Éditorial de lucienne magalie pons
Résumé : Saïf Al-Islam est apparu dans la nuit de lundi à mardi à l'hôtel où séjournent les journalistes étrangers à Tripoli, Mohammed un autre fils de Kadhafi a échappé aux rebelles et le corps de son troisième fil Khamis, pourrait avoir été découvert avec celui d'Abdoullah chef des services de renseignements.
La famille Kadhafi avait déjà perdu un fils de Mouammar Kadhafi et deux de ses petits enfants il y a quelques temps sous un raid aérien de l’Otan.
A ce jour Kadhafi reste toujours introuvable, les combats pour la bataille de Tripoli continuent , les insurgés et la Communauté Internationale persistent à prédire que « "Kadhafi n'est plus en mesure d'initier une quelconque offensive" et d'après eux les insurgés qu'ils soutiennent contrôlent la quasi-totalité de la Capitale Libyenne.
Durant la nuit de Lundi à Mardi L’ OTAN a repris ses raids aériens à Tripoli contre le complexe ou se trouve le Bunker de Kadhafi, et les forces de Kadhafi contrôleraient quelques poches dans la capitale d’après certains médias.
Dans les faits l'incertitude persiste ce mardi martin, sur le sort de Kadhafi, l’offensive des insurgés à Tripoli est soutenue par les raids aériens de l’Otan, les dirigeants de la communauté internationale prédisent la fin imminente du dirigeant libyen et de ses 42 années au pouvoir en Libye et s’activent à préparer l’après Kadhafi avec les chefs de la rébellion. Cela ne les embarrassent pas de vendre la peau de l’Ours avant de l’avoir tué, ce qui pourraient arriver ou na pas arriver.
Quelques responsables occidentaux craignent que les rivalités tribales, ethniques et politiques, y compris au sein des insurgés où coexistent des camps qui n’ont pas le même programme politique pour l’avenir de la Libye, ne déclenchent sur une très longue période des violences similaires à celles connues par l'Irak après le renversement de Saddam Hussein par les États-Unis.
A courte ou longue échéance l’avenir de la Libye n’est pas prévisible, restera-t-elle unifiée ou se dirigera-telle vers la partition, dans tous les cas avant d’être pacifiée et de retrouver la paix, de lourds sacrifices seront encore imposés à son peuple même si la communauté internationale utilise tous les « moyens nécessaires" , par les armes et la politique à imposer un gouvernement Libyen de son choix.
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La situation demeure confuse à Tripoli, on nous annonce depuis Samedi que la capitale Libyenne est en quasi-totalité sous le contrôle de la rébellion et que la chute du dirigeant Libyen est imminente, mais on ne sait nous informer où il se trouve exactement, certains le disent en fuite, dans le pays, ou à l'étranger, d’autre terré dans son Bunker .
Les insurgés avaient annoncé la capture de trois fils de Kadhafi, dont Seif al-Islam. Al Jazeera a rapporté que l'un d'eux Mohamed, avait réussi à s'enfuir et que le corps d'un autre fils, Khamis, un chef militaire, pourrait avoir été découvert avec celui d'Abdoullah chef des services de renseignements.
La Cour pénale internationale (CPI), avait confirmé l'arrestation de Seif al-Islam, on le disait en résidence surveillée et que son sort était suspendu à la décision de la CPI qui réclamait son transfert.
Mais ce matin nous apprenons selon une dépêche de Reuters, reprise dans les médias, que Saïf Al-Islam est apparu dans la nuit de lundi à mardi à l'hôtel où séjournent les journalistes étrangers à Tripoli, et qu’il en aurait amené quelques-uns à Bab al Aziziah, complexe de résidence de Kadhafi, d’où il a assuré que le régime était en train de remporter la bataille contre les insurgés.
Sur des images de télévision, on peut voir le fils de Kadhafi brandir un poing triomphateur, effectuant le V de la victoire et saluant ses partisans. Prié de dire si son père se trouvait en lieu sûr dans la capitale libyenne, Seif al-Islam a répondu : "Bien sûr." , en assurant que Tripoli était aux mains du gouvernement et a ajouté qu'il se moquait du mandat d'arrêt émis contre lui et son père par la CPI pour crimes contre l'humanité.
"Nous avons brisé l'échine des rebelles. C'était un piège", a dit Seif al-Islam.
Rappelons que dans un message sonore diffusé dimanche par la télévision libyenne, qui a depuis a cessé d'émettre, Kadhafi avait affirmé qu'il resterait à Tripoli "jusqu'au bout".
Certains supposaient qu'il pourrait chercher refuge dans les environs de Syrte, son fief, ou à l'étranger, mais à Tripoli, ce matin les combats se concentrent autour de Bab al Aziziah, où l'on soupçonne Kadhafi de se cacher.
Durant la nuit de Lundi à Mardi L’ OTAN a repris ses raids aériens à Tripoli contre le complexe ou se trouve le Bunker de Kadhafi, les forces de Kadhafi contrôleraient quelques poches dans la capitale d’après certains médias.
Barack Obama, le Président Américain, a reconnu hier dans son intervention que le conflit n'était "pas encore fini", mais il a assuré "évident que le régime de Kadhafi touche à sa fin" en invitant Mouammar à "empêcher le sang de couler en transférant le pouvoir à son peuple et en appelant ses fidèles à déposer les armes".. "La justice authentique ne vient ni des représailles ni de la violence. Elle viendra de la réconciliation nationale et de la possibilité des citoyens à déterminer leur propre destin", a dit Barack Obama
Ndlr : L’affirmation d’Obama selon laquelle « la justice authentique ne vient ni des représailles ni de la violence » est parfaitement surfaite et prétentieuse si l’on se souvient que Ben Ladden pendant l’opération de sa prétendue capture commanditée par les États-Unis, a été exécutés et jeté dans la mer sans qu’il ne puisse répondre de ses crimes devant un Tribunal international. Il y a des moments où le Président Obama énonce de grands principes avec une mémoire très courte.
Dans un communiqué, Nicolas Sarkozy Le Président Français a informé qu'il a eu lundi une conversation téléphonique avec Mahmoud Jibril, Premier ministre du Conseil national de transition (CNT) formé par les insurgés, et l'a invité à venir mercredi à Paris.
La France, à la pointe avec l’Angleterre de l'intervention militaire sous commandement de l'Otan, en Libye, souhaite accueillir une réunion du "groupe de contact" international sur la Libye.
Certains responsables occidentaux craignent que les divisions tribales, ethniques et politiques, y compris au sein des insurgés ou coexistent des camps qui n’ont pas le même programme politique pour l’avenir de la Libye, ne déclenchent des violences similaires à celles connues par l'Irak après le renversement de Saddam Hussein par les États-Unis.
En conclusion le fils aîné de Kadhafi est vivant et se trouve à Tripoli, Mohammed un autre fils de Kadhafi a échappé aux rebelles et le corps d'un troisième Khamis, pourrait avoir été découvert avec celui d'Abdoullah chef des services de renseignements.
La famille Kadhafi avait déjà perdu un fils de Mouammar Kadhafi et deux de ses petits enfants il y a quelques temps sous un raid aérien de l’Otan.
A ce jour Kadhafi reste toujours introuvable, la bataille de Tripoli continue, les insurgés et la Communauté Internationale continue de prédire que « "Kadhafi n'est plus en mesure d'initier une quelconque offensive" et que les insurgés contrôlé la quasi-totalité de la Capitale Libyenne.
Dans les faits l'incertitude persiste ce mardi martin, sur le sort Kadhafi, l’offensive des insurgés à Tripoli est soutenue par les raids aériens de l’Otan et les déclarations des dirigeants de la communauté internationale qui prédisent sa fin imminente de ses 42 années au pouvoir en Libye s’activent à préparer l’après Kadhafi. Cela ne les embarrassent pas de vendre la peau de l’Ours avant qu'il n'ait été capturé ou tué dans les combats.
Toutefois quelques responsables occidentaux craignent que les divisions tribales, ethniques et politiques, y compris au sein des insurgés ou coexistent des camps qui n’ont pas le même programme politique pour l’avenir de la Libye, ne déclenchent sur une très longue période des affrontements et des violences similaires à celles connues par l'Irak après le renversement de Saddam Hussein par les États-Unis.
A courte ou longue échéance l’avenir de la Libye n’est pas prévisible, restera-t-elle unifiée ou se dirigera-telle vers la partition, dans tous les cas avant d’être pacifiée et retrouver la paix de lourds sacrifices seront encore imposés à son peuple même si la communauté internationale utilise tous les « moyens nécessaires" , par les armes et la politique à imposer un gouvernement Libyen de son choix.