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PPDA déteste les mensonge surtout ces de Thomas Hugues !
Thomas Hugues a brandi la baisse d'audience de juin pour expliquer le licenciement de PPDA. Ce dernier a refusé la polémique et il s'en est sorti avec une seule proposition: «Si vous le voulez bien, on se revoit en juin prochain et on vérifie une nouvelle fois les chiffres.»
Patrick Poivre d'Arvor a défendu ses résultats d'audience, face à ceux de Laurence Ferrari qui lui a succédé au JT de TF1. «Je n'ai pas à la juger», a-t-il répondu à Thomas Hugues, ex-mari de Ferrari pendant quatorze ans, qui lui demandait de commenter la baisse d'audience de la nouvelle présentatrice du JT, depuis son entrée en fonctions le 25 août.
«Je dis simplement que le dernier journal présenté a fait 2,3 millions de téléspectateurs de moins que le mien à la même période», précisé PPDA ex journaliste vedette du 20 heures. L'argument ne convient pas Thomas Hugues: «Si on compare les chiffres de septembre et de juin, elle fait un peu mieux que vous avec 200 000 spectateurs de plus» rétorque-t-il. Contrarié par cet argument destiné à le déstabiliser, mais toujours maître de lui, correct et placide, PPDA a rappelé à son interlocuteur ses propres prestations: «Thomas, vous qui avez souvent présenté le JT en remplacement de bibi (n.d.l.r.: PPDA sur TF1), vous savez bien qu'il y a moins de téléspectateurs l'été! Faites votre boulot honnêtement.»
Durant l'interview, PPDA a expliqué : «Cela m'a énervé cette histoire! Je déteste le mensonge. Je vois bien qu'on essaie de salir. Les chiffres sont les chiffres. Ils sont têtus, je suis désolé: 7,1 millions pour Ferrari jeudi dernier, 9,4 millions pour moi à la même période! Vous pouvez inventer ce que vous voulez! Mais Thomas Hugues a persisté à soutenir un peu trop lourdement le score de son ex femme (on se demande pourquoi il la défend ...?) a de nouveau évoqué la baisse d'audience de juin pour expliquer le licenciement de PPDA. Ce dernier a refusé courtoisement d'entrer une nouvelle fois en polémique et a proposé une solution : «Si vous le voulez bien, on se revoit en juin prochain et on vérifie une nouvelle fois les chiffres.»
Vingt et un ans au même poste, ça fait des jalouses et des jaloux, après avoir assommé la bête faut-il encore s'acharner à l'achever pour protéger Laurence Ferrari de comparaisons à son désavantage ?
Depuis l’annonce de l’intéressée elle-même, divers journaux et magazines se sont évertués à lister le nom de personnalités supposés pouvoir être le père de l’enfant à naître, Aznar a démenti, Arthur de même, restaient en liste parmi les pré nominés : Le PDG d’un Groupe Hôteliers de Luxe et de Casinos de jeux, le PDG d’un Groupe Industriel à la pointe des affaires, qui n’avaient pas démenti et qui peut-être s’interrogeaient s’il devaient le faire ou encore espéraient qu’un démenti provienne de l’intéressée.
Puis au bout de quelques jours, la polémique s’est essoufflée, les journaux n’en écrivaient que quelques lignes, sauf à en parler lors de la présence de Rachida Dati au congrès UMP de Royan à part quelque articles de plumes qui s’attardaient sur le sujet avec sympathie dans l’ensemble sur des sites français, et avec moins de sympathie sur les sites marocains, sur cette future naissance, la polémique ne faisait plus florès.
Convenait-il de la relancer ? Eh bien c’est chose faite depuis que le Président, au cours d’un pot organisé autour de Michelle Alliot-Marie qui célébrait son ...nième anniversaire, a lancé qu’il savait qui était le père de l’enfant de Rachida Dati et qu’il s’agit d’un membre du Gouvernement, peut-être pour faire entendre qu’il n’en est pas le père. Tenait-t-il la chandelle ?
Comment a-t-il osé parler ainsi …..! De quoi se mêlait-il, quelle indiscrétion, Rachida Dati n’a pas ri, comme d’autres dames ministres qui se trouvaient là, et comme je la comprends !
Ce qui devait arriver est arrivé, la polémique a repris !
Madame Rachida Dati en voyage en Israël a beaucoup plus intéressé les paparazzis et les cameramen par ses toilettes de maternité, que par le dépôt d’une gerbe à Arafat, geste qui a été fortement contesté à l’étranger, mais qui chez nous au contraire est admis benoîtement, pour ne pas dire béatement, en conformité de la ligne de politique étrangère assez « brouillonne » de la France qui nous est imposée actuellement par le Pouvoir, qui se plait àlouvoyer entre les israéliens et les palestiniens tour à tour, avec pour objectif final en fait de soutenir l’un ou l’autre selon les intérêts du grand manitou, l’oncle Sam.
Pour enrayer cette polémique je persiste à penser que Madame Rachida, sans avoir à dévoiler le nom du père, devrait prendre la parole pour démentir les différentes prés nominations et démentir aussi formellement la déclaration le Chef de l’Etat, et faire savoir fermement que c’est un évènement qui ressort strictement de sa vie privée.
Enfin pour en revenir à cette future maternité certains se sont saisis de cet évènement pour célébrer le « courage » de la future maman célibataire (pour le moment) alors que tous les jours des mamans célibataires sans trompettes ni tambours mettent au monde leurs bébés. Certains médias ont tenus aussi à l’occasion de cet évènement, plébisciter son action et ses résultats au Gouvernement ! Comme si subitement toutes les flatteries et les considérations lui étaient dues en raison de son entrée dans la maternité ! Certains médias vont même jusqu’à prétendre qu’on peut tout pardonner à une mère !
Je ne pense pas qu’il y aura lieu d’élever une statue place Vendôme pour célébrer les mérites de la maternité célibataire de Rachida Dati, ce n’est pas l’évènement du siècle.
Je souhaiterais que personne n’ait l’indécence de se pencher sur le berceau à la naissance et ensuite sur les photos du bébé pour y déceler des traits de ressemblance et extrapoler à nouveau pour identifier l’identité présumé du père. Trop c’est trop ! ….. Je ne suis pas du même bord politique que Madame Rachida Dati, mais j’estime qu’elle doit être respectée en tant que personne privée et surtout qu’elle doit se faire respecter. Aura-t-elle la liberté de le faire ?
S'il faut en juger par ses propres propos, il est permis d'en douter : Interrogé en Israël, dans un climat de confiance, sur sa vie privée, la Ministre a répondu en allusion à sa grossesse, : «Ce qui est gênant, ce sont les rumeurs, car les rumeurs sont difficiles à démonter. Ce qui est gênant, c'est que l'on puisse supputer… mais je n'y attache pas beaucoup d'importance"
Ce que nous pouvons trouver gênant nous c'est qu'elle n'y attache pas beaucoup d'importance.
"Les marchés, lorsqu'ils sont livrés à des groupes financiers, qui s’amusent en bourse comme des particuliers le font plus modestement dans les casinos avec des bandits manchots, procurent aux places boursières des « sensations » financières allant de l'euphorie au désespoir final.
C’est ainsi que ces groupes financiers blasés par les profits boursiers classiques, font crever le plafond, recherchant dans des transactions fictives et improductives des profits illusoires qui trouvent leur sanction dans des crises financières en cascade qui font boule de neige et affolent tous les marchés boursiers en frôlant le Krach.
La crise financière que nous traversons actuellement est de l'avis des experts la pire depuis la grande crise de 1929, mais ils disent aussi qu’un krach correspond à une baisse de plus de 10 % d'un indice en une séance. Or, à New York ou en Europe, les épisodes de panique boursière ne se sont jusqu'ici traduits que par des baisses « canalisées » à moins de 7 %.
L'abondance de liquidités mondiale, provenant des pétrodollars et des injections d'argent par les banques centrales, évite des purges trop violentes et toujours d’après les experts, depuis le krach de 1987, des garde-fous empêchent les marchés de reculer trop vite, trop fort.
Actuellement, on parle de "krach rampant", c’est-à-dire d'une baisse continue du marché, sans rebond parait-il pour les entreprises.
En dépit des baisses canalisées à moins de 7 %en séance boursière, depuis janvier, la Bourse de Paris a reculé de 25,74 %, et celle de New York de 17,70 %. Les places boursières des pays émergents relativement épargnées n'échappent pas non plus à la correction et les places de Shanghai et de Bombay ont perdu 61,72 % et 34,77 % de leur valeur en neuf mois.
Des investisseurs avertis s'attendent à ce que ce mouvement de baisse se poursuive, compte tenu de la détérioration de la situation de l'économie réelle et prévoient moins de croissance, donc moins de profits.
La politicoparade constante à laquelle le Chef de l’état et son équipe gouvernementale, soutenus par l’UMP et partis politique engagés à leur côté, largement commentée par les médias branchés, nous présente des scénarios successifs dont nous commençons à nous lasser : ca ne prend plus !
En quoi consiste la mise en scène ? Les ministres et secrétaires d’Etat au prétexte d’entretenir de réformes et de moderniser l’Etat sont chargés de se lancer sur le devant dela scène pour faire des déclarations et des annonces diverses, qui généralement à ce stade sont présentées comme des propositions de loi reflétant les maturations de leurs « idées », dont certaines sont assorties de récompenses fiscales ou socialespour les convertis ou soumis au système prédateur libéral , ou de « punitions fiscales pour les récalcitrants », du genre « bonus malus » qui est appelé à faire florès.
Ainsi ces ministres et secrétaires d’état, sous employés godillots à mon sens, jouent dans un premier temps le rôle de Monsieur Loyal, autrement dit d’aboyeurs.
Immédiatement après les déclarations et les annonces, les critiques politiques et associatives fusent de toutes, favorables ou défavorables,les meutes de lapresse écrite et l’audiovisuels’ens’empare alors et déchaîne les polémiques, les députés s’émeuvent, un déchainement de bruits parlementaire et médiatiques cacophoniques arrive en milieu de scène qui oblige alors le Ministre ou le secrétaire d’état « Monsieur Loyal godillot », à entrer sur le devant de la scène, sous l’œil des paparazzis et des cameras, pour démentir « les intentions qu’on lui prête », et accuser les médias et les politiques d’extrapolation du genre : « ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit ,j’ai parlé de propositions en citant un exemple, ce n’était qu’une idée à l’étude ….mais aucun projet n’est encore arrêté.
Le public médiatique redouble de huées, le démenti n’est pas crédible, alors le premier Ministre entre à sont tour en scène pourjouer les médiateurs en faisant mine dedésapprouver tout en approuvant avec des formules alambiquées destinées à inviter les ministre et secrétaires d’Etat d’état à la fermer provisoirement et attendre l’entrée en scène finale de la grande vedette providentielle, de retour d’un déplacement à l’étranger ou en provinces, qui fonce alors sur la scène pour trancher la question.
C’est le moment du suspens, les spectateurs s’attendent à une engueulade élyséenne du genre « taisez vous et agissez en silence, pauvres c..s !… j’ai les moyens de vous bottez les avec mes doubles talonnettes pointues,… vous allez voir ce que parler Sarko veut dire…. », Mais non pas du tout, bien au contraire après quelques éclats de voix jetés à la cantonade pour satisfaire son égo surdimensionné, la vedette finit par approuver le fond, fait remarquer l’insuffisance de la forme, et installe un groupe de travail avec pour mission de diluer les déclarations explicites et imprudentes pour les reconditionner, et les servir plus tard au moment opportun, sous formes de couleuvres absorbables sans douleur par la population.
Les acteurs réhabilités reviennent saluer sur le devant de scène les spectateurs anesthésiés, tout le monde se calme momentanément, les médias et les politiques de tous bords se lancent dans d’autres polémiques sur d’autres sujets sorties à point du parapluies des prestidigitateurs de l’UMP et de l’équipe du Gouvernement, la politicoparade se lance en piste à la recherche d’ un autre jeu dont il faudra démêler encore une fois les ficelles, et de fil en aiguille le spectacle politicoparade se remet en marche.
Mais les spectateurs désabusés quittent la salle et de jour en jour la cote de confiance de Nicolas Sarkozy descend en chute accentuée dans une spirale infernale, ainsi elle vient de baisser de trois points en un mois pour atteindre 37%, dans le même temps, 62% des spectateurs interrogés disent ne pas être satisfaits de l'action du président de la République,
Pour le chef du gouvernement qui a la prudence de se tenir à carreau en fond de scène le yoyo des sondages grimpe péniblement d’un point, de 45 % à 46%.
Les ministres et secrétaires d’état sont invités à redresser la barre …. mais le navire reste en rade.
Pendant ce temps, les spectateurs désabusés comptent les centimes d’euros qu’ils leur restent après avoir payés les impôts, les rentrées scolaires et universitaires de leurs enfants finissentde les achever, ils sombrent dans la morosité ….. et pendant ce temps le Président s’offre un nouvel avion pour se donner l’impression de voler haut.
Assurance maladie : Sarkozy veut porter les comptes à l'équilibre pour 2011
En visite à l'hôpital de Bletterans dans le Jura, Nicolas Sarkozy a présenté les «priorités» de sa politique de santé.
Le chef de l'Etatveut quetous les acteurs, de l'hôpital aux assurances complémentaires,travaillentà rendre le système de santé plus économe et plus performant.
Il aconfirmé la réorganisation de l'hôpital qu'il avait déjà annoncée en confirmant leregroupement d'établissements. Il envisage que les plus petits services de chirurgie ou de maternité disparaissent pour se consacrer à «la prise en charge du grand âge ou du handicap adulte».
Il justifie les franchises médicale : Le Président qui s’intéresse tout particulièrementà la Maladie d’Alzheimeret à son plan de financement),a vivement critiqué «ceux» qui s'opposent aux franchises médicales et il a dénoncé en les désapprouvant,ceux qui sont contre le financement du plan Alzheimer, contre l'ouverture de nouveaux lits de soins palliatifs, contre l'argent qu'on va donner au plan cancer.
(Cette critiquevisait-elleles membres du « collectif contre les franchises médicales» qui regroupe 70 organisations (syndicats, associations, partis politiques ? ….. d’aucun ne vont pas manquer de réagir).
( à noter au passage que le financement de laMaladie d’Alzheimer intéresse aussi tout particulièrement , pour les subventions qu’elles espèrent en obtenir, de nombreuses fondations, associations et Groupes d’assurances et de retraites ,comme par exemple la Fondation Mederic Alzheimer dépendant du Groupe Médéric dont Monsieur Guillaume Sarkozy est Président)
Le Président arappelé que c’était lui qui avait demandé à Roselyne Bachelot de les mettre en œuvre (les franchises médicales) : « Je n'ai fait qu'anticiper les besoins de demain : le cancer, la maladie d'Alzheimer, les soins palliatifs. Si on veut dépenser plus, il faut trouver des recettes.»
Autre préoccupation du Présidentles abus, les fraudes : «J'invite l'Assurance maladie à intensifier la lutte contre les gaspillages, les abus et les fraudes», apoursuivi Nicolas Sarkozy. Il souhaite que soient mis en place des «pénalités plancher» pour lutter contre les abus et les fraudes à l'assurance-maladie, dès 2009, «sur le modèle de celui en vigueur pour lutter contre le travail illégal».
Equilibre budgétaire
Enmatière d’équilibre budgétaire, le chef de l'Etat accorde trois ans à son gouvernement pour réussir à équilibrer les comptes de la Sécurité sociale et considère qu’assurer le financement des dépenses de santé, c'est un défi pour demain qui se joue aujourd'hui. C'est pourquoi il asouhaité que l'assurance maladie revienne à l'équilibre en 2011».
(Le déficit de l'assurance maladie prévu en 2008 se monte à 4,1 milliards d'euros.)
Maladies chroniques
Pour la prise charge des maladies chroniques, Nicolas Sarkozy demande que «des forfaits de prise en charge » des personnes atteintes d'une maladie chronique soient expérimentés par l'assurance maladie et les complémentaires santés. Ces forfaits devront se substituer au paiement à l'acte. Socle d'une prise en charge attentive et régulière, ils seront un élément essentiel de qualité des soins», a expliqué le chef de l'Etat.
Taux de mortalité
Quant aux taux de mortalité, le Président de la république souhaite que les causes des accidents soient identifiées au sein des hôpitaux : «il faut que soient rendus publics, pour chaque établissement de santé, quelques indicateurs simples, comme le taux de mortalité ou le taux d'infections», a-t-il proposé.
Intéressement du personnel
Le Président Nicolas Sarkozysoutient «une politique d'intéressement du personnel médical et paramédical» dans les hôpitaux au budget équilibré : «La réforme doit aussi accompagner tous ceux qui s'engagent dans le changement. Pourquoi ne pas permettre aux hôpitaux qui sont à l'équilibre, grâce aux efforts de tous leurs personnels, de redistribuer une partie des excédents à leurs salariés au travers d'une politique d'intéressement ?», s'est interrogé M. Sarkozy, en plaidant pour «une politique d'intéressement du personnel médical et paramédical».
Zones rurales
Enfin, Nicolas Sarkozy veutaméliorer les incitations pour l'installation de médecin dans les zones rurales et dans les banlieues.
Les "bonus-malus" d’inspiration JL Borloo et NKM n’en finissent pas de faire grincer des dents aussi bien dans l’opposition que dans la majorité.
Irrités par la taxe sur les revenus du capital pour financer le RSA, les députés UMP acceptent mal l'annonce de nouvelles taxes écologiques, notamment le bonus-malus sur l'électricité qu'envisagerait Jean-Louis Borloo.
». Nombreux les membres et députésUMP qui font connaîtreleur inquiétude sur la pertinence du dispositif avancé par le ministre de l'Ecologie
Le premier d'entre-deux, Jean-François Copé a sur LCI, «mis en garde» le gouvernement.
«Je préfère des mesures incitatives à de nouvelles taxes», a-t-il prévenu,en soulignant le risque que de nouvelles taxes «ne soient pas bien comprises «Nous allons rencontrer Jean-Louis Borloo pour en parler avec lui», a t-il affirmé.
A l'UMP, la désapprobation s’accentued'autantque Bernard Accoyer, président de l'Assemblée nationale, a critiqué,mercredi, la naturedes prélèvements, après l'annonce d'une «taxe pique-nique», et l'éventualité -démentie par Borloo- d'une extension du bonus-malus à la consommation d'électricité.
Sur LCILundi passé Bernard Accoyer agacé,a dénoncé un "concours Lépine" des prélèvements. "Je taxe ceci, je détaxe cela", a ironiséle président de l'Assemblée nationale, en recommandant : "Je suis partisan de clarifier la politique de la majorité" et que "l'on cesse des annonces en tous sens" ……. "Le stade de la réflexion ne doit pas être une exposition permanente d'idées iconoclastes qui ne seront pour la plupart d'entre elles pas prises».
Ndlr :à la suite de « l'éventualité –démentie » par Borloo, Le Parisien qui avait diffusé l’information la veille a maintenu : « « Pour notre part, nous maintenons l'intégralité des informations parues dès mardi soir sur le site internet du Parisien et le lendemain dans nos éditions «papier». Une réunion entre des représentants du secteur de l'électricité et Jean-François Carenco, le directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo a bel et bien eu lieu le lundi 15 septembre pour évoquer le bonus-malus écologique. Le même jour, Jean-Louis Borloo recevait d'ailleurs le président d'EDF, Pierre Gadonneix. Nous confirmons également le souhait exprimé alors par le ministère du Développement durable d'intégrer ce projet de bonus-malus électrique dans le cadre, plus large, de la réflexion, confiée à Jean-Claude Lenoir, député UMP de l'Orne, et François Brottes, député PS de l'Isère, sur les prix et les tarifs de l'électricité en France » »
Bernard Accoyer a, aussi, ironisé sur I-télé : «Sur les bonus-malus, il y a un petit côté concours Lépine. Je taxe ceci, je détaxe cela» a-t-il répété …..en développant ses arguments déjà présentés sur LCI ».
Citant la taxe dite « pique nique » récemment annoncé par Jean-Louis Borloo sur les assiettes et couverts jetables Bernard Accoyer a questionné : «Que vont devenir les fabricants de gobelets si on décide que leur avenir sera entaché par les taxes ?"…
De son côté, Dominique Perbena remarqué : Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement s’est livré à une cacophonie en matière de taxes, du financement controversé du RSA à la multiplication de mesures de bonus-malus écologique.
D’où la grogne de députés UMP, furieux que le président oublie ses promesses d’allégements fiscaux.
François Fillon lui-même a démentiJean-Louis Borloo : Le premier ministre a déclaré, jeudi, que le gouvernement n'envisageait aucune extension du bonus-malus à des produits autres que l'automobile. "Il n'y a pas d'arbitrage, il n'y a pas de taxe nouvelle", a dit François Fillon à des journalistes dans l'avion qui l'emmenait à Rome. "Il n'y a pas de liste. Il n'y a pas de taxe pique-nique", a-t-il souligné, récusant ainsi les déclarations deJean-Louis Borloo, et de sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Toutefois, le chef du gouvernement a précisé que d'éventuelles nouvelles "taxes vertes" seraient envisagées dans le cadre du Grenelle II, programmé en 2009 et après évaluation du bonus-malus automobile, actuellement en vigueur. –
Entre deux déplacements en Province ou à l’Etranger il arrive que le Président Nicolas Sarkozy dispose de quelquesmoments pourrecevoirses ministres et leur manifester « ses vives impressions » pour ne pas dire sa « colère » et cette fois,c’est au tour du tandem Jean-Louis Borloo-Nathalie Kosciusko-Morizet d’êtreconvoqué cet après-midi à l’Elysée pour un mise au point après, quele précédant hier,François Fillon,a déjàprécisé que rien n’était arbitré sur les taxes écologiques.
Sur LCILundi passé Bernard Accoyer agacé, a dénoncé un "concours Lépine" des prélèvements. "Je taxe ceci, je détaxe cela", a ironisé le président de l'Assemblée nationale, en recommandant : "Je suis partisan de clarifier la politique de la majorité" et que "l'on cesse des annonces en tous sens" ……. "Le stade de la réflexion ne doit pas être une exposition permanente d'idées iconoclastes qui ne seront pour la plupart d'entre elles pas prises».
Puis citant la taxe dite « pique nique » récemment annoncé par Jean-Louis Borloo sur les assiettes et couverts jetables Bernard Accoyer a questionné : «Que vont devenir les fabricants de gobelets si on décide que leur avenir sera entaché par les taxes ?"…
De son côté, Dominique Perbena remarqué : Comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement s’est livré à une cacophonie en matière de taxes, du financement controversé du RSA à la multiplication de mesures de bonus-malus écologique.
Toutes ces prises de position accentuent la grogne des députés UMP, furieux que le président oublie ses promesses d’allégements fiscaux.
François Fillon lui-même a démentiJean-Louis Borloo : Le premier ministre a déclaré, jeudi, que le gouvernement n'envisageait aucune extension du bonus-malus à des produits autres que l'automobile. "Il n'y a pas d'arbitrage, il n'y a pas de taxe nouvelle", a dit François Fillon à des journalistes dans l'avion qui l'emmenait à Rome. "Il n'y a pas de liste. Il n'y a pas de taxe pique-nique", a-t-il souligné, récusant ainsi les déclarations deJean-Louis Borloo, et de sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Toutefois, le chef du gouvernement a précisé que d'éventuelles nouvelles "taxes vertes" seraient envisagées dans le cadre du Grenelle II, programmé en 2009 et après évaluation du bonus-malus automobile, actuellement en vigueur. –
Entre deux déplacements en Province ou à l’Etranger il arrive que le Président Nicolas Sarkozy dispose de quelquesmoments pourrecevoirses ministres et leur manifester « ses vives impressions » pour ne pas dire sa « colère » et cette fois,c’est au tour du tandem Jean-Louis Borloo-Nathalie Kosciusko-Morizet d’êtreconvoqué cet après-midi à l’Elysée pour un mise au point après, quele précédant hier,François Fillon,a déjàprécisé que rien n’était arbitré sur les taxes écologiques.
ooOoo
Le porte parole du Gouvernement Luc Chatel cherche lui à temporiser les humeurs belliqueuses en remarquant : "ça n'est pas une taxe par jour" mais "les conséquences du Grenelle de l'environnement" ….
Ndlr : tiens donc ! On ne s’en était pas aperçu !
"Il faut dorénavant une fiscalité environnementale, il faut que la fiscalité soit un outil d'orientation et de changement des comportements", a indiqué Luc Chatel "La règle générale de cette nouvelle fiscalité, c'est à prélèvements constants." Et M. Chatela tenu à dédouaner l’Etat : "L'Etat ne va pas s'en mettre dans les poches en passant parce qu'on oriente la fiscalité vers les produits environnementaux."
Ndlr : si j’en crois Monsieur Luc Chatel la fiscalité environnementale est un outil d’orientation et de changement des comportements, autrement dit le moyen coercitif pour nous transformer en mouton de panurge, à leur gré, comme le martinet dans la main du père fouettard ! De plus il nous dit que « la règle générale de cette nouvelle fiscalité, c’est à prélèvements constants », eh ! bien ils n’y vont pas de main morte ! Jusqu’à quand accepteront nous d’être battus et contents ? Je ne dis pas « battus, cocus et contents », je laisse ‘cocus’ en malus supplémentaires à ceux qui persiste à voterpour une droite libérale très dure qui entend nous tondre et nous sucer jusqu’à la moëlle, quoique qu’avec un bel ensemble touchant actuellement, ils se manifestent pour nous rassurer en projetant cette quesTion dans le futur.
Monsieur DARCOS a l'art de soulever périodiquemant de nombreuses polémiques . Il semblerait que le mot d'ordre au gouvernement actuellement est "couches". Monsieur Darcos ne trouve pas justifié que des professeurs formés bac +5 s'emploient principalement en maternelle à changer des couches et à faire faire la sieste aux élèves, ce qui naturellement est faux puisque l'une des conditions d'accueil des enfants en maternelle est qu'il soient propres.
De son coté NKM, la secrétaire d'Etat à l'Ecologie et l'environnement, a déclaré tout récemment sur Europe 1 qu'il faudrait que l'on apprenne dans les maternité à faire laver des couches "lavables" au prétexte que les couches jetables seraient polluantes et qu'on devrait les taxer d'un malus, simple proposition qui pourrait devenir réalité.
Derrière ces appréciations ministérielles éducatives et écologiques, j'entrevois deux intentions l'une de la part du Ministre Darcos de rabaisser le niveau des professeurs pour les payer moins en maternelle, et de la part du Ministre Darcos et NKM l'intention dissimulée de faire rentrer les mamans au foyer pour leur faire garder les enfants et laver des couches. En dernier il ne leur manquerait plus qu'à faire fermer les "maternelles".
On pourra alors leur décerner une médaille de la nature de celle que l'on trouve dans les couches !Merde alors !
Ndlr : je note une parfaite incohérence dans les suggestions de Madame Kosciusko-Morizet, pour laver des couches « lavables » , à moins de les laver à la main, demande une consommation d’énergie, d’eau ,de lessive, produit blanchissant et adoucissant, tout aussi polluante, sinon plus que les couches jetables, dont certaines sont du reste biodégradables. Et de plus avant delaver et blanchir les couches « lavables », il faudrait les dégarnir des cacas des bébés, le jeter dans les cabinets, d’où encore une consommation d’eau dont on nous recommande périodiquement de faire économie. C’est donc parfaitement insensé que de faire une telle proposition, et la Secrétaire d’Etat à l’écologie dans sa listeen produits jetables par destination, liste extensible à souhait, qu’elle se propose de soumettre à une « fiscalitéenvironnementale »doit certainement penser aussi aux mouchoirs en papiers et aux papierstorche-culs. On pourrait certes, en passant sur les règles d’hygiène les plus élémentaires, éviter d’utiliser des mouchoirs en papiers en période de grippe en se mouchant dans les doigts par exemple et en crachant les glaviots par terre, et ne plus se torcher aux toilettes.