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26 février 2019

La lettre du Groupe Europe des Nations et des Libertés du 25 février 2019 ( source ENL)

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS D'INFORMATION

* SOURCE  : Europe des Nations et des Libertés

. Copié/collé 🔻

Au-delà du Brexit, la nécessité d’une Europe des nations, des coopérations et des protections

Dans à peine plus d’un mois, le 29 mars, le Royaume-Uni doit quitter l’Union européenne. Après le net rejet de l’accord négocié par Theresa May avec les dirigeants de l’UE, d’aucuns ont pu craindre – ou rêver – que le referendum britannique du 23 juin 2016 serait piétiné.

Le Néerlandais Frans Timmermans – vice-président de la Commission qui, sans avoir démissionné de ses fonctions, fait campagne comme Spitzenkandidat des socialistes européens – a ainsi ouvertement déclaré jeudi dernier à Bruxelles que le Royaume-Uni pourrait ne pas quitter l’UE et au contraire participer aux élections de mai prochain.

Cependant, au-delà des discussions menées encore la veille entre Theresa May et Jean-Claude Juncker, les États membres de l’UE semblent bien se préparer à la sortie du Royaume-Uni, même sans accord. Par exemple, s’agissant de la pêche, plusieurs décisions ont été prises mercredi 20 et vendredi 22 au niveau du Coreper, le comité des représentants permanents des États membres auprès de l’UE. C’est vrai aussi dans bien d’autres domaines, comme le secteur aérien avec là encore un nouvel accord interinstitutionnel vendredi.

C’est dans ce contexte que la Fondation pour une Europe des Nations et des Libertés, présidée par notre collègue autrichien Georg Mayer, a organisé un colloque à Londres vendredi et samedi pour faire le point sur le Brexit. Parmi les intervenants, outre plusieurs de mes collègues du RN et moi-même, on peut citer Gerard Batten et Janice Atkinson, membres du groupe ENL au Parlement. Mais aussi plusieurs journalistes et économistes britanniques, ou bien encore notre allié tchèque Radim Fiala.

De toute évidence, l’UE se comporte aujourd’hui comme une secte où il est facile d’entrer mais dont il est très difficile de sortir : tout a été fait pour essayer de punir le peuple britannique, en vain.

Pour nous, si le Royaume-Uni quitte bel et bien l’UE, il reste pleinement dans notre communauté de civilisation, et c’est aussi pour lui que nous allons continuer de travailler à la complète refonte des traités européens et à l’avènement d’une Europe des nations, des coopérations et des protections.
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EN BREF !
Mercredi 20 février, la Roumanie a officiellement lancé une procédure contre le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans, ainsi que la commissaire européenne à la Justice, Věra Jourová, sur les chefs d’accusation d’abus de pouvoir, notamment dans la mise en œuvre du Mécanisme de coopération et vérification (MCV), chargé depuis 2007 d’évaluer les réformes judiciaires et la lutte contre la corruption dans le pays. Les commissaires européens jouissent pour l’instant de l’immunité... mais plus pour très longtemps.
C’est également mercredi 20 février qu’a commencé la nouvelle campagne d’affichage du Fidesz en Hongrie ; on y voit Jean-Claude Juncker et Georges Soros hilares avec comme commentaire : « vous avez également le droit de savoir ce que Bruxelles est sur le point de faire ». Trois phrases expliquent ensuite que Juncker et Soros veulent toujours moins de protection de nos frontières pour toujours plus d’immigration, avec les fameux quotas imposés par la Commission à chaque État membre.
Vendredi 22 février, les ambassadeurs des Vingt-Huit auprès de l’UE (Coreper) ont avalisé l’accord interinstitutionnel trouvé le 19 février sur la proposition de règlement imposant une réduction des émissions de CO2 pour les nouveaux poids lourds : -15 % d’ici à 2025 et -30 % d’ici à 2030 par rapport à 2019. On s’en réjouirait volontiers si l’UE n’avait pas démantelé méthodiquement le fret ferroviaire en encourageant sans cesse un fret routier à la fois plus polluant et dangereux.
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