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03 janvier 2022

Relais d'Information : Article du Dr. Ahmed Bensaada du 28 déc. 2021; intitulé " Sale temps pour le Tartour de Tunis ", du 28 décembre 2021, précédé d'une introduduction pour mon site par Djerrad Amar

Éditorial de lucienne magalie pons

J'ai reçu pour information  de l'un de mes correpondants , Monsieur  Djerrad Amar, écrivain et journaliste Algérien que je salue et remercie amicalement, le lien actif d'un   article très interressant du Dr. Ahmed Bensaada ( en diffusion libre ) intitulé " Sale temps pour le Tartour de Tunis ", daté du 28 décembre 2021.

Vous trouverez le lien actif plus bas après  l'Introduction que Djerrad Amar a eu l'amabilité de rédiger pour mon site.

 Dans son introduction Djerrad Amar dresse le profil de M. Moncef Marzeki dont il est question dans l'article du Dr. Ahmed Benssaada.

Djerrad Amar      termine son Introduction que vous lirez ci-dessous , comme suit : "Le Dr Bensaada, dans sa conclusion, le qualifie de « Droitdelhommiste dévoyé, politicard raté, va-t-en-guerre invétéré, ‘‘islamawiste’’ haineux, ce Don Quichotte en burnous a fini par se battre contre les moulins de son propre pays. Va-t-il finalement en tirer des leçons et s’évaporer dans la nature pour ne plus continuer à polluer tout ce qu’il touche ? »

Introduction de Djerrad Amar 
  

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M. Moncef Marzouki est un ex homme d'État tunisien ayant vécu son adolescence au Maroc. Il est médecin de formation et militant des droits de l'homme. Il est le fils d’un magistrat. On retient entre autres livres « On gagne…ou on gagne. Pour un printemps arabe ».

Après son licenciement de la faculté de médecine de Sousse en 2000 (et son incarcération), la France de Chirac le récupère et l'embauche comme professeur invité de santé publique sous la bienveillance du professeur Lazarus qui le connaissait lors d’un colloque d'Amnesty International. Il est décoré de la Légion d'honneur en France en juillet 2013 et de l’Ordre de la souveraineté au Maroc mai 2014. 

Il fonde et préside le Congrès pour la République (CPR) de 2001 à 2011, année de sa désignation à la fonction de Président de la République tunisienne par les membres de l'Assemblée constituante.

Lors de l'élection de l'Assemblée constituante du 23 octobre 2011, son parti obtient la deuxième place derrière Ennahdha de Ghannouchi.

Durant la campagne, il affirme l'identité arabo-musulmane du pays, accusant ses adversaires d'être « la vieille gauche laïcarde et francophone déconnectée des vrais problèmes de la société tunisienne ». Marzouki prend, en février 2012, la décision de renvoyer l'ambassadeur syrien.

Placé au pouvoir après la chute de Ben Ali, Marzouki devient le pantin du petit émirat du Qatar, chargé de déstabiliser les états-nation tout en permettant aux propagandistes de l’Otan et à « l’Internationale Islamiste » d’utiliser la Tunisie comme base contre la Syrie et la Libye. Il a accueilli en 2011 une réunion des « Amis de la Syrie » tout en reconnaissant le CNS comme « représentant légitime des Syriens qui cherchent un changement démocratique pacifique », appelant le président syrien à « quitter le pouvoir ». Dans un média panarabe il déclare que « le régime de Damas est fini » ; « tu partiras d’une manière ou d’une autre » ; « tu partiras mort ou tu partiras vivant, et c’est mieux pour toi et pour ta famille de partir vivants ». Les syriens et des médias tunisiens lui ont reproché d’avoir été complice dans l’envoi de terroristes tunisiens vers la Syrie.

Son premier voyage officiel à l'étranger a lieu en Libye en 2012, pour y rencontrer Moustapha Abdel Jalil. Il y annonçait qu'il était disposé à extrader Baghdadi Mahmoudi, dernier chef du gouvernement libyen, à la seule condition qu'il bénéficierait d'un jugement équitable. Controverse (?) Baghdadi avait, quand même, été extradé, illustrant la faiblesse de ses prérogatives qui lui valent sur les réseaux sociaux le sobriquet de « tartour » (pantin)

En 2013, sur Al Jazeera il mettait en garde « les extrémistes laïcs », déclarant que « si un jour ils réussissent à prendre le pouvoir, de n'importe quelle manière », ils feraient face à « une grande révolution, plus importante que la première » et risqueraient par conséquent des « peines de pendaison ».

Mr Moncef Marzouki est un fervent soutien du Maroc contre l’Algérie pour sa position en faveur de l’autodétermination des Sahraoui en conformité avec les résolutions de l’ONU ! Il ne cesse de fustiger l’Algérie, jusqu’à préfacer le livre gratuit du Mouvement islamiste « Rachad » (sis en Suisse), appendice de l’ex FIS, intitulé « En défense du hirak : Déconstruction du complotisme contre-révolutionnaire » - pour contrer celui du Dr Ahmed Bensaada intitulé « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak algérien ? »

Vivant à Paris, il apprend que la justice tunisienne l’a condamné, par contumace à 4 ans de prison pour n’avoir cessé ses attaques, sur des médias étrangers, en usant de propos considérés comme « allant à l’encontre de la sûreté de l’Etat et nuisant aux intérêts de la Tunisie à l’étranger ».

Dans son dernier article intitulé « Sale temps pour le Tartour de Tunis », le Dr Bensaada met à nu ses errances politiques sulfureuses et sa félonie dans ce qui est baptisé les « Printemps arabes » pour apporter à leurs peuples la « démocratie et la liberté », mais qui ne visent que les « républiques » et jamais les « monarchies »

Le Dr Bensaada, dans sa conclusion, le qualifie de « Droitdelhommiste dévoyé, politicard raté, va-t-en-guerre invétéré, ‘‘islamawiste’’ haineux, ce Don Quichotte en burnous a fini par se battre contre les moulins de son propre pays. Va-t-il finalement en tirer des leçons et s’évaporer dans la nature pour ne plus continuer à polluer tout ce qu’il touche ? »

 

ICI LE LIEN DE L'ARTICLE DU Dr BENSAADA

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