Je n'ai pas cherché à savoir si le début de ce week end d'Emmanuel Macron à La Mongie a fait sensation, ce qui a retenu l'attention des médias, c'est le fait qu'il a du écourter son séjour à La Mongie, ( où il s'était rendu pour rejoindre son épouse Brigitte Macron), pour rentrer samedi soir à Paris après les graves violences commises à Paris par des bandes de casseurs lors des manifestations des Gilets Jaunes .
En effet critiqué par l'opposition pour son absence de Paris alors que se déroulaient des scènes de violences dans la capitale, notamment sur les Champs Elysées , Emmanuel Macron a du quitter les Pyrénées pour rentrer à Paris et rejoindre une cellule de crise organisée au Ministère de l'Intérieur.
Le Chef de l'Etat dès son arrivée à Paris s'est rendu Place Beauvau au Ministère de l'Intérieur rejoindre le Ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, le Premier Ministre Edouard Philippe, la Garde des sceaux Nicole Belloubet, et d'autres personnalités responsables des forces de l'ordre, dans la cellule de crise organisée pour faire le point sur cette situation de violences ...
Auparavant dans l'après-midi alors que les Champs Elysées offrait un spectacle d'apocalypse , pavés arrachés, restaurant Le Fouquet's et commerces incendiés, saccagés et pillés, sous des flots de jets d'eau et des nuages de gaz lacrymogènes, le Premier Ministre Edouard Philippe qui s'était rendu sur les lieux avait affirmé -, alors que des magasins étaient pillés et incendiés quelque mètres plus haut -, « l’objectif de totale fermeté » du gouvernement contre « plusieurs milliers de personnes très déterminées, qui sont là pour créer le désordre », et estimé que « ceux qui excusent ou qui encouragent » ces actes « inacceptables » s’en rendent « complices ».
Les médias soulignent que ses propos "font écho à ceux d’Emmanuel Macron qui avait déclaré le 26 février qu’il fallait « maintenant dire que lorsqu’on va dans des manifestations violentes, on est complice du pire ».
Les médias soulignent que ses propos "font écho à ceux d’Emmanuel Macron qui avait déclaré le 26 février qu’il fallait « maintenant dire que lorsqu’on va dans des manifestations violentes, on est complice du pire ».
Les propos d'Edouard Philippe autant que ceux d'Emmanuel Macrons visant ceux qui encouragent ou s'en rendent complices en se rendant à ces manifestations en parlant des actes de violence sèment la confusion, et sont très mal reçus par l'opposition et l'opinion publique, en effet que ce soit les Gilets Jaunes ou les personnes interrogées, politiques ou particuliers , personne n'encouragent ces actes de violences ... par contre tous attendent des actes de fermeté contre les casseurs ....
Alors que les moyens existent pour prévenir et arrêter les actes de violences et maîtriser les casseurs , les médias indiquent que les forces de l'ordre se sont laissées débordées ....
Les propos d'Edouard Philippe autant que ceux d'Emmanuel Macron visant ceux qui encouragent ou s'en rendent complices en parlant des actes de violence sont très mal compris par l'opposition et l'opinion publique, en effet que ce soit les Gilets Jaunes ou les politiques ou particuliers" , personnes n'encouragent ces actes de violences ... par contre tous attendent des actes de fermeté contre les casseurs et de ce côté là on ne voit rien venir, et on ne comprend pas pourquoi, alors que les moyens existent, que les forces de l'ordre n'arrivent pas à les prévenir et maîtriser, et se trouvent "débordées".
En effet, alors que les moyens existent pour prévenir et arrêter les actes de violences et maîtriser les casseurs , les médias indiquent que les forces de l'ordre se sont laissées déborder ....
En effet, alors que les moyens existent pour prévenir et arrêter les actes de violences et maîtriser les casseurs , les médias indiquent que les forces de l'ordre se sont laissées déborder ....
Ci-dessous en revue de Presse vous trouverez quelques articles relatant et commentant . l'acte XVIII des Gilets Jaunes
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