* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Depuis l’annonce de l’intéressée elle-même, divers journaux et magazines se sont évertués à lister le nom de personnalités supposés pouvoir être le père de l’enfant à naître, Aznar a démenti, Arthur de même, restaient en liste parmi les pré nominés : Le PDG d’un Groupe Hôteliers de Luxe et de Casinos de jeux, le PDG d’un Groupe Industriel à la pointe des affaires, qui n’avaient pas démenti et qui peut-être s’interrogeaient s’il devaient le faire ou encore espéraient qu’un démenti provienne de l’intéressée.
Puis au bout de quelques jours, la polémique s’est essoufflée, les journaux n’en écrivaient que quelques lignes, sauf à en parler lors de la présence de Rachida Dati au congrès UMP de Royan à part quelque articles de plumes qui s’attardaient sur le sujet avec sympathie dans l’ensemble sur des sites français, et avec moins de sympathie sur les sites marocains, sur cette future naissance, la polémique ne faisait plus florès.
Convenait-il de la relancer ? Eh bien c’est chose faite depuis que le Président, au cours d’un pot organisé autour de Michelle Alliot-Marie qui célébrait son ...nième anniversaire, a lancé qu’il savait qui était le père de l’enfant de Rachida Dati et qu’il s’agit d’un membre du Gouvernement, peut-être pour faire entendre qu’il n’en est pas le père. Tenait-t-il la chandelle ?
Comment a-t-il osé parler ainsi …..! De quoi se mêlait-il, quelle indiscrétion, Rachida Dati n’a pas ri, comme d’autres dames ministres qui se trouvaient là, et comme je la comprends !
Ce qui devait arriver est arrivé, la polémique a repris !
Madame Rachida Dati en voyage en Israël a beaucoup plus intéressé les paparazzis et les cameramen par ses toilettes de maternité, que par le dépôt d’une gerbe à Arafat, geste qui a été fortement contesté à l’étranger, mais qui chez nous au contraire est admis benoîtement, pour ne pas dire béatement, en conformité de la ligne de politique étrangère assez « brouillonne » de la France qui nous est imposée actuellement par le Pouvoir, qui se plait àlouvoyer entre les israéliens et les palestiniens tour à tour, avec pour objectif final en fait de soutenir l’un ou l’autre selon les intérêts du grand manitou, l’oncle Sam.
Pour enrayer cette polémique je persiste à penser que Madame Rachida, sans avoir à dévoiler le nom du père, devrait prendre la parole pour démentir les différentes prés nominations et démentir aussi formellement la déclaration le Chef de l’Etat, et faire savoir fermement que c’est un évènement qui ressort strictement de sa vie privée.
Enfin pour en revenir à cette future maternité certains se sont saisis de cet évènement pour célébrer le « courage » de la future maman célibataire (pour le moment) alors que tous les jours des mamans célibataires sans trompettes ni tambours mettent au monde leurs bébés. Certains médias ont tenus aussi à l’occasion de cet évènement, plébisciter son action et ses résultats au Gouvernement ! Comme si subitement toutes les flatteries et les considérations lui étaient dues en raison de son entrée dans la maternité ! Certains médias vont même jusqu’à prétendre qu’on peut tout pardonner à une mère !
Je ne pense pas qu’il y aura lieu d’élever une statue place Vendôme pour célébrer les mérites de la maternité célibataire de Rachida Dati, ce n’est pas l’évènement du siècle.
Je souhaiterais que personne n’ait l’indécence de se pencher sur le berceau à la naissance et ensuite sur les photos du bébé pour y déceler des traits de ressemblance et extrapoler à nouveau pour identifier l’identité présumé du père. Trop c’est trop ! ….. Je ne suis pas du même bord politique que Madame Rachida Dati, mais j’estime qu’elle doit être respectée en tant que personne privée et surtout qu’elle doit se faire respecter. Aura-t-elle la liberté de le faire ?
S'il faut en juger par ses propres propos, il est permis d'en douter : Interrogé en Israël, dans un climat de confiance, sur sa vie privée, la Ministre a répondu en allusion à sa grossesse, : «Ce qui est gênant, ce sont les rumeurs, car les rumeurs sont difficiles à démonter. Ce qui est gênant, c'est que l'on puisse supputer… mais je n'y attache pas beaucoup d'importance"
Ce que nous pouvons trouver gênant nous c'est qu'elle n'y attache pas beaucoup d'importance.
"Les marchés, lorsqu'ils sont livrés à des groupes financiers, qui s’amusent en bourse comme des particuliers le font plus modestement dans les casinos avec des bandits manchots, procurent aux places boursières des « sensations » financières allant de l'euphorie au désespoir final.
C’est ainsi que ces groupes financiers blasés par les profits boursiers classiques, font crever le plafond, recherchant dans des transactions fictives et improductives des profits illusoires qui trouvent leur sanction dans des crises financières en cascade qui font boule de neige et affolent tous les marchés boursiers en frôlant le Krach.
La crise financière que nous traversons actuellement est de l'avis des experts la pire depuis la grande crise de 1929, mais ils disent aussi qu’un krach correspond à une baisse de plus de 10 % d'un indice en une séance. Or, à New York ou en Europe, les épisodes de panique boursière ne se sont jusqu'ici traduits que par des baisses « canalisées » à moins de 7 %.
L'abondance de liquidités mondiale, provenant des pétrodollars et des injections d'argent par les banques centrales, évite des purges trop violentes et toujours d’après les experts, depuis le krach de 1987, des garde-fous empêchent les marchés de reculer trop vite, trop fort.
Actuellement, on parle de "krach rampant", c’est-à-dire d'une baisse continue du marché, sans rebond parait-il pour les entreprises.
En dépit des baisses canalisées à moins de 7 %en séance boursière, depuis janvier, la Bourse de Paris a reculé de 25,74 %, et celle de New York de 17,70 %. Les places boursières des pays émergents relativement épargnées n'échappent pas non plus à la correction et les places de Shanghai et de Bombay ont perdu 61,72 % et 34,77 % de leur valeur en neuf mois.
Des investisseurs avertis s'attendent à ce que ce mouvement de baisse se poursuive, compte tenu de la détérioration de la situation de l'économie réelle et prévoient moins de croissance, donc moins de profits.
La politicoparade constante à laquelle le Chef de l’état et son équipe gouvernementale, soutenus par l’UMP et partis politique engagés à leur côté, largement commentée par les médias branchés, nous présente des scénarios successifs dont nous commençons à nous lasser : ca ne prend plus !
En quoi consiste la mise en scène ? Les ministres et secrétaires d’Etat au prétexte d’entretenir de réformes et de moderniser l’Etat sont chargés de se lancer sur le devant dela scène pour faire des déclarations et des annonces diverses, qui généralement à ce stade sont présentées comme des propositions de loi reflétant les maturations de leurs « idées », dont certaines sont assorties de récompenses fiscales ou socialespour les convertis ou soumis au système prédateur libéral , ou de « punitions fiscales pour les récalcitrants », du genre « bonus malus » qui est appelé à faire florès.
Ainsi ces ministres et secrétaires d’état, sous employés godillots à mon sens, jouent dans un premier temps le rôle de Monsieur Loyal, autrement dit d’aboyeurs.
Immédiatement après les déclarations et les annonces, les critiques politiques et associatives fusent de toutes, favorables ou défavorables,les meutes de lapresse écrite et l’audiovisuels’ens’empare alors et déchaîne les polémiques, les députés s’émeuvent, un déchainement de bruits parlementaire et médiatiques cacophoniques arrive en milieu de scène qui oblige alors le Ministre ou le secrétaire d’état « Monsieur Loyal godillot », à entrer sur le devant de la scène, sous l’œil des paparazzis et des cameras, pour démentir « les intentions qu’on lui prête », et accuser les médias et les politiques d’extrapolation du genre : « ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit ,j’ai parlé de propositions en citant un exemple, ce n’était qu’une idée à l’étude ….mais aucun projet n’est encore arrêté.
Le public médiatique redouble de huées, le démenti n’est pas crédible, alors le premier Ministre entre à sont tour en scène pourjouer les médiateurs en faisant mine dedésapprouver tout en approuvant avec des formules alambiquées destinées à inviter les ministre et secrétaires d’Etat d’état à la fermer provisoirement et attendre l’entrée en scène finale de la grande vedette providentielle, de retour d’un déplacement à l’étranger ou en provinces, qui fonce alors sur la scène pour trancher la question.
C’est le moment du suspens, les spectateurs s’attendent à une engueulade élyséenne du genre « taisez vous et agissez en silence, pauvres c..s !… j’ai les moyens de vous bottez les avec mes doubles talonnettes pointues,… vous allez voir ce que parler Sarko veut dire…. », Mais non pas du tout, bien au contraire après quelques éclats de voix jetés à la cantonade pour satisfaire son égo surdimensionné, la vedette finit par approuver le fond, fait remarquer l’insuffisance de la forme, et installe un groupe de travail avec pour mission de diluer les déclarations explicites et imprudentes pour les reconditionner, et les servir plus tard au moment opportun, sous formes de couleuvres absorbables sans douleur par la population.
Les acteurs réhabilités reviennent saluer sur le devant de scène les spectateurs anesthésiés, tout le monde se calme momentanément, les médias et les politiques de tous bords se lancent dans d’autres polémiques sur d’autres sujets sorties à point du parapluies des prestidigitateurs de l’UMP et de l’équipe du Gouvernement, la politicoparade se lance en piste à la recherche d’ un autre jeu dont il faudra démêler encore une fois les ficelles, et de fil en aiguille le spectacle politicoparade se remet en marche.
Mais les spectateurs désabusés quittent la salle et de jour en jour la cote de confiance de Nicolas Sarkozy descend en chute accentuée dans une spirale infernale, ainsi elle vient de baisser de trois points en un mois pour atteindre 37%, dans le même temps, 62% des spectateurs interrogés disent ne pas être satisfaits de l'action du président de la République,
Pour le chef du gouvernement qui a la prudence de se tenir à carreau en fond de scène le yoyo des sondages grimpe péniblement d’un point, de 45 % à 46%.
Les ministres et secrétaires d’état sont invités à redresser la barre …. mais le navire reste en rade.
Pendant ce temps, les spectateurs désabusés comptent les centimes d’euros qu’ils leur restent après avoir payés les impôts, les rentrées scolaires et universitaires de leurs enfants finissentde les achever, ils sombrent dans la morosité ….. et pendant ce temps le Président s’offre un nouvel avion pour se donner l’impression de voler haut.
Assurance maladie : Sarkozy veut porter les comptes à l'équilibre pour 2011
En visite à l'hôpital de Bletterans dans le Jura, Nicolas Sarkozy a présenté les «priorités» de sa politique de santé.
Le chef de l'Etatveut quetous les acteurs, de l'hôpital aux assurances complémentaires,travaillentà rendre le système de santé plus économe et plus performant.
Il aconfirmé la réorganisation de l'hôpital qu'il avait déjà annoncée en confirmant leregroupement d'établissements. Il envisage que les plus petits services de chirurgie ou de maternité disparaissent pour se consacrer à «la prise en charge du grand âge ou du handicap adulte».
Il justifie les franchises médicale : Le Président qui s’intéresse tout particulièrementà la Maladie d’Alzheimeret à son plan de financement),a vivement critiqué «ceux» qui s'opposent aux franchises médicales et il a dénoncé en les désapprouvant,ceux qui sont contre le financement du plan Alzheimer, contre l'ouverture de nouveaux lits de soins palliatifs, contre l'argent qu'on va donner au plan cancer.
(Cette critiquevisait-elleles membres du « collectif contre les franchises médicales» qui regroupe 70 organisations (syndicats, associations, partis politiques ? ….. d’aucun ne vont pas manquer de réagir).
( à noter au passage que le financement de laMaladie d’Alzheimer intéresse aussi tout particulièrement , pour les subventions qu’elles espèrent en obtenir, de nombreuses fondations, associations et Groupes d’assurances et de retraites ,comme par exemple la Fondation Mederic Alzheimer dépendant du Groupe Médéric dont Monsieur Guillaume Sarkozy est Président)
Le Président arappelé que c’était lui qui avait demandé à Roselyne Bachelot de les mettre en œuvre (les franchises médicales) : « Je n'ai fait qu'anticiper les besoins de demain : le cancer, la maladie d'Alzheimer, les soins palliatifs. Si on veut dépenser plus, il faut trouver des recettes.»
Autre préoccupation du Présidentles abus, les fraudes : «J'invite l'Assurance maladie à intensifier la lutte contre les gaspillages, les abus et les fraudes», apoursuivi Nicolas Sarkozy. Il souhaite que soient mis en place des «pénalités plancher» pour lutter contre les abus et les fraudes à l'assurance-maladie, dès 2009, «sur le modèle de celui en vigueur pour lutter contre le travail illégal».
Equilibre budgétaire
Enmatière d’équilibre budgétaire, le chef de l'Etat accorde trois ans à son gouvernement pour réussir à équilibrer les comptes de la Sécurité sociale et considère qu’assurer le financement des dépenses de santé, c'est un défi pour demain qui se joue aujourd'hui. C'est pourquoi il asouhaité que l'assurance maladie revienne à l'équilibre en 2011».
(Le déficit de l'assurance maladie prévu en 2008 se monte à 4,1 milliards d'euros.)
Maladies chroniques
Pour la prise charge des maladies chroniques, Nicolas Sarkozy demande que «des forfaits de prise en charge » des personnes atteintes d'une maladie chronique soient expérimentés par l'assurance maladie et les complémentaires santés. Ces forfaits devront se substituer au paiement à l'acte. Socle d'une prise en charge attentive et régulière, ils seront un élément essentiel de qualité des soins», a expliqué le chef de l'Etat.
Taux de mortalité
Quant aux taux de mortalité, le Président de la république souhaite que les causes des accidents soient identifiées au sein des hôpitaux : «il faut que soient rendus publics, pour chaque établissement de santé, quelques indicateurs simples, comme le taux de mortalité ou le taux d'infections», a-t-il proposé.
Intéressement du personnel
Le Président Nicolas Sarkozysoutient «une politique d'intéressement du personnel médical et paramédical» dans les hôpitaux au budget équilibré : «La réforme doit aussi accompagner tous ceux qui s'engagent dans le changement. Pourquoi ne pas permettre aux hôpitaux qui sont à l'équilibre, grâce aux efforts de tous leurs personnels, de redistribuer une partie des excédents à leurs salariés au travers d'une politique d'intéressement ?», s'est interrogé M. Sarkozy, en plaidant pour «une politique d'intéressement du personnel médical et paramédical».
Zones rurales
Enfin, Nicolas Sarkozy veutaméliorer les incitations pour l'installation de médecin dans les zones rurales et dans les banlieues.
Les "bonus-malus" d’inspiration JL Borloo et NKM n’en finissent pas de faire grincer des dents aussi bien dans l’opposition que dans la majorité.
Irrités par la taxe sur les revenus du capital pour financer le RSA, les députés UMP acceptent mal l'annonce de nouvelles taxes écologiques, notamment le bonus-malus sur l'électricité qu'envisagerait Jean-Louis Borloo.
». Nombreux les membres et députésUMP qui font connaîtreleur inquiétude sur la pertinence du dispositif avancé par le ministre de l'Ecologie
Le premier d'entre-deux, Jean-François Copé a sur LCI, «mis en garde» le gouvernement.
«Je préfère des mesures incitatives à de nouvelles taxes», a-t-il prévenu,en soulignant le risque que de nouvelles taxes «ne soient pas bien comprises «Nous allons rencontrer Jean-Louis Borloo pour en parler avec lui», a t-il affirmé.
A l'UMP, la désapprobation s’accentued'autantque Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale, a critiqué,mercredi, la naturedes prélèvements, après l'annonce d'une «taxe pique-nique», et l'éventualité -démentie par Borloo- d'une extension du bonus-malus à la consommation d'électricité.
Sur LCILundi passé Bernard Accoyer agacé,a dénoncé un "concours Lépine" des prélèvements. "Je taxe ceci, je détaxe cela", a ironiséle président de l'Assemblée nationale, en recommandant : "Je suis partisan de clarifier la politique de la majorité" et que "l'on cesse des annonces en tous sens" ……. "Le stade de la réflexion ne doit pas être une exposition permanente d'idées iconoclastes qui ne seront pour la plupart d'entre elles pas prises».
Ndlr :à la suite de « l'éventualité –démentie » par Borloo, Le Parisien qui avait diffusé l’information la veille a maintenu : « « Pour notre part, nous maintenons l'intégralité des informations parues dès mardi soir sur le site internet du Parisien et le lendemain dans nos éditions «papier». Une réunion entre des représentants du secteur de l'électricité et Jean-François Carenco, le directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo a bel et bien eu lieu le lundi 15 septembre pour évoquer le bonus-malus écologique. Le même jour, Jean-Louis Borloo recevait d'ailleurs le président d'EDF, Pierre Gadonneix. Nous confirmons également le souhait exprimé alors par le ministère du Développement durable d'intégrer ce projet de bonus-malus électrique dans le cadre, plus large, de la réflexion, confiée à Jean-Claude Lenoir, député UMP de l'Orne, et François Brottes, député PS de l'Isère, sur les prix et les tarifs de l'électricité en France » »
Bernard Accoyer a, aussi, ironisé sur I-télé : «Sur les bonus-malus, il y a un petit côté concours Lépine. Je taxe ceci, je détaxe cela» a-t-il répété …..en développant ses arguments déjà présentés sur LCI ».
Citant la taxe dite « pique nique » récemment annoncé par Jean-Louis Borloo sur les assiettes et couverts jetables Bernard Accoyer a questionné : «Que vont devenir les fabricants de gobelets si on décide que leur avenir sera entaché par les taxes ?"…
De son côté, Dominique Perbena remarqué : Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement s’est livré à une cacophonie en matière de taxes, du financement controversé du RSA à la multiplication de mesures de bonus-malus écologique.
D’où la grogne de députés UMP, furieux que le président oublie ses promesses d’allégements fiscaux.
François Fillon lui-même a démentiJean-Louis Borloo : Le premier ministre a déclaré, jeudi, que le gouvernement n'envisageait aucune extension du bonus-malus à des produits autres que l'automobile. "Il n'y a pas d'arbitrage, il n'y a pas de taxe nouvelle", a dit François Fillon à des journalistes dans l'avion qui l'emmenait à Rome. "Il n'y a pas de liste. Il n'y a pas de taxe pique-nique", a-t-il souligné, récusant ainsi les déclarations deJean-Louis Borloo, et de sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Toutefois, le chef du gouvernement a précisé que d'éventuelles nouvelles "taxes vertes" seraient envisagées dans le cadre du Grenelle II, programmé en 2009 et après évaluation du bonus-malus automobile, actuellement en vigueur. –
Entre deux déplacements en Province ou à l’Etranger il arrive que le Président Nicolas Sarkozy dispose de quelquesmoments pourrecevoirses ministres et leur manifester « ses vives impressions » pour ne pas dire sa « colère » et cette fois,c’est au tour du tandem Jean-Louis Borloo-Nathalie Kosciusko-Morizet d’êtreconvoqué cet après-midi à l’Elysée pour un mise au point après, quele précédant hier,François Fillon,a déjàprécisé que rien n’était arbitré sur les taxes écologiques.
Sur LCILundi passé Bernard Accoyer agacé, a dénoncé un "concours Lépine" des prélèvements. "Je taxe ceci, je détaxe cela", a ironisé le président de l'Assemblée nationale, en recommandant : "Je suis partisan de clarifier la politique de la majorité" et que "l'on cesse des annonces en tous sens" ……. "Le stade de la réflexion ne doit pas être une exposition permanente d'idées iconoclastes qui ne seront pour la plupart d'entre elles pas prises».
Puis citant la taxe dite « pique nique » récemment annoncé par Jean-Louis Borloo sur les assiettes et couverts jetables Bernard Accoyer a questionné : «Que vont devenir les fabricants de gobelets si on décide que leur avenir sera entaché par les taxes ?"…
De son côté, Dominique Perbena remarqué : Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement s’est livré à une cacophonie en matière de taxes, du financement controversé du RSA à la multiplication de mesures de bonus-malus écologique.
Toutes ces prises de position accentuent la grogne des députés UMP, furieux que le président oublie ses promesses d’allégements fiscaux.
François Fillon lui-même a démentiJean-Louis Borloo : Le premier ministre a déclaré, jeudi, que le gouvernement n'envisageait aucune extension du bonus-malus à des produits autres que l'automobile. "Il n'y a pas d'arbitrage, il n'y a pas de taxe nouvelle", a dit François Fillon à des journalistes dans l'avion qui l'emmenait à Rome. "Il n'y a pas de liste. Il n'y a pas de taxe pique-nique", a-t-il souligné, récusant ainsi les déclarations deJean-Louis Borloo, et de sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Toutefois, le chef du gouvernement a précisé que d'éventuelles nouvelles "taxes vertes" seraient envisagées dans le cadre du Grenelle II, programmé en 2009 et après évaluation du bonus-malus automobile, actuellement en vigueur. –
Entre deux déplacements en Province ou à l’Etranger il arrive que le Président Nicolas Sarkozy dispose de quelquesmoments pourrecevoirses ministres et leur manifester « ses vives impressions » pour ne pas dire sa « colère » et cette fois,c’est au tour du tandem Jean-Louis Borloo-Nathalie Kosciusko-Morizet d’êtreconvoqué cet après-midi à l’Elysée pour un mise au point après, quele précédant hier,François Fillon,a déjàprécisé que rien n’était arbitré sur les taxes écologiques.
ooOoo
Le porte parole du Gouvernement Luc Chatel cherche lui à temporiser les humeurs belliqueuses en remarquant : "ça n'est pas une taxe par jour" mais "les conséquences du Grenelle de l'environnement" ….
Ndlr : tiens donc ! On ne s’en était pas aperçu !
"Il faut dorénavant une fiscalité environnementale, il faut que la fiscalité soit un outil d'orientation et de changement des comportements", a indiqué Luc Chatel "La règle générale de cette nouvelle fiscalité, c'est à prélèvements constants." Et M. Chatela tenu à dédouaner l’Etat : "L'Etat ne va pas s'en mettre dans les poches en passant parce qu'on oriente la fiscalité vers les produits environnementaux."
Ndlr : si j’en crois Monsieur Luc Chatel la fiscalité environnementale est un outil d’orientation et de changement des comportements, autrement dit le moyen coercitif pour nous transformer en mouton de panurge, à leur gré, comme le martinet dans la main du père fouettard ! De plus il nous dit que « la règle générale de cette nouvelle fiscalité, c’est à prélèvements constants », eh ! bien ils n’y vont pas de main morte ! Jusqu’à quand accepteront nous d’être battus et contents ? Je ne dis pas « battus, cocus et contents », je laisse ‘cocus’ en malus supplémentaires à ceux qui persiste à voterpour une droite libérale très dure qui entend nous tondre et nous sucer jusqu’à la moëlle, quoique qu’avec un bel ensemble touchant actuellement, ils se manifestent pour nous rassurer en projetant cette quesTion dans le futur.
Monsieur DARCOS a l'art de soulever périodiquemant de nombreuses polémiques . Il semblerait que le mot d'ordre au gouvernement actuellement est "couches". Monsieur Darcos ne trouve pas justifié que des professeurs formés bac +5 s'emploient principalement en maternelle à changer des couches et à faire faire la sieste aux élèves, ce qui naturellement est faux puisque l'une des conditions d'accueil des enfants en maternelle est qu'il soient propres.
De son coté NKM, la secrétaire d'Etat à l'Ecologie et l'environnement, a déclaré tout récemment sur Europe 1 qu'il faudrait que l'on apprenne dans les maternité à faire laver des couches "lavables" au prétexte que les couches jetables seraient polluantes et qu'on devrait les taxer d'un malus, simple proposition qui pourrait devenir réalité.
Derrière ces appréciations ministérielles éducatives et écologiques, j'entrevois deux intentions l'une de la part du Ministre Darcos de rabaisser le niveau des professeurs pour les payer moins en maternelle, et de la part du Ministre Darcos et NKM l'intention dissimulée de faire rentrer les mamans au foyer pour leur faire garder les enfants et laver des couches. En dernier il ne leur manquerait plus qu'à faire fermer les "maternelles".
On pourra alors leur décerner une médaille de la nature de celle que l'on trouve dans les couches !Merde alors !
Ndlr : je note une parfaite incohérence dans les suggestions de Madame Kosciusko-Morizet, pour laver des couches « lavables » , à moins de les laver à la main, demande une consommation d’énergie, d’eau ,de lessive, produit blanchissant et adoucissant, tout aussi polluante, sinon plus que les couches jetables, dont certaines sont du reste biodégradables. Et de plus avant delaver et blanchir les couches « lavables », il faudrait les dégarnir des cacas des bébés, le jeter dans les cabinets, d’où encore une consommation d’eau dont on nous recommande périodiquement de faire économie. C’est donc parfaitement insensé que de faire une telle proposition, et la Secrétaire d’Etat à l’écologie dans sa listeen produits jetables par destination, liste extensible à souhait, qu’elle se propose de soumettre à une « fiscalitéenvironnementale »doit certainement penser aussi aux mouchoirs en papiers et aux papierstorche-culs. On pourrait certes, en passant sur les règles d’hygiène les plus élémentaires, éviter d’utiliser des mouchoirs en papiers en période de grippe en se mouchant dans les doigts par exemple et en crachant les glaviots par terre, et ne plus se torcher aux toilettes.
Trop style "uniforme" ! il faut changer de goûts et de couleurs !
article de lucienne magalie pons
Quels que soient vos goûts et vos couleurs, saisons après saisons ,les stylistes, les couturiers et les fabricants de prêt à porter, choississent les couleurs dominantes de leur collection. Il faut croire qu'ils ont sigulièrement manqué d'audace cette saison, puisque tout ce que nous proposent les boutiques et les grands magasins en matière de modes féminines, imper, manteaux,robes, chemisiers , écharpes, et même sous vêtements, etc... se déclinent en deux couleurs dominantes, unies ou imprimées sur fond blanc : le gris et le violet.
Le tout pour s'aligner sur les couleurs de Carla-Bruni Sarkozi, dont on veut faire une idole, qui a porté en visite chez la pudique Albion un tailleur gris élégant mais assez "uniforme "quand à sa coupe, et ensuite une robe de soirée violette pour recevoir Shimon Perès à l'Elysée
Une façon comme une autre d'uniformiser les clientes et de les fondre comme les brebis d'un troupeau dans une mode communautaire assez terne.
Ainsi s'impose cette saison dans notre société une "mode de bois", comme s'est installé dans la presse alignée une "langue de bois", qui nous condamne avec le gris à la grisaille et avec le violet au deuil, puisque le violet est une ancienne couleur de deuil.
Pour ma part j'ai décidé de faire de la résistance, j'ai décidé de ne rien acheter, le gris et le violet contrarient mon teint de rose en l'assombrissant, et je puiserai dans ma garde robe des années précédentes, dont la gamme me permet d'assortir mes goûts et mes couleurs selon mon teint et au gré de ma fantaisie : j'ai horreur de l'uniforme aussi prestigieux soit-il. Tranquilisez vous ! je n'ai pas une garde robe de princesse, quelques articles suffisent quand ils sont bien choisis.
Un chevalier de la chanson porte les couleurs de Dame Carla , il est vrai que ce n'est pas en tournoi, mais tout simplement sous l'œil des paparazis, c'est plus glamour et moins dangereux !
la preuve ? rendez vous sur : http://www.purepeople.com/15163-PHOTOS-Elton-John-a-la-Carla-Bruni-attitude-.html
Ils ont et nous avons choisi l'Honneur et la Fidélité JAMAIS NOUS NE LES OUBLIERONS
Ci-dessous reproduction d'une lettre que j'ai reçu en communication de l'un des mes correspondants avec l'autorisation de publier :
Clément CHARRUT
Officier supérieur en retraite
Chevalier de la Légion d'Honneur
Bayonne, le 11 août 2008
à
- Monsieur Erard Corbin de Mangoux
Conseiller auprès du Président de la République
- Monsieur Eric Etienne
Conseiller auprès du Premier ministre
Monsieur Yves Kodderitzsch Président du Haut Conseil des Rapatriés-
Monsieur Renaud Bachy Mission Interministérielle aux Rapatriés
Messieurs,
En réaction à la correspondance que vous ont adressée le 8 août Mme Taouès TITRAOUI et M. Bernard COLL, je tiens à ajouter le point de vue d'un pied noir anonyme. La vérité est que la négation, la falsification et bientôt l'effacement de l'histoire de l'Algérie française font que notre cause est devenue impossible à gagner sinon impossible à défendre (nous le faisons néanmoins par devoir) si l'actuel gouvernement ne met pas fin au mensonge d'état ni ne met fin à ce climat morbide de repentance masochiste à sens unique! La France ne veut pas reconnaître ses torts dans ce domaine. A des fins immédiates d'adhésion à sa politique de retrait, le gouvernement De Gaulle a braqué l'opinion publique contre les pieds noirs et les a chargés de tous les maux avant de les livrer aux égorgeurs. Et le tort causé n'a pas été réparé. Vous ne reconnaissez pas l'imposture gaulliste en Algérie par volonté de ne pas toucher à l'icône De Gaulle. Vous refusez de dissocier le De Gaulle de 1940 de celui de 1958-62. Imposture qui commença en 1943 quand il s'appropria l'outil militaire forgé par Giraud en AFN. Les pieds noirs lui ont alors bien servi pour être présent à la table des vainqueurs. Ils lui ont bien servi pour revenir au pouvoir en 58 par les manœuvres des Delbecque, Neuwirth et consorts à Alger et en Corse. On sait comment il le leur a rendu et comment il a continué à faire tuer ses militaires tout en négociant avec un FLN pourtant vaincu sur le terrain. On sait comment, dans un lâche soulagement, la France a approuvé les illusoires accords d'Evian et l'abandon de l'Algérie au seul FLN qui n'existait plus sur le terrain et était loin de représenter toute la population. Faut-il vous rappeler que de ce scrutin d'avril 62 les pieds noirs et les musulmans d'Algérie étaient exclus ? Curieuse démocratie! Tout ceci vous le niez. Comme vous oubliez ce que l'Icône disait sur l'immigration algérienne et l'intégration, par des propos qui vaudraient à n'importe qui d'autre des poursuites immédiates. Il y a aussi le désir démagogique et bien illusoire de plaire à la population d'origine immigrée, mais à force de lui donner raison dans ses revendications mémorielles antifrançaises, vous la confortez dans ses exigences et ses mensonges, pendant que les archives qui prouvent les massacres de 1962 sont verrouillées (mais pas celles sur la torture !). On est mieux considéré dans ce pays quand on est étranger ou d'une "minorité visible" que quand on est pied-noir! Cette véritable xénophilie est ridicule: En 1962 les pieds noirs étaient priés "d'aller se réinsérer ailleurs", ils étaient accusés de "prendre le travail et les logements des Français" (je l'ai entendu encore en 2004 !) ils étaient taxés de "même pas français" (je l'ai entendu dans l'Armée française) au prétexte qu'ils comptaient parmi eux des gens d'origine espagnole ou italienne. Et aujourd'hui les mêmes se gargarisent de la "diversité" de la France. On rejetait les Français d'Algérie et les harkis patriotes et maintenant on se flatte de cacher des sans papiers. Curieux et incohérent peuple "français"…Vous ne répondez pas aux questions qu'on vous pose, ou de façon fragmentaire, ou bien vous nous parlez de commissions. "Quand on veut enterrer un problème en France, on crée une commission" disait déjà Clémenceau… Rien sur les cimetières qui ont été rasés ou tellement profanés qu'on les "regroupe" pour effacer les traces de ces profanations. Il fallait payer pour récupérer des restes; quelle honte! Rien sur la mémoire des Anciens-Combattants pieds noirs et de ceux d'entre eux morts pour la France et dont les monuments n'existent plus. Vous acceptez lâchement les reproches de Bouteflika sur la mémoire des A-C "algériens" de Verdun ou d'ailleurs, et vous n'avez pas le courage de lui rétorquer que leurs noms étaient inscrits sur les monuments que le FLN a détruits en 62, et que le FLN persécutait ceux qui persistaient à porter leurs médailles françaises. Il n'y avait pas que des "indigènes" dans l'Armée d'Afrique. Les pieds noirs étaient les plus nombreux et ils ont fourni un effort de mobilisation supérieur à toute autre population, Métropole et Empire confondus. Ces "même pas français" étaient bons pour mourir en Italie (mais que savez vous de la campagne d'Italie?) en Alsace et en Allemagne pendant que les nombreux résistants de la dernière heure tondaient des femmes. Mais à qui vont les honneurs aujourd'hui quand on parle de 1945 ? Aux seconds ! Mon père était l'un de vos libérateurs, il était comme la plupart des pieds noirs, de condition très modeste (contrairement à la propagande que vous gobez) et il est mort sans avoir compris pourquoi 17 ans à peine après avoir perdu tant de camarades de combat, il était si mal traité par sa propre nation. Il a fallu que ce soit Djamel Debbouze qui rappelle que les pieds noirs étaient nombreux en 44-45…La repentance à sens unique pratiquée par MM. Sarkozy, Marleix et Bajolet est révoltante, entre autres, parce qu'elle ne s'accompagne d'aucune exigence vis à vis de l'Algérie et d'aucune réciprocité de sa part : vous ne réclamez pas la vérité sur les disparus civils et militaires, vous ne cherchez pas à récupérer leurs restes mortels, vous donnez les archives de l'INA et semble-t-il bientôt celles des Armées (propriété de la France!) mais vous n'exigez pas la restitution des 5 millions d'actes d'état civil concernant la population dite européenne de 1830 à 1962. Que M. Sarkozy aille donc vendre du nucléaire à l'Algérie du FLN. Quand ce pays ni viable ni vivable parce que né d'une imposture et du terrorisme ("des visas, des visas !") sera un état islamique et constituera un nouvel Iran aux ambitions nucléaires à caractère militaire, qui assumera cette responsabilité? Aucun de vous ne songe à répliquer à Boutéflika que l'Algérie doit son existence à la France. Personne n'ose lui dire que ce serait plutôt aux arabes de restituer l'Afrique du nord aux berbères qu'ils ont envahis et islamisés. Vous n'osez pas lui rappeler que sans l'Algérie française, le Sahara et ses richesses n'appartiendraient pas à son pays dans ses frontières actuelles. On oublie que jusqu'au début de 1962, De Gaulle ne voulait négocier que sur les départements du nord mais pas sur le Sahara qui n'a rien à voir avec l'Algérie de 1830. Aucun de vous n'ose réclamer à l'Algérie la moindre repentance pour les massacres et les atrocités commises par le FLN. Vous ne vous rappelez même pas que ce dernier a commis en 8 ans, ici en Métropole, des centaines d'attentats matériels (les raffineries de Marseille ont flambé plusieurs jours) et assassiné 4000 personnes dont les trois quarts de musulmans. La télévision publique négationniste fait régulièrement et en toute impunité (avec notre argent) l'apologie du terrorisme du FLN tout en crachant sur la France. Une poseuse de bombes qui tua des civils y est nommée "résistante et héroïne"! Dans le même temps l'OAS qui n'a existé que moins d'un an est chargée de tous les crimes de telle sorte que l'opinion publique retienne que les attentats de cette période n'étaient que de son fait. C'est ainsi qu'une enfant mutilée par un attentat FLN à Alger s'entendra demander plus tard à Montpellier si c'était à cause de l'OAS qu'elle avait perdu un bras ! Mais que peut-on face à l'histoire convenue? Vous allez en réalité, je le crains, continuer à céder à la véritable dictature de l'anticolonialisme primaire, du racisme anti pied noir et de l'histoire falsifiée mais officielle imposée par des "intellectuels" à l'indignation sélective. Vos engagements ne nous trompent plus et justice ne nous sera pas rendue, sinon peut-être par des Algériens eux-mêmes, comme dans le film "Histoires à ne pas dire" (que la télé publique collabo n'est pas près de programmer!) ou comme dans les propos d'Aït Ahmed en 1987. L'existence même de vos fonctions actuelles et la survivance d'organismes tels que H.C.R., M.I.R. ou ANIFOM après 46 ans constituent l'aveu explicite que subsistent des problèmes non réglés ! C'est une honte et un scandale pour cette France donneuse de leçons, qui s'intéresse aux disparus de Srebrenica ou aux otages colombiens mais se fiche de ses disparus d'Algérie et laisse salir sa propre mémoire. Je livre à votre réflexion cette conclusion d'un livre. Elle résume bien notre situation d'éternels français de seconde catégorie fichés DZA (pourquoi pas FLN?) qui doivent justifier de leur nationalité française chaque fois qu'ils renouvellent leur passeport, dans ce pays où on donne à des rues des noms de "membres du FLN"!
"Y avait-il pour notre pays natal et pour ces Français approximatifs que nous étions une place dans cette nation immodeste qui n'a su trouver jusqu'à ce jour, ni pour elle un mot de contrition, ni pour eux un mot de compassion, et encore moins reconnaître la vérité qui seule peut guérir?"(Le Onzième CommandementAndré Rossfelder)
-Je vous prie d'agréer, Messieurs, l'expression de ma considération distinguée.
Un signe distinctif ostentatoire et discriminatoire : la Médaille « Darcos »
Le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos proposede remettre des médailles à certains bacheliers, une mesure qui doit "s'inscrire dans un contexte général de la reconnaissance du mérite".
"Nous avons considéré qu'il était heureux de donner un peu de solennité à la reconnaissance du baccalauréat par une médaille ou par autre chose", a déclaré Xavier Darcos sur France-Info. Il a souligné que cette mesure doit "s'inscrire dans un contexte général de la reconnaissance du mérite" ….. eta expliqué….. "Ce que nous avons constaté c'est que les expériences qui ont été conduites dans certains établissements qui consistent à mettre un peu de cérémonie autour de la remise des diplômes du baccalauréat ont eu beaucoup de succès".
Le ministre de l'Education nationale souhaite instituer cette cérémonie "en particulier dans certaines académies où on trouve beaucoup d'élèves qui sont arrivés au baccalauréat après bien du travail et bien des sacrifices". "Il ne faut pas imaginer qu'on va accrocher une médaille au revers de tous les bacheliers, ce n'est pas du tout ce que nous voulions dire", a-t-il souligné. "Ne caricaturons pas, je suis à la recherche de la reconnaissance du mérite des élèves qui viennent souvent des milieux les plus difficiles"
- Mon analyse : Nous nous n’y trompons pas, la médaille ne serait pas destinée à récompenser le bachelier mais à célébrer « le mérite » au cours d’une cérémonie solennellede « reconnaissance du mérite ». Ainsi le « mérite » serait érigé en concept et certains bacheliers quirecevraient la médaille « Darcos » ne serviraient, en définitive,que de support à la célébration solennelledu « mérite ».
Dans une société qui interdit aux élèvesdans les Etablissements d’enseignements, le port d’insignes distinctifs religieux, le ministrepropose de distinguer les reçus des recalésen leur accrochant une médaille au revers. Ne s’agit-il pas là d’un signe distinctif ? qui distingue les reçus des recalés au bac ?
Nous ne savons pas sila cérémonie solennelle del’accrochage de la médaille « Darcos » au revers se déroulera dans un Etablissement d’enseignement, ou si la République généreuse pour ne pas enfreindre la loi, permettra de louer une salle extérieure pour célébrer sa grand messe de louange au « mérite » et d’accrochage des médailles.
Les malchanceux recalés qui bien souventauront eu le mérite de fournir autant d’efforts que les reçus, seront discriminés : c’est injuste, et si l’on considère le principe d’égalité cette médaille est tout à fait anti démocratique.
Alertes ! Les ménages" énergivores" sont dans le collimateur de Jl Borloo
Le Parisien.fr nous apprend :
INFO LE PARISIEN : « Jean-Louis Borloo a une nouvelle idée pour décliner son bonus-malus : le ministre de l'Ecologie songe à l'appliquer aussi à la consommation d'électricité. Objectif : primer les ménages qui font tourner leur compteur en heures creuses et pénaliser les foyers les plus énergivores. Une première réunion sur le sujet a eu lieu lundi avec les professionnels du secteur.
La mesure pourrait voir le jour dès 2010.
leparisien.fr »
note de lucienne magalie pons : çà commence à bien faire Monsieur Borloo ! entre votre manie de sortir une taxe presque chaque jour et les prescriptions de votre secrétaire d'état qui veut que les mamans utilisent des couches lavables et apprennent à les laver je suppose au moyen d'une machine à laver électrique(*) , couches lavables soit disant moins polluantes que les couches jetables, il faudrait mettre vos horloges à l'heure !
A quelle heure faudrait-il d'après vous faire tourner la machine à laver SVP pour laver les couches '(*) il y a des urgences qui n'attendent pas les heures creuses ! à moins que par vos élucubrations conjuguéees vous n'aboutissiez à nous conseiller l'utilisation d' une machine à laver fonctionnant à l'huile de coude.
Puisque vous voulez vous occuper des agissements des ménages irez-vous jusqu'à établir un planning horaire à l'usage des ménages : de telle heure à telle heure faites ceci... de telle à telle heure faite cela .... etc.... faites vos câlins dans le noir de telle heure à telle heure, regarder votre télévision de telle heure à telle heure, passer votre aspirateur de telle heure à telle heure,utilisez votre machine à laver de telle heure à telle heure, utilisez votre ordinateur de telle heure à telle heure, allumez votre cuisinière électrique de telle heure à telle heure, votre four de telle heure à talle heure, votre cafettière de telle heure à telle heure, .... etc..... ainsi en se branchant tous pendant les heures creuses et elles deviendront des heures pleines et in the baba pour les consommateurs ils seront frappés du malus !
Quand à primer les ménages qui font d'eux mêmes tourner leur compteur en heures creuses on peut toujours promettre, ça se traduira par quelques "broutilles" d'euros pour justifier les pénalités excessives qui frapperont les ménages énergivores, et qui le sont le plus souvent bien plus par nécessité domestique que par détachement des questions d'économie énergétiques. Une fois de plus un bonus malus coercitif et injuste
Iront-ils avec le zèle inquisitoire et policier que nous leur connaissons, jusqu'à faire inscrire les "énergivores" sur un fichier du genre "Edvige" ou tout bonnement dans le fichier Edvige avec la mention"énergivore susceptible de faire sauter la planète " ? Resterait à déterminer à partir de quel critère( mensuel ou annuel ) et quel seuil de consommation les ménages seraient classés comme "énergivores, et là encore alerte tous les arbitraires sont permis.
La coupe est pleine ça suffit Monsieur Borloo ! D'autant que nous payons déjà la TVA sur nos factures d'électricité. Si le montant de la facture diminue, bien sur ce sera autant de Tva en moins à encaisser par l'Etat, et bien entendu votre bonus-malus compensera ce manque à gagner fiscal. Je suppose que vous savez compter et que vous avez fait une simulation.
Votre tactique pour faire croire que vous bosser dur pour préserver l'environnement consiste à créer des taxes dont l'analyse fait ressortir qu'en fait vous faites du "sur place" et comme vous le savez peut-être qui n'avance pas recule. Vous et le Gouvernement dont vous faites partie vous vous trouvez dans une ornière et votre chariot est bien mal en point à tout point de vue. La seule solution que vous trouvez pour espérer le sortir de la boue c'est d'ouvrir nos bourses, et d'y puiser à tout propos, mais tout comme les caisses de l'Etat nos bourses sont vides ! Alors Stop avec vos taxes s'il vous plait !
Actualisation au 19 Septembre 2008
Monsieur Jl Borloo, face à la levée de boucliers protestataires, qui se sont dressés face à l’annonce de ce bonus malus a démenti les informations du Parisien, sans les démentir vraiment, en laissant entendre qu’il s’agirait d’une idée deproposition parmi d’autres à l’étude, mais que rien n’est arrêté pour le moment, et comme il fallait s’y attendre EDF a déviée la question en déclarant qu’il n’est pas question à sa connaissance de toucher les tarifs.
Or il ne s’agit pas de toucher les tarifs ! Il s’agirait d’une taxe malus qui frapperait les tarifs et augmenterait la sauce à payerdes usagers « énergivores » qui consommeraient en dehors des heures creuses.
Par ailleurs Jl Borloo est DE PLUS EN PLUS mis en cause par les Députés , dont beaucoup d’UMP, qui s’insurgent contre les taxes écologiques et environnementales que Monsieur Borloo annonce en cascade quasiment tous les deux jours.
Impossible d'ignorer que l'allongement de l'espérance de vie des français est aujourd'hui une réalité. Il est en effet impossible de l'ignorer puisque chaque fois que l'on ouvre une revue ou le plus modeste des journaux de l'hexagone on n'échappe pas aux affirmations les plus contrastées mais pas pour autant, tout à fait, rassurantes concernant une catégorie qui semble interpeler notre société boiteuse. On les classe sous l'appellation générique, "les anciens" bien que familièrement on les appelle « les vieux ». Ce troupeau est composé d’une grande variété de situations, dont certaines assez peu confortables c’est vrai! Dans notre société très inégalitaire on devient vieux, ou pas, pour des raisons diverses mais les travailleurs manuels ne sont pas les mieux lotis! Il est donc clair que le temps qui reste à vivre à chacun de nous après la cessation de toute activité professionnelle est problématique, variable en raison de l’état de santé et sans doute aussi d’une situation pécuniaire plus ou moins favorable. Les vieux les mieux nantis ne sont pas les plus nombreux mais le troupeau qui actuellement termine son parcours dans la grande prairie compte un assez grand nombre de pensionnés qui méritent la mention « honorable » même s’il reste évident que de nombreux retraités tirent eux le diable par la queue ! Et la chance joue aussi un rôle important, comme toujours ! Si l’on est bien portant avec des neurones qui fonctionnent, si le trimestre versé permet de ne pas être obligé de compter sous par sous avant d’engager la moindre dépense, si l’on peut échapper à la maison de retraite ou à la maltraitance familiale on peut considérer que l’on a réussi sa fin de vie ! Alors, on peut plus facilement s’intéresser à se qui se passe aux alentours et jouer assez souvent le rôle délicat de soutien de famille ?
Du haut de son grand âge on observe, on s’informe et l’on en arrive généralement à la constatation que notre monde devient de plus en plus fou et que si l’on est parvenu à améliorer la race chevaline un long chemin reste à parcourir avant que les « gus » qui s’agitent en ce moment au sommet de l’Etat ne ce comportent plus comme des réformateurs dangereux !
Certes les occasions de sourire et même de rire ne manque pas car la classe dirigeante nous offre assez souvent des spectacles grandguignolesques de grande qualité et cela nous permet de constater que dans notre belle France le ridicule ne tue toujours pas !
Même s’il s’agit d’un comique de répétition les facéties de nos gentils dirigeants nous permettent aussi de nous rendre compte qu’un crétin recyclé par la grâce du suffrage universel reste un crétin, suffisant et arrogant en dehors des périodes électorales qui croit généralement que sa position d’élu fait de lui un « zigue » hors du commun qui peut tout se permettre sauf –s’il reste lucide- l’enrichissement personnel ?
Ces bienfaiteurs du petit peuple qui ne manque aucune occasions de manifester leur mépris, comme ce député UMP qui a osé proposer que l’allocation de rentrée servie pour les enfants soit à l’avenir transformée en bons de fournitures afin d’éviter que des parents –besogneux-ne puissent acquérir un récepteur de télévision en détournant l’argent de l’état !
Cela ne sera pas hélas la dernière ânerie que ce genre de représentant du peuple soit capable de vous servir avant la fin de l’actuelle législature et pour bien en profiter il vous suffira de jouir d’une bonne audition. Dans le cas contraire et si vos moyens vous le permettent vous pourrez acquérir une bonne prothèse, assez mal remboursée par notre protection sociale
Vieux de France mes frères vos chances de finir votre parcours dans la quiétude sont minces, en réalité bien minces !
Avant votre dernier salut vous aurez sûrement la grande joie de subir de nombreuses et sévères tontes qui vous ferons moins regretter de quitter votre pacage en douce France des nantis!
Courage ! Dites vous que s’ils font çà, c’est parce qu’ils vous aiment !