* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
En matière de déchéance de la nationalité française, le principe retenu par Nicolas Sarkozy serait qu’un citoyen d’origine étrangère, français depuis moins de dix ans, qui se rendrait coupable d'atteinte à la vie d'un dépositaire de l'autorité de l'État serait déchu de la nationalité française, par contre la polygamie a été écartée du projet.
Monsieur Brice Hortefeux Ministre de l’Intérieur souhaitait pourtant que la polygamie soit également sanctionnée par la déchéance de la nationalité française notamment lorsque le chef ou un membre de la famille polygame se prêtait à des escroqueries d’allocations sociales ou familiales, « indélicatesses » qui restent toujours très difficiles à prouver. Il faudra donc au Ministre de l’Intérieur trouver une autre solution pénale pour punir ou faire cesser ces pratiques frauduleuses, en tenant compte que la polygamie d’un étranger qui s’est marié plusieurs fois selon sa loi nationale ne constitue pas une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation , même lorsqu’il épouse en arrivant en France une française et obtient par ce mariage au bout d’un certain délai la nationalité Française.
Dans l’état actuel du droit français, la déchéance de la nationalité peut être prononcée à l’encontre d’un français d’origine étrangère en cas d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et d’acte de terrorisme.
Étendre la déchéance de la nationalité à des personnes qui porteraient atteinte à la vie d'un représentant de l'autorité publique se heurte à l'article 1 de la Constitution, principe d'égalité entre les citoyens.
Pour interpréter cette rupture du principe d’égalité constitutionnelle entre les citoyens, on peut dire qu’elle instaurerait au moins deux inégalités, non seulement entre les criminels, mais aussi par rapport aux victimes :
-En ce qui concerne les criminels : tous les criminels ne seraient pas punis de la même façon, un français d’origine étrangère depuis moins de dix ans serait condamné en plus à la déchéance de la nationalité
-En ce qui concerne les victimes : le meurtre d'un policier ou d'un gendarme serait considéré comme différent du meurtre d'une autre personne.
Mais pour en revenir aux criminels, il suffirait d’être français d’origine étrangère depuis 10 ans et un jour pour échapper à la déchéance de la nationalité française, ce qui crée encore une différence entre les français d’origine étrangère : les « français depuis moins de dix ans » et « les français depuis plus de dix ans »
Il y aurait donc pour les français d’origine étrangère depuis moins de dix ans, par rapport aux libertés publiques et aux droits fondamentaux, comme une sorte de mise à l’épreuve ou de mise en garde restrictive très difficile à instaurer dans une loi qui pourrait alors être interprétée comme discriminatoire et de ce fait contestée.
Établir une différence entre « les français de naissance », « les français d’origine étrangère depuis moins de dix ans », et « les français d’origine étrangère depuis plus de dix ans » c’est établir différentes catégories de français, et c’ est tout à fait inconstitutionnel selon nos principes républicains, sauf à ignorer l’article 1 de la constitution et le vider de sa substance , ce qui introduirait une atteinte au principe d’égalité devant la loi entre les français.
Rappel de l’article 1 de la Constitution :
« Art. 1. - La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales. »
………..
Le projet de loi pourrait donc être rejeté par le Conseil Constitutionnel parce qu'il créerait différentes catégories de français et les sanctionne différemment.
De plus il est à noter que la notion de "Français d'origine étrangère" si elle peut se concevoir dans le langage courant n’a jamais existé légalement en droit français.
Le cas des enfants mineurs risquent de poser de sérieux problèmes, qu’adviendrait-il de ces enfants en cas de déchéance de nationalité de l’un leur parent ? Ces jeunes enfants perdraient-ils dans ce cas eux aussi leur accès à la nationalité française ?
Il faut aussi se questionner sur le sort des français d’origine étrangère, qui n’ont pas gardé leur nationalité d’origine (double nationalité), déchus de la nationalité française ils deviendraient apatrides. Que se passera-t-il pour eux au terme de leur peine de prison, comment les expulser ? ……….Une mesure d’expulsion contredirait la suppression de la "double peine" (sanction pénale et expulsion) votée en en 2003 alors que Nicolas Sarkozy était Ministre de l’Intérieur.
Les Sages avaient alors admis qu'il était possible de déroger au principe d'égalité pour permettre la déchéance de nationalité des Français d'origine ...
... présidentiel rendu autour des questions de déchéance de la nationalité. ... ont acquis la nationalité française dans le cadre d'une démarche volontaire. ...
... l'extension de la déchéance de la nationalité française est regrettable. ... entre citoyens français, le mot déchéance indiquant une privation de droit. ...
Prévue par l'article 25 du code civil pour des personnes ayant acquis la nationalité française, la déchéance de nationalité est actuellement réservée à des ...
Invité Dimanche soir du «Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI», Monsieur Alain Juppé a soutenu dans son ensemble la politique de Nicolas Sarkozy, et interrogé sur une éventuelle entrée lors du prochain remaniement ministériel, il a répondu : «Si le contexte est une nouvelle feuille de route, une nouvelle équipe, pourquoi pas ?», … «Si je vais au gouvernement, c'est pour essayer d'être utile » , a ajouté le maire de Bordeaux, ….
S’agit-il d’un appel du pied ou d’une information préalable ?
Nous apprenons qu’il est «Toujours passionné par les affaires publiques, les affaires du monde, les affaires de la France et de l'Europe»., et comme il est souvent cité par la « rumeur des coulisses » pour succéder à Bernard Kouchner au Quai d'Orsay., nous pensons qu’il prépare le terrain en ce sens et se tient prêt à servir…….
D’autre part, sur la tribune publiée samedi dans Le Figaro pour répondre aux interrogations des « chiraquiens » François Baroin, Jean-François Copé et Christian Jacob, et par Bruno Le Maire dont on ne sait s’il se souvient encore qu’il était autrefois Villepiniste, sur «les conditions de la victoire» en 2012, l’ancien premier ministre Alain Juppé a reconnu : «J'aurais presque pu signer la tribune de mes quatre amis.»…… «Il faut un gouvernement resserré et un gouvernement qui gouverne», a-t-il opiné, ce qui laisse supposer, d’après des médias qu'il pense qu’il « fallait en finir avec l'hyperprésidence ».
Souhaitant «un changement assez profond», Juppé a estimé que «le président de la République ne peut pas être en première ligne sur tout».
Interrogé sur François Fillon, Juppé ne parait pas croire à son départ de Matignon : «Fillon a de grandes qualités. Il conduit très bien la majorité parlementaire et il semble avoir la confiance du président de la République.»
En se défendant d'être un antisarkozyste de l'intérieur - «c'est complètement ridicule» -, il a affirmé : «Je soutiens le président de la République, mais je ne suis pas au garde à vous sur tout.»
Alain Juppé a aussi distribué quelques bons points en compliments en soutenant Jean-François Copé :
: «A-t-il raison de vouloir susciter des débats ? Oui.», et tout en estimant que l'UMP, devait «mieux cultiver sa propre diversité». Alain Juppé a estimé « respectable », l’intention prêtée à Jean-François Copé de prendre les rênes du parti majoritaire.
Mais il a noté ses différences avec Dominique de Villepin qui « reste un ami » : «Je n'ai pas son style épique et je ne partage pas son choix politique de fonder un parti politique.» a-t-il expliqué Quant à la «rupture» préconisée par Villepin, Juppé la condamne : «Ça veut dire qu'on jette au panier ce qu'on a fait pendant trente ans. Ca ne tient pas debout !»
Faisant porter la chandelle au gouvernement et à la majorité, sans citer le Chef de l’État, Monsieur Alain Juppé a estimé que le gouvernement et la majorité ont «perdu la confiance d'une partie de « notre électorat « plus pour des raisons de forme que de fond."
En citant pour exemple la « sécurité », le maire de Bordeaux a questionné : «Est-ce qu'il faut surmédiatiser ce problème et donner le sentiment qu'on s'en sert pour repiper des voix sur l'extrême droite ? Je n'en suis pas sûr.»
Alain Juppé, comme tant d’autres, a dénoncé l'inflation législative dans ce domaine : «Chaque matin, on nous annonce une nouvelle loi sécuritaire. Appliquons d'abord celles qui existent.»
Par contre Alain Juppé s’est dit défavorable à l'extension de la déchéance de nationalité pour les personnes d'origine étrangère coupables de polygamie ou d'atteinte à la vie d'un membre des forces de l'ordre, comme l'envisage le chef de l'État. «Je ne le souhaite pas. C'est très compliqué sur le plan juridique (…) et déchoir quelqu'un de sa nationalité, c'est un acte extrêmement grave. »
L'ancien premier ministre a aussi déploré «les caricatures » et la «sur médiatisation » des Roms, il a aussi évoqué «l'islamophobie latente et parfois ouverte » en France, en recommandant q : «Il faut que la République respecte l'islam à condition évidemment que l'islam respecte la République.»
Il n’est pas besoin de réfléchir longuement pour se rendre compte que Monsieur Alain Juppé s’est plut à arrondir tous les angles, il a condamné quelques erreurs de forme en soutenant le fond, et quand il a donné son avis défavorable sur la déchéance de la nationalisé; pour les cas évoqués, il a justifié son opinion en argumentant sur le plan de leur complexité et de la gravité de "l'acte"". .
En conclusion nous avons ressenti sa prestation comme le plaidoyer d’un candidat "potentiellement " ministrable, prudent et mesuré dans ses propos , qui se tient prêt à accepter des responsabilités au sein du futur gouvernement, "pour essayer d'être utile" , .... si le Chef de l’État fait appel à lui.
Et c’est justement pour ça que nous avons trouvé que l’intervention de ce ténor sonnait un peu faux , trop tiède, trop modeste : nous étions habitués de sa part à une plus grande fermeté critique et à des contre propositions souvent intéressantes et équilibrées
Nous restons sur l’impression qu’il est resté prudent pour se ménager un éventuel retour aux affaires. Quand à sa couleur politique elle demeure inchangée et bien trempée : UMP droite libérale …ce qui est le meilleur atout dans la course au maroquin ...
Balayer les critiques, Alain Juppé s'y est également attelé hier lors du « Grand Jury » RTL-LCI-Le Figaro. « La question de fond est la suivante : Eric ...
Alain Juppé (UMP) est persuadé que Nicolas Sarkozy sera de nouveau candidat à ...Alain Juppé s'est dit «presque prêt à signer» la tribune des quatre ...
Alain Juppé (UMP) est persuadé que Nicolas Sarkozy sera de nouveau candidat à ...Alain Juppé s'est dit «presque prêt à signer» la tribune des quatre ...
Monsieur Elkabbach a reçu ce matin sur Europe 1, Madame Ségolène Royale pour en faire semble-t-il l'une de ses cibles et lui adresser des flèches meurtrières, l'un de ses exercices médiatiques contre l'opposition auxquels il se livre régulièrement , c'est à dire pilonner la personnalité de l'opposition qu'il reçoit de questions formulées sur un ton particulièrement agressif, lui couper constamment la parole pour étouffer sa voix ou la faire taire, essayer de la désarçonner en se posant en défenseur du pouvoir comme s'il était lui-même ministre ou censeur, bref essayer par tous les moyens de démolir l'interviewé, c'est ce qu'il a fait ce matin avec acharnement et un ton particulièrement directif en recevant Madame Ségolène Royale sans aucune courtoisie ni respect pour elle , comme s'il s'agissait d'une subordonnée de bas étage.
Madame Ségolène Royale a eu la force de caractère et l'habilité d'un stratège politique autrement plus élevée que lui dans la pyramide politique et de lui tenir tête en continuant de développer ses idées et sans tomber dans ses pièges.
C'est ce qui fait toute la différence entre une Présidente de Conseil Régional et un intervieweur qui se prend pour un censeur. Il serait bon que Monsieur Elkabach baisse son caquet la roue de la politique tourne et en 2012 il perdra avec les gens qu'il sert.
Pour voir la vidéo de l'Interview cliquer sur le lien interactif ci-dessous,
Depuis quelques semaines un quotidien à l’origine d’abord, puis par la suite les médias français et étrangers, nous avaient appris que Monsieur Eric Besson et sa jeune et belle compagne Mademoiselle Yasmine Tordjman, étudiante en Art, ( arrière petite fille de Madame Wassila Bourguiba qui fût l’épouse de feu l’ancien Président de la République Tunisien Habib Bourguiba) devaient concrétiser officiellement leur union en se mariant le 16 septembre 2010 à la Mairie du VII° arrondissement de Paris. C'est Rachida Dati, ex-ministre de la Justice, mais surtout maire du 7e arrondissement, qui était citée dans les articles comme devant célébrer cette future union.
Tout au début Monsieur Eric Besson paraissait assez contrarié qu'un quotidien ait pu annoncer, sans même l'en prévenir, la date et le lieu de son mariage, qu’il considérait lui comme d’ordre essentiellement privé et il l’avait fait savoir assez vivement
Un mariage n’est pas un évènement scandaleux, c’est tout le contraire, et vraiment on peut regretter que Monsieur Eric Besson se soit irrité de l’information d’origine de ce quotidien, au lieu de la confirmer officiellement lui-même, ce qui certainement aurait coupé court à toutes interprétations médiatiques ultérieures.
Rien de trop méchant pourtant dans ces articles qui pour certains relataient sans trop de critiques, la différence d’âge du Ministre avec sa toute jeune fiancée(environ 29 ans de différence), leur situation de fortune ou de famille, ou encore rappelaient qu’Eric Besson était divorcé, et l’on peut penser que si Eric Besson avait laissé couler l’information sans montrer sa contrariété tout au début , la situation ne se serait pas gonflée et compliquée médiatiquement , à un tel point qu’il a du prendre vendredi la décision de retarder la date de son mariage et d’en déplacer le lieu..
Il est vrai que des personnalités qui jouissent d’une certaine notoriété souhaitent bien souvent tenir dans l’ombre leur vie privée, même si elle n’a rien d’extraordinaire, en privilégiant la médiatisation de leur fonction publique, c’est le cas d’Eric Besson Ministre de l’Identité Nationale et de l’émigration.
Mais il faut bien se rendre compte aussi que tout au contraire, d’autres personnalités de notoriété égale ou même supérieure, quel que soient leur position sociale , allant des stars , jusqu’aux reines et rois, princes et princesses, en passant par des politiques de renom et des VIP célèbres, se plaisent à informer les médias des évènements heureux ou malheureux de leur vie privée, c’est une façon peut-être de se reconnaître comme monsieur et madame tout le monde et d’assumer leur condition sociale et humaine.
C’est peut-être la distance hautaine qu’Eric Besson a prise dès le début de la publication des informations sur cette union, qui a attisé le désir de quelques groupes d’internautes (Facebook) de chahuter son mariage, à tel point que les responsables de la Mairie du VII° se sont sérieusement inquiétés ces jours derniers des désordres que ces groupes auraient pu provoquer et s’interrogeaient sur les moyens de filtrage et de sécurité à mettre en place, car comme on le sait lors de la célébration d’un mariage les portes de la mairie et de la salle de mariage doivent d’après nos lois rester ouvertes.
Finalement pour éviter tous débordements le Ministre de l’Immigration a pris Dimanche la décision de reporter la date de son mariage et d’en déplacer le lieu.
. «J'ai décidé de déplacer la date et le lieu de ce mariage pour le ramener à ce qu'il n'aurait jamais dû cesser d'être, une affaire exclusivement privée», a précisé le ministre.
Ndlr : Naturellement le Ministre et sa fiancée sont tout a fait libres de reporter la date et le lieu de leur mariage et de le faire célébrer dans la plus stricte intimité, mais ce qui me gêne c’est que le Ministre pour qualifier son mariage a utilisé le terme « affaire exclusivement privée », d’abord le mot « affaire » , ensuite les mots « exclusivement privée », en effet le mariage n’est pas une « affaire » et pour l’état civil il n’est pas non plus « une affaire exclusivement privée » .
Seule la décision de se marier est d’ordre privé et personnel.
Mais stricto sensu, le mariage selon nos lois est un acte public, juridique et solennel par lequel un homme et une femme s’engagent l’un envers l’autre dans la durée, devant et envers la société, pour fonder ensemble un foyer. En se mariant, les époux font ensemble une double démarche. Ils acceptent et reconnaissent l’institution du mariage et la loi commune qui la régit, mais en retour, ils demandent à la société de reconnaître l’existence et la valeur de leur engagement mutuel et de leur assurer la protection de la loi. La cérémonie civile du mariage est célébrée par un Officier d’État Civil (un Maire le plus souvent), et les portes du lieu public et de la salle où elle se déroule doivent rester ouvertes à l’accession du public.
Monsieur Eric Besson a aussi précisé «Je n'ai pas peur des chahuts ou des canulars mais je n'envisage pas d'utiliser les moyens publics de sécurité pour un mariage qui relève de la sphère privée» et a aussi déclaré : «Je ne me résous pas à vivre comme depuis plusieurs semaines sous l'œil des paparazzis ou avec des journalistes peoples menant des enquêtes sur ma vie privée ou sur la personnalité de ma compagne».
Inutile d’épiloguer, l’essentiel est qu’ils se marient, qu’ils soient heureux, qu’ils aient beaucoup d’enfants, selon la formule consacré dans les contes de fées.
Pour bientôt ou plus tard , quoiqu’il en soit, tout le monde a le droit de crier Vive les Mariés !, en souhaitant que Monsieur Eric Besson s’humanise en s’occupant de sa mariée et de ses affaires privées tout à fait légitimes du reste, et qu’en s’y consacrant sérieusement et exclusivement , il finisse par nous lâcher les baskets sur notre Identité Nationale, sur la déchéance de nationalité pour les délinquants français d’origine étrangère, sur les expulsions de Roms, ce serait toujours ça de gagné pour la paix civile et sociale.
Se doutant que les effets seraient quasi nuls, il est passé à la vitesse supérieure ce dimanche: Eric Besson a annoncé le déplacement de son mariage, ...
4 sept. 2010 ... Réagissant sur sa Page Facebook à l'annonce d'un « chahut » pour perturber son mariage, Eric Besson s'attaque à la presse: « Que des jeunes ...
www.espacemanager.com/.../tunisie-france-le-mariage-besson-tordjman-risque-d-etre-perturbe-et-sarkozy-incertain.html - En cache
POLITIQUE - C'est ce que raconte Le Parisien, mais le ministre de l'Immigration dément «partiellement»...
www.20minutes.fr/.../Politique-Eric-Besson-n-aime-pas-que-la-presse-parle-de-son-mariage-en-septembre.php - En cache
30 nov. 2009 ... Le chroniqueur a évoqué le «mariage gris» dénoncé par Eric Besson en faisant allusion à la compagne du ministre, une Tunisienne de 22 ans. ...
www.gala.fr/.../eric_besson_furieux_contre_stephane_guillon_et_sa_chronique_sur_le_mariage_gris_192037 - En cache - Pages similaires
Il y a 2 jours
Le ministre de l'Immigration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire Eric Besson a fait beaucoup parler de lui pour une autre ...
www.purepeople.com/article/le-mariage-du-ministre-eric-besson-menace_a63090/1 - more videos »
7 oct. 2009 ... Quand Eric Besson se fait dégommer par son ex-femme ! ... de conne narrant une histoire basée sur des conneries d'un mariage avec un con. ...
www.eteignezvotreordinateur.com/la-femme-deric-besson/ - En cache - Pages similaires
Xavier Bertrand et Christian Estrosi appellent à l'unité de l'UMP
Le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, est l’objet de « critiques » en cascade au sein de l’UMP.
En plus de ses divergences de vues sur fond de rivalité latente avec François Copé, tête de file des députés UMP à l’Assemblée Nationale, qui sont apparues au grand jour le 31 Août lors de la Journée d’Été de l’UMP, Xavier Bertrand n’a peut-être pas apprécié les appréciations critiques et l’ analyse du Ministre de la Relance Patrick Devedjian (ex secrétaire général de l’UMP) sur la situation actuelle du Parti et de son dirigeant :
……………
Court extrait de l’interwiev qui a pu « choquer » Xavier Bertrand :
« Xavier Bertrand va-t-il quitter l’UMP avec le sentiment du devoir accompli?
« Ce serait tout de même dommage qu’il quitte l’UMP avant d’avoir atteint l’objectif des 500 « 000 adhérents qu’il s’est fixé. Je n’imagine pas cela! Or, il semblerait qu’on en soit encore « loin.
« Le parti a-t-il raté sa rentrée politique?
« Je n’ai pas le sentiment que ça aille très fort en ce moment. Mettre l’UMP à la remorque du « gouvernement, c’est l’éteindre. L’UMP doit être devant, même si cela comporte des risques. « C’est le prix de son existence, c’est comme ça que l’UMP peut jouer son rôle d’animation « du débat public et c’est ce qu’a su faire avec grand talent Nicolas Sarkozy en 2007.
« Mais le président ne préfère-t-il pas un parti docile?
« Je ne le crois pas. Quand j’étais secrétaire général, il y avait des confrontations, voire des « polémiques. Nous recevions Tony Blair, José Manuel Barroso, Angela Merkel. Je me suis « parfois fait tirer les bretelles, ce n’était pas toujours confortable, mais au moins il y avait des « débats. Il n’y en a plus. Du coup, on a vu monter en puissance le groupe parlementaire. « L’UMP ayant créé une sorte de dépression, Jean-François Copé a su occuper le terrain.
« Ferait-il un bon secrétaire général?
« Il a en tout cas montré son savoir-faire à la tête du groupe parlementaire.
« L’UMP n’est donc pas en état de mener la bataille de 2012?
« Pour qu’un parti soit attractif, il doit être vivant. Sur la sécurité, si l’UMP avait organisé le « débat, on aurait sans doute évité ces excès verbaux des uns ou des autres qui ont porté tort « au gouvernement et à la majorité. C’est dommage.
« Quel est le portrait-robot du bon secrétaire général?
« C’est un agitateur d’idées qui sait s’entourer d’une équipe diverse et arrive à rassembler la « diversité en se projetant vers l’avenir. Un parti politique, ce n’est pas le Club Med. On n’a « pas besoin de gentils organisateurs! »
Fin de l’Extrait.
……………….
Il est vrai que les déclarations de Monsieur Patrick Devedjian étaient bien de nature à remuer le couteau dans les plaies, d’autant que certains médias avides de sensationnel n’ont pas hésité à jeter de l’huile sur le feu en relatant cette interwiev, d’après eux : …… « le ministre de la Relance et ex-secrétaire général de l'UMP, Patrick Devedjian, a tiré à boulets rouges sur Xavier Bertrand, présenté comme «un gentil organisateur du Club Med». »
Il est évident que Monsieur Xavier Bertrand présenté « comme un gentil organisateur du club Med » ne pouvait rester passif face à ces allusions !, d’autant que la veille les ministres François Baroin (Budget) et Bruno Le Maire (Agriculture), le patron des députés UMP, Jean-François Copé, et son bras droit, Christian Jacob, avaient appelé dans une tribune publiée par Le Figaro à une UMP «redynamisée» en vue de 2012.
Voici sa réaction appuyée par celle de Monsieur Christian Estrosi :
Interrogé en marge de la réunion de rentrée des militants UMP des Alpes-Maritimes, à Auron, à laquelle il participait, sur les critiques dont il est l'objet, M. Bertrand a souligné qu'il n'y avait rien là de très nouveau. «Qu'il y ait des ambitions, de l'agitation, n'est pas nouveau. L'heure est au rassemblement. Le président de la République a besoin d'une majorité soudée», a-t-il déclaré à l'AFP.
M. Bertrand a rétorqué dimanche en marge de la rentrée des militants UMP à Auron (Alpes Maritimes) qu'il y avait davantage de militants à l'UMP aujourd'hui qu'il y a un an et qu'une «nouvelle dynamique» était déjà engagée au sein du parti majoritaire pour préparer la présidentielle. »
Monsieur Christian Estrosi est venu à la rescousse de Xavier Bertrand en affirmant que «la famille UMP est très largement rassemblée derrière Xavier Bertrand», tout en mettant en garde « contre le virus de la division. » ……«La division est une maladie mortelle. Si les Français pensent que les socialistes nous ont refilé le virus et que nous l'acceptons de bonne grâce, ils ne nous le pardonneront jamais», a poursuivi Monsieur Estrosi.
«Je plaide pour que nous prenions tous, et à titre préventif, l'antibiotique de l'unité», a-t-il ajouté.
«La réforme des retraites est la priorité des priorités. Il faut un soutien total et une mobilisation totale sur la réforme des retraites», a souligné Xavier Bertrand en réitérant son soutien au ministre du Travail, Eric Woerth, qu'il considère «injustement attaqué depuis des semaines et des semaines».
«Notre famille politique est soudée à ses côtés», a-t-il réaffirmé.
Encore une fois nous pouvons remarquer que Monsieur Xavier Bertrand affirme que la « famille politique est soudée » et que Monsieur Estrosi assure « la famille UMP est très largement rassemblée » alors que leur propos ont été avec justesse interprétés par les médias sérieux comme « Un appel à l’Unité », ce qui indique bien que l’UMP est divisée et se fissure de jour en jour.
En réalité l’opinion publique ressent tous ces échanges entre les cadres de l’UMP comme un jeu de quilles fratricides, il est évident que certains d’entre eux espèrent être reconduits dans leurs fonctions lors du prochain remaniement (qui s’annonce resserré), alors que d’autres, « ministrables » ou « premiers ministrables » espèrent « enfin » franchir la porte d’un Ministère ou la porte de Matignon, et dans cette perspective les intéressés se conduisent comme des frères ennemis, un seul point leur est commun, chacun d’entre eux à son profit plaide leur attachement au Président de la République et à sa politique.
En ce qui concerne les manifestations de samedi contre la politique sécuritaire du gouvernement, Xavier Bertrand a estimé que la mobilisation avait été faible. «Les manifestants n'ont pas su rassembler. La mobilisation est très en dessous de ce qu'ils espéraient», a-t-il assuré.
«Notre politique en matière de sécurité est populaire. Elle rassemble largement les Français», au-delà de la droite, a-t-il assuré.
Dans une interview au «Parisien Dimanche» - «Aujourd'hui en France», Patrick Devedjian, ministre en charge du plan de Relance, apporte son soutien à Eric Woerth. Et tacle Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP. Chargé de la mise en œuvre du plan ...
3 sept. 2010 ... Le patron des députés UMP, Jean-François Copé signe une tribune commune dans ... les signataires de cette tribune cité par le Parisien.fr. ...
www.lepost.fr/.../2205878_jean-francois-cope-il-est-temps-pour-notre-famille-de-preparer-des-maintenant-2012.html
A un but près, on peut considérer que c’est vraiment une question de schkoumoune ou de mauvais œil !
Hier soir au Stade de France à Saint-Denis près de 80.000 spectateurs et supporters ont encouragés les Bleus pour leur premier match de qualification à l’Euro 2012, mais l’Équipe de France du nouveau sélectionneur Laurent Blanc n’a pu égaliser face à la moyenne équipe de Biélorussie et s’est inclinée sur le score de 0-1.
Dans les tribunes du Stade de France se trouvait le président Nicolas Sarkozy, entouré de nombreux politiques comme Roselyne Bachelot, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand ou Eric Besson, mais aussi des personnalités du monde du spectacle et du sport au nombre desquelles notamment Marc Lavoine, Pascal Obispo, Fabien Barthez, Cécile de Ménibus et son mari Yann Delaigue, et Hugues Aufray.
Plus sérieusement, pour en savoir plus, voir les réactions des médias et les déclarations avisées de Laurent Blanc :
A l'image de l'attaque des Bleus, Hoarau a été fantomatique contre la Biélorussie. (Reuters) Vendredi soir, l'équipe de France a une nouvelle fois chuté, ...
Contre la Biélorussie (0-1), vendredi, l'équipe de France a concédé sa quatrième ... 01/09Les Défenseurs Latéraux 01/09Les talents gachés du football . ...
www.lequipe.fr/Football/HOME_Equipe-de-france.html - En cache - Pages similaires
4 sept. 2010 ... L'Equipe de France se qualifiera t-elle pour l'Euro 2012? ... Après la défaite face à la Bielorussie (0-1), Laurent Blanc a regretté une ...
www.lequipe.fr/ - En cache - Pages similaires
3 sept. 2010 ... La Chine, l'Afrique du Sud et maintenant la Biélorussie : tout le football mondial semble capable de battre l'équipe de France actuellement. ...
www.lefigaro.fr/equipe-de-france...football/.../02016-20100903ARTSPO00646-live-france-bielorussie.php
3 sept. 2010 ... FOOT - Déjà une défaite pour les Bleus de Laurent Blanc...
www.20minutes.fr/.../sports-football-l-equipe-de-france-tombe-de-haut-face-a-la-bielorussie - En cache
L'université d'été de l'UMPde Mardi 31 Août à Pont-Marly dans les Yvelinesse voulait discrète, elle a été perturbée par des déclarations contradictoires, nous sommes loin du grandraout politique triomphant des années précédentes.au cour duquelles cadres de l’UMP et des partis affiliés, et les Ministres, se bisoullaient, se congratulaient, se caressaient, se glorifiaient, se passaient la pommade et surtout célébraient unanimement avec des flatteries ostentatoires les réformes et l’action (toujours au futur ) du Chef de l’État et du Gouvernement, pour en final guincher et se trémousser en cadence.
Cette année, les sopranos et les ténors du parti majoritaire et partis associés, et lesmembres du gouvernement qui étaient à Port-Marly ont du se contenter d’une seule journée, par mesure d’économie pour donner l’exemple en période de crise budgétaire,selon les médias.
Ces mesures drastiques ne les ont pas empêchés d’arriver frais comme des gardons,apparemment détendus, souriants, toilettés, costumés,tous bronzés, certains même rajeunis, relookés comme des stars du petit écran, et l’un des porte paroles,brun de cheveux habituellement,est apparuen châtainclair. Peut-être l’effet du soleil des vacances ?
Mais au fil de la journéeen écoutant lesdiverses interventions, certains visages se sont un peu crispés dans un sourire contraint.
Alors queleurvolonté était de faire front commun pour soutenir toute la ligne politique de Nicolas Sarkozy etd’afficher leur unité sans conditions tous derrière et lui devant, durant cette unique journée qui se voulait teintée de discrétion , orchestrée comme il se doit par le Secrétaire général du Parti, le pontifiant Xavier Bertrand, contrairement à toute attente , des ténors et des sopranosexprimaient les uns après les autres, leurs sentiments contradictoires,à tel point que progressivement les participants ont finalement ressenti des divergences d’opinions, et au finalse sont rendus à l’évidence qu’il existe bien des frictions sérieuses entre les uns et les autres au sujet dudiscourssécuritaire de Nicolas Sarkozy à Grenoble, de la déchéance de la nationalité, du démantèlements des camps de Roms et de leur expulsion dans leur pays d’origine.
Certainssoutiennent le chef de l’État, d’autres sans le désavouer de front n’ont pascautionné son nouveau programme sécuritaire et ont fait entendre des avis dissonants ;sur cette question l’unité semble ne plus régner dans les rangs de ladroite et le rassemblement autour de l’UMP n’est pas acquis.
D’autant qu’un grand écart sur fond de rivalité se creuse entre les deux ténors principaux de l’UMP Xavier Bertrand, Secrétaire Général de l’UMP, et François Copé, Chef de l’UMP à l’Assemblée Nationale.
M. Woerth doit défendre à partir du 7 septembre devant les députés le projet de loi du gouvernement sur la réforme des retraites.
Lors du Campus des jeunes de l’UMPMonsieur Eric Woerth « en forme olympique » depuis la rentrée (d’après lui) dénonçait les médias et l’opposition en déclarant aux journalistes qu'il n'avait "pas menti" : «On cherche à me salir, je n'ai rien à me reprocher. Je l'ai déjà dit, je le redis, je n'ai rien fait de mal, je n'ai pas menti. Je n'ai pas menti à la police, je n'ai pas menti aux Français". Ce faisant Ericse maintenait sur sa ligne de défense, en démentant une nouvelle fois n’être jamaisintervenu en faveur du gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt et dénonçait à son encontreune entreprise de « "démolition "»"lapidation médiatique" : "Tous les jours on me dit autre chose, tous les jours ça se dégonfle et on repart sur autre chose""C'est une vraie entreprise de démolition à une semaine du débat sur les retraites. Franchement, dans la Ve République, je suis probablement celui qui a été le plus sali, le plus visé, le plus ciblé, le plus démoli, moi et mes proches", avait -t-il conclu
Mais jeudi matin , après certaines révélations , le Ministre a reconnu avoir demandé la Légion d’Honneur pour Patrice de Maistre.
Par ailleurs, Eric Woerth soulignaitla "grande élégance" des syndicats, qui ne s'étaientpas exprimés sur l'affaire Bettencourt, à part Bernard Thibault sur RTL, fin août.
Mais, Vendredi matin 24 heures après que le Ministreait reconnuavoir demandé la légion d’honneur pour Patrice de Maistreet souligné la « banalité « d’une telle demande, boum… bada boum.. ! les syndicats alignaient leur artillerie lourde et les principaux leaders syndicaux, cinq jours avant l’examen du projet de loi sur les retraites à l’Assemblée Nationale le 7 septembre, ne le ménageaient plus !
Ilsestiment d’une même voixque le maintien du ministre à son poste empêche un débat de fond sur les retraites.
Pour Bernard Thibault, "Woerth est objectivement plus occupé, et préoccupé, par autre chose que par le sujet qui nous, nous intéresse".
Le leader de la CFDT a expliquévendredi matin sur Europe 1,que "ce n'est plus possible de travailler avec Eric Woerth":
"On n'aborde plus du tout le fond du dossier", a déclaréFrançois Chérèque. "Comment peut-il gérer en même temps ses problèmes personnels avec l'affaire Bettencourt et la réforme des retraites?" questionne-t-il.
Jean-Claude Mailly de FO a regrettévendredi qu'on "ne parle pas beaucoup du fond du dossier" des retraites.
D’autre part au plan politique, l’opposition ne désarme pas etClaude Bartolone (PS) a demandé la démission d'Eric Woerth, et martelé qu'il animera le débat parlementaire sur les retraites, mardi prochain à l'Assemblée, indiquant qu'il est "mobilisé à 120 %" pour les retraites.
Et au plan judiciaire, le député socialiste Christian Bataille a saisi vendredi le procureur général de Paris à propos de la vente d'une parcelle de la forêt de Compiègne entérinée par Eric Woerth.
L’attaquedes leaders syndicaux a "surpris"la majorité, selonEurope 1.fr, Eric Woerth, l’Élysée et la majorité présidentiellene « pensaient » pas que les organisations syndicalesétabliraient un lien entrela situation du ministre et l'affaire Bettencourt.
Face à ces attaques, plusieurs voix se sont élevéesvendredià l'UMP et au sommet de l'État pour soutenir Eriic Woerth. Nicolas Sarkozy a confirmé d’un simple « oui »son soutien, François Fillon, Jean-François Copé, Dominique Paillé, d’autres encore,l’ont défendu plus franchement.
PARIS (Reuters) - Le député socialiste Christian Bataille a saisi vendredi le procureur général de Paris à propos de la vente d'une parcelle de la forêt de Compiègne entérinée par Eric Woerth. Lire la suite »