Le Député UDI Meyer Habib élu centre droit s'est fait remarquer récemment à son désavantage pour sa grossièreté dans un tweet le 17 janvier en traitant de petites connes les députées et élues ayant participé à une manifestation contre la réforme des retraites devant l'Assemblée Nationale , et a ensuite réitéré ses insultes le 20 Février au cours de la première séance du 20 janvier en réponse à Clémentine Autain qui avait un moment auparavant rappelé ce fait la touchant personnellement ainsi que d'autres de ses collègues..
Intervention de Clémentine Autain extraite du compte rendu intégral de la première séance du jeudi 20 février
Fait personnel
Mme la présidente. La parole est à Mme Clémentine Autain, pour un fait personnel.
Mme Clémentine Autain. Je précise à M. Lassalle – peut-être sa langue a-t-elle fourché – que je ne suis jamais montée à la tribune pour lire des versets de la Bible.
M. Fabien Di Filippo. On aimerait bien !
Mme Clémentine Autain. Il s’agissait sans doute de Mme Christine Boutin, chacun et chacune l’aura compris.
Mme Clémentine Autain. Par ailleurs, s’agissant des insultes proférées par le biais de Twitter, notamment des insultes et des remarques à caractère sexiste, et compte tenu de la sensibilité aiguë – que je partage, vous l’imaginez bien, chers collègues – dont fait preuve cette assemblée à ce sujet, j’indique que l’un de nos collègues, Meyer Habib, a traité l’une de nos collègues et moi-même de « petites connes », sous le hashtag #ACauseDesPetitesConnes.
Nous avons tous à cœur, me semble-t-il, de faire en sorte que ce genre de propos sexiste et injurieux, tant dans l’hémicycle que par le biais de Twitter, ne soient plus tenus. (Applaudissements sur les bancs du groupe FI et sur divers bancs des groupes LaREM et LT.)
Nous avons tous à cœur, me semble-t-il, de faire en sorte que ce genre de propos sexiste et injurieux, tant dans l’hémicycle que par le biais de Twitter, ne soient plus tenus. (Applaudissements sur les bancs du groupe FI et sur divers bancs des groupes LaREM et LT.)
fin de l'extrait
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La séance s'est ensuite poursuivie sur d'autres sujets, mais au bout d'un long moment la parole a été donné au Député Meyer Habib lequel très remonté a tenus et réitéré des propos que la Député Clémentine Autain n'a pas laissé passé en prenant la parole pour demander un rappel au règlement.
Copié/collé de l'intervention du Député Meyer Habib
"Faits personnels
Mme la présidente. La parole est à M. Meyer Habib, pour un fait personnel.
M. Meyer Habib. J’ai été mis en cause personnellement par Mme Autain. Il me semble que, comme le veut le règlement de l’Assemblée nationale, un rappel à l’ordre, au minimum, aurait dû lui être adressé.
De quoi s’agit-il ? Des députés et sénateurs de trois partis politiques – des Insoumis, des communistes et des écologistes –, ceints de leur écharpe tricolore, ont piétiné, devant l’Assemblée nationale, dans une parodie de lynchage, une marionnette représentant le Président de la République.
Je crois, madame la présidente, que toutes les limites ont été franchies – et je le dis bien que je fasse partie de l’opposition ! (Applaudissements sur de nombreux bancs des groupes LaREM et MODEM.)
Il y quelques semaines, lors des manifestations à Paris, la tête du Président de la République a été présentée au bout d’une pique : des limites ont été dépassées, dans un silence assourdissant. J’ai en mémoire la scène et la prise de parole de Robert Badinter, qui s’exprime si rarement : dans une parole magnifique, il a rappelé que derrière le symbole, il y a la pulsion. (Conciliabules sur les bancs du groupe FI.)
C’est évidemment pour cette raison que j’ai tweeté, comme j’en ai le droit, à propos de cette danse sur l’air de « À cause des garçons », en inscrivant le hashtag « À cause des petites connes ». (Vives protestations sur les bancs des groupes FI et GDR.)
De quoi s’agit-il ? Des députés et sénateurs de trois partis politiques – des Insoumis, des communistes et des écologistes –, ceints de leur écharpe tricolore, ont piétiné, devant l’Assemblée nationale, dans une parodie de lynchage, une marionnette représentant le Président de la République.
Je crois, madame la présidente, que toutes les limites ont été franchies – et je le dis bien que je fasse partie de l’opposition ! (Applaudissements sur de nombreux bancs des groupes LaREM et MODEM.)
Il y quelques semaines, lors des manifestations à Paris, la tête du Président de la République a été présentée au bout d’une pique : des limites ont été dépassées, dans un silence assourdissant. J’ai en mémoire la scène et la prise de parole de Robert Badinter, qui s’exprime si rarement : dans une parole magnifique, il a rappelé que derrière le symbole, il y a la pulsion. (Conciliabules sur les bancs du groupe FI.)
C’est évidemment pour cette raison que j’ai tweeté, comme j’en ai le droit, à propos de cette danse sur l’air de « À cause des garçons », en inscrivant le hashtag « À cause des petites connes ». (Vives protestations sur les bancs des groupes FI et GDR.)
M. Fabien Roussel. Mais on est où, là ?
Mme Clémentine Autain. Rappel au règlement !
M. Meyer Habib. C’est bien le minimum que nous puissions…
Mme la présidente. S’il vous plaît, monsieur le député…
M. Meyer Habib. Ah, c’est marrant ? Ce que vous faites est scandaleux ! (Mêmes mouvements.) Vous attisez la haine ! (Plusieurs députés du groupe GDR se lèvent et protestent vivement.)
M. Fabien Roussel. C’est honteux ! Et il s’affiche avec le Président de la République !
M. Meyer Habib. Vous attisez la haine !
M. Rémy Rebeyrotte. Vous dépassez les limites !
M. Damien Abad. Ce qui se passe est assez marrant… (Sourires)
Mme la présidente. Je rappelle les règles d’intervention au titre d’un rappel au règlement. (Les protestations, vives, se poursuivent sur les bancs des groupes FI et GDR.)
M. Meyer Habib. C’est moi que vous traitez de connard ? Islamo-gauchistes !
Mme la présidente. Mes chers collègues, s’il vous plaît : madame Autain, monsieur Roussel, je vais vous donner la parole, mais avant je voudrais simplement rappeler que vous devez indiquer le fondement de vos rappels au règlement. Si c’est en raison d’une mise en cause personnelle, c’est au titre de l’article 58, et il faut le dire.
M. Meyer Habib. C’est exactement ça.
Mme la présidente. Ensuite, je souhaiterais qu’aucune injure ne soit proférée dans l’hémicycle.
( La président s'adresse à Clémentine Autain )
Madame Autain, sur quel fondement demandez-vous un rappel au règlement ?
Madame Autain, sur quel fondement demandez-vous un rappel au règlement ?
Mme Clémentine Autain. L’article 58, pour mise en cause personnelle.
M. Christophe Naegelen. Mais il ne vous a pas citée !
Mme Clémentine Autain. Nous savons tous ici que M. Meyer Habib ne connaît pas l’humour et pratique la caricature et l’insulte en permanence. Je maintiens mes propos : traiter des parlementaires de « petites connes » sur les réseaux sociaux est à la fois sexiste et insultant.
Quant à ce que nous avons fait, monsieur Habib…
Quant à ce que nous avons fait, monsieur Habib…
M. Meyer Habib. C’est quoi ça ? Une menace ?
Mme Clémentine Autain. Calmez-vous, monsieur Habib. Prenez un petit peu de camomille, cela vous fera du bien… (M. Meyer Habib se lève.) Quant à ce que ma collègue Elsa Faucillon et moi avons fait, ....
…
M. Meyer Habib. C’est moi que vous menacez ?
Mme la présidente. Monsieur Habib !
Mme Clémentine Autain. … nous pourrions en effet le refaire : nous avons chanté, nous avons dansé, nous avons parodié, nous avons contesté. Ce sont des droits démocratiques fondamentaux,…
M. Meyer Habib. Avec votre écharpe tricolore ?
Mme Clémentine Autain. …que peuvent exercer les citoyennes, les citoyens et les élus dans leurs fonctions : parce que oui, notre fonction est de défendre ici nos idées et, s’il le faut, de manifester pour dire nos convictions. (Applaudissements sur les bancs des groupes FI et GDR.) Et nous pouvons contester dans la joie et la bonne humeur, et avec un esprit critique qui me semble utile : c’est l’un des éléments phares de toute démocratie qui se respecte ! (« Bravo ! » sur les bancs des groupes FI et GDR. – Protestations sur plusieurs bancs du groupe MODEM.)
Je regrette donc que M. Meyer Habib ne trouve rien d’autre à faire que de m’insulter une nouvelle fois.
Monsieur Meyer Habib, j’aimerais bien qu’un jour, vous soyez là pour débattre du fond, sans injure, sans insulte et sans sexisme ! Mais je pense que cela vous demanderait un effort hors de votre portée. (Mme Sabine Rubin applaudit.)
Je regrette donc que M. Meyer Habib ne trouve rien d’autre à faire que de m’insulter une nouvelle fois.
Monsieur Meyer Habib, j’aimerais bien qu’un jour, vous soyez là pour débattre du fond, sans injure, sans insulte et sans sexisme ! Mais je pense que cela vous demanderait un effort hors de votre portée. (Mme Sabine Rubin applaudit.)
M. Fabien Roussel. Des excuses, monsieur Habib !
M. Christian Hutin. On sort un peu du débat, là…
Mme la présidente. Avant de donner la parole à Mme Marie-George Buffet, je voudrais simplement vous signaler que, de faits personnels en autres faits personnels pour y répondre, les prises de parole peuvent continuer de s’enchaîner longtemps…
Madame Buffet, quel est le fondement de votre rappel au règlement ?
Madame Buffet, quel est le fondement de votre rappel au règlement ?
Mme Marie-George Buffet. J’interviens au titre de l’article 58, alinéa 1.
Cher collègue, vos propos font honte à la République.
Cher collègue, vos propos font honte à la République.
M. Meyer Habib. Moi ? C’est vous qui piétinez la marionnette du Président de la République !
Mme Marie-George Buffet. Vous n’acceptez pas que des mobilisations existent et se déroulent près de l’Assemblée, dans la joie et la bonne humeur. Vous n’acceptez pas que des femmes se lèvent pour dire ce qu’elles pensent ; par vos propos sexistes et vulgaires, vous les rabaissez ! Votre comportement donne aussi à voir votre pensée politique : elle n’est pas bien grande ! (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR, FI et SOC.)
M. Meyer Habib. Magnifique
…
M. Alain Bruneel. C’est honteux ! Des excuses !
Mme la présidente. La parole est à M. Adrien Quatennens.
M. Adrien Quatennens. Avant de demander une suspension de séance, je voudrais dire à notre collègue Habib qu’il vient d’inventer, en quelque sorte, le délit de lynchage symbolique. Collègue, la satire, la caricature, ça existe. Et c’est parce que, contrairement à vous, nous sommes des républicains convaincus et conséquents, nous sommes opposés à la violence en politique. (Rires et exclamations sur plusieurs bancs du groupe LaREM.)
Oui, nous l’avons toujours été et nous l’avons toujours dit. (Brouhaha.) Danser autour d’une marionnette ou faire une chorégraphie a avant tout une portée symbolique ; en revanche, traiter des parlementaires de « petites connes » n’est plus symbolique : c’est une insulte et c’est intolérable !
Oui, nous l’avons toujours été et nous l’avons toujours dit. (Brouhaha.) Danser autour d’une marionnette ou faire une chorégraphie a avant tout une portée symbolique ; en revanche, traiter des parlementaires de « petites connes » n’est plus symbolique : c’est une insulte et c’est intolérable !
M. Rémy Rebeyrotte. Quelle honte !
M. Adrien Quatennens. C’est vous qui faites honte à la République ! Je demande une suspension de séance, jusqu’à ce que le collègue Habib présente des excuses pour avoir insulté des parlementaires. (Applaudissements sur les bancs des groupes FI et GDR.)
Mme la présidente. Cette suspension est de droit et je vous l’accorderai donc, mais après avoir donné la parole à MM. Julien Aubert et Eric Woerth, pour deux rappels au règlement
Fin de l'extrait
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Ceci n'empêche pas que deux députés Julien Aubert et ERIC Woerth ( pour montrer leur zèle sans doute ? ) ont pris la parole successivement pour pour se montrer agacés :
Julkien Aubert en rappelant l'article 70 du réglement a expliqué que ces deux infractions ont été commises l’une sur Twitter, l’autre sur le parvis de l’Assemblée nationale et qu'il aimerait " que le fonctionnement de cette assemblée ne soit pas immobilisé par une partie de ping-pong qui pourrait tout à fait se régler en dehors de l’hémicycle"... et qu'à un moment donné , madame la présidente , il faut tirer les conséquence sur le blocage de nos travaux : si ça continue comme ça , on peut y passer la nuit ou du moins la journée .., approuvé par les députées Emilie Bonnivard et Brigitte Bourguignon et applaudit par sur les bancs des groupes LR ainsi sur nombreux bancs des Groupes LaREM et MODEM .
Quant à Eric Woerth il a rappelé l'article 70 et 100 du règlement en en rajoutant propos de son collègue Julien Aubert et lui aussi il a été applaudi sur les bancs des groupes LR et LaREM, ainsi que sur plusieurs bancs du groupe MODEM.)
Voici ci-dessous leurs interventions dont ils auraient pu s'abstenir s'ils avaient eux-mêmes le souci de travailler comme ils le prétendent sans perdre de temps !
La Présidente : La parole est à M. Julien Aubert.
M. Julien Aubert. Mon rappel se fonde sur l’article 70 de notre règlement, dont le troisième alinéa dispose qu’on ne doit pas interpeller ou injurier un autre député dans l’enceinte de l’Assemblée ; le cinquième alinéa, lui, précise qu’un député ne doit pas se rendre coupable d’injures, de provocations ou de menaces envers le Président de la République. Ces deux infractions ont été commises l’une sur Twitter, l’autre sur le parvis de l’Assemblée nationale. J’aimerais que le fonctionnement de cette assemblée ne soit pas immobilisé par une partie de ping-pong qui pourrait tout à fait se régler en dehors de l’hémicycle.
Mme Émilie Bonnivard. Exactement.
M. Julien Aubert. À un moment donné, madame la présidente, il faut tirer les conséquences de ces interventions sur le blocage de nos travaux : si ça continue comme ça, on peut y passer la nuit ou du moins la journée…
Mme Brigitte Bourguignon. Oui, allez régler ça ailleurs !
M. Julien Aubert. Nous devons discuter d’éléments de fond, et beaucoup de Français attendent ce débat sur la réforme des retraites. (Applaudissements sur les bancs des groupes LR, ainsi que sur de nombreux bancs des groupes LaREM et MODEM.)
Mme la présidente. C’est précisément ce que je viens de dire, monsieur Aubert.
La parole est à M. Éric Woerth.
La parole est à M. Éric Woerth.
M. Éric Woerth. Sur la base des articles 70 et 100 du règlement, je voudrais ajouter aux propos de mon collègue Julien Aubert qu’on ne peut pas aller de tweet en tweet : à un moment donné, ça suffit ! D’ailleurs, les tweets sont en train de prendre le pas sur les articles, ce qui pose tout de même un problème.
Je pense également que nous n’avons pas à être pris en otage…
Je pense également que nous n’avons pas à être pris en otage…
Mme Marie-George Buffet. Et pendant le mariage pour tous, alors ?
M. Éric Woerth. …entre les insoumis, qui en rajoutent tout le temps, et un député qui s’estime insulté : ce n’est pas notre histoire, et cela ne concerne pas la réforme des retraites !
M. Damien Abad. C’est infernal.
M. Éric Woerth. Nous devons parler du fond, car Dieu sait qu’il y a à dire : nous avons des centaines et des centaines d’amendements à examiner. (Applaudissements sur les bancs des groupes LR et LaREM, ainsi que sur plusieurs bancs du groupe MODEM.)
Alors sortez de l’hémicycle, discutez ensemble, réglez cela devant la presse, mais pas dans l’hémicycle !
Alors sortez de l’hémicycle, discutez ensemble, réglez cela devant la presse, mais pas dans l’hémicycle !
Mme la présidente. Les points de vue se sont exprimés, les rappels au règlement ont été faits : je suspends la séance pour quelques minutes, et nous reprendrons ensuite l’examen des sous-amendements.
Pour en savoir plus nous publions ci-dessous une Revue de Presse où vous retrouverez en extraits vidéos publiés par les médias , la manifestation des élues devant l'Assemblée le 17 février et la suite du 20 Février en séance à l'Assemblée Nationale, et plus bas des articles sur le même sujet.
REVUE DE PRESSE
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Pour tout connaître de l'activité de Meyer Habib à l'Assemblée Nationale. Meyer Habib est député UAI de la 8ème circonscription des Français établis hors de .
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Complément d'informations :
NDLR : la virulence des propos de Meyer Habib m'a poussée à me documenter sur son parcours politique et sa personnalité civile , à cet effet j'ai consulté différents textes sur internet. Pour faire court si vous souhaitez vous aussi "approfondir le personnage" je pense que la page Wikipédia qui lui est consacrée contient assez de pistes pour étendre vos recherches. Dans ce cas, vous retrouverez facilement sur Internet la page Wikipedia Michel Habib avec votre moteur de recherche.
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