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Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Dans les vidéosde ces derniers mois nous avions déjà remarqué les difficultés d’expression de Monsieur Henri Guaino, ses phrases inachevées, ponctuées de grattements de gorge incessants, et agrémentés quelques tics faciaux,tout ceci était déjà gênantà supporter pendant ses prises de parole,maisdans la présente vidéo nous voyons cette fois une netteaggravation de ces symptômes, il bégaiemaintenant et présentedes tics nerveux des paupières et des tiraillements de muscles faciaux incessants, sa tenue est tout autant agitée et il se balance incessamment de gauche à droite sur son siège. De quoi souffre-t-il ? Est-il nerveux,malade, stressé, fatigué ? à moins qu'il ne s'agisse que de mimétisme ?
En tout cas il était là fin février ,face à Jean Michel Apathie de RTL,pour nous expliquer en survolant les causes de la crise selon sa vision, que la relance de laconsommation n'est pas souhaitable... bla, bla, bla, bla, rien de transcendant ni de nouveau, que du déjà bafouillé, re- mitonné à la sauce du jour de plus en plus indigeste.
J'ai ressenti aussi de sa part une expression de lassitude mal dissimulée dans son allocution alambiquéefaite de phrases inachevées, citant et passant d’un sujet à l’autre sans les développer, bref une sorte de litanie syncopée récitéepar un homme dont le visage étaitconstammentdéformé par des tics nerveux incontrôlables. Je commence à croire, au vu d’autres exemples de tocs et tics élyséens frappantun autre occupant et non des moindres de cet illustre palais,que l’air qui circule dans les bureaux de l’Élysée diffuseundangereux virus non encore identifié qu’il serait temps de découvrir et d’éradiquer radicalement avant qu'il ne se développe dans toutes les couches de l'intelligentsia parisienne par un regrettable effet de mode contagieux.
Monsieur Guaino aurait pu s’éviter la peine de se trouver là pour nous servir avec beaucoup de difficultés son discours de propagande et il aurait mieux fait dans sonétat de rester chez lui pour reposer ses tics.
Syndicats et Gouvernement : Le bras de fer se durcit mais la force est du côté des syndicats : 3.000.000 de manifestants les ont entendu et suivi !
La manifestation syndicale unitaire du 19 mars, a réuni , selon les syndicats, seuls crédibles à mon sens en la matière, 3 millions de personnes mais en dépit de cette expression massive de désaveu à l’encontre de la politique sociale et économique, le Chef l’État et son Gouvernement se livrent à des manœuvres dilatoires pour garder leur cap, qui n’est pas celui souhaité par population française dans sa grande majorité.
Nos dirigeants exécutifs ne veulent rien voir et rien entendre, ils se bornent à parler pour refuser toute hausse du smic, toute suppression des cadeaux fiscaux aux nantis du libéralisme sauvage et aux entreprises.
De Bruxelles ou le Président Sarkozy se trouvait avec ses homologues de l’UE et oùtous déployaient une fois de plus entre eux des efforts de fausse amabilité et d’imagination stériles pour se persuader que l’Europe pourra au G20 impressionner l’Amérique de Monsieur OBAMA, l e chef de l’État Français après avoir attendu un jour avant de s’exprimer, à une fois de plus dénaturé notre manifestation, « dans la tempête il faut garder le cap » a-t-il déclaré et dans cette manifestation de jeudi il feint de ne voirque « l’inquiétude de certains salariés à propos de la crise mondiale », comme si le question du pouvoir d’achat et de la casse sociale et l’expression massive du mécontentement général de la population française ne trouvait en lui aucun écho.
En conséquence pour notre Gouvernement, il n’y aura pas de hausse du smic, ni de suppression des heures supplémentaires ou du bouclier fiscal en vue.
Le chef de l’état et les membre du Gouvernement qui font les sourds, mais qui en réalité ont les chocottes sans vouloir le montrer, ces dignitaires qui ne peuvent plus se déplacer sans des contingents importants de police , de cordons de sécurité et de gardes du corps, se plaisent à jouer les gros bras moralisateurs en se permettant de conseiller aux Françaisde « garder leur sang-froid » de faire preuve d’un peu de patience.
Et au lieu d’étudier sérieusement les causes profondes er réelles du mécontentement et des revendications, une fois encore ils se plaisent , perchés sur des estrades ou profilés sur des écrans de télévisions, en annonces et en paroles gratuites et prometteuses ,saliver pour promettre ne leur coûte rien, bien que ca nous coûte à nous très cher.
« Nous allons mettre en oeuvre sans délai les mesures décidées le 18 février », a promis Nicolas Sarkozy. Un message repris tout au long de la journée par ses fans aficionados « On ne peut pas faire un nouveau plan de relance à chaque fois qu’il y a une manifestation », a déclaré Henri Guaino, son conseiller très spécial.
Les cabinets ministériels, travaillent à de nouvelles pistes, « notamment pour préserver l’emploi et favoriser l’insertion des jeunes » nous dit-on ! .... Ah bon ! Leurs efforts on l’a vu consistent à faire débaucher implicitement les CDI pour faire embaucher des RSA , et encore dans la limite des emplois disponibles, le tout pour permettre aux entreprises de faire financer une grande partie des salaires par les cotisants et les contribuables.
Les syndicats ne sont pas dupes de leurs atermoiements et de leurs vagues promesses. Confortés par la réussite de la journée du 19 mars, les syndicats peuvent légitimement condamner la surdité d’un gouvernement qui se plait à biaiser, et n’entendent pas en rester là.
Pour Jean Claude Mailly « L’objectif est de gagner »,quand à Monsieur Chérèque leader de la CFDTil a donné un ultimatum au gouvernement en lui accordons « Dix jours pour répondre… »
Un ultimatum qui renforce un bras de fer pour maintenir une pression justifiée face au mépris de nos dirigeants.
Les huit organisations syndicales se sont données jusqu’au 30 mars pour décider des suites de ce mouvement social : sans réponse et sans reprise des négociations de la part du Gouvernement, ilss’accorderont en inter syndicale pour mettre au point une nouvelle action générale concertée et une nouvelle date de manifestation ou grève générale.
Si l’on tient compte de l’agenda du mois d’avril (vacances de Pâques notamment), on peut penser que le mois Mai sera chaud (sans référence au « réchauffement climatique ») ! Pour plusieurs commentateurs, une chose est sûre : le 1° Mai s’annonce déjà comme le nouveau temps fort de ce mouvement social
Comme d’habitude Madame Laurence Parisot, Présidente du Medef, qui se plait à jouer les Cassandre quand il y a des grèves, brandit l’épouvantail des faillites en chaîne pour l’entreprise et le nombre de chômeurs qui en résultera. Brrr.......... à qui croit-elle s’adresser ? À des moutons égarés et apeurés ? Elle devrait savoir que justement c’est quand ils n’ont plus rien à perdre que les français, ceux des labeurs et des peines du quotidien, savent comme la salamandre renaître de leurs cendres et s’unir pour tout regagner.
Quand à vous minorité de français insolents ancrés sur la pyramide des profits et des richessesacquises à la sueur du front de vos salariés, vous n’avez qu’à bien vous tenir. Votre morgue, vos mensonges, vos menaces, votre suffisance, vos étalages de luxe et de richesses excessives, parfois même votre luxure, et votre mépris de la population salariée que vous réduisez à la pauvreté, nous les tolérons tant qu’ils ne portent pas atteintes aux besoins essentiels des familles ou des individus, mais notre tolérance n’est pas une complaisance aveugle et consentante, et il vous faudra bien en tenir compte quand la population entière sera dans les rues et vous demandera de rendre des comptes et de leur rendre vos profits indus.
Nous y sommes presque ! Il est temps de vous reprendre de toute urgence et de faire preuve de solidarité nationale.
Après les déclarations du pape Benoît XVI, qui se mêle de tout et s’introduit à découvert dans l’intimité sexuelle des coupleset selon lequel l'usage du préservatif "aggrave" le problème du sida, ,notre Ministre du logement Madame Boutin, nous apprend que ce n'est "pas drôle de mettre le préservatif quand on fait l'amour".
Pour affirmerceci, nous pouvons penser qu’elle a du au moins une fois expérimenter « la chose »mais sa déclarationne nous apprend rien de plus, peut-être aurait-elle du donner quelques conseils pratiques pour nous apprendre comment la rendre drôle, cela aurait instruit en la matière les couples innocents.
Nous savons que Mme Boutin, a pris parti contre l'avortement, ce qui se comprend puisque les méthodes contraceptives sont largement diffusées depuis des décennies, et qu’elle a de solides arguments contre la pilule du lendemain , ce qui me semble logique d’autant que concernant les toutes jeunes adolescente mineures elles peuvent se la faire prescrire sans avoir recours à l’autorisation des parents, ce qui implicitement est un encouragement de la société à leur faire jeter leur bonnet par-dessus les moulins, un peu trop vite et beaucoup trop jeunes, à un âge encore tendre où autrefois on jouait encore en bonne écolière à sauter à la corde dans la cour de l'école sans penser à se faire sauter et se faire enfourner un petit jésus dans le tiroir, pour ensuite le faire sauter au moyen de la pilule du lendemain : trop facile !
"Il est bien sûr que la lutte contre le sida, c'est bien plus la recherche médicale et pharmaceutique", a affirmé la ministre. Oui mais en attendant, Madame la Ministre, drôle ou pas il vaut mieux en attendant un remède radicalutiliser un préservatif.
Madame la Ministre tout à fait laxiste et un peu « Ponce Pilate » a affirméqu’en matière de préservatif, "chacun fait comme il peut et comme il veut", en ajoutant "n'attendez pas du pape qu'il dise qu'il faut mettre le préservatif".
Madame, nous n’attendons pasqu’il nous indique les pratiques et les résultats de l’acte sexuel protégé ou à nu, en matière de protection sexuelle, nous attendons de lui qu’il s’intéresseà maintenir la chasteté parmi ses troupes, cardinaux archevêques, évêques, curés etc. .., des mises en accusations anciennes et récentes , dont nous avons largement eu connaissance notamment par des procès retentissants pour actes pédophiles de la part de ces messieurs, nous permettent d'affirmer que le Pape devrait en matière de mœurs et pratiques bêcher dans son jardin et châtier comme il se doit les religieux "prédateurs" , pour ne pas dire "violeurs" dépendant de son autorité, et nous lui demandons de laisser les couples de ses fidèles et les autres, se protéger comme ils l'entendent et si besoin avec les conseils de leur médecin. Le Pape, en matière de protection contre le sida et autres MST n'a apparemment pas d'expérience personnelle à faire valoir, de plus il n’a pas qualité ni autorité scientifique pour nous renseigner sur le bon ou le mauvais résultat du préservatif, selon ses considérations théoriques, la pratique lui faisant défaut.
Je n'ai rien contre Madame Boutin, c'est une femme de bon sens, quelque fois originale dans ses propos, mais je regrette qu'elle s'exprime selon ses valeurs personnelles, qui sont les siennes et que je respecte, mais de la part d'une Ministre, puisqu'elle s'est prononcée sur la question publiquement, j'aurais préféré qu'elle dise clairement qu'il faut surtout mettre un préservatif pour se protéger du Sida et des MST.
La tonalité des propos et le son du rire de Monsieur Nicolas Sarkozy sont affligeants de vulgarité, il ose prétendre en riant niaisement pour amuser sa "cour" que ce que lui a dit un syndicaliste "n'est pas très lumineux" ! voir la vidéo
"Rira bien qui rira le dernier" !
préambule :Dans les urgences pédiatriques fermées au public, il a rencontré quatre délégués syndicaux : « On voit qu’ils sont passionnés, même si ce qu’ils disent n’est pas toujours lumineux », a ironisé le président qui tropsouvent laisse échapper desappréciations qui révèlent à son insu le mépris qu’il ressent pour des représentants syndicaux. « J’aime les gens qui aiment leur métier. J’aime la passion » a expliqué Nicolas Sarkozy en visite à l’hôpital de Rambouillet ..... Je ne peux pas reprocher à quelqu’un d’aimer passionnément ce qu’il fait même si c’est pas toujours lumineux ce qu’il dit » avant de se mettre à rigoler.(photo)
Ndlr : ces paroles lancées vulgairement dans un discours officiel et de plein fouet à l’encontre des syndicalistes qu'il venaient de rencontrer sont très mal venues à quelques jours de la journée de mobilisation en France qui doit se dérouler le 19 mars prochain, elles ne sont pas dignes d’un Président.
article de lucienne magalie pons
La visite du Vendredi 13 mars de Nicolas Sarkozy àl’hôpital de Rambouillet,venu présenter la « réforme de l’hôpital et du système de santé » qui doit être votée le 18 mars à l’Assemblée,accompagné deRoselyne Bachelot, ministre de la santé et de Gérard Larcher(UMP) président du Sénat et Maire de la commune de Rambouillet, avait été soigneusement préparée, afin d’ éviter tous débordement et manifestations et de s’assurer les applaudissements des élus UMP et d’un public militant trié sur le volet.
A Rambouillet toutes les « précautions » avaient été mises en œuvre, non seulement pour éviter des manifestations au passage du cortège, mais encore pour sélectionner l’auditoire
La visite engagée au « pas de course » et très protégéea démarré à 10 h 30, passant des urgences, à la radiologie, à la cardiologie puis à la gériatrie
Dans les urgences pédiatriques fermées au public, il a rencontré quatre délégués syndicaux : « On voit qu’ils sont passionnés, même si ce qu’ils disent n’est pas toujours lumineux », a ironisé le président qui tropsouvent laisse échapper desappréciations qui révèlent à son insu le mépris qu’il ressent pour des représentants syndicaux.
« J’aime les gens qui aiment leur métier. J’aime la passion » a ensuite expliqué Nicolas Sarkozy en visite à l’hôpital de Rambouillet ..... Je ne peux pas reprocher à quelqu’un d’aimer passionnément ce qu’il fait même si c’est pas toujours lumineux ce qu’il dit » avant de se mettre à rigoler.
Ndlr : ces paroles lancées bien plus vulgairement qu’ironiquement de plein fouet à l’encontre des syndicalistes sont très mal venues à quelques jours de la journée de mobilisation en France qui doit se dérouler le 19 mars prochain, elles ne sont pas dignes d’un Président.
Ensuite, présenté par un Gérard Larcher « triomphant » dont c’était le jour de gloire communal, Nicolas Sarkozy a ensuite exposé sa réforme devant un petit auditoire sélectionné et choisi qui l’a accueilli chaleureusement, comme de bien entendu et convenu.
Les réactions syndicales et aussi celles des habitants de la commune sont toutes autres :
« Il était là pour communiquer sur sa réforme sans écouter nos inquiétudes », a fait remarquer Patrick Mangenot, délégué CGT. Il raconte comment en quelques minutes les policiers étaient là et tambourinaient à leur porte, quand lui et d’autres militants avaient mis des drapeaux aux fenêtres de leur local et ont scandé des slogans à son passage. lui et d’autres militants ont mis des drapeaux aux fenêtres : « Nous avons dû baisser pavillon. » commente-t-il avec aigreur.
Depuis une semaine avant que la visite programmée, les « officiels »étaient sur les dents.
A l’hôpital branle bas de combat : la veille de la visite, des ouvriers repeignaient les urgences tandis que d’autres goudronnaient des morceaux de chaussée.
Pour la sécurité, plus de 1 100 policiers et gendarmes ont quadrillé les rues, les routes et les forêts autour de Rambouillet et de Clairefontaine.
Une manifestation de 200 salariés de Continental a été soigneusement bordurée.
Cette pléthore de précautions en a agacé la population.
Au comptoir de la brasserie le Cent un habitant témoigne : « Une amie a dû faire un esclandre. Elle a été bloquée à deux pas de son domicile, juste en face de l’hôpital, entre 11 h 30 et midi. Son petit garçon, rentré de l’école, l’attendait à la maison pour déjeuner. ». Un autre croisé rue du Général-de-Gaulle, proteste lui aussi : « Il faut expliquer cette loi, c’est sûr… Mais je crois que ce déplacement n’apporte rien aux gens que le président a à peine croisé .... »
Le Président a ensuitea participé à une table ronde avec des professionnels de santé, organisée, elle, à Clairefontaine, devant 700 invités triés sur le volet.
Ainsi tout ce branle bas de combat de préparations et de précautions , toutes ces forces de sécuritédéployées autour de ces « causeries » en petit et grand comité,auront permis à Nicolas Sarkozyde recueillir sur place à Rambouilletd’abord,les marques d’amitié desmilitants et des élusUMP et ensuite , des militants erdes élus UMP du département regroupés qui l’ont ovationné au cours d’un meeting très privé organisé sur l’hippodrome, juste avant qu’il ne reprenne son hélicoptère. Il était alors 14 heures.
Encore une visite en cercle fermé UMP qui a pu se terminer sans incident, grâce aux préparations, précautions préalables et forces de sécurité déployées, le tout aux frais de l’État c'est à dire vous et moi. Les séances de communication du Président deviennent de plus en plus couteuses pour assurer sa sécurité et celle de son entourage et de plus elles dérangent outrageusement les habitants au mépris des libertés publiques de circuler, d'aller et venir librement dans leurs communes. C'est vraiment choquant de voir que personne n'ose protester formellement.
Pour ceux d’entre vous qui souhaiteraientvoir la vidéo ou le texte du discours de Rambouillet vous les trouverezsur le site officiel de la Présidence de la Républiquefacilement accessible en rechercheGoogle ou Orange.C'est gratuit, mais ça vaut le détour pour les mimiques, les tics, les gestes et mouvements d’épaules, quand au discours prononcé par un homme convaincu qu’il a toujours raison il n’éclaire pas plus que les débats à l’Assemblée sur les objectifs de cette réforme, que de nombreux praticiens récusent sans être entendus.
comment résister à la tentation ? Bah ! Roselyne n'est pas là ! Profitons- en !"On oublie tout.
Sous le beau ciel de Mexico,On devient fou,Au son des rythmes tropicaux..."
Les yeux dans les yeux ne sont-ils pas "choux" ? effet "champagne" ou "téquila" ?
article de lucienne magalie pons
L'affaire Cassez se tasse, elle suivra son cours légalement, une autre polémique reprend le dessus et s'enflamme avec l'interrogation sur les frais de vacances des Sarkozy au Mexique : Qui a payé la note ?
En effet quelques jours après leur week-end "romantique" privé dans le très luxueux complexe hôtelier de Tamarindo , en prélude et en marge de la visite officielle, le voyage du couple présidentiel au Mexique soulève des interrogations et certains politiques et médias se demandent qui a pu financer leur séjour privé.
L' Elysée a expliqué que le couple avait été « invité par le président Calderon », mais ceci ne semble pas aussi évident pour les médias français. La radio RTL, une des première à s'interroger, a cité un diplomate mexicain, selon lequel ce n’est pas Mexico qui a financé le séjour.RTL va encore plus loin en prétendant qu’un certain Roberto Hernandez Ramirez aurait joué les mécènes, un célébre banquier milliardaire dont la rumeur dit qu’il serait… proche des milieux de la drogue.
D'après le site Rue 89, le Banquier Ramirez accusé par des médias mexicains d’avoir activement participé au trafic de cocaïne dans les années 80-90., possèderait les résidences où sont descendus Nicolas Sarkozy et Carla Bruni.
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Premier article : rappel de l'affaire Cassez et ses prolongements
Deuxième article : polémique, qui a payé les vacances des Sarkozy au Mexique ?
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Premier article : rappel de l'affaire Cassez et de ses prolongements
Florence Cassezavait été arrêtée fin 2005 près de Mexico par les forces de police alors qu'elle se trouvaiten compagnie deson ex-compagnon, accusé luide diriger une organisation criminelle. Elle ne cesse depuis dese dire innocenteetde dénoncer les irrégularités et les incohérences de son dossier.
Ses proches avaient décidés d'en appeler à Nicolas Sarkozyà la veille de sa visite d'État, en espérant que le Président Français obtiendrait sa libération et Florence Cassez, elle-même avait adressée une lettre à Carla Bruni Sarkozy pour solliciter son intervention.
«Elle n'attend qu'une chose, c'est de rentrer en France» a notamment déclaré le père de Florence Cassez.
Florence Cassez qui a la possibilité légale de demander son extradition sous réserve de renoncer à se pouvoir en cassation, a préféré surseoir à toute décision en remettant son sort entre les mains de Nicolas Sarkozy
Une visite de Carla Bruni-Sarkozy à la détenue, demandéeet souhaitéepar la famille de Florence Cassez, n’avaitpas été retenue parl'Élyséequi avait assuré que toutefoisle couple présidentiel ferait "ce qui est utile à Florence", mais leprésident avaitpromis d'évoquer ce dossier jugé avec son homologue mexicain, le PrésidentFelipe Calderon.
C’est ainsi que lavisite du Président Français, à l’origine prévueaurenforcement de la coopération franco-mexicainea pris une connotationpolitique avec la lourde condamnation par la justice localede Florence Cassez, 34 ans qui se ditinnocente après sa condamnation à 60 ans de prison en appel,par la Justice mexicaine comme complice d'un gang de kidnappeurs dans un pays où les enlèvements sont devenusune "industrie florissante ». Sa culpabilité a été confirmée en appel après une première condamnationoù elle avait été condamnée à 96 ans de prison pour enlèvement et séquestration.
Elle avait été arrêtée fin 2005 près de Mexico par les forces de police alors qu'elle se trouvait avec son ex-compagnon, accusé de diriger une organisation criminelle. Elle ne cesse depuis dese dire innocente dénoncer les irrégularités et les incohérences de son dossier.
M. Calderon s’était exprimélemercredi précédant la visite du Président Françaissur la "possibilité" d'un transfert en France de Florence Cassez.
Florence Cassez qui a la possibilité légale de demander son extraditionsous réserve de renoncer à se pouvoir en cassation, a préféré surseoir à toute décision en remettant son sort entre les mains de Nicolas Sarkozy. La médiatisation de cette affaire, notamment par suite des lettres adressées directement à Nicolas Sarkozy et même à son épouse par Florence Cassez, a précédé et accompagné tout le séjour du Président Français au Mexique.
«Elle n'attend qu'une chose, c'est de rentrer en France» avait déclaré le père de Florence Cassez.
Pour le Président Français, il est évident qu’il ne pouvait se permettre de ramener dans son avion de retour Florence Cassez ou de rééditer un rapatriement « à la Tchadienne »,en dépit de l’idée de Bernard Cassez, père de Florence, quiavait rêvait d’un scénario « à la tchadienne », où Calderon accorderait sa grâce comme le président tchadien Idriss Déby le fit avec lessix Français de l'association l'Arche de Zoé, condamnés au Tchad fin 2007 avant d'être rapatriés en France,puis libérés après une grâce du président tchadien.
Ce qui a été possible au Tchad n’est pas envisageable au Mexique, et Felipe Calderon a été prompt à doucherlesespoirs du père de la prisonnière : « Il n’y aura pas d’impunité pour Florence Cassez ni pour d’autres ! » avait-t-il affirmé en évoquantles victimes « ces hommes et ces femmes qui ont vécu enfermés, ces enfants menacés de se faire amputer un doigt, un bras ».
Par ailleurs, attaqué par l’opposition et les associations de victimes, Felipe Calderon devra affronter en juillet des législatives à risques et s’est trouvé« tiraillé » entrel’opinion publique Mexicainedont il doit tenir compte à l’approche de nouvelles élections etla venue de Nicolas Sarkozy qu’il veutsatisfaireen raisonde leur intention commune de consoliderla« coopération franco-mexicaine » inscrite au menu de la visiteofficielle de son homologue Français.
L’affaire n’est pas simple. Si une partiede l’opinion publique française, du moins celle qui a le temps de s’interroger et de s’apitoyersur le sort de Florence Cassez, est persuadée qu’elle est « peut être innocente »,l’opinion publique mexicaine esten majoritéconvaincue qu’elle est coupable etcomplice des enlèvements perpétrés par son compagnon.
« L’homme de la rue » interrogé auMexique ne mâche pas ses mots, ilconsidère que les Français sont mal informés en la disant « innocente »mais pour lui ilsoutientqu’il y a eu enquête, procès et deuxième jugement enappel et ilfait confiance en laJustice de son pays. L’intervention de Nicolas est contestée en ces termes résumés« « elle a kidnappé des femmes et des enfants, c’est normal qu’elle reste en prison, leprésident françaisne peut pas arriver chez nous, prétendre qu’elle est innocente et repartir avec elle, nous somme dans un pays de droit, notre Justice s’est prononcée .... »
Un quotidien Mexicain centre droita publié à de nombreux courriers s’insurgeant même contre son intention d’intervenirpour Florence Cassez.
Quoiqu’il en soit, Vendredi après-midi alors qu’ils se trouvaient en vacances sur la splendide côte pacifique du Mexique, Nicolas et Carla Sarkozy ont longuement téléphoné à Florence Cassez,Depuis sa prison deTepepan, la jeune femmeleur a confié qu’elle ne se pourvoirait pas en cassation, renonçant ainsi à être innocentée ouvrant ainsi la voie à son transfert dans une prison française.
Ce contactavait été tenu secret par l’Élysée sans doute pour ne pas ranimer la colère desjournaux mexicains contre celle qu’ils n’hésitent pas à qualifier de« kidnappeuse » ou de« diabolique », dans le contexte d’un paysoù les rapts ou enlèvements (quelque 8 000 par an) sont un fléau national et sèment la consternation dans la population.
Finalement, le président français et son homologue mexicain Felipe Calderon ont officiellement engagé la procédure de transfèrement, en vertu de la convention de Strasbourg de 1983. Une commission de juristes des deux pays réglera les derniers détails « dans les trois semaines
Conscient que le dossier est explosif, Sarkozy, tendu et agacé mais très prudent, s’est employé àcalmer les esprits lors d’une conférence de presse avec son homologue. D’après les médias,il s’est gardé de se prononcer sur l’innocence ou la culpabilité de Florence Cassez. il ne s’est fait pas l’avocat d’une possible kidnappeuse .... Il ne s’est pas ingéré dans les affaires mexicaines ....... « Je ne suis pas venu ici pour contester la décision de la justice mexicaine, je ne suis pas magistrat », a-t-ildéclaré en affirmant :« Je ne suis pas l’homme de l’impunité ! »
Sur place,il a reçu cinq associations de victimes… et pour ceuxqui craindraient une hypothétique amnistie ou réduction de peine de Florence Cassez une fois en France, Sarkozya fait savoir que ce n’est pas lui qui décidera mais la Justice Française.« La France est un État de droit, on n’y fera pas n’importe quoi ! » a-t-il promis.
Deuxième article : polémique, "Qui a payé les vacances des Sarkozy au Mexique ?
Finalement l’affaire Cassez a trouvé une solution légale et suivra son cours, les polémiques à sont sujet se sontatténuées en France sur cette question, mais les médias avides de combler les vides de leurs pages et de leurs émissionsse sont emparés d’une autre question qui n’a pas finit de prêter à interprétations : Qui a payé les vacances des Sarkozy au Mexique ? Certains médias vont jusqu'à dire que le couple aurait été hébergé dans un Hôtel plus que luxueux dont le propriétaire, ami de Felipe Calderon, serait un riche banquier multimilliardaire qui entretiendrait des liens avec les milieux de la drogue. La polémique devient fumante et sulfureuse de déclarations en démentis de part et d'autres.
That is the question ......pas de réponse claire pour le moment, il semblerait que les avis divergent entre le Mexique et la France.
Pour y voir plus clair pour ceux que la question préoccupe je vous invite à lire les articles ci-dessous en cliquant sur les liens :
AP | 14.03.2009 | 03:03 Le président Nicolas Sarkozy s'est entretenu vendredi soir à l'Elysée avec les parents de Florence Cassez, détenue au Mexique pour ...
Guadeloupe : un mieux mais la situation reste tendue localement, à Paris les politiques en cours qui se réservaient de souligner le moindre "faux pas " de communication de Domota n'ont pas manqué de le faire en interprétant implicitement ses propos comme racistes, il n'en demeure pas moins que le leader du LKP impose ses volontés et que le Gouvernement se voit contraint bon gré mal gré d'étendre en Guadeloupe l'accord salarial à toutes les entreprises .
Martinique : en Martinique des heurts, des violences entourent des négociations qui reprennent dans un climat agité.
Pour lire les articles cliquez sur les liens ci-dessous :
La cour d'assises demeurera-t-elle sourde à ces témoignages comme elle demeure sourde à une demande de reconstitution ?
A ce stade du procès les les médias métropolitains presses, radios et télévisions se contentent d'informer : pas de prise de position, pas de débats ! Les médias jouent l'omerta alors qu'au contraire les témoins parlent. C'est le monde à l'envers ! Quant à l'exécutif et aux politiques ils se taisent aussi : L'USM étonnée du silence de la Garde des sceaux lui demande de se prononcer !
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