Déclaration du Président Emmanuel Macron à son arrivée au Jour3 (Dimanche) du Conseil Européen 🔻
19 juillet 2020
SOURCE :
Elysée
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Note et commentaires :
Avant de passer plus bas en Revue de presse, nous résumons ci-dessous très brièvement l'avancée pour le moment négative du Conseil Européen, d'après des notes que nous avons prises depuis vendredi jusqu'à ce jour 🔻
Avant de passer plus bas en Revue de presse, nous résumons ci-dessous très brièvement l'avancée pour le moment négative du Conseil Européen, d'après des notes que nous avons prises depuis vendredi jusqu'à ce jour 🔻
Le
Conseil Européen était officiellement prévu pour se tenir sur deux jours, vendredi et samedi, mais après des
heures de discussions qui n’ont pas permis de faire plier les opposants du plan de relance européen post-coronavirus, soit les
Pays-Bas et ses alliés « frugaux », le Danemark, la Suède et l’Autriche,
rejoints par la Finlande, mais faute d'avoir pu parvenir à un accord sur ce plan de relance défendu notamment par Emmanuel Macron et
Angela Merkel, le Conseil Européen s’est poursuivi à Bruxelles, dans la nuit de dimanche 19
à lundi 20 juillet, pour tenter de trouver un compromis.
Après
une nuit de consultations sur ce plan de relance européen post-coronavirus Barend Leytsd, le porte-parole de la présidence du Conseil
européen a annoncé dans un message sur son compte Twitter que le Conseil était suspendu et reprendra ce lundi 20 octobre à 16 heures.
Les
médias rapportent que la chancelière allemande, Angela Merkel, n’avait pas écarté dimanche le risque d’un échec dans les négociations …….. « Il y a
beaucoup de bonne volonté …, mais il est aussi possible qu’aucun
résultat ne soit obtenu aujourd’hui », avait déclaré Angela Merkel à son arrivée au Conseil dimanche, pour une journée qu’elle qualifiait de « décisive ». « Je ne peux toujours pas dire si une
solution sera trouvée », avait-elle précisé.
De son côté Emmanuel Macron avait estimé que les « compromis » ne pouvaient
pas se faire « au prix de l’ambition européenne ». Malgré des « dissensions », un accord est
encore « possible », avait-t-il souligné.
Le
dîner de dimanche soir a été orageux, les médias rapportent qu’au cours de ce dîner Emmanuel Macron, a « tapé du
poing sur la table » pour dénoncer et critiquer la mauvaise volonté des Etats
dits « frugaux ».
Un
membre conseiller de la délégation française a
précisé : « … il a été
dur sur leurs incohérences , ses propos
ont été rapportés par les autres délégations aux médias, qui se sont délectés
de l’épisode …. « Tout cela a été raconté de manière un peu
caricaturée », a regretté ce conseiller.
Par ailleurs, d'après une source européenne, Emmanuel Macron
se serait emporté à plusieurs reprises en déclarant que c’était la France et l’Allemagne
qui allaient « payer ce plan » et « qu’ils
se battent pour l’intérêt de l’UE quand les frugaux sont égoïstes et ne font
aucune concession et qu’il était prêt à s’en aller plutôt que
d’avoir un mauvais accord ».
Mais
ce n’est pas tout, les médias rapportent qu’ Emmanuel Macron a critiqué l’opposition à sa demande d’allouer
une partie importante des fonds du plan de relance, levés par un emprunt commun
de l’UE, sous forme de subventions aux Etats membres, et qu'il a
aussi fustigé le comportement du chancelier autrichien, Sebastian Kurz, lorsque
ce dernier s’est levé et a quitté la table pour prendre un appel téléphonique.
(
Selon une source européenne, Monsieur Kurz
s’est senti « offensé » par la remarque du président
Français)
Sur
sa lancée le président français Emmanuel Macron a aussi comparé le positionnement de Mark Rutte le premier
ministre néerlandais chef de file des opposants, , a celui qui avait été adopté à l’époque par l’ancien
chef du gouvernement britannique, David Cameron, lors des négociations.
Les
médias soulignent aussi en les commentant que d’autres points de dissensions divisent encore les 27 membres de l’UE et vous découvrirez ces points litigieux en lisant les articles en
Revue de presse ci-dessous.
Nous apprendrons donc à l'issue du prolongement du Conseil de ce Lundi si le Président Français a piqué une nouvelle colère.
A mon avis ce n'est pas la bonne méthode pour s'imposer comme le leader européen qu'il veut devenir , il ne cesse d'y travailler depuis longtemps sans y parvenir quoiqu'en disent les médias : j'ai entendu ce matin sur une radio que le président Français était reconnu mondialement (sic) comme le meilleur dirigeant de l'UE , encore un cirage de pompes de plus qui va lui monter à la tête ....
Tout au contraire il devrait se tempérer, se calmer, et négocier en lâchant un peu de lest, il a en face de lui des dirigeants qui défendent les intérêts de leur pays et ne sont pas disposer à se laisser marcher sur les pieds par Paris et Berlin
Ps : dans mes commentaires j'ai reporté le qualitatif "frugaux" que les médias utilisent, mais je n'ai pas eu le temps de rechercher ce que ce qualificatif signifie exactement appliqué à des Etats membre de l'UE opposés au plan de relance européen ...
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Élysé
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