21 octobre 2007

Grèves aussi du côté d'"Elaphe Longissima"

Elaphe Longissima, un nom de Star toujours d'actualité !

Parmi les plus grands serpents d’Europe, la couleuvre d’Esculape « Elaphe longissima » était vénérée par les Romains qui la conservaient dans leurs temples où les malades venaient interroger le serpent au sujet de leur guérison.

La couleuvre d’esculape est aujourd’hui encore l’emblème de nos médecins.

un article de Lucienne Magalie Pons

La grève des internes se poursuit à Paris et en province

Concernant toujours le retrait définitif de deux articles du projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2008 la grève des internes se poursuit à Paris et en Province .Les deux articles contestés prévoient, pour parer à la pénurie de médecins constatée dans certaines régions, de freiner l'installation des praticiens dans des zones déjà bien dotées : le nombre de médecins conventionnés y serait désormais limité.

Retirés «provisoirement » mardi par la commission des affaires sociales de l'Assemblée, les deux articles contestés par les syndicats des internes et étudiants en médecine ont été rétablis mercredi 17 Octobre. Ce revirement est justifié par les rapporteurs de la commission par l'ajout d'un alinéa précisant que les représentants des internes et des étudiants en médecine seront également associés à cette négociation avec l'assurance-maladie.

Les syndicats ne sont pas satisfaits de ce revirement et de la justification du rapporteur qui leur parait insuffisante par rapport à l’ensemble de leurs revendications et réponse ils maintiennent le mot d’ordre de grève.

Le mouvement de grève devrait donc se prolonger.

- "Tant que les articles ne sont pas supprimés … nous maintenons notre mot d'ordre de grève illimitée", a indiqué Fabien Quédeville, président du Syndicat national des jeunes médecins généralistes (SNJMG).

- Même mot d’ordre maintenu par l’Anemf : la porte-parole de l'Anemf ( l'Association nationale des étudiants en médecine de France) Chloé Moulin a déclaré :"Du moment que ces articles sont maintenus, c'est toujours la porte ouverte à des mesures négatives à l'installation"

Un bémol : le porte-parole de l'Isnar-IMG (syndicat autonome des internes en médecine générale), Lionel Michel, s'est montré conditionnellement ouvert à une éventuelle négociation conventionnelle, "à condition que les étudiants et internes aient de vraies marges de manœuvre et que les négociations débutent avant le vote du projet de loi", qui va être examiné par les députés à partir du 23 octobre

Pour mémoire : depuis plusieurs jours Etudiants en Médecine et Interne manifestent :

- une cinquantaine d'étudiants en médecine se sont enchaînés un de ces derniers jours pendant une trentaine de minutes, aux grilles de l'Assemblée nationale.

- le 17 octobre à Marseille, plus d'un millier d'internes de Nice, Montpellier et de la cité phocéenne se sont regroupés pour manifester ensemble.

D'autres manifestations regroupant quelques centaines de personnes ont eu lieu à Toulouse et Caen.

(à suivre dans les prochains jours)

19 octobre 2007

Le texte du Traité européeen adopté reste à ratifier







LE SHOWBIZZ T'SARKEUROPE ? mais non, mais non, une réunion informelle à Lisbonne qui a fait couler beaucoup de champagne et qui fera couler beaucoup d'encre.

Exit l'Hymne et le Drapeau Européen ! L’Europe affirme sa prédominance technocratique, et sans hymne,sans drapeau, se replace strictement sur les rails de l'économie et de la finance ! A notre santé ! On va trinquer "grave" du côté culturel et convivial !

'lucienne Magali PONS

Ce qu'il faut retenir :

Le texte du nouveau traité européen a été adopté dans la nuit de Jeudi à Vendredi à Lisbonne, après avoir levé les réserves de la Pologne et de l’Italie.

Le traité a été spécialement rédigé pour pouvoir être ratifié sans référendum. Il retient de nombreuses innovations qui figuraient dans la Constitution rejetée en 2005 par les Français et les Néerlandais, mais évite le mot Constitution et supprime tout ce qui semblait donner à l'Union européenne les apparences d'un super-Etat (hymne et drapeau européens, notamment).Exception : seule l'Irlande est tenue d'organiser une consultation populaire.

Le texte, incompréhensible pour les non-juristes, devra encore être traduit dans les 23 langues de l'UE. Sa signature est prévue le 13 décembre à Lisbonne.

Reste que 27 états devront le ratifier : Le traité devra encore être signé et ratifié dans les 27 Etats membres pour entrer en vigueur, une phase délicate qui devrait durer jusqu'à fin 2008. Les dirigeants européens espèrent qu'il entrera en vigueur au 1er janvier 2009, ou avant les élections européennes du printemps 2009.

Les euros députés ont sablé le champagne ! A notre santé …

(lucienne magali Pons)

Ce qu'il lire et analyser :

Pour information : Les premiers articles de presse intégralement reproduits :

La Tribune.fr - 19/10/07 à 5:43 –

Accord pour un nouveau traité de l'Union européenne

Les dirigeants européens ont approuvé dans la nuit de jeudi à vendredi à Lisbonne le nouveau traité, qui doit permettre à l'Union européenne de mieux fonctionner à 27 pays, après avoir levé les réserves de la Pologne et de l'Italie. Le nouveau traité remplace le projet de Constitution, rejeté en 2005 par les Français et les Néerlandais lors de référendums.

Après deux ans de crise institutionnelle au sein de l'Union européenne, les dirigeants européens sont parvenus dans la nuit de jeudi à vendredi à Lisbonne à un accord global sur un nouveau traité censé remplacer la défunte Constitution européenne, qui doit permettre à l'Europe de mieux fonctionner à 27 pays.

Cet accord définitif met un point final à une décennie de pourparlers sur l'organisation des institutions de l'Europe élargie marquée par les "non" français et néerlandais à la Constitution européenne, au printemps 2005. Le problème polonais sur le mécanisme qui permet à un pays de demander la poursuite des négociations s'il est mis en minorité a été résolu. L'Italie a obtenu un député de plus au Parlement européen. Tous les autres problèmes ont été résolus.

Le nouveau traité sera signé le 13 décembre prochain à Lisbonne et sera ensuite être ratifié par tous les parlements pour entrer en vigueur le 1er janvier 2009. Le texte reprend l'essentiel des dispositions de la Constitution, comme le nouveau mécanisme de votes, la création d'un poste de président stable du Conseil européen, l'octroi de véritables pouvoirs au porte-parole de la diplomatie européenne et l'extension du vote à la majorité qualifiée.

"C'est une victoire de l'Europe. Avec ce traité nous sommes en mesure de sortir de l'impasse", a déclaré le Premier ministre portugais José Socrates, dont le pays préside pour l'instant l'UE. "L'Europe sort plus forte de ce sommet." "C'est un accord qui donne à l'Union européenne la capacité d'agir au XXIe siècle", a renchéri le président de la Commission, le Portugais José Manuel Barroso.

19 Octobre 2007 afp /fm/bri

TSRinfo.ch

Les dirigeants européens approuvent le traité

Le président en exercice de l'UE le Portugais Jose Socrates s'est dit soulagé

Les dirigeants européens ont approuvé vendredi un nouveau traité remplaçant la Constitution européenne, avec l'espoir d'en avoir enfin fini avec plus de deux ans de crise institutionnelle.

"L'Europe est sortie de sa crise institutionnelle et est prête à affronter les défis du futur", a affirmé le Premier ministre portugais José Socrates, président en exercice de l'UE, avant de sabler le champagne avec ses homologues européens.

"Nous avons réussi: le pas politique décisif a été franchi ce soir", a déclaré de son côté la chancelière allemande Angela Merkel.

Polonais et Italiens satisfaits

Le texte de plus de 250 pages a été approuvé peu avant 01h00 du matin (minuit GMT), après d'ultimes concessions aux Polonais et aux Italiens, les deux pays qui avaient encore d'importantes réserves sur le texte en arrivant à Lisbonne.

"La Pologne a obtenu tout ce qu'elle voulait", s'est félicité le président polonais Lech Kaczynski, qui a acquis depuis son arrivée au pouvoir la réputation de trublion de l'Union européenne.

27 états doivent le ratifier

Le traité devra encore être signé et ratifié dans les 27 Etats membres pour entrer en vigueur, une phase délicate qui devrait durer jusqu'à fin 2008. Les dirigeants européens espèrent qu'il entrera en vigueur au 1er janvier 2009, ou avant les élections européennes du printemps 2009.

Le traité a été spécialement rédigé pour pouvoir être ratifié sans référendum. Il retient de nombreuses innovations qui figuraient dans la Constitution rejetée en 2005 par les Français et les Néerlandais, mais évite le mot Constitution et supprime tout ce qui semblait donner à l'Union européenne les apparences d'un super-Etat (hymne et drapeau européens, notamment).

Exception irlandaise

Seule l'Irlande est tenue d'organiser une consultation populaire sur ce texte. En Grande-Bretagne, les eurosceptiques en réclament un. Mais le Premier ministre Gordon Brown a rejeté ces appels jeudi à Lisbonne.

"Il est temps pour l'Europe de passer à autre chose et de mettre tous nos efforts dans les problèmes importants pour les Européens: croissance économique, emplois, changement climatique et sécurité", a déclaré M. Brown.

Compromis plus que compliqués

Les ultimes concessions faites aux Polonais et aux Italiens sont à l'image des compromis tortueux qui jalonnent l'histoire de l'intégration européenne.

Les frères Kaczynski, qui affrontent des législatives difficiles dimanche, s'inquiétaient de la perte de poids relative de leur pays dans le nouveau système de vote à la majorité prévu par le nouveau traité.

Après avoir obtenu un report à 2014 de ce nouveau système, ils exigeaient encore qu'une clause dite de Ioannina, qui permet à des pays mis en minorité de geler quelques temps une décision, soit inscrite dans le marbre du traité.

Ils ont obtenu l'ajout dans le traité d'une disposition précisant qu'elle ne pourra être modifiée qu'à l'unanimité des 27.

3 postes d'avocats généraux créés

Les dirigeants européens ont aussi accepté de demander à la Cour européenne de justice de créér trois postes d'avocats généraux. L'un des trois postes sera réservé à la Pologne.

Le Premier ministre italien Romano Prodi contestait lui la nouvelle répartition des sièges au Parlement européen qui, à partir de 2009, aurait donné pour la première fois moins de sièges d'eurodéputés aux italiens qu'aux Français et aux Britanniques.

Cette nouvelle répartition avait été proposée par le Parlement européen pour satisfaire à la réduction du nombre total d'eurodéputés à 750 au lieu de 785 actuellement, inscrite dans le traité.

Un député de plus pour l'Italie

Les Italiens ont finalement obtenu un eurodéputé supplémentaire, le nombre d'eurodéputés passant à "750 plus le président" du Parlement, selon l'artifice trouvé par les 27, qui met les Italiens à parité avec les Britanniques et avec seulement un député de moins que la France.

Ces concessions ont été annoncées après de longs apartés entre le président français Nicolas Sarkozy, Romano Prodi et M. Kaczynski, auxquels se sont joints le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, vétéran de ces sommets, et M. Socrates.

Le texte, incompréhensible pour les non-juristes, devra encore être traduit dans les 23 langues de l'UE. Sa signature est prévue le 13 décembre à Lisbonne

19 octobre : PRESSE CANADIENNE : Le traité européen simplifié est adopté

LISBONNE - Les chefs d'Etat des 27 pays de l'Union européenne ont approuvé vendredi un traité européen simplifié visant à remplacer la défunte Constitution européenne et donnant plus de poids aux 27 nations de l'UE dans le monde, ont déclaré des diplomates.

La négociation avait été repoussée, les leaders européens devant d'abord résoudre des problèmes internes liés aux dernières réticences affichées par la Pologne et l'Italie concernant le traité.

"Il y a un accord global", a déclaré un diplomate finnois tôt vendredi. Une déclaration semblable à celle de plusieurs de ses pairs.

Le traité européen simplifié vise à accélérer les prises de décisions, afin que les membres de l'UE puissent intervenir plus promptement sur des questions mondiales comme la défense, la sécurité énergétique, le changement climatique ou les migrations.

note de lucienne magalie : D'autres articles paraîtront dans la presse, des débats agiteront nos écrans : je vous laisse le soin de les analyser selon vos opinions et conceptions personnelles. Pour moi, je ne reviendrai pas sur le sujet avant le 13 décembre 2007, date prévue pour la signature du Traité



GREVES du Jeudi 18 Octobre : Résultats et Commentaires


Bernard THIBAULT , une victoire à consolider !






Revue de presse par lucienne Magalie PONS

La grève jeudi contre la réforme des régimes spéciaux a connu un pic historique de mobilisation, information atténuée par les médias audio-visuel et presse de droite qui se sont efforcés de diffuser à longueur de journée des communiqués tendant à affaiblir et à déstabiliser l’impact réel de cette grève, qui en définitive dans la réalité a franchi en moyenne le seuil du pic de la grève de 1995.

Voici les premiers résultats contradictoires qui resteront à analyser :

Dans la journée de Jeudi :

-130 manifestations se sont déroulées dans toute la France ont rassemblé 150.000 personnes, dont 21.000 à Paris, selon la police et

- 300.000 en France dont 25.000 à Paris, selon la CGT

(commentaire : chiffres importants pour des manifestations limitées à certaines professions)

- RATP : 58 % des agents étaient en grève selon la direction contre 61% au plus fort du mouvement de 1995. Le trafic a été "très fortement perturbé" et le restera vendredi

- SNCF : plus de 73% de grévistes, un taux supérieur à 1995(67 %, )

- Chez EDF et GDF :

- plus de 50% de grévistes selon les directions - un niveau supérieur aux mobilisations de 2003 et 2004

- 80% selon la CGT

Commentaire de la presse : avec une baisse de production de 10.000 mégawatts et la coupure du courant à La Lanterne, résidence secondaire de Nicolas Sarkozy à Versailles.

Enseignants : 10 %

Fonction publique : 8 %

- En province, où Marseille a été en tête de la mobilisation, les transports publics ont été "très peu perturbés", selon le patronat du secteur.

Les premières déclarations des syndicats :

La CGT : Fort de ces records, Bernard Thibault (CGT) a averti le gouvernement jeudi soir sur TF1 que "dans les contours actuels, la réforme ne passera pas" et a prévenu qu'il attendait "de réelles marges de négociation »

FO : "Le mouvement est fort: le gouvernement doit en tenir compte,…. sur le terrain la grogne monte", a déclaré le leader de FO, Jean-Claude Mailly, en tête du défilé parisien (25.000 personnes selon les organisateurs, 21.000 selon la police).

Fsu : "La grève est minoritaire dans l'éducation mais c'est logique parce qu'il n'y avait pas de mot d'ordre national", a souligné Gérard Aschieri (FSU)

Les déclarations de Monsieur Xavier Bertrand :

Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a déclaré que les solutions à trouver portent sur le "montant des pensions" et des "retraites" et s'est dit "prêt à recevoir" les organisations syndicales sur la réforme "dès la semaine prochaine". Mais le gouvernement n'entend "pas céder" sur l'augmentation de la durée de cotisation de 37 ans et demi à 40 ans, a rappelé son porte-parole.

Commentaire : depuis un mois d’après les syndicats les négociations « patinaient » « n’avançaient » et ils espèrent que le succès incontestable de cette première grève, incitera le gouvernement à les entendre en prenant le temps nécessaire, sans imposer unilatéralement et hâtivement ses décisions.

La reprise :

En raison de la décision de la Fgaac (conducteurs autonomes) de renoncer à poursuivre la grève, comme elle en avait initialement l'intention la direction de la SNCF, a indiqué dans la soirée que le service allait reprendre "plus vite que prévu".

Par contre à l'initiative de SUD Rail et FO, de nombreuses assemblées générales ont voté la poursuite du mouvement.

Les autres fédérations de cheminots, notamment la CGT, qui avaient appelé à une simple grève de 24 heures, pourraient décider lundi d'une nouvelle mobilisation.

Prévisions de trafic pour Vendredi et Samedi :

Après une reprise progressive depuis le matin très tôt :

Un tiers des transiliens et TER (transports express régionaux) roulerait vendredi matin et les deux tiers entre 16H30 et 19H00. Les TGV et Corail partant d'Ile-de-France ou y arrivant seraient tous assurés à partir de 16H00, après une reprise progressive depuis le début de la journée.

Les liaisons transversales (province-province) accuseront une un trafic plus faible (un tiers assuré le matin et deux tiers l'après-midi).

Samedi, le trafic devrait être rétabli normalement sur l'ensemble du réseau et la SNCF offrira une "garantie d'acheminement" pour la finale de la coupe de monde de rugby, au stade de France à Saint-Denis

Ndlr : d’après les déclarations des syndicalistes ce n’est pas tant sur l’augmentation de la durée des cotisations qu’il faut négocier, mais sur la méthode du calcul de la base de salaire à retenir pour le calcul de la pension de retraite qui ne tient pas compte de primes ce qui entrainerait une décote des pensions d’environ 5 à 600 euros par mois.

18 octobre 2007

Divorce ! j'en appelle au Comité Balladur pour le choix d'une future épouse !


Ils s'observaient mais ne se regardaient plus en face et n'étaient plus en phase depuis quelques longs temps !










Au moment ou je rédigeais avec le sérieux qui me caractérise, un article sur le Comité Balladur et précisément prenais note avec grand intérêt de la redéfinition du rôle officiel de notre Président et des nouveaux droits pour les citoyens proposés par ledit Comité , Jean Pierre Pernaut avec le ton et la mine de circonstance d'un croque mort assermenté, a annoncé ce jour au journal de 13 heures de TF1 , selon un communiqué officiel du Palais de l'Elysées , le prochain divorce de Monsieur et Madame SARKOZY par consentement mutuel.

Ils ont leurs motifs qui doivent rester naturellement du domaine inviolable de la vie privée de chacun d'entre eux. J'ose espérer que les magazines peoples ne baveront pas sur ce drame familial.

Mais mon sang n'a fait qu'un tour : quid de la future épouse ? , j'ose espérer qu'elle n'est pas encore choisie ! tant mieux il vaut mieux prévenir que guérir ! quoique avec la vitesse et précipitation qui anime notre Président dans tous les actes de sa vie on ne sait jamais ! Il est temps d'agir pour nous protéger d'un choix malheureux !

Je m'explique :


Tout le monde sait et les psychiatres aussi le savent qu'un divorce fragilise affectivement et durablement celle et celui qui se retrouve seul, lequel, laquelle, ont souvent trop tendance pour se consoler à se précipiter dans les premiers bras et lit venus. Ce qu'il faut éviter à tout prix pour ne pas retomber de carybe en scylla.

URGENCE, ALERTE ! J'en appelle au Comité Balladur :

ma proposition :

A l'effet de prévenir l'effet désastreux que pourrait avoir sur notre président le mauvais choix d'une future épouse, ce qui peut toujours arriver ,( l'amour est aveugle et le mariage une loterie), et pour nous éviter de futurs et pénibles tourments nationaux, je souhaiterais qu'un article soit ajouté à la Constitution à l'effet d'appeler le peuple Français à se prononcer par Référendum sur le choix d'un(e) conjoint(e) , si un(e) président(e) en exercice manisfestait l'intention de se marier ou remarier.

J'en appelle donc une seconde et dernière fois au comité Balladur , tout en poursuivant mon article sur les travaux du Comité :

Selon LE MONDE du 13 Octobre 2007 : Le Comité Balladur* se plie à la volonté de M. Sarkozy et remettra son rapport vers le 22 octobre.

(* comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Vème République.)

Le chef de l'Etat s'est engagé à ce qu'une réforme des institutions soit votée avant les municipales de mars 2008. Elle pourrait avoir lieu en même temps que la ratification du nouveau traité européen simplifié.

Pressé par l'Elysée, qui souhaiterait voir adopter la future réforme des institutions d'ici à la mi-janvier 2008, le comité de réflexion présidé par Edouard Balladur s’est plié à la volonté de Monsieur Sarkozy, toujours pressé. Il a accéléré sa cadence. Le rapport sera rédigé d'ici la fin de la semaine prochaine, pour être remis au chef de l'Etat vers le 22 octobre. Un accord de principe a d'ores et déjà été trouvé sur la plupart des recommandations.

Calendrier des opérations

-Le comité de réflexion sur les institutions remettra ses conclusions à Nicolas Sarkozy vers le 22 octobre

.-Le président poursuivra alors des consultations, avant l'élaboration, courant novembre, d'un projet de loi. Parlement :Ce texte devrait être examiné en première lecture début décembre.

Pour être définitivement adopté, ce projet de loi devra être adopté dans les mêmes termes par les deux Assemblées, puis voté par une majorité des trois-cinquièmes des parlementaires réunis en Congrès à Versailles, courant janvier.

Le rapport rédigé par le Comité propose les révisions suivantes :

Le rôle du président :

- L'article 20 de la Constitution stipule que "le gouvernement détermine et conduit la politique de la nation". Afin de consacrer la prédominance du chef de l'Etat, le comité devrait suggérer cette nouvelle formulation : "le président de la République définit la politique de la nation. Le gouvernement la met en œuvre".

( Le choix du verbe "définir", jugé plus souple que "déterminer", qui était initialement envisagé, est censé répondre au risque d'un blocage en cas de cohabitation (Le Monde du 13 septembre).La nuance n'a pas convaincu tous les membres du Comité. Comment le président pourra-t-il "définir" la politique de la nation si la majorité de l'Assemblée nationale lui est hostile ? La difficulté subsiste.)

- Pas plus de deux mandats et un droit de message au Parlement.

Le comité Balladur va proposer que le titulaire de la fonction présidentielle ne puisse pas exercer plus de deux mandats consécutifs.

Alors que cela lui est actuellement interdit en vertu du principe de la séparation des pouvoirs, le chef de l'Etat pourrait s'adresser directement aux parlementaires, dans l'enceinte de l'une ou l'autre des deux Assemblées. Ni débat ni vote ne pourraient suivre ses interventions.

Des "armes" quasi intactes. Le comité Balladur n'entend pas que soient rognés de façon substantielle les (nombreux) pouvoirs dont dispose le chef de l'Etat :

Le droit de dissolution restera intact

- L'article 16 de la Constitution, qui confère les pleins pouvoirs au président dans des circonstances exceptionnelles, ne sera pas supprimé, mais tout au plus encadré.

- Des nominations sous contrôle. Les nominations les plus importantes auxquelles procède le président de la République seraient soumises pour avis à une commission parlementaire. Et ne seraient entérinées qu'après avoir obtenu un vote favorable du Parlement.

- Un Parlement (un peu) moins sous contrainte :

L'usage de l'artice 49-3 de la Constitution, qui permet au gouvernement de faire adopter un texte de loi sans vote, serait limité à l'examen du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.

L'ordre du jour du Parlement, dont le gouvernement détient quasiment l'entière maîtrise, serait pour moitié laissé à l'initiative des députés et des sénateurs (y compris de l'opposition).
- De nouveaux droits pour les citoyens
Le comité Balladur va proposer la création d'un "défenseur des droits", aux compétences élargies par rapport à celles dont dispose l'actuel médiateur de la République. Le modèle de ce nouvel ombudsman serait le "défenseur du peuple" espagnol. Sa nomination serait soumise au vote du Parlement, la majorité des trois-cinquièmes étant requise.
Le comité devrait également proposer d'instituer une "exception d'inconstitutionnalité", procédure qui permettrait à tout citoyen de contester la conformité à la Loi fondamentale d'un texte législatif déjà promulgué.
- L'interdiction du cumul :
Ce serait à la fois la proposition la plus spectaculaire du rapport Balladur… et celle qui aurait le moins de chances de voir le jour. Le comité pourrait en effet préconiser l'interdiction aux députés, mais aussi aux sénateurs, de cumuler leur mandat avec la présidence d'un exécutif local (région, département, commune).
- Proportionnelle

Aucune majorité ne s'est dégagée sur l'épineuse question du mode de scrutin aux élections législatives. Les "proportionnalistes" se sont heurtés aux défenseurs du statu quo (scrutin majoritaire). Différentes options devraient être présentées dans le rapport, la voie médiane – l'instauration d'une dose de proportionnelle – étant privilégiée.

Pour information : rappel de la Composition du Comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Vème République, dit «Comité Balladur »

M. Edouard Balladur, ancien Premier ministre, ancien député, président du comité, institué par Décret

- membres du comité, en qualité de vice-présidents :

M. Jack Lang, ancien ministre, député, ancien professeur de droit public à l’université Paris-X (Nanterre) ;

M. Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien ministre, ancien député.

- membres du comité :

M. Denys de Béchillon, professeur de droit public à l’université de Pau et des pays de l’Adour

M. Jean-Louis Bourlanges, représentant au Parlement européen, professeur associé à l’Institut d’études politiques de Paris ;

M. Guy Carcassonne, professeur de droit public à l’université Paris-X (Nanterre) ;

M. Jean-Claude Casanova, membre de l’Institut, président de la Fondation nationale des sciences politiques ;

M. Dominique Chagnollaud, professeur de droit public et de sciences politiques à l’université Paris-II (Panthéon-Assas) ;

M. Olivier Duhamel, professeur de droit public à l’Institut d’études politiques de Paris, ancien représentant au Parlement européen ;

M. Luc Ferry, ancien ministre, agrégé de philosophie et de sciences politiques, membre du Conseil économique et social ;

Mme Anne Levade, professeur de droit public à l’université Paris-XII (Val-de-Marne) ;

M. Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l’université Paris-I (Panthéon-Sorbonne), président del’Association française de droit constitutionnel ;

M. Olivier Schrameck, conseiller d’Etat, professeur associé à l’université Paris-I (Panthéon-Sorbonne).

Est nommé rapporteur général du comité : M. Hugues Hourdin, conseiller d’Etat.

ndlr : un voeux pieux ! que Monsieur BALLADUR et son contraire mais néanmoins compère en Comité , Monsieur LANG, et autres membres en leurs grades et qualités, , jettent un oeil sur ma proposition de référendum avant de remettre leur rapport et y propose un article sur le choix de la future épouse à ratifier au préalable par référendum.

Europe ,Ma Princesse Europe , ne vois-tu rien venir ?


La Princesse EUROPE

Zeus lui fit trois présents :
• Une lance qui ne manquait jamais sa cible
• Un chien, Laelaps, qui ne laissait jamais échapper sa proie;
• Un homme de bronze, Talos, dont la seule veine qui irriguait son corps de métal, était obturée par une cheville de métal.

Il faisait chaque jour le tour de la crête et tuait tous les étrangers qui tentaient de débarquer.



LA PRINCESSE EUROPE

Fille de Téléphassa et d'Agénor, roi de Phénicie, Europe fut aimée de Zeus qui lui donna trois fils Minos, Rhadamanthe, et Sarpédon

UNE LEGENDE TRES PROCHE DE LA REALITE

La jeune princesse fit un jour un rêve étonnant où deux continents personnifiés tentaient de la séduire. Le matin venu, pour chasser ce rêve étrange, elle alla avec ses suivantes cueillir des fleurs dans une prairie voisine.
C'est là que Zeus aperçut la jeune fille jouant avec ses compagnes et il en tomba immédiatement amoureux. Il jugea plus prudent de se changer en taureau pour échapper à la surveillance de sa femme Héra et pour mieux approcher les jeunes filles sans les effaroucher. Il prit la forme d'un beau taureau blanc au front orné d’un disque d’argent et surmonté de cornes en croissant de lune. Il se mêla paisiblement aux jeux des jeunes filles; il se laissa même caresser par Europe qui tomba sous son charme et s'assit sur son dos.

Mais dès qu'elle fut sur son dos, il se précipita vers le rivage proche. Accompagné par toute une cohorte de divinités marines, de Néréides chevauchant des dauphins et de Tritons soufflant dans des conques, il l'amena en Crête.

Là sous un platane toujours vert (mais d'autres auteurs penchent pour la grotte du mont Dicté où Zeus fut caché pendant sa prime enfance pour échapper à Cronos) ils s'unirent.
Minos, Sarpédon et Rhadamanthe furent les fruits de cette union.

Pendant ce temps, son père, Agénor, cherchait partout sa fille. Il décida d'envoyer ses trois enfants Cadmos, Phénix et Cilix ainsi que sa femme à sa recherche. Il leur donna l'ordre de ne pas revenir sans Europe et il ne les revit jamais.


Europe donna son nom au continent européen et la constellation du taureau rappelle cette transformation divine.

Quand Zeus l'abandonna, Europe fut épousée par le roi de Crète, Astérios, qui reconnut ses enfants et fit de Minos son successeur. Europe donna à son mari une fille, Crété.
Crété serait devenue l'épouse de Minos ou selon d'autres auteurs une amante d'Hélios et la mère de Pasiphaé

GREVES : Bras de Fer ' et réjouissances 'du 18 Octobre !



Aujourd’hui, Jeudi 18 octobre, le premier « mouvement » social contre la réforme des régimes spéciaux de retraite et autres revendications sur le pouvoir d’achat, la fusion Anpe-Unedic , l’emploi, se traduira en grève massive, en particulier dans les secteurs des transports, ou tous les syndicats appellent à une cessation d’activité, et des dizaine de défilés sont organisés dans le pays.

Ainsi le Chef de l’Etat et le Gouvernement qui ont voulu aller plus vite que la machine en prenant les syndicats de haut pour tenter de leur botter les fesses et de leur imposer un pas de course pour négocier à toute allure suivant un calendrier ultra court , se trouvent aujourd’hui confrontés à une première démonstration de contestations sociales . Un bras de fer est engagé entre un Pouvoir inspiré et piloté par le libéralisme « sauvage » et l’ensemble des Syndicats contestataires qui représentent eux les salariés, dont une grande majorité d’entre eux sont exaspérés ou indignés d'avoir été présentés comme indignes, privilégiés ou coupables sur le dossier des retraites.

Sur le terrain ce bras de force se traduit comme suit :

SNCF :

Hier - aujourd’hui - demain : Un « trafic très perturbé » a déjà été annoncé par la SNCF, soit :

- Mercredi 17 octobre à partir de 20 heures, début des perturbations sur l’ensemble de son réseau national

- Jeudi 18 : trafic très perturbé toute la journée sur l’ensemble de son réseau national

- Vendredi 19 octobre : une « reprise des trafics progressive » vendredi en cours de journée du fait de la remise en place des matériels".

Les prévisions de circulation pour le Jeudi 18 Octobre sont ainsi estimées :

- Réseau National : 46 TGV sur quelque 700 circuleront sur le réseau national, dont aucun au départ ou en provenance de Paris-Nord. De la même gare, il est prévu 8 Eurostar sur 10 et 6 Thalys sur 10.

- Région : En région, environ 1 800 circulations de trains et bus seraient assurées.

- Sur le réseau Transilien (trains de banlieue Ile-de-France et prolongation RER B, C et D pour la partie dépendant de la SNCF), il y aurait un train tous les quarts d'heure ou toutes les demi-heures aux heures de pointe.

RATP :

La RATP a annoncé un trafic "très fortement perturbé » sur les réseaux bus, métro, tramway et RER"

Défilés et Manifestations :

.Par ailleurs des manifestations et défilés revendicatifs ou protestataires, à l’initiative de différents syndicats et des représentants de différents secteurs d’activité, auront lieu à Paris et dans les grandes villes.

17 octobre 2007

"Espoir d'Europe" à Lisbonne ! - les 17-18 octobre -



"Espoir d'Europe" : ce pourrait être le titre d'une belle chanson ou d'un parfum subtil , mais non, mais non, ! c'est tout simplement la poursuite d'une utopie politique, mais d'une réalité économique douloureuse ! d'après moi et bien d'autres !

Quoiqu'il en soit :

Jeudi soir , les dirigeants européens se retrouveront en sommet à Lisbonne pour se mettre d’accord sur un traité européen destiné à moderniser les institutions de
L’Union Européenne

Après le « non » des Français et des Néerlandais, la Constitution Européenne battait de l’aile et il convenait de remettre sur les rails un projet de traité. Finalement en un sommet européen de juin 2007, les pays membres avaient trouvé un accord sur la substance d'un Traité, pour remplacer la Constitution. D’après cet accord, seraient préservées les innovations censées faciliter la prise de décision à 27, le mot Constitution serait évité et serait supprimé du texte tout ce qui donnait à l'Union des airs de super-Etat.

Restait à rédiger le texte complet du Traité. Ce travail, confié à des juristes européens, s’est terminé il y a peu de temps.

Il semble que ce traité devrait être approuvé par tous les pays membres, mais le président polonais Lech Kaczynski et le Premier ministre italien Romano Prodi font encore quelques réserves importantes :
Pologne :
Les Polonais, insistent depuis des mois pour que soit "renforcé" un compromis dit de Ioannina, qui permet à certains pays, mis en minorité, de geler quelques temps une décision qui aurait été prise à la majorité.
Ce compromis figure actuellement dans une simple déclaration annexe au traité alors que les Polonais voudraient l'inscrire dans le traité lui-même.
Italie :
M. Prodi a lui soulevé tardivement un problème qui n'est pas directement lié au traité,
mais dont il a fait déclaration, presque un casus belli: l'Italie devrait se retrouver avec
moins d'eurodéputés (72) que le Royaume-Uni (73) et la France (74) dans la nouvelle répartition des sièges proposée par le Parlement européen, en prévision de la réduction
du nombre total d'eurodéputés inscrite dans le traité, mais Rome veut absolument rester à
parité avec ces deux pays.

Ces derniers jours, la présidence portugaise de l'UE a multiplié les rencontres pour dégager des compromis et compte beaucoup sur ceux des dirigeants européens, qui veulent en finir avec la crise constitutionnelle.

Qu’en pense une partie de l’Opinion Européenne ?

Quelques courtes appréciations relevées dans des articles de la presse étrangère :

Autriche – 17 octobre 2007 :

Doris Kraus est convaincue qu'aucun des 27 Etats membres "n'osera faire échouer le traité de réforme. Car tous ont beaucoup à perdre si ce projet tombe une nouvelle fois à l'eau …. et l'Union européenne la première ………

« Le processus de réforme a débuté en décembre 2001 ….. le sens et l'objectif même de cet exercice risquent de tomber dans l'oubli : l'UE devait remédier à la lourdeur que lui reprochent ses opposants comme ses partisans en mettant en place de meilleures structures d'organisation et de décision. Au lieu de cela, le processus de réforme reste associé à l'échec avec le rejet du Traité constitutionnel en 2005

Allemagne – 17 Octobre 2007

Nikolas Busse met en garde contre tout excès d'optimisme, en ce qui concerne le devenir du traité de réforme européen.

…."Après le sommet, il restera des obstacles difficiles à franchir. En effet, le traité doit être ratifié par les 27 Etats membres, et l'UE a déjà eu de nombreuses surprises dans ce domaine. Personne ne peut dire aujourd'hui dans quelle disposition d'esprit seront les pays l'année prochaine. Gordon Brown peut-il se permettre de renoncer à un référendum au Royaume-Uni ? Et si les Irlandais, les Danois ou un autre peuple disent non ? Nicolas Sarkozy recueillera-t-il la majorité des trois cinquièmes à l'Assemblée nationale ?" ……………

Royaume-Uni – selon The Guardian du 17 Octobre 2007 :

"Peu osent le chuchoter, mais cette semaine offre une occasion authentique et excitante de moderniser et de rendre effective l'Union européenne, une occasion à saisir pour l'engagement britannique en Europe et pour la cause européenne au Royaume-Uni - toutes des causes, à vrai dire, méritant d'être soutenues", ………….. "C'est tragique, mais vous n'entendrez que très rarement parler du débat sur le traité européen ……… en des termes aussi positifs. C'est parce que la presse britannique dans son ensemble - elle est possédée en grande partie par des gens qui détestent l'Europe et qui craignent que la politique de concurrence de l'UE ne vienne gêner leurs ambitions monopolistiques - est systématiquement xénophobe et alarmiste. Elle menace en permanence l'équilibre des débats qu'exige ce sujet vital et stratégique. Malheureusement, à quelques rares mais honorables exceptions près, trop de politiques britanniques, depuis plus d'une génération, rampent devant les journaux britanniques et leur hostilité fanatique à l'Europe."

Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...