
Le 19 mars, dès le lendemain de sa réélection présidentielle Vladimir Poutine a rencontré les autres candidats qui étaient en lice lors de l'élection présidentielle du 18 mars 2018 , la dernière rencontre similaire avait eu lieu six ans auparavant.
Cette démarche ne peut étonner que les dirigeants d'autres pays en Europe notamment, qui s'invectivent et se combattent avant et après les élections comme des chiffonniers sans soucis de l’intérêt de leurs pays respectifs, tout au contraire ce qui domine en Russie c'est la stratégie politique de l'Unité dans l'intérêt de la Russie, du reste Vladimir Poutine dans sa déclaration du 18 mars 2028 avait déjà souligné à l'adresse de ses partisans électeurs : " " Mes Chers Amis, il est très important de mettre de nôtre côté les gens qui ont pu voter pour d'autres candidats, nous avons besoin de cette unité pour avancer, et pour avancer nous devons sentir chacun de nous , chacun des citoyens de notre Russie .
Et dès le 19 mars il a rencontré cette fois les autres candidats avec le même souci d'unité et d'efficacité Vladimir Poutine a rencontré les autres candidats qui étaient en lice lors de l'élection présidentielle du 18 mars 2018
Comme vous le verrez la rencontre s'est déroulée dans une atmosphère de concorde et de considération mutuelle pour le bien de l'avenir de leurs pays.
Un exemple que devrait suivre les chefaillons de partis et dirigeants français pour mériter notre respect.
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Développement économique, armement : Vladimir Poutine trace les priorités de son mandat (VIDEO)
Lors d'une réunion tenue au Kremlin avec les autres candidats qui étaient en lice à la présidentielle, Vladimir Poutine a appelé à dépasser les divisions partisanes afin de permettre à la Russie de progresser sur le plan économique et social.
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Développement économique, armement : Vladimir Poutine trace les priorités de son mandat
Lors d'une réunion tenue au Kremlin avec les autres candidats qui étaient en lice à la présidentielle, Vladimir Poutine a appelé à dépasser les divisions partisanes afin de permettre à la Russie de progresser sur le plan économique et social.
Le président russe Vladimir Poutine, fraîchement réélu à la tête de la Russie, a évoqué le 19 mars les priorités de son mandat lors d'une réunion qui a rassemblé au Kremlin l'ensemble des candidats à l'élection présidentielle.
«La principale chose sur laquelle nous allons travailler est bien sûr l'agenda interne. Tout d'abord, nous devons assurer le taux de croissance de l'économie et la rendre novatrice. Nous devons développer les soins de santé, l'enseignement, la production industrielle, les infrastructures et d'autres secteurs essentiels pour faire avancer notre pays et améliorer le niveau de vie de nos citoyens», a-t-il déclaré en préambule.
Estimant qu'il était nécessaire de dépasser les clivages politiques pour la réalisation de ces objectifs, il a en outre assuré que, durant son mandat, les questions économiques et sociales ne seraient pas délaissées.
«Bien sûr, il y a aussi des questions relatives à la Défense et à la Sécurité nationale, nous ne pouvons pas les ignorer, mais c'est néanmoins l'agenda interne qui est aujourd'hui d'une importance primordiale», a-t-il assuré.
Pas de course à l'armement et baisse des dépenses militaires
Vladimir Poutine a en outre affirmé à cette occasion que son pays ne comptait pas se lancer dans «une course aux armements». «Nous avons prévu une baisse des dépenses militaires pour cette année [2018] et pour l'année prochaine [2019]», a déclaré le président russe tout en promettant que cela ne se traduirait pas par une baisse des capacités défensives de la Russie.
Alors que Londres, Paris et Washington ont récemment accusé, sans enquête, Moscou d'être directement impliqué dans l'empoisonnement de l'ancien agent double russe, Sergueï Skripal, le chef d'Etat a réitéré la volonté de la Russie de régler ses «différends» par le dialogue avec ses partenaires occidentaux. «Bien sûr, tout ne dépend pas de nous. C'est comme dans l'amour, il faut que les deux parties y aient un intérêt, sinon il n'y aura pas d'amour», a-t-il ajouté.
Peu avant sa réélection, lors de son discours annuel devant les représentants des deux chambres du Parlement russe le 1er mars, Vladimir Poutine avait déjà insisté sur le caractère défensif du développement de l'armement russe. Il avait présenté celui-ci comme une «réponse» de la Russie à l'activité militaire américaine, dénoncée par Moscou comme «belliqueuse» et «antirusse».
Le 2 mars, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, avait déclaré que la Russie n'avait «pas l'intention de se lancer dans une course aux armements» après l'emballement occidental qui avait suivi la présentation de ces nouvelles armes.
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