* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Aujourd’hui samedi matin11 octobre , alors que les pays de l’UE depuis plusieurs joursse cherchent des points communs pour juguler la Crise Financière et tenter de faire face au Krach financier qui affectentgravement les places boursièreseuropéennes, le présidentFrançais Nicolas Sarkozy et la chancelièreallemande Angela Merkel ont inauguré ensemble,un mémorial dédié à l'ex-président Charles De Gaulle, dans le village de Colombey-les-Deux-Eglises,qui fut à la fois le lieux de séjour familial et deretraite du général.
Monsieur Sarkozy est arrivé à Colombey-les-Deux-Eglises en même temps que son prédécesseur Jacques Chirac et son épouse Madame Chirac Le Premier ministre François Fillon étaitprésent,de même que plusieurs ministres etles présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale, Messieurs Gérard Larcher et Bernard Accoyer.
Le Mémorialqui vient d’être inauguré est un édifice de quelque 4.000 mètres carrés, consacré au Général deGaulle sur trois étages retrace sa vie, et ses carrières militaire et politique.
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Rappel historique :
Il y a 50 ans enseptembre 1958, 13 ans après la fin de la seconde guerre mondiale,une rencontre historique eut lieuentre le général De Gaulle et le chancelier allemand Konrad Adenauer, à la Boisserie, la demeure du Général deGaulle à Colombey-les-Deux-Eglises.
Rappelons le rôle joué par les deux hommes dans l'élaboration d'une politique communevisant à instaurer une ère de paix entre les deux pays et ce dès leurpremièrerencontre à Colombey-les-Deux-Eglises, en septembre 1958.
En effet, il y a 50 ans enseptembre 1958, 13 ans après la fin de la seconde guerre mondiale,une rencontre historique eut lieuentre le général De Gaulle et le chancelier allemand Konrad Adenauer, à la Boisserie, la demeure du Général deGaulle à Colombey-les-Deux-Eglises.
Cette première rencontremarqua larelation de confiance, qui avait pris naissanceentre les deux dirigeants parune estime personnelle réciproque, puis cette relation de confiance se consolida progressivement entre la Franceet l'Allemagne dans l'œuvre de construction européenne depuis lors en cours.
Ces deux grands européens s’étaient fixés, en dépit desmajorités parlementaireset des opinions publiques quine semblaient pas prêtes à leur emboîter le pas,un but qui paraissait presque utopiqueà la génération marquée par la dernière guerre, à savoir la paix et la réconciliation des deux peuples. C’est ainsi que par leur action concertée et le temps ayant fait son œuvre, qu’au début des années soixante, les deux responsablesproposèrentà leur compatriotes de part et d'autre du Rhin de sceller enfin la "cordiale entente" et d'engager concrètement la coopération par letraité d'Amitié et de Coopération franco-allemand (Traité signé le 22 janvier 1963 par Charles de Gaulle et Konrad Adenauer).
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A l’issue de l’inauguration du Mémorial, les deux dirigeants actuels,Angela Merkel et Nicolas Sarkozy se sont retrouvés pour un déjeuner de travail, puis ontdonné une conférence de presse.
Nicolas Sarkozy avaitdéjà affirmé que "l'Europe, bousculée par une crise sans précédent, ne garderaitson unité et ne seraitcapable d'agir que si la France et l'Allemagne travaillaient ensemble dans la confiance la plus totale" Dans l’ensemble ses déclarations actuelles ne s’écartent pas decette affirmation.
Ainsi àla veille du sommet de l'Eurogroupe à Paris, qui doit définir un plan d'action au niveau européen pour faire face à la crise financière, Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel ont assurédepuisColombey- les- deux Eglises,que Paris et Berlin travaillerontconjointement pour trouver une solution, laissant entendre que la stratégie prônée jusqu'ici par Berlin, à savoir aucune action collective et des solutions au cas par cas, était définitivement abandonnée.
Pour le président français, il existe "une parfaite identité de vue" entre Paris et Berlin dans ce dossier. "Toute les décisions, toutes les préparations, toutes les analyses nous les faisons ensemble", asoutenu Monsieur Sarkozy : ………et pour lui,"L'Europe ne gardera son unité et ne sera capable d'agir que si la France et l'Allemagne travaillent ensemble dans la confiance la plus totale".
Pour sa part,Mme Merkel a confirmé que la France et l'Allemagne étaient "sur une voie commune pour mettre en place une réaction concertée et cohérente de la zone euro à la crise financière internationale". Elle a assuré que la réunion rassemblant les autres chefs d'État et de gouvernement des quinze pays de la zone euro, dimanche, produira une "réponse claire" pour les marchés financiers.
"S'il devait y avoir des décisions prises, l'Allemagne et la France annonceraient ces décisions en même temps et veilleraient à ce qu'elles rentrent concrètement et opérationnellement en vigueur en même temps", aprécisé MonsieurSarkozy.
Conclusion : a l’issue de l’inauguration du Mémorial du Général de Gaulle, il semblerait que Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, ont décidé d’enterrer leur hache de guerre financière ,inspiréset influencés sans doutepar l’esprit de Paix et de rapprochement de leur prestigieux prédécesseurs le Président Français le Général de Gaulleet le chancelier allemand Konrad Adenauer .
j'ai pris connaissance de l'article de mon correspondant"Duboubou1" et je vous recommande sa lecture :
Vendredi 10.10.08 - 19h11
Auteur : Duboubou1 - St Martin Labouval
Nous avons un homme de conviction qui pilote notre république de façon autoritaire possibilité que lui offre la constitution qu’il façonne à son gré puisqu’il dispose de la majorité et qu’il bénéficie de plus de la paralysie de son opposition ! A sa botte un grand nombre de copilotes qui périodiquement font tanguer l’édifice, mais qui sont généralement rapidement recadrés par ce grand berger véritable homme orchestre !
Mais cette activité fébrile ne semble pas pour autant être de nature à rassurer le petit peuple de France à un moment où la preuve nous est servie par la crise financière que le capitalisme triomphant nous mène à la catastrophe ! Alors la question qui se pose au plus grand nombre est : à quelle sauce tous ces allumés, bon chic bon genre, si bien replets, ces as de la politique à la française vont-ils nous assaisonner eux qui en vérité se soucient des conditions de vie du petit peuple comme d’une guigne !
C’est bien le sentiment qui prévaut lorsque l’on écoute un tant soi peu attentivement la voix du peuple d’en bas. Mais qui s’en préoccupe vraiment ?
Nos dévoués dirigeants qui ne manquent jamais une occasion de conforter leur notoriété font sonder le peuple simplement afin de pouvoir le manipuler plus efficacement. Ils n’hésitent pas davantage à exploiter le désarroi des pauvres qui transforment leurs permanences en bureaux des lamentations et s'ils s’investissent dans le charitablec’est qu’ils le considèrent comme un investissement rentable. Pour ces grands élus la seule chose importante consiste à pouvoir paître à l’aise dans les grasses prairies de notre généreuse république et rien ne leur semble impossible puisqu’ils sont majoritaires! Alors guerroyer avec une opposition molle devient un jeu tout à fait passionnant et inoffensif !
Alors il ne semble pas anormal que le petit peuple pense de façon majoritaire que tous nos politiques vivent aux frais de la princesse et qu’à part les seuls petits désagréments que leur apporte les échéances électorales ils ont la vie belle ! Et pour donner le change nos godillots de la politique, opposition comprise n’hésite pas, à l’occasion, à jouer aux pleureuses Corse pour conforter leur humanité ?
Et un vrai malaise gagne des catégories sociales très diverses etde plus en plus de citoyens semblent douter de notre si belle démocratie ?
Même si aujourd’hui les chantres du libéralisme triomphant font profil bas nous ne doutons pas un seul instant que dés qu’un fragile équilibre sera trouvé au détriment des classes laborieuses ces prédateurs repartent joyeux pour rebâtir de nouveaux empires ! Quant au petit peuple de France acceptera-t-il de se serrer en permanence la ceinture afin que demain comme aujourd’hui l’on puisse renflouer à grand coups de milliards ces malfrats de la finance qui sont toujours prêts à croquer l’argent du peuple !
Tous les nantis de la planète sont solidaires et disposent de relais puissants au sein des états libéraux ! Alors, comment sortir de cette impasse sans grande casse, notre république tiendra-t-elle le choc ? On peut se poser la question sur l’avenir promis à la classe ouvrière toujours sacrifiée sur l’autel du capitalisme rampant?
De plus, l’état comateux de notre gauche gigoteuse qui a perdu son âme en se déclarant libérale n’est pas de nature à nous porter à l’optimisme .Plus que jamais nous devons nous montrer vigilantscar il faudra bien que nous soyons capable de trouver, tous ensemble, la façon la plus efficace de stopper cette crise qui nous mène directement à l’enfer social!
Heureusement, assez souvent, les situations qui semblent désespérées connaissent des dénouements acceptables ?
Les ministres des Finances et banquiers centraux du groupe des sept grands pays industrialisés (Le G7 : Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) réunis vendredi 10 octobre à Washington, au terme d'une nouvelle journée qui a vu les places boursières s'enfoncer dans un krach historique, se sont engagés à empêcher toute faillite importante de banque et ont adopté un plan d'action pour tenter dejuguler la crise financière.
C'est un message "extrêmement fort" a estimé à l'issue de la réunion la ministre française de l'Economie, Christine Lagarde ;
Monsieur Henry Paulson aaffirmé qu’"Il n'a jamais été plus important de trouver des solutions collectives pour assurer la stabilité et l'efficacité des marchés financiers et rétablir la santé de l'économie mondiale"
Le plan en cinq points rendu public par le G7 prévoit que les pays membres débloquent le crédit et les marchés monétaires. Il stipule que les Etats permettent aux banques de lever des capitaux auprès des secteurs public et privé. Le texte plaide en faveur de garanties "robustes et cohérentes" des pouvoirs publics aux dépôts des épargnants. Les Sept se sont dits prêts à faire le nécessaire pour débloquer le marché du crédit immobilier, à l'origine de la crise financière.
Les places financières vendredi 10 octobre :
La Bourse de New York, après avoir déjà plongé de 7,33% jeudi, La Bourse de New York a fini en repli de 1,22% seulement, un miracle pour l'indice Dow Jones qui avait reculé de près de 8% à l'ouverture. La séance a été marquée par une volatilité inouïe sur la première Bourse mondiale, qui s'est un peu rassurée à l'approche de la réunion du G7.
Les Bourses européennes ont clôturé en très forte baisse, Londres a chuté de 8,85% , Francfort de 7,01%. Paris a perdu 7,73%, achevant la plus dure semaine de son histoire (-22,16% depuis lundi).
Les autres marchés européens --de Madrid à Amsterdam et de Lisbonne à Athènes-- ont subi aussi des pertes semblables, tandis qu'à Moscou, les autorités ont préféré ne pas ouvrir les deux marchés, le RTS et le Micex.
Les grandes Bourses affichent des reculs dignes d’un krach « historique » : une baisse des cours de plus de 20% en quelques jours …….. "C'est la panique, tout devient absurde, les gens vendent même les valeurs refuges, a déclaré le directeur des ventes de la salle des marchés "Global Equities" à Paris.
Malaisegénéral en Asie également où en clôture, Tokyo a subi une nouvelle chute de 9,62%, Hong Kong a perdu 7,2%, Sydney et Manille 8,3%, Singapour 7,34% et Bangkok 9,61%.
Pourun responsable de la maison de courtage Angel Broking, à Bombay, "c'est un bain de sang et on est très mal à l'aise parce que les marchés mondiaux ne réagissent pas aux mesures prises par les autorités monétaires et politiques".
Depuis le début de l'année, les principales bourses américaines, européennes et japonaises ont perdu près de la moitié de leur valeur, en dépit desbaisses de taux d'intérêt et des opérations massives de soutien aux banques sur fonds publics et des garanties de dépôts décidées par les gouvernements, et les appels au calme des acteurs internationaux n'ont pas jusqu'ici réussi à endiguer la panique.
Les investisseurspour le moment ne retiennent pas les propos du président George W. Bush, qui a promis vendredi que les Etats-Unis allaient "résoudre la crise", sans présenter de nouveau remède.
L'effervescence boursière tranche avec la paralysie du marché interbancaire, qui manque désespérément de liquidités. Les banques paralysent le marché monétaire, elles se méfient les unes des autres etrefusent de prendre le risque de recevoir ou d’échanger entre-elles des créances qui pourraient se révéler douteuses. Abusées par les déboires de grands établissements financiers, les banquescontinuent d'ignorer les injections massives de liquidités par les banques centrales.
La situation financière est alarmante et Washington accueillera ce jour samedi une réunion du G20, rassemblant les ministres et banquiers centraux des principaux pays riches et émergents.
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L'Europe s’efforce de travailler en commun et un sommet de crise des dirigeants de la zone euro est convoqué pour dimanche à Paris avec pour objectif de "définir un plan d'action conjoint de la zone euro et de la Banque centrale européenne face à la crise financière"et les dirigeants européensétudieront une initiative commune, en se référant au plan Paulson de 700 milliards de dollars annoncé par les Etats-Unis.
Les autorités allemandes, quirefusaient jusqu'à présent tout plan de sauvetage global des banques, ontmodéré leur position vendredi soir, en ouvrant la porte à une action concertée européenne. "Il faut arrêter avec les solutions au cas par cas", a annoncé le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück.
"Nous sommes en train de travailler sur quelque chose", sur "la possibilité d'avoir un plan européen" d'action, a déclaré un haut responsable européen, en soulignant qu'il devrait s'inspirer du plan de sauvetage présenté par Londres.
Les signes de récession financière et économique :
Signe de récession, les cours de l'or noir chutent. Le défaut de croissance économique entraîne moins de demande pour le brut. Le pétrole est passé sous 80 dollars à Londres et à New York, loin de ses records insoutenables du 11 juillet à plus de 147 dollars.
Enfin, la crise du crédits’étend aux secteurs du bâtiment et de l'automobile, qui commencent à « perdre » des emplois, en Amérique du Nord comme en Europe. Les analystes Parisienstrès pessimistesestiment que la paralysie du marché interbancaire pourrait aussi provoquer des faillites d'entreprises en chaîne.
Une lueur d’espoir ?
Gardant son sang froid, le Président de la Banque Centrale Européenne (BCE) Jean Claude TRICHETa ordonné aux investisseurs de reprendre leurs esprits. La BCEvient d’annoncer une opération de refinancement en euros, sur six jours, après avoir baissé ses taux , et d’après les experts cette initiative « exceptionnelle » devrait permettre de satisfaire toutes les demandes des banques en manque de liquidités
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note de lucienne magalie pons : indépendamment des incidents de crise financière et de son évolution que nous observons depuis plusieurs semaines, nous avons noté, en ce qui concerne l'Europe que les dirigeants des États membres les plus prospères de l'UE qui s'étaient en G4 entendus,dans un premier temps, pour se permettrent quelques petits coups de canifs dans le pacte de stabilité européen en raisons de circonstances "exceptionnelles" et qui se proposaient d'agir au coup le coup chacun d'entre eux dans leur propres Etat, selon son propre système, pour recapitaliser les banques, entreprises et organismes faillis, se dirigent maintenant vers une concertation européenne.
L'Amérique du Nord elle-même en appellent à une concertation internationale. Toutes ces résolutions qui appellent les Etats à se "serrer les coudes" non plus pour juguler la crise, elle est là et bien là et s'aggrave de jour en jour, démontrent qu'une deuxième étape se met en place : la réparation concertée des pots cassés ! Il leur faudra une colle de bonne qualité pour tenir le coup !
« Adieu mégaphones, adieu calicots, adieu représentants syndicaux ! A moi le soleil et le calypso, la nana et la noix de coco. A moi les alizés, les vents tropicaux.
En Chine, l'usine, on délocalise. La boîte a coulé mais pouce, on va se la couler douce... La pilule, on va se la dorer, j'ai le parachute doré ! ... »
ondulation des corps dans des toilettes luxueuses , mise en valeur des coiffures, regards et sourires aguichants, poses suggestives glamour pour ne pas dire sexy, qui est à vendre ?
encore une fois le corps de la femme est utilisé comme support de vente voir la vidéo :
Il prétend qu'il ne change jamais d'avis et qu'il tient ses promesses... et pourtant si .... il change d'avis et ne peut tenir ses promesses, il avait promis d'améliorer le pouvoir d'achat, que 80 % des français accéderaient à la propriété de leur logement, que.... et que.... et "que dalle" !
voir la vidéo :
O Nuit, qu'il est profond ton silence, Quand les étoiles d'or scintillent dans les cieux. J'aime ton manteau radieux, Ton calme est infini, Ta splendeur est immense (ter)
O Nuit, toi qui fais naître les songes, Calme le malheureux qui souffre en son réduit. Sois compatissante pour lui, Prolonge son sommeil, Prends pitié de sa peine, Dissipe la douleur, Nuit limpide et sereine.
Les sondages contradictoires jouent au « Yoyo »d’un jour à l’autre :
Sources :
. Site Europe 1.fr
Sondages contradictoires sur la popularité de Sarkozy
le 07/10/08 à 19h53
. et Dépêche Reuters 2008
« Face à une actualité dense les sondeurs ont du mal à se mettre d’accord sur la cote de popularité du chef de l’Etat.
D’un sondage à l’autre, la cote de popularité de Nicolas Sarkozy joue au yoyo. Selon le baromètre Ifop Paris-Match d'octobre à paraître jeudi, le chef de l’Etat progresse de deux points par rapport à septembre, avec 43% de Français qui approuvent son action contre 56% (-2) qui la désapprouvent.
Selon ce baromètre, la cote d'approbation de l'action du président de la République, qui était tombée à son niveau le plus bas depuis mai 2007, connaît ainsi une légère remontée pour la première fois depuis cinq mois, et renoue avec le niveau enregistré en avril. La hausse est sensible chez les sympathisants du MoDem (+11 points à 40% d'opinions positives).
Autre son de cloche chez LH2 pour le nouvelobs. Com. Dans un sondage rendu public mardi, l’institut note une baisse de 6 points de la cote du chef de l'Etat. Il passe de 45% à 39% d'opinions positives. "La popularité du chef de l'Etat est mise à mal par la crise financière internationale et des perspectives économiques peu réjouissantes", souligne la directrice du département Opinion de l'institut qui précise que le sondage a été réalisé quelques jours après l'annonce de la remontée du chômage en août.
Seul point commun entre les deux instituts : la perte de vitesse de François Fillon. Ifop note une baisse de 1 point. Le Premier ministre reste majoritaire avec 55% de jugements positifs (-1) contre 43% (=) qui disent désapprouver son action. LH2, de son côté, a observé une chute de 6 points pour l’hôte de Matignon.
Il y a un retour degrattage« Berling » etl’arrivée du rappeur« Doc Gynéco » dans la guitare et les affaires artistiques de Carlita !
Comment s'étonner de l'arrivée du rappeur Doc Gynéco dans l'entourage de Carla ?
Ce n'est là que l'illustration des propos qu'il avait tenu lors d'une interviewe accordée il y a quelques mois à "Elle "qui l'interrogeait sur ses préférences : "J'ai toujours dit mon attirance pour les bourgeoises!" ......."Contrairement à ce que les gens croient, Paris Hilton ou Pamela Anderson, ça ne me fait aucun effet. Moi, j'aime Christine Lagarde, et encore plus Michèle Alliot-Marie. Et l'autre, là, la patronne du Medef, Laurence Parisot. J'adore quand elle monte sur le petit perron de l'Elysée!"
Autrement dit, ce qui attire Doc ce sont les femmes bourgeoises installées dans la politique et les affaires et l'on peut reconnaître que c'est bien le cas en la personne de Carla.
Pour le retour de Charles Berling dans les affaires de Carla, il n'y a pas lieu non plus de s'en étonner, les allées et retours des" ex "dans les affaires de leurs" ex petites amies" sont monnaies courantes de nos jours dans le monde des affaires , donc " honni soit qui mal y pense", comme l'a pu dire un célèbre chevalier de la Jarretière autrefois .
Comme conséquence du retour de son"ex non futur" et de l'arrivée de Doc Gynéco dans ses affaires actuelles, nous apprenons que Carla sur bookée ne pourra accompagner son mari Nicolas Sarkozy au Sommet de la Francophonie à Québec !
«Ces derniers jours, les sources gouvernementales québécoises ont soutenu qu'elles s'attendaient à ce que Carla Bruni accompagne son mari pendant le Sommet de la Francophonie, qui se tiendra à Québec à la mi-octobre.
Selon ces sourcesla venue de l’ex Top modèlequi a réorienté et renforcé tout récemment sa carrière comme « chanteuse- auteure-compositrice- première dame de monsieur mon mari » (Ouf …), a été avancée lors d'une rencontre entre hauts fonctionnaires des deux gouvernements...»
Premièreréaction du service de presse de l'Élysée: «C'est une méprise ! L'entourage du président a dû répondre dans un premier temps que rien n'était fixé. Du coup, toutes les options étaient possibles... : Viendra ? Ne viendra pas ? ……..
Mais la question était importante pour le protocole et l’organisation de l’accueil et du séjour.
Deuxième réaction de l’Elysée : Sous la pression,l'Élysée qui était suspendu à la réponse de Carlita a finalement pu répondre …... «La décision est irrévocable, Carla Bruni n'ira pas au Québec...»
En effet, Carla Bruni chanteuse compositrice, recomposée en mariage avec notre Président,se consacre actuellement prioritairement à la promotion de son Nouvel Album ; elle se produit dans de nombreuses émissions télévisées en Europe, pour relancer son nouvel Album « Comme si de rien n’était » etses photos chic et choc sont toujours exposées un peu partout dans les magazines nationaux, européens et américains.
C’est ainsi que la Carlita de Nicolas contribue à donner une belle image de la France « au turbin ». Toujours au travail, Carla Bruni entre deux séance publicitaires, sera mi-octobre en studio avec l’un de ses ex, l'acteur Charles Berling et ensuite de nouveau ressoudés en affaires tous les deux, ils auront pour nouvel objectif de promouvoiret de relancer la carrière du chanteur Doc Gynéco, ami intime de l’ami intime de Pierre Sarkozy alias « Moses » fils ainé de Nicolas Sarkozy.
Quand je vous disais que Carlita était une parfaite ordonnatricede sa double carrière d’artiste et de première dame.Comment aurait-elle pu aller au Québec au Sommet de la Francophonie avec Nicolas Sarkozyalors qu’il y a urgence à promouvoir son Album et à relancer Doc Gynéco ?
Il y a des priorités qui ne souffrent aucune dérogation, Carla, Charles Berling et Doc Gynéco en sont la preuve vivante, pour ce triole « turbin », la musique et le rapprimentle Sommet de la Francophonie.
Dernièrescitations de Madame Carla Bruni Sarkozy :
-faire de la politique, "c'est plus dur que de faire de la musique, c'est un travail difficile"
- les hommes politiques, sontdes "êtres humains comme nous" qui "agissent pour lesautres
"Il n'y a rien qui me manque dans ma vie d'avant. Je n'ai plus le droit d'être trèsinsolentemais je ne le souhaite pas non plus
Ndlr : Au la lecture de ces citations que la Palice ne renieraient pas, Jean Claude Van Damme doit certainement se sentir dangereusement concurrencé.
Prestations
Après les dernières émissions de la Télé Française ou nous avons pu voir (et pour certains ne pas voir) des émissions consacrées à Carla Bruni Sarkozy, chanteuse etépouse du Président Français Sarkozy, Carla Brunis’est produite en direct à la mi-septembre dans une émission de variétés à la BBC britannique, où elle avait chanté "Tu es ma came".
C’était enfin au tour de la Télé Allemande de l’accueillirdans "Wetten, dass..." ..." ("On parie que ?"), une émissionde la chaîne publique ZDF l’une des plus cotéesdans les pays germanophones.
C’est chose faite depuis le 4 octobre 2008, cette émission lui a ouvert ses portes pourl’interprétation en direct d’une de ses nouvelles chansons, dans le cadre de la promotion de son nouvel album « Comme si de rien n’était »…..
En dépit des résolutionsqu’elle avait prise de se consacrer à sa vie de « Première Dame » et de tenir effacée sa carrière de chanteuse pendant le quinquennat de son mari, tout en promettant de faire de son mieux, Carla Bruni Sarkozyfinalement se donne beaucoup de temps pour consolider sa carrière par l’intermédiaire des médias les plus cotés, ceci ne semble déranger personne sauf à savoir que Madame Carla Bruni avait expliqué précédemment,lors d'une interview, qu'il lui arrivait de déranger son mari "au milieu de la nuit" avec sa musique ce qui est le moindre mal, en effet un dérangement et un réveil en milieu de nuit peut parfois, s’ilse complète de quelques câlineries, conduire à l’extase pour un couple dont on sait qu’il est profondément amoureux de la chose musicale , et je doute fort que le principal intéressé « dérangé » puisse se plaindre en « nocturne » de ce délicieux intermède.
Ainsi nous pouvons noter que Madame Carla Bruni en parfaite maîtresse et ordonnatricede savie d’épouse et de chanteuse étroitement imbriquée,saitparfaitementconjuguertous ses charmes et armes de séduction pour rendre sa vie de couple agréable, nuit et jour, ne doutons pas que son mari doit lui en savoir gré. La plus belle femme du monde ne peut donnerque ce qu’elle a, rappelle-ton communément, Qui oserait lui jeter la première pierre pour ses légitimes prestations nocturnes ?
D’autant que dans ce monde,ou selon ce qu’elle a expliqué sur le plateau de l’émission allemande, faire de la politique, "c'est plus dur que de faire de la musique, c'est un travail difficile", tout en confiant son admiration pour les hommes politiques, des "êtres humains comme nous" qui "agissent pour les autres".
Comment s’étonner alors, puisque ces hommes politiques agissent « pour les autres », que de charmantes épouses en certaines circonstancesles réveillenten pleine nuit pour leur donner le moyen de prouver qu’ils sont des êtres humains comme tout le monde ?
Bref, pour en revenir à l’émission sur fond de décor quelque peu rétro-romantique-parisien avec Tour Eiffel et vasques de verdure et de fleurs, MadameCarla Bruni a présenté et chanté sa chanson "L'Amoureuse". Des millions de téléspectateurs, ont pu ainsi l'entendre chanter : ……. "Je suis l'amoureuse, je suis ton amoureuse. Et je chante pour toi la seule de toutes les choses qui vaille d'être là".
Interrogée sur ce qu'elle avait apporté avec elle lors de son emménagement à l'Elysée, ellea précisé "ma guitare, mes livres et moi-même".
Lors de l'entretien avec le présentateur Thomas Gottschalk, en présence du couturier Karl Lagerfeld, Carla Bruni a précisé: "Il n'y a rien qui me manque dans ma vie d'avant. Je n'ai plus le droit d'être très insolente, mais je ne le souhaite pas non plus".
Pour oublier la Crise Financière, pour oublier les Parachutes Dorés, pour oublier les prédateurs, les hommes de pouvoir leur orgueil et leur platitude ,pour oublier tout ce qui s’achète et trompe notre envie sans nous donner le bonheur, laissons nous emporter un moment dans la délicieuserêverie de la "Romance de Maître Pathelin" interprétée par Tino Rossi (1936)
Je pense à vous quand je m'éveille (Romance de Maître Pathelin) Paroles de DE LEUVEN et T. LANGLÉ Musique de F. BAZIN Interprète : Tino ROSSI (1936)
Je pense à vous quand je m'éveille Et de loin je vous suis des yeux, Je vous revois quand je sommeille Dans un songe mystérieux
Le seul bonheur auquel mon coeur aspire C'est d'obtenir un aveu des plus doux Voilà, voilà ce que je veux vous dire Mais hélas ! j'ai trop peur de vous.
Quand je guette votre passage Lorsque j'espère enfin vous voir Je me dis par un doux langage Aujourd'hui je veux l'émouvoir...
Je veux, je veux, dans mon brûlant délire Dire je t'aime en tombant à genoux... Voilà, voilà ce que je veux vous dire Mais hélas ! j'ai trop peur de vous.
Le patron de Dexia, Monsieur Axel Miller avait affirmé mardi qu'il était contre les parachutes dorés quand les patrons avaient démérité, mais qu'il n'estimait pas être dans ce cas.
Cependant, vendredi, il a cédé à la pression et il a renoncé à son « parachute doré » de 3,7 millions d'euros, sous la pression du gouvernement français qui a menacé de ne pas débloquer l'argent nécessaire au sauvetage de la banque franco-belge, face au tollé et à la vive polémique suscités par le montant important de cette indemnité de départ, alors que Dexia échappait de justesse à la faillite.
L'éventualité que M. Miller perçoive une indemnité de 3,7 millions d'euros, selon les termes de son contrat, est donc remise en cause et battue en brèche … pour le moment. Nous n'avons aucun souci à nous faire pour lui, une fois la crise passée, ils trouveront tous entre eux, politiques, financiers et dirigeants, un arrangement amiable pour le dédommager, l'essentiel actuellement c'était de calmer les esprits et c'est sans doute ,bien plus qu'une contrainte qui lui aurait imposée, une recommandation qui lui a été faite et à laquelle il s'est adroitement conformé.
C’est le gouvernement Français qui a demandé à la Caisse des dépôts, actionnaire et administrateur de DEXIA de s’opposer au versement de ce « parachute doré » en tant qu'administrateur, prenant de court le comité des rémunérations de Dexia qui devait se réunir Lundi pour décider d'attribuer ou non cette indemnité à Monsieur Miller, étant précisé que, selon les termes de son contrat, elle ne pouvait être versée qu'en cas de départ forcé du dirigeant, alors que d’après ses dires nous savons qu’ il aurait démissionné de lui-même. ( depuis Madame Lagarde au contraire vient d’indiquer que les dirigeants de la banque seraient partis sur décision des gouvernements) (voirci-dessous (**) )
Le choeur nuancé des moralisateurs à retardement :
Le Premier ministre belge, Yves Leterme, a fait savoir qu'il réprouvait lui aussi la pratique du « parachute doré » , rejoignant en partie, par cette opinion, celles de nombreuses personnalités du monde politique et syndicale qui se sont exprimés, comme par exemple la présidente du Medef , Madame Laurence Parisot, qui aestimé qu'un patron qui a « échoué » ne devait pas toucher de parachute doré.
Ndlr : l’appréciation de Madame Laurence Parisot est plus radicale que celle d’autres commentateurs, en effet on peut avoir « échoué » sans pour autant avoir démérité.
Ndlr : Tout ce verbiage de moralisation concerté plus ou moins rigoureux (à retardement) me parait venir tout à propos pour nous faire avaler la pilule des sommes colossales distraites des caisses de l’Etat, des Etats, (donc en définitive de nos poches) , pour sauver des organismes ou sociétés bancaires, financiers ou autres, qu’il convient, dans l’esprit d’une politique ultra libérale, de sauver du gouffre de la faillite, autant pour sauver la face de la politique »libérale » que pour ne pas laisser découvrir les causes profondes du désastre. Gageons que si dans quelques mois, ou quelques courtes années, ces organismes et sociétés retrouvent leur rythme de croisière, les dirigeants démissionnés et privés de leur parachutes reviendront à la charge pour obtenir le respect des garanties dont ils sont contractuellement bénéficiaires, quoique qu’on en dise et même si ces sommes sont injustifiées parce que exorbitantes. En effet, ils ne seront pas démunis d’arguments et nous pouvons penser que tout se réglera par une procédure amiable, pour éviter des procès feuilleton ou tout peut se dévoiler et se dire en défense.
Bien entendu le porte parole du gouvernement FrançaisMonsieur Luc Chatel se devait de nous faire connaître l’oracle de Matignon en soulignant que : "L'idée même que les dirigeants qui ont porté Dexia dans ses difficultés puissent bénéficier d'un parachute doré était particulièrement choquante" .
Ndlr : Quant à la Caisse des Dépôts et Consignations qui détenait 12 % de DEXIAet qui a pendant des mois, peut-être des années « laissé passer, laissé faire » et laissé les dirigeants de sa filiale prendre des initiatives financières à hauts risques sur les marchés américains, ne semble pas « choquer » nos gouvernants.
Quoiqu’il en soit dans le « Landernau » Européen, les mots d’ordre circulent et à l’exemple d’Etat Français qui avait fait part dès mercredi de son projet « d'encadrer » les parachutes dorés, les ministres européens des Finances se préparent à adopter plusieurs recommandations sur cette pratique.
Ndlr : il est évident que les « recommandations » seront en conformité avec le Droit du travail de chacun de ces pays et qu’elles ne pourront donc être uniforme, d’un pays à l’autre, par suite elles poseront de nombreuses difficultés d’interprétations , par exemple en cas de délocalisations d’entreprises ou de changement de siège social d’un un pays ou l’autre, un bel imbroglio juridique et contentieux se prépare, mais n’en doutons pas les législateurs européens produiront chacun pour leur pays un texte nickel cousu main, c’est tout ce leurs dirigeants leur demandent pour le moment, pour se donner bonne conscience et calmer les esprits.
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« Je renonce à Satan à ses pompes et à ses œuvres ? »
C’est un porte-parole du ministère des Finances qui a fait savoir vendredique MonsieurAxel Miller, qui avait présenté sa démission mardi après l'annonce d'un plan de sauvetage de 6,4 milliards d'euros de l'établissement qu’il dirigeait, par les gouvernements belge, français et luxembourgeois, avait "accepté de renoncer aux indemnités de départ auxquelles il avait droit contractuellement".
"Je m'en remets à la sagesse du conseil d'administration pour déterminer, à la fin de lagestion des affaires courantes qui m'a été confiée, le bilan de mon action au sein du groupe Dexia", a-t-il déclaré.
Ndlr : « à la fin de la gestion des affaires courantes …. Monsieur Axel Miller semble reculer pour calmer les esprits, mais s’il s’avère qu’il n’a pas démérité, sans doute reviendra-t-il à la charge le moment venu.
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(**) Si par ailleurs Monsieur Miller a, de son côté, indiqué avoir présenté sa démission au conseil d'administration, la ministre française de l'Economie Christine Lagarde a affirmé le contraire, à savoir que les dirigeants de la banque étaient partis sur décision des gouvernements. L’opinion de notre ministre jette un doutesur la question, Monsieur Axel Miller pourrait prétendre, plus tard une fois le lait refroidi, recevoir un « parachute doré » puisque selon les termes de son contrat, il ne pouvait être versé qu'en cas de départ forcé du dirigeant, reste à savoir si un départ « sur décision du gouvernement » peut-être assimilé en droit à « un départ forcé », quelles qu’en soient les causes.
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« Le chœur des anges européens libéraux »
Quoiqu’il en soit dans le « Landernau » Européen, les mots d’ordre circulent et à l’exemple de l’Etat Français qui avait fait part dès mercredi de son projet « d'encadrer » les parachutes dorés, les ministres européens des Finances se préparent à adopter plusieurs recommandations sur cette pratique.
Nldr : il est évident que les « recommandations » seront en conformité avec le Droit du travail de chacun de ces pays et qu’elles ne pourront donc être uniforme, d’un pays à l’autre, et qu’elles poseront de nombreuses difficultés d’interprétations , par exemple en cas de délocalisations d’entreprises ou de changement de siège social d’un un pays ou l’autre, un bel imbroglio juridique et contentieux se prépare, mais n’en doutons pas les législateurs européens produiront chacun pour leur pays un texte nickel , c’est tout ce leurs dirigeants leur demandent pour le moment, pour se donner bonne conscience et calmer les esprits.
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Rappelons qu’en France, « la décision de renonciation à parachute doré » n'a qu'un précédent : Monsieur Pierre Bilger en 2003 alors PDG d'Alstom, avait abandonné son indemnité de départ de 4,1 millions d'euros n’entendant pas devenir "un motif de scandale", alors que son groupe était confronté à de graves difficultés. C’était tout à son honneur, mais ce n’est que 5 ans plus tard que son exemple est suivi par Monsieur Axel Miller, pour d’autres raisons cependant.
Tout récemment, l'indemnité de 6 millions d'euros prévue pour l'ancienne directrice générale d'Alcatel-Lucent, Patricia Russo, alors que l’entreprise s'enfonçait dans la crise, a créé des remous.
Reste qu’aux Pays-Bas, la presse a fait état d'une possible indemnité de 5 millions d'euros pour le directeur exécutif par intérim du bancassureur belgo-néerlandais Fortis, sauvé lui aussi de la faillite par une nationalisation partielle.
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Le parachute doré ? Une affaire à suivre : dans l’avenir, ses circonvolutions dans le ciel de la finance et des affaires et ses implications politiques ne manquera pas de nous intéresser.