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12 mars 2019

La lettre du Groupe Europe des Nations et des Libertés du 11 mars 2019 - Source ENL -

Éditorial de lucienne magalie pons

RELAIS  D'INFORMATION 
DE SOURCE 🔻
Condé-sur-Sarthe : une conséquence de la soumission à la CEDH

On le sait depuis longtemps : armes, téléphones portables et drogue circulent dans des prisons françaises devenues des centres de radicalisation islamiste. Or malgré cette situation alarmante, les juges de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui siègent à Strasbourg, continuent leur travail de sape contre notre institution pénitentiaire.

Depuis 1981, suite à une décision de Robert Badinter, la CEDH permet en effet à des criminels en détention de poursuivre la France pour non-respect de la sacro-sainte Convention européenne des Droits de l’Homme.

A l’heure actuelle, on compte une quarantaine de procédures en cours visant les conditions de détention dans les prisons françaises : on y infligerait aux plaignants des « traitements inhumains ou dégradants ». « Les repas sont servis tièdes, parfois froids » déclarait récemment au Monde l’avocat d’un de ces détenus mécontents. Rendez-vous compte !

Pourtant, alors qu’il ne devrait y avoir que des parloirs sans contact possible, les détenus ont accès à des « unités de vie familiale » depuis 2009 (merci Sarkozy !). C’est dans un de ces appartements tout confort que Michaël Ciolo, assassin converti à l’islam et radicalisé en détention, a pu être rejoint par sa compagne... et récupérer le couteau avec lequel il a agressé ensuite deux gardiens de la prison de Condé-sur-Sarthe... les fouilles au corps ayant été pratiquement interdites par la CEDH.

Dès juin 2017, Macron s’était empressé de recevoir à l’Élysée le président de la CEDH, avant de rendre une « visite de soutien » aux juges de Strasbourg en octobre de la même année, ce qu’aucun président de la République n’avait fait jusque-là. Pire, en avril 2018, Emmanuel Macron et Nicole Belloubet, dignes héritiers de François Hollande et Christiane Taubira, ont ratifié un texte qui, signé en 2013, renforce encore les pouvoirs de la CEDH.

Ce qui s’est passé à la prison de Condé-sur-Sarthe n’est donc pas une simple « défaillance », mais bien le résultat de la soumission au droit-de-l’hommisme de la CEDH.
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EN BREF !
Alors que le mandat de la Commission Juncker touche à sa fin, Cecilia Malmström, commissaire européenne au Commerce, a encore plaidé pour un nouveau partenariat transatlantique lors de sa rencontre, mercredi 6 mars, avec son homologue américain Robert Lighthizer. « Je propose que nous renouvelions notre ordre mondial pour le 21e siècle - avec l’OMC au centre du partenariat transatlantique sur le commerce », a-t-elle déclaré en se félicitant de la hausse de 181% des importations de GNL américain.
Mercredi 6 mars, le chancelier autrichien Sebastian Kurz a annoncé que son gouvernement allait instaurer un système de rétention préventive pour les demandeurs d’asile jugés « dangereux ». Parallèlement, le ministre de l’Intérieur, Herbert Kickl (FPÖ), a décidé de déchoir de la nationalité autrichienne tous les islamistes partis en Syrie et en Irak. Avec la coalition ÖVP-FPÖ au pouvoir en Autriche, on est loin des atermoiements du gouvernement français.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, dont le parti est visé par une procédure d’exclusion ou de suspension du PPE, a affirmé vendredi 8 mars qu’il souhaitait se maintenir au sein de la famille chrétienne-démocrate pour la « réformer » de l’intérieur, dans une interview à la radio hongroise Kossuth Rádió. Mais il a aussi évoqué l’hypothèse probable d’une exclusion : « alors évidemment nous négocierons en premier en Pologne », a-t-il affirmé.
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