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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Un article de Michel Mahler et de son attachée de presse « Noutnoute », du site « Le réveil des Marmottes, nous révèle les secrets des Mille nuits Elyséennes.
Sarkozy et le conte des mille et une promesses
Lundi 2 février 2009
Il y a eu les 101 Dalmatiens, les 101 propositions de Mitterrand, le conte des mille et une nuits et maintenant la farce des mille projets de Sarkozy. François Fillon joue au Mage Elland... «Certains de nos concitoyens ont pu croire que les 26 milliards de notre plan de relance constituaient une annonce abstraite, qui ne les concernait pas...» Lundi, à Lyon, François Fillon a dévoilé le rêve de Nicolas Sarkozy du 4 décembre 2008: Les 1000 projets pour relancer l'économie. Et plouf ! Nicolas a oublié un projet, le compte n'y est pas ou alors, la Shéhérazade nationale a oublié de lui réciter un conte, elle a calé à 1000. Le projet oublié par Sarkozy était justement le seul plan pour la relance. François Fillon voit loin: «J'ai l'espoir que creuser le déficit permette "aux générations futures de rembourser la dette"...» - «Celle-là, on ne l'avait pas encore faite ouvertement» pensent à haute voix Noutnoute et le Réveil des Marmottes. À peine le perroquet a-t-il fermé son bec que la nouvelle tombait: Le nombre de chômeurs a encore augmenté de 2,2% (+ 45 800) en décembre, portant le nombre des sans emploi (répertoriés par l'ANPE) à 2 114 300 en décembre soit 11,4% de plus pour 2008.
«Pourvu que Nicolas Sarkozy ne nous propose pas un rêve d'un milliard de projets !» s'inquiètent Noutnoute et le Réveil des Marmottes. Les chômeurs de catégorie 1 (il y a les chômeurs de première catégorie et les sous-chômeurs) sont en hausse de 11,4%. Les chiffres ont été publiés par la DARES (Direction de l'Animation de la Recherche, des Études et des Statistiques). Le chômage chez les jeunes de moins de 25 ans a augmenté de 19,5% en 2008 et les "licenciements économique" font un bond de 16,1%. À l'UMP, on se rassure comme on peut. Christine Lagarde, la ministresse de l'Économie, et Laurent Wauquiez, le secrétaire d'État à l'Emploi, ont publié un communiqué commun sur la "nécessité du plan de relance présenté par Nicolas Sarkozy" voté par le Parlement la semaine dernière. Comment feront-ils pour mettre en oeuvre 1000 projets ? Ça risque d'être assez chaotique, non ?
«I have a dream (J'ai un rêve)» avait déclaré Martin Luther King au Lincoln Memorial à Washington DC le 28 août 1963. «J'ai fait 1000 rêves !» a déclaré Nicolas Sarkozy par la voix de François Fillon. Toutefois, Christine Lagarde voit déjà un miracle: La hausse des demandeurs d'emploi de décembre est inférieure à celle de novembre 2008. Ouf ! Nous attendons avec impatience les chiffres de janvier 2009. Martine Aubry, la Première secrétaire du Parti Socialiste, est plus réaliste: «À ce rythme-là, le taux de chômage pourrait franchir la barre des 10% dès 2009».
… où les forces de l'ordre auraient un rôle décisif ?
Les sécuritaires exultent : ils ont fini par obtenir ce qu'ils ont appelés de tous leurs vœux ! Ils ont un berger qui leur évite de fatiguer leurs neurones engourdis, de moutons fatigués, en leur traçant la route à suivre simplement en lorgnant le maître qui gambade alertement sur le devant de la scène. Les assistants dudivin berger sont les chiens fidèles du troupeau quiont été choisis pour leur capacité à inciter la masse à suivre le grand berger sans se poser de questions compliquées.
Lespectacle, quelque peu, affligeant quinous est offert tend à nous faire croire que tout ce gentil petit monde apporte sa pierre à l'édifice en cours de construction sur des fondations instables.
Pour les plus éveillés cela ressemble à un étrange récital de pipooffert par un incontestable virtuose , une sorte d'illusionniste qui cherche à faire oublier qu'il dirige tout, tout seul et a toujours le dernier mot ! Ses assistants rémunérés confortablement sont dans le décor avant tout pour accréditer la voix du maître et pour nous inciter à croire que ses décisions sont toujours géniales.
Pourtant ceux qui les subissent savent qu'il n'en est rien et les moins naïfs ne croient pas que le grand homme cherche à sauver le peuple en lui administrant sa potion si peu magique ! Mais ces dirigeants là pensent que le peuple est composé majoritairement d'idiots, d'aveugles et de sourdsqui peuvent facilement croire que le pouvoir doit être centralisé pour être efficace.
Mais pour croire en cette belle fable sans être bien malade il faut, au moins, appartenir au troupeau des purs bêlants de France ?
Aujourd'hui l'espoir renaît car, depuis peu, la situation semble évoluer vers plus de lucidité concernant les électeurs, des voix sonnent même l'alarme dans cette autre moitié de français qui se sentent floués et qui craignent que les dérives qu'ils observent soit porteuses de déboires graves pour notre vielle mais bonne démocratie a laquelle on veut imposer une soi-disant cure de jouvence qui s'apparente davantage à un remède de cheval?
Il est clair que le scénario concocté par notre grand berger à l'époque pas bien lointaine du capitalisme triomphant vire au cauchemar alors les slogans qui lui ont assuré le poste qu'il occupe maintenant paraissent quelque peu ridicules. Avant que la crise n'éclate, avec l'aval de sa majorité le grand homme s'est tout d'abord préoccupé d'améliorer très sérieusement ses propres revenus en assurant son avenir avant de mettre à mal les avantages acquis par le peuple au prix de luttes longues et dures !
La crise est là et voila notre grand berger qui se sent à l'étroit dans notre hexagone qui parcours la planète pour jouer à Zorro ! Il fustige au passage ses amis de la finance, qui pas plus que lui n'ont rien vu venir, joue les pères noble pour finalement, participer à la reconstruction à l'identique de son cher Capitalisme !
Etre vieux ne nous oblige pas forcément à être con à la fois comme le chantait Jacques Brel ! Trop de concerts de fifrelin ont bercé nos vieilles oreilles pour que nous puissions y être encore sensibles. Enfin il nous reste suffisamment de lucidité pour faire le tri entre les imposteurs et les authentiques amis de notre peuple qui hélas ne sont pas si nombreux !
Mais cela ne semble pas être une raison suffisante pour tuer l'espoir qui vient de renaitre en nous !
Le 39e Forum économique mondial s'est achevé dimanche à Davos sur fond de crise financière. La devise en Suisse était : "Dessiner le monde d'après la crise". Aucune proposition concrète n'a cependant été avancée. La presse européenne dresse le bilan de cet évènement.
Le Temps - Suisse Après le Forum économique mondial de Davos, le quotidien Le Temps aperçoit une lueur d'espoir dans la crise, mais il met en garde contre tout protectionnisme. "La crise est mondiale et grave. Très grave.... Il y a pourtant une bonne nouvelle. Les remèdes existent, et ils sont connus. Le Forum de Davos aura au moins servi à les résumer : entreprendre des actions publiques internationales coordonnées pour stabiliser la finance, et relancer la consommation. S'y ajoute un engagement à soutenir le commerce. Hélas, les barrières se lèvent déjà. Londres, Bruxelles et Washington sont en train de céder aux appels des lobbies et de la rue. En 1929, a averti à Davos le ministre brésilien des Affaires étrangères, le protectionnisme avait fait basculer la récession en dépression. A l'époque peut-être ignorait-on les bienfaits du commerce. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Il faut résister à cette tentation protectionniste. Les engagements pris à Davos doivent être honorés, au G20 en particulier." (02.02.2009)
Corriere della Sera - Italie Suite au Forum de Davos, le quotidien conservateur Corriere della Sera attribue de bonnes notes à l'Europe et met en garde contre une politique nationale. "Dans sa façon d'affronter la crise, l'Europe peut enregistrer deux bons point et est en même temps exposée à des dangers que d'autres ne craignent pas. Le premier point est l'économie sociale de marché. ... Le deuxième est l'expérience de la mondialisation. Même si celle-ci est limitée à l'espace continental, l'Europe mène une politique d'intégration depuis plus de 50 ans. ... En Europe, le 'marché' agrémenté du qualificatif 'social' n'est pas seulement une forme d'organisation des activités économiques. L'économie sociale de marché est le fondement de l'intégration européenne. ... Si les Etats membres reviennent vers une politique nationale dans la gestion de la crise sans se préoccuper outre mesure des répercussions négatives sur d'autres pays ; si le contrôle de la Commission européenne n'est pas toléré ; si ces tendances se concrétisent justement maintenant, alors l'Europe perdrait la base principale de son intégration. Cela signifierait aller au-devant de la dissolution [de l'Union], un modèle dont le monde a reconnu la validité et qu'il souhaite imiter." (01.02.2009)
Aftonbladet - Suède Le quotidien Aftonbladet examine ce dont a discuté "la direction de l'entreprise Terre" à Davos et demande des règles internationales : "De nombreux économistes se prononcent pour une autre voie, à savoir l'établissement d'un ensemble de règles pour diriger le système de manière beaucoup plus stricte. Il s'agit par exemple de tester les nouveaux produits financiers et de les approuver comme nous le faisons aujourd'hui avec les médicaments. Il s'est avéré qu'il ne faut pas jouer avec le poison qui s'est répandu dans le système sanguin de la finance. Avant tout, toutes les règles du jeu doivent être convenues au niveau international. De même qu'il existe aussi des accords dans le commerce. Comment faire ? Personne ne le sait. ... Quoi qu'il en soit, la fête est définitivement terminée." (02.02.2009)
Dnevnik - Slovénie Dans l'édition en ligne du quotidien Dnevnik, Dejan Kovač décrit les conséquences de la crise financière sur le Forum économique mondial de Davos : "Si, il y a deux ans encore, il était interdit à Davos, de prononcer les mots 'Etat' et 'régulation économique' dans une même phrase, les banquiers et les hommes d'affaire qui ont encore osé participer au sommet économique mondial étaient prêts cette fois à avaler les plus gros morceaux de l'interventionnisme d'Etat. ... Le fait que le monde jusque très récemment néolibéral n'ait pas encore été complètement bouleversé, n'est dû qu'à la peur partagée du protectionnisme. ... La solution à la crise économique ne se trouve pas dans les injections de milliards provenant des recettes fiscales dans le but de renflouer les sommes perdues aux casinos des titres par les parieurs mais dans le maintien du pouvoir d'achat ... de la classe moyenne. Mais il faut bien voir que la récession et le taux croissant du chômage font justement ... disparaître cette classe moyenne." (02.02.2009)
Les médias nous apprennent que Nicolas Sarkozy sera « invité » à la télé jeudi soir
On nous avait annoncé dans un premier temps la semaine passée que Monsieur Nicolas Sarkozy « participerai » à une émission de télévision sur TF1 et France 2
On nous annonce aujourd’hui qu’il sera "invité " à la télé jeudi soir et qu’il "interviendra "dans une émission spéciale intitulée « Face à la crise »
Ainsi pour s’exprimer sur la crise, Monsieur Sarkozy ne souhaite pas s’imposer par une démarche personnelle, et se place en recul dans une position d’invité.
La banalisation de son apparition à la télé dans une position d'invité intervenant est sout à fait regrettable, nous attendions une démarche personnelle et une déclaration directe en réponse à nos interrogations, son "intervention" n'aura pas valeur de "déclaration" , et dès lors s'interprétera comme un "effacement" de sa position de Chef d'État pour paraître en simple "invité", en fait une stratégie qui pourrait être interprétée comme une reculade par l'opposition.
Information :
Selon un communiqué commun des trois chaines de télévision repris par France soir du 2 Février 2009 :
"Le président Nicolas Sarkozy interviendra dans le cadre d'une émission exceptionnelle 'Face à la crise' qui sera diffusée en direct sur les antennes de TF1, France 2, M6 et RTL jeudi 5 février 2009 à partir de 20h15 et pour une durée de 70 à 90 minutes"
Le chef de l'Etat répondra aux questions de Laurence Ferrari pour TF1, David Pujadas (France 2), Guy Lagache (M6) et Alain Duhamel (RTL).
Les propos de Monsieur Fillon n’ont échappé à la vigilance attentive de Monsieur de Villepin, ancien premier Ministre, quicraint que les mille projets du plan de relancene soient qu’un investissement saupoudré.
Monsieur de Villepin jugeque « ....si on veut véritablement moderniser la France..... ce n'est pas par un investissement saupoudré » .... «J'entends parler ici et là de mille projets pour l'investissement, encore faut-il que ces investissements soient productifs et qu'ils permettent après de dégager un certain nombre de bénéfices pour les Français", a-t-il précisé.
Selon M. de Villepin, "si l'on maintient le cap de la modernisation, il faut que l'on précise l'objectif" car "il y a une certaine confusion qui s'est installée sur cet objectif".
"Je pense qu'entre ne pas changer de cap et ne rien faire, il y a des marges", a déclaré M. de Villepin sur RTL. "Il faut parfois corriger la route pour atteindre l'objectif qu'on s'est fixé".
"Le président de la République doit écouter, s'adapter", a aussi déclaré M. de Villepin : "c'est le moment de préciser le cap, de corriger la route et véritablement d'envoyer des signaux comme quoi il écoute les Français".
Tout le monde en France le sait, le message dominant de la grève du 29 Janvier était un désaveu massif de la politique économique et sociale du Chef de l’Etat et de son gouvernement.
Mais les membres du gouvernement qui se sont exprimés sur les grèves et les manifestations de jeudi contestent qu'il s'agisse d'une mobilisation contre la politique économique et sociale menée actuellement, parlant surtout d'une "inquiétude" face à la crise. C’est d’ailleurs la même interprétation que reprend Xavier Bertrandrécent « patron » de l’UMP.
Il s’agit là d’une action concertée de désinformation et d’une tentative de déstabilisation des syndicats, action concertée cousue de fil blanc qui n’impressionne personne, les français savent à quoi s’en tenir.
Pour le Premier MinistreFrançois Fillon, dans la même ligne d’interprétation que Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, Frédéric Lefebvre et d’autres, il vient de s’employer lui aussi àdénaturer ce message pour le placer sur le terrain de « l’inquiétude devant la crise ».
Ndlr : la crise est donc le parachute auquel s’accroche Le Pouvoir pour éviter d’atterrir sur le terrain de la politique économique et sociale sur lequel les responsables syndicaux l’attendent.
Répétons le, nous avons dépassé un climatd’inquiétude pour entrer dans l’action, il s’agitde l’expression d’une colère, d’un ras- le- bol monumental et d’un désaveu massif de la politique économique et sociale du Chef de l’Etat et de son gouvernement, que 2 500 000 manifestants ont exprimés comme un seul homme, tous secteurs d’activités confondus, publics et privés, et de toutes tendances syndicales confondues.
Les syndicats sortent renforcés par la Grève, ils savent désormais, preuve à l’appui, qu’ils peuvent compter sur la mobilisation massive des français pour soutenir leurs revendications ,qu’ils soient ou ne soient pas syndiqués ,qu’ils soient de gauche ou de droite ou du centre, qu’ils soient jeunes ou vieux,lycéens , salariés, chômeurs,retraités, tous setiennent prêts et répondront présents s’il faut accentuer le mouvement.
Le Premier ministre dans sa ligne de conduite, a tenu à faire savoir qu’il comprenait "l'inquiétude devant la crise" exprimée lors du mouvement social de jeudi. Les syndicats se réunissent ce lundi pour discuter d'une action unitaire.
Sur sa lancée et dans un déni total de la véritable signification de la Grève, Monsieur Fillon a déjà prévenu qu’il n'y aura pas de tournant de la politique économique et sociale"et donneur de leçon il se permet l’outrecuidance de dicter leur conduite aux syndicats en détournant la questionet en les invitant à ne "pas se tromper de priorité"
Pour Monsieur Fillon, la "priorité absolue, c'est l'emploi", alors que "le chômage est sur une trajectoire d'augmentation forte".
Pour Monsieur Fillon, les grèves et manifestations de jeudi, expriment "majoritairement une inquiétude devant la crise, mais sans qu'il s'en dégage un message très précis ni des propositions claires et cohérentes", analyse ensuite François Fillon.
Ndlr : l’analyse de Monsieur Fillon estvolontairement détournée : s’ilveut faire croire qu’il ne se dégage pas de ces grèves et manifestations de jeudi « un message très précis ni des propositions claires et cohérentes » il se livre à un mensonge pur et simple pour discréditer les syndicats.
Il insiste sur la crise et sur son impact mondial en ignorant la crise de confiance nationale qu’il vient d’essuyer en argumentant :Cette inquiétude "n'a rien d'étonnant, car la crise est profonde. C'est à mon sens la première vraie crise de la mondialisation".
Ilminimise le désaveu national massif de sa politique, exprimé par les manifestants en le traduisant a minima par un désaccord en argumentant : "leur désaccord sur la réforme de l'Etat, les mesures de modernisation économique",et le chef du gouvernement en "prend acte*, mais cela ne peut en aucun cas nous conduire à remettre en cause des réformes nécessaires au redressement. Il n'y aura pas de tournant de la politique économique et sociale".
Ndlr :* comble d’un dialogue de sourd,il prend acte de sa propre interprétation
Enfin le chef de du Gouvernementestime que la "priorité absolue" est aujourd'hui "l'emploi", et il souligne que le chômage continue à augmenter fortement, "nous allons encore le vérifier avec les chiffres du mois de décembre".
Ndlr : oui nous l’avons constaté ! merci !
Pour lui, "la totalité des marges de manœuvre doit aller à l'emploi et l'économie et il déclare .....« C'est ce que nous dirons aux partenaires sociaux. La flexicurité (sic) constitue une avancée sociale très importante. Il faut passer à la vitesse supérieure et venir en aide aux chômeurs en renforçant notre système de formation professionnelle".
Ndlr : la « formation professionnelle » le grand mot, le grand remède ! ..... ! À croire que tous les chômeurs sont sans métiers, sans qualifications, sans acquis professionnels, sans expérience........ et une formation professionnelle c’est déjà prouvé ne garantit pas un emploi.
Il concède pour l’'agenda social : «nous ne l'établirons pas seuls, nous en discuterons avec les partenaires sociaux», mais dans "l'ordre des urgences, avec le Président de la République nous souhaiterions y faire figurer le suivi de la réforme de la formation professionnelle", le "renforcement du dialogue social dans les petites entreprises, le suivi des restructurations et du plan de relance. Plus les partenaires sociaux y seront associés et plus on évitera les faux procès et la démagogie".
Ndlr : Pas un mot sur le pouvoir d’achat et la relance de la consommation !
Interrogé sur les chiffres de la croissance, François Fillon dans une situation attentiste,se réfèreà l’extérieuret réserve de seprononcer : «les institutions internationales et les conjoncturistes ont tous revu à la baisse leur prévision. Nous allons réajuster les nôtres mais nous attendons d'en savoir un peu plus sur le premier trimestre et sur l'évolution de la situation aux Etats-Unis".
Ndlr : ne dispose-t-il pas d’analystes capablesd’émettre des prévisions nationales ou européennes ?
S’exprimantsur la fameuse question des bonus aux chefs d'entreprises, il a rappelé que dans les entreprises aidées par l'Etat, "la règle est claire: il n'y a pas de bonus et les bénéfices doivent aller majoritairement à la reconstitution des fonds propres. Il n'y a pas d'aides sans contreparties: arrêtons ce discours démagogique sur les soi-disant cadeaux faits aux banques!"
Et toujours dans une position d’attente « pour le reste de l’économie » il déclare : «nous attendons de voir si les règles de bonne conduite édictées par le patronat sont respectées. C'est une question de semaines. Si ce n'est pas le cas, nous légiférerons, mais il faut être clair: si nous devions le faire, le débat ne se limiterait pas à la rémunération des dirigeants, il s'élargirait nécessairement à d'autres professions".
Pour lamutation du préfet de la Manche Jean Charbonniaud,(voir affaire de Saint-Lô dans mes précédents articles) , le Chef du Gouvernement estime que "le préfet n'avait incontestablement pas pris toute la mesure de la situation" (sic)
"Il faut s'habituer à l'idée que les préfets ne sont pas une autorité indépendante" ..... et si "chacun a le droit de s'exprimer et de contester", cela "doit se faire dans l'ordre" ( sic) , selon François Fillon.
Ndlr : Selon Monsieur Fillon : « Le Préfet n’avait incontestablementpas pris toute la mesure de la situation" ....... qu’est-ce à dire ? Comment le Préfet aurait-il pu s’imaginer à l’avance que 3000 manifestants viendraient manifester leurs mécontentements ? A priori on pouvait supposer qu’ils venaient applaudir le Chef de l’Etat puisque les élus locaux et régionaux avaient prévenus leurs sympathisants de la visite de Monsieur Sarkozy et les avaient invité a venir le soutenir.
Fallait-il filtrer aux abords de la ville toutes les personneset ne laisser passer que celles munies de la carte de l’UMP ou d’une invitation ? ? C’eut été commettre une grave faute contre les libertés publiques, faute qu’un Préfet pas plus du reste qu’un Directeur de la Sécurité publique ne peut prendre le risque d’assumer.
Ou alors refouler tout le monde et établir un encerclement tout autour de la ville ?
Ce serait alors « rétrécir »à quelques personnalités et élus locauxla visite d’un Chef d’Etat et la réduite ainsià une simple « formalité de passage » en la vidant de toute sa signification politique et médiatique
Comme l’avait souligné Hervé Mariton, député ‘villepiniste’ UMP de la Drôme, « à vouloir trop préparer les choses et à dire 's'il y a une manif on vire le préfet'", les visites présidentielles vont devenir "aseptisées et n'auront plus aucun intérêt".
Enfin Monsieur Fillon prétend que : si "chacun a le droit de s'exprimer et de contester", cela "doit se faire dans l'ordre". ( sic)
Ndlr : en rang d’oignons peut-être ?
Bref pour en revenir à notre Premier Ministre, il doit annoncer ce lundi à Lyon « les 1000 projets «retenus dans le cadre du plan de relance et il estime, que "rien ne serait pire qu'un changement de cap" après la mobilisation sociale du 29 janvier.
A cet effet, unedouzaine de ses ministres et leur entourage ont pris avec luile TGV ce lundi matin pour un aller-retour à Lyon.
Pour une fois, Le Chef de l’Etat laisse voyager et œuvrer ses ministres ! Il est vrai qu’il s’est accordé du temps pour réfléchir.....selon un conseiller de l’Elysée.
C’est doncà Lyon qu’ils participerontà un Comité interministériel d'aménagement et de compétitivité des territoires, au coursduquelseront arbitrées les dernières incertitudes, et arrêtés les "1.000 projets" répartis sur tout le territoire, pour aider à relancer la croissance...
75% des 26 milliards du plan de relance tout juste voté par le Parlement doivent être investis dès cette année, a promis le gouvernement, et notamment dans les transports et le logement.
Selon François Fillon, tous les montants annoncés pour les investissements concernent "des opérations qui ne se seraient pas réalisées en 2009 ou 2010* s'il n'y avait pas ce plan de relance". Ils viendront d'ailleurs, ajoute-t-il, en augmentation du déficit de l'Etat
Plusieurs ministres se sont exprimés devant la presse au moment du départ du TGV nous n’en citeront que deux, qui ont émis des avis assez contradictoires :
L’Optimiste :
"Nous sommes dans le train de la relance. C'est un train rapide avec effets immédiats" *, a déclaré à la presse le ministre chargé du plan de relance, Patrick Devedjian.
La pessimiste :
La ministre de l'Economie Christine Lagarde qui depuis quelques jours semble jouer les « Cassandre »a affirmé qu'elle "serait très étonnée" que la croissance soit "positive" en 2009. (Les prévisions du gouvernement sont à l'heure actuelle de 0,2 à 0,5% de croissance.)
Peut-être se sont-ils rapprochés pendant le voyage pour accorder leurs violons ?
article de lucienne magalie pons
Avantages et inconvénients des centrales photovoltaïques
Pour Vaclav Klaus, le président tchèque, dont le pays assure actuellement la présidence tournante de l'Union européenne, le réchauffement climatique n'existe pas.
Lors du forum économique mondial de Davos, samedi 31 janvier 2009, M. Klausa déclaré : «Je ne vois pas de données statistiques" ...... "Je suis désolé de voir que certaines personnes comme Al Gore ne sont pas prêtes à écouter les théories concurrentes" sur le changement climatique. "Le militantisme écologique et l'alarmisme sur le réchauffement climatique sont un défi pour notre liberté, et Al Gore est une personne importante dans ce mouvement", a-t-il ajouté.
Si Monsieur Klaus était le seul au mondeà soutenir que le réchauffement climatique n’existe pas, nous pourrions peut-être ne pas entrer en polémique à ce sujet, mais il se trouve que la thèse du réchauffement planétaire est contredite et démentie par d’éminents astrophysiciens et climatologues. Bien entendu les pouvoirs politiques et financiers musèlent ces savants pour faire soutenir le contraire, dans des buts essentiellement financiers.
Ainsi , La Thèse ou la menace du Réchauffement planétaire, très contestée par des climatologues et astrophysiciens sérieux, mais soutenue par des politiques et des experts commis pardes milieux associatifs,thèseabondamment relayée par une nouvelle école de journalistes dits « climatologues » depuis quelques décennies, n’a pas manqué de favoriser les initiatives « prédatrices » de quelques grands groupesproducteurs d’énergies,toujours avides de profits , qui n’ont pas manqué de lancer des opérations gigantesques, certaines déjà réalisées, d’autres en cours de réalisation, pour monopoliser toutes les initiatives et les profits financiers, privant ainsi les particuliers d’initiative individuelle, notamment en matière d’énergie solaire.
Ces grands groupesqui n’ont pour objectif que de réaliser des produits financierset dont les implantations de centrale photovoltaïque s’étendent sur plusieurs centaines d’hectares,ne respectent pas l’environnement et la destination initiale du patrimoine des régions bien souvent touristique.
Leurs réalisations ou projet de réalisationssont souvent remis en cause par des écologistes, de associations de défense des paysages, et des particuliers, soucieux de préserverleurpatrimoine culturel et touristique. Mais ils ne trouvent que peu d’audience dans les milieux politiques. Il est à noter que de telles implantationssont surtoutcontestéesdans des régionstouristiques, pour des raisons économiques en défaveur des acteurs commerciaux du tourisme local ou régional,oudans des régions de productions agricoles pour des raisons de pollutions et de déchets toxiques (**), mais qu’elles sont mieux tolérées et admises dans des zones à fortes implantationsindustrielles.
(**)La présence même de produits polluants, en dehors du silicium, que l’on peut trouver dansces installations tel que le trifluorure d’Azote (gaz 17000 fois plus toxique pour le réchauffement de la planète que le dioxyde de carbone), l’Arsenuire de gallium ou le Tellure de Cadmium… inquiète à juste titre dans l’utilisation de ceux ci à l’échelon industriel.
Les personnalités politiques locales et régionales , bien souvent « partagées » entre les intérêts financiers des groupes dont ils espèrent voirrejaillir un bénéfice sur leur commune, font souvent l’impasse sur les inconvénients environnemental et ne défendent pas efficacement les intérêts économiques culturels et touristiquesde leur administrés, et le plus souvent bien au contraire soutiennent implicitement les intérêts financiers de ce genre d’implantations pour des raisons d’alignement politique.
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Avant d’entrer dans le vif du sujet, il serait intéressant que lecteur se reporte pour information à une étudede Bernard Beauzamy publié sur le Web, sous la référence « La mystification duréchauffement climatique SCM SA (réactualisée en 2006), étude qui avait transmise au Secrétariat Général de la Défense National et Premierministre en 2001.
Cette étude n’est pas exhaustive, beaucoup de savants scientifiques et astrophysiciens partagent les mêmes convictions et leurs études, articles et analyses peuvent se retrouver sur le weeb.
Il ressort de la lecture du document de Monsieur Bernard Beauzamy, polytechnicien et mathématicien de renom international que :
1) Il n'existe actuellement aucune raison de penser que le climat global de la Terre connaisse une modification quelconque. Tous les arguments présentés pour prouver ces modifications reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle, des fautes de raisonnement.
2) Le climat, de tous temps et en tous lieux, a connu de fortes variations locales. Il n'existe aucune raison de penser que les variations locales actuelles sont plus importantes que par le passé. Bien plus, les données recueillies (par exemple l'élévation du niveau de la mer) ne montrent que le climat a été beaucoup plus sage au cours des 2 000 dernières années qu'au cours des 20 000 ans qui ont précédé. A l'inverse, les arguments prouvant par exemple une augmentation récente de la force des cyclones reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle, des fautes de raisonnement.
3) Si le climat global de la Terre évolue (ce que nous n'avons actuellement aucun moyen de savoir, faute de données suffisantes), des variations d'activité solaire peuvent en être la cause. On sait que de telles variations existent, mais on ne sait pas les quantifier, ni quantifier leur influence sur le climat. A l'inverse, les arguments portant sur des variations de l'orbite terrestre reposent sur des erreurs de raisonnement.
4) L'ensemble des actions humaines entreprises pour lutter contre le "réchauffement climatique" (limitation des gaz à effet de serre, etc.) est absurde, grotesque, dépourvu de contenu scientifique comme d'efficacité : il s'agit d'une prière lancée en une langue incompréhensible à un dieu qui n'existe pas.
5) Si un réchauffement venait à s'installer en France, ce ne serait qu'un retour à une situation ancienne : par le passé, le climat français a été plus chaud qu'aujourd'hui.
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Entrons dans le vif du sujet des avantages et inconvénients des implantations photovoltaïques, en prenant pour seulexemple un dossier en cours,quivient de m’être transmis par l’un de mes correspondant, ou il est faitmention des avantages et inconvénientsde deuxprojets d’implantation de panneaux photovoltaïque sur plusieurs hectaresdont certains touristiques.
A la lecture de ces documents on peut se rendre compte que l’intérêt économique final pour le consommateur n’est pas évident et qu’en matière de pollution la concentration de telles implantations est productrices d’émanations et de déchets toxiques nuisibles à l’environnementencore plus polluante que les sources productricesd’énergies classiques.
Voici le dossier que m’a transmis mon correspondant :
« Le 19 Décembre 2008 a eu lieu un Conseil municipal important à La Vacquerie. La municipalité, suite à une requête de propriétaires fonciers et de la Compagnie du Vent (groupe GDF-Suez) devait décider d’une procédure de modification partielle et simplifiée du Plan Local d’urbanisme (PLU).
« Deux projets d’implantation de panneaux photovoltaïquessont proposés sur des terrains privés. L’un de 70 hectares sur le bois du Mas de Jourde en totalité sur la Commune de La Vacquerie ; situé en bordure de la D 152 approximativement en face de la sculpture de Paul Darde en direction de Vissec. L’autre de 80 hectares sur le GFA de Saint Martin d’Azirou en bordure de la D 9 qui mène, de Saint Baudile à la route de Ferussac, à 30 % sur notre commune.
Le projet du Mas de Jourde fait suite à un premier refus de modification de PLU pour un ensemble d’éoliennes, refusé pour avis défavorable de la DIREM. et l’hostilité de certaines associations de défense des paysages. Pour celui-ci les éoliennes ont été remplacées par des panneaux photovoltaïques et l’implantation a été déplacée pourne pas être visible de la D 25. La modification rapide du PLU se justifie par les conditions avantageuses aujourd’hui de tels installations.
Cette procédure d'urgence néanmoins couteuse (environ 6000€) aété décidée au Conseil municipal du 19.12.08. Il va être demandé une aide financière àla communauté de communes pour participation aux frais.
L’intérêt des énergies renouvelables me semble justifié aujourd’hui par des arguments très éloignés des réalités citoyennes et environnementales. Hélas, il serait plus efficace aujourd’hui d’économiser les Mégawatts que l’on nous propose à travers ces projets pharaoniques et qui coutent très chers à la collectivité.
Le photovoltaïque coute 4 fois plus cher que l’éolien et demande des espaces paysagers qu’il transforme en no man’s land.
D’immenses espaces, clôturés, surveillés, de 150 hectares pour ces premiers projets où la vie pastorale, touristique (randonnées, VTT, spéléo…) ne sera plus permise. La vue même de ces milliers de m2 de panneaux brillant au soleil, ne sera plus possible, comment expliquer cela, dans une région Natura 2000 qui représente en 2009 son dossier pour figurer dans la liste des biens naturels du Patrimoine de l’UNESCO ?
**La présence même de produits polluants, en dehors du silicium, que l’on peut trouver dansces installations tel que le trifluorure d’Azote (gaz 17000 fois plus toxique pour le réchauffement de la planète que le dioxyde de carbone), l’Arsenuire de gallium ou le Tellure de Cadmium…m’inquiète dans l’utilisation de ceux ci à l’échelon industriel.
Nos eaux souterraines sont abondantes et l’infiltration de telles substances à travers nos sols calcaires, pleins de cavités ou l’eau par lixiviation entrainera forcement des déchets toxiques.
Ce type d’installation d’usines solaires me semblepar contre adapté par à des sites comme la zone industrielle de Malvesi à Narbonne où en décembre 2008 a été inauguré la plus grande centrale solaire française de 23 hectares. Elle devrait produire en 2012, 500 MW soit 7 MW en puissance totale.
Rappelons que ce site accueille aujourd’hui une usine de raffinage et de conversion de l’uranium exploité par la Société AREVA , qui s’est installé sur une ancienne usine de Soufre. La zone ayant subi de multiples incidents est soumise à la directive Seveso2
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Mon commentaire : il est indéniable que les astrophysiciens et climatologues avertis qui démentent la thèse du réchauffement planétaire sont muselésau profit d’une propagande alimentée par des politiques et des associations et des médias , tousasservis aux pouvoirs des groupes financiers producteurs d’énergie quientendent monopoliser toutes les sources productives d’énergie à leur profit exclusif en privant les particuliers d’initiatives individuelles.
Il faut souligner aussi que lorsque de telles implantions sont envisagées dans des régions touristiques,les propriétaires de terrains qui se trouvent situés dans ces zones se voient proposer des indemnités de 1000 à 2000€l’hectare et que certains d’entre eux appâtés, louent leur terrain sans discuter.
Ces implantations dénaturent des paysages naturels et sauvages qui font la richesse de ces petits coins de France où il fait bon vivre et qui se dégradent en laissant place à de nouveaux sites industriels.
.Ce sont des biens communs que nous souhaitons conserver autant pour ceux qui y habitent que pour les nombreux touristes qui randonnent au fil des ans sur les chemins silencieux.
Cela ne fait pas aussi l’affaire des actifs permanents ou saisonniers qui vivent sur le tourisme une bonne partie de l’année et qui se verront ensuite privés d’une grande partie de leur revenu.
D’après un conseiller de Monsieur Sarkozy : "Le président s'est donné le week-end pour réfléchir ».....
Communiqué :
Une "participation" du Chef de l'Etat est annoncée dans une émisssion de TF1 et France 2 qui "devrait" avoir lieu le 5 Février après "réflexion" ( date non encore confirmée)
Selon des informations révélées samedi par Le Figaro et relayées par différents médiaset sites Internet, le président Nicolas Sarkozy "participera " (sic) jeudi sur TF1 et France 2 à "une émission exclusivement consacrée à la crise économique, ses causes, et les solutions envisagées pour en sortir"
Sur le plateau seront présents les deux présentateursdu 20 heures, Laurence Ferrari et David Pujadas, et les journalistes économiques de RTL et France Inter.
Les services de l'Elysée se refusent à confirmer officiellement" la date du 5 février : d’après un conseiller de Monsieur Sarkozy : "Le président s'est donné le week-end pour réfléchir ».....
affirme un conseiller de M. Sarkozy cité par le journal. Rappelons qu’ au soir de la journée degrève et de manifestation du 29 Janvier, le chef de l'Etat avait estimé que la crise économique suscitait une "inquiétude légitime" et imposait aux pouvoirs publics un "devoir d'écoute", de "dialogue" et "une grande détermination à agir".
Le président confirmait ainsi implicitement sa volonté de maintenir le dialogue avec les syndicats, sans pour autant apporter la moindre concession à leurs revendications. "La France doit sortir plus forte de cette épreuve", avait estimé Nicolas Sarkozy, en prenant soin de remercier "les agents du service public qui ont eu à cœur de faire fonctionner le service minimum".
Le Chef de l’Etat, devrait rencontrer courant février les partenaires sociaux "afin de convenir des réformes à conduire en 2009 et des méthodes pour les mener à bien".
Commentaire : il se confirme que le message entendu par le Chef de l’Etat a été perçu comme « une inquiétude » provoquée par la crise économique qu’il entend mettre en évidence dans sa « participation » télévisée, dont on peut penser qu'elle sera de nature pédagogique pour expliquer ses causes et "ses" solutions pour en sortir, faisant ainsi l’impasse sur le désaveu de sa politique économique et sociale massivement exprimée le 29 Janvier par 2.500.000 grévistes et manifestants.
C'est ce qui s'appelle vulgairement "noyer le poisson" !
Le Chef de l’Etat, devrait rencontrer courant février les partenaires sociaux "afin de convenir des réformes à conduire en 2009 et des méthodes pour les mener à bien". A ce moment-làs’amorcera un débatsérieux et recentré qui ne pourra se résumer en une simple « participation ».