"Les gens sont peut-être un peu jaloux, ça il faut le dire !
Connu pour ses bons mots, ses réparties bonhomme et son sens de l’humour, Monsieur André Santini, en ses principaux titres et qualités de président du Club des parlementaires amateurs de cigares, secrétaire d'Etat à
"Quand il montre sa nouvelle conquête, les gens sont peut-être un peu jaloux, ça il faut le dire"
Faisant ensuite allusion au jet privé mis à la disposition de Nicolas Sarkozy et de sa suite par son ami Vincent Bolloré, hommes d’affaires, Monsieur Santini a fait part de son sens pratique de l’économie :
"Il est parti quoi ? ……. Trois jours ….et ça n'a rien coûté au contribuable" !
Sans s’étendre sur les « râpures » laissées aux frais des contribuables.
"C'est extraordinaire, on n'a que ça à foutre, s'occuper des vacances du président?" s’est indigné vivement Monsieur Santini au sujet des remous politiques qui ont entourés les vacances en Egypte de Nicolas, Carla et leur suite, et visant Messieurs Bayrou et François Hollande qui avait critiqué en la commentant la peopolisation et la confusion permanente des genres entre la vie privée et la vie publique du Chef de l’Etat , il a estimé « qu’ils feraient mieux de s’abstenir »
Silence et bouche cousue ? Il faudrait dont tout endurer, tout voir, tout lire et tout entendre dans les médias presse et audio visuel alignés et surtout approuver, baver d’admiration et se taire, voilà ce que souhaite sans doute Monsieur Santini, Conseiller en censure d’un nouveau genre et à sens unique.
Par contre Monsieur André Santini se dédouanant d’une discrétion qu’il conseille aux autres a fait savoir qu’il jugeait "sympathique" que M. Sarkozy ait invité lundi soir à l'Elysée les ministres présents à Paris:
"on nous a dit, « si vous êtes là à 19h45, ça serait bien de passer, parce que le président de
et l’ami du Président a fait part de son sentiment :
« Je trouve ça très sympathique, on est là ? …, Eh bien ! . ….. on vient entre copains »
Ainsi Monsieur Santini avoue publiquement
Peut-être qu’au « pot », en ce prestigieux palais public, sucera-t-il son fameux cigare, peut-être en offrira-t-il une bouffée de plaisir à ses copains, comme le font les indiens avec le calumet de la paix, et peut-être aussi renouvellera-t-il ses suppliques contre l’interdiction de fumer qui entrera en vigueur dans les cafés et restaurants et autres lieux tels que casinos, à partir du 1er Janvier 2008.
Suppliques dont nous avons eu la primeur sur Rtl:
«C'est vrai que j'essaie de plaider pour qu'on trouve des solutions, par exemple en province surtout. S'il vous plaît, Monsieur le président, s'il vous plait, Mme Roselyne»*
«On est en train de nous objecter tous les exemples étrangers, alors que l'Espagne va bien: ce sont les patrons de bistros qui disent “ici on fume, ici on fume pas”. On aurait peut-être pu faire ça».
«Pourquoi on réussit à ne pas adopter un système responsable comme celui des Espagnols?», a-t-il regretté en estimant qu'«on n'était pas obligés de passer comme ça avec la solution la plus drastique».
«Comme il y a un décret et que le gouvernement est formel sur la question, Monsieur le président de
(* La « Mme Roselyne » de Monsieur Santini est «
ooOoo
Pour le pot des « copains » j’attends quelques indiscrétions qui ne manqueront pas de traverser les murs de l’Elysée, s’épandront dans Paris, résonneront à mon oreille, et de mon oreille à mon clavier n’auront à franchir qu’un pas d’oiseau pour surgir sur le Web ;
Mais en attendant pour les « copains » du « pot » de l’Elysée ils auront trinqué une fois de plus « à la vie du quinquennat » et bien entendu aux frais et à la santé de
Copains comme cochons ?
Attention il suffit parfois de peu de choses pour que l’amitié s’envole comme la fumée d’un cigare !
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