents de la ville de Paris, aujourd’hui ce sont les parents d’élèves qui manifestent, et demain ce seront les enseignants.

M. Matthias Fekl. La question !

M. Patrice Verchère. Une commune rurale de ma circonscription a pris la décision, à l’unanimité de son conseil municipal, de ne pas mettre en place cette réforme à la rentrée prochaine. Dans le même temps, cinquante-cinq communes annoncent qu’elles n’appliqueront pas la réforme des rythmes scolaires en l’état, ce qui ne fait pas de ces maires des « petits délinquants civiques » comme l’a dit ce matin M. Peillon. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et écologiste.)

Ces contestations marquent le début d’une fronde, sans précédent, des élus locaux.

Alors, madame la ministre, à une semaine de l’ouverture du congrès des maires où le Président de la République vous envoie courageusement en première ligne avec le Premier ministre, allez-vous écouter les revendications des maires ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)


M. le président. La parole est à M. le ministre de l’éducation nationale. (Huées sur les bancs des groupes UMP et UDI. – Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et écologiste, dont plusieurs membres se lèvent, et sur les bancs du groupe RRDP.)

M. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale. Monsieur le député, la réforme des rythmes scolaires s’applique d’ores et déjà dans 4 000 communes de France et vous me permettrez de saluer ces 4 000 élus, dont le président de l’association des maires ruraux de France, qui ont d’ores et déjà mis en place cette réforme. Vous me permettrez de saluer aussi tous les maires ruraux de petites communes du Gers, de l’Ariège, de la Lozère, qui ont réussi à offrir aux enfants de leurs communes cette réforme. (« Démission ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.)

Peut-être y a-t-il cinquante élus récalcitrants, mais il y a en France 36 000 maires qui, eux, travaillent à donner le meilleur aux enfants de France. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) Ne montrez pas toujours ce qui marche mal !

Sur le fond, j’aimerais rappeler que l’Association des maires de France et différentes associations d’élus ont demandé, lors des très longues concertations qui ont eu lieu, y compris à l’Assemblée nationale et avec mon prédécesseur de l’ancienne majorité, un certain nombre d’éléments.

Il s’agit tout d’abord de la possibilité de changer les taux d’encadrement. C’est ce qu’a fait la Caisse nationale des allocations familiales, offrant en outre la possibilité de rendre les activités gratuites.

Il s’agit ensuite de la possibilité, pour la première fois dans notre pays, de voir des activités péri-éducatives financées par l’État. Un fond d’amorçage a été prévu, doté de 150 euros par enfant.

Il s’agit enfin de temps pour pouvoir appliquer cette réforme : le Président de la République a accordé un délai de deux ans.

Des milliers de maires sont au travail. Des milliers de maires ont déjà réussi. N’hésitez pas à vous joindre à eux ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP.)

Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)

………………………………..

Rythmes scolaires

M. le président. La parole est à M. Charles-Ange Ginesy, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.

M. Charles-Ange Ginesy. Monsieur le Premier ministre, les députés UMP veulent vous interpeller sur les rythmes scolaires. Nous attendons de votre part une explication précise, qui réponde exactement à nos interrogations légitimes. Surtout, ne nous servez pas une fois de plus votre rengaine sur la responsabilité du gouvernement précédent, puisqu’il s’agit uniquement de votre décision pleine et souveraine. Cela fait maintenant dix-huit mois que vous êtes au pouvoir, et toute référence à la période 2007-2012 frôle l’indécence et le déni de réalité. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Ma question a toute la légitimité d’une France qui conteste la réforme des rythmes scolaires. Les parents d’élèves sont contre, et boycottent aujourd’hui l’école avec une opération nationale « classes vides » ; les enseignants sont en grève ; les maires sont contre également, pour des raisons financières, humaines et techniques, comme l’a fort bien expliqué Patrice les  pour des raisons financières, humaines et techniques, comme l’a fort bien expliqué Patrice Verchère il y a quelques instants ; les animateurs dénoncent des manques de moyens ; les enfants sont pris en otage. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP – Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

M. Jean Glavany. De tels propos sont irresponsables !

M. Charles-Ange Ginesy. Quand une mobilisation chaque jour un peu plus forte se dresse, il est temps de se poser la question de la légitimité d’une réforme qui est loin d’être une réforme ambitieuse de l’école de la République, et qui s’ajoute au malaise sociétal profond que ressentent les Français.

Comme de nombreux maires, je refuse d’appliquer votre réforme en 2014 (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP – Huées sur les bancs du groupe SRC)


M. Jean Glavany. Vous êtes un élu de la nation ! Vous ne pouvez pas refuser d’appliquer la loi !

M. Claude Goasguen. Ce n’est pas une loi !

M. Charles-Ange Ginesy. …alors que d’autres, qui y avaient cru dès 2013, font marche arrière.

M. Peillon nous traite de « délinquants civiques ». Souvenez-vous plutôt des mots de Bertrand Delanoë, refusant d’appliquer la loi en 2008. « Accueillir les enfants dans une école, c’est sérieux et ne peut être fait sans personnel qualifié », disait-il.


M. Jean Glavany. Il faut que M. Ginesy se rappelle où nous sommes !

M. le président. Monsieur Glavany !

M. Charles-Ange Ginesy. Votre ministre nous a dit hier…

M. le président. Je vous remercie, mon cher collègue.

La parole est à M. le ministre de l’éducation nationale.

M. Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale. Monsieur le député, je suis un peu troublé d’entendre dans cet hémicycle un député, qui participe à l’exercice de la souveraineté nationale, qui est chargé de voter la loi, déclaration publique et solennelle de la volonté générale sur un objet d’intérêt commun, déclarer qu’il n’appliquera pas la loi. (Les députés des groupes SRC, écologiste et RRDP se lèvent et applaudissent – Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

M. Claude Goasguen. Ce n’est pas une loi !

M. Vincent Peillon, ministre. Est-ce là l’exemple que vous donnez ? Est-ce de cela que le pays a besoin ? Ne vous souvenez-vous pas que c’est en 2008, c’est-à-dire sous la majorité précédente, que l’école primaire est passée à la semaine de quatre jours ? Nous avons besoin de nous unir pour permettre aux élèves de réussir. (Protestations continues sur les bancs du groupe UMP.)

M. le président. Mes chers collègues, retrouvez votre calme !

M. Vincent Peillon, ministre. Vous devez mesurer qu’aujourd’hui 4 000 communes de France, qui méritent le respect, sont passées au nouveau rythme dans l’intérêt des élèves. Deux seulement ont reculé, l’une à ma demande, l’autre a suspendu l’application de cette réforme le temps de mieux mettre en œuvre les nouveaux rythmes.

Vous appelez aujourd’hui à la désobéissance civique…

Plusieurs députés du groupe UMP. Oui !

M. Vincent Peillon, ministre. …alors même que des milliers de maires sont en train de préparer cette réforme avec les équipes éducatives, avec les associations, avec les parents. Il est temps que vous vous repreniez. L’intérêt général, le respect de la loi, la réussite du pays, la préparation de l’avenir valent mieux que vos petits jeux politiciens. Franchement, faites attention de ne pas scier vous-mêmes la branche sur laquelle vous êtes assis. Ici, nous devons respecter la démocratie. La démocratie, c’est aussi la loi. La loi, vous devez la respecter comme tout le monde ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP. – Huées sur les bancs du groupe UMP.

………………………………………//

Plan de résistance économique

M. le président. La parole est à M. Arnaud Leroy, pour le groupe socialiste, républicain et citoyen.

M. Arnaud Leroy. Monsieur le président, je tiens à dire mon malaise quand j’entends un élu de la République dire dans cet hémicycle qu’il n’appliquera pas la loi !

………………./

Aides pour la Bretagne

M. le président. La parole est à M. Gilles Lurton, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.

M. Gilles Lurton. Un mot tout d’abord pour rappeler à M. le ministre de l’éducation nationale que les rythmes scolaires, à notre connaissance, n’ont pas fait l’objet d’une loi, mais d’un décret, qui n’a pas été débattu démocratiquement. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI. – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)

Fin de l’extrait

……….


Découvrez  l’intégralité de la séance en vidéo : 
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Le compte-rendu  en intégralité :






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REVUE DE PRESSE : 

Rythmes scolaires : 55 maires de droite appellent au boycott

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Grève nationale contre la réforme des rythmes scolaires - Yahoo ...

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Il y a 9 heures - ... au niveau national par 25 % des enseignants des écoles et par 50 % à Paris, ... L'UMP attise la fronde des élus contre les rythmes scolaires.

Réforme des rythmes scolaires : 23% des instituteurs ... - Actu Orange

actu.orange.fr/.../reforme-des-rythmes-scolaires-23-des-instituteurs-en-gr...
Il y a 43 minutes - La fronde lancée par certains élus contre les rythmes scolaires est suivie sur le terrain. Jeudi 14 novembre, 23% des instituteurs se sont mis en ...


FranceTV Info
Alerte info Jeudi 14 novembre  |  12h51
Réforme des rythmes scolaires : 23% des instituteurs en grève sur tout le territoire, 41% à Paris
La fronde lancée par certains élus contre les rythmes scolaires est suivie sur le terrain. Jeudi 14 novembre, 23% des instituteurs se sont mis en grève sur tout le territoire, à l'appel de plusieurs syndicats. Le taux de grévistes atteint 41% à Paris, fer de lance de la contestation, selon des chiffres officiels du ministère de l'Education nationale.
Cliquez ici pour plus d’informations

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    21 messages - ‎4 auteurs
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___www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte...categorieLien=id

26 janv. 2013 - Objet : modification des rythmes scolaires dans l'enseignement du ... le présent décret prévoit la mise en place d'une semaine scolaire de 24 ...

Article 1 - ‎Article 2 - ‎Article 3 - ‎Article 4




Les Échos ‎- il y a 1 jour
Le « collectif contre la réforme des rythmes scolaires », signataire en octobre dernier d'une pétition contre le...
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