Rappelons que les auteurs et
l’éditeur de l’essai "La Frondeuse", écrit par Monsieur Chistian
Jakubyszyn , chef du service politique de TF1-LCI et Madame Alix Bouilhaguet, reporter politique à France 2, (éditeur Yves Derai , Editions du Moment),
ont été attaqués
en justice pour diffamation et atteinte à la vie privée », par Madame Valérie Trierweiller, et que la
première audience du Procès s’est
tenue Lundi 10 décembre à Paris.
Par ailleurs, Patrick Devedjian, mis en
cause lui aussi dans "La Frondeuse", la
biographie non-autorisée de Valérie Trierweiler dans lequel les deux auteurs
écrivent qu'il a eu une relation avec elle, a décidé de porter plainte contre les
deux auteurs de "La
Frondeuse"
et Yves Derai,
le directeur des Editions du Moment,
pour diffamation et atteinte à la vie privée.
D’autre part, Patrick Devedjian
attaque aussi le magazine "Point de
vue", qui avait publié en octobre
dernier un entretien avec l'un des auteurs du livre, et une audience a été
fixée au 30 mars prochain au tribunal de grande instance de Paris
Ne nous y trompons pas !, ce n’est
sûrement pas dans l’intention des auteurs d’amuser la galerie que les auteurs on écrit cet essai, édité par
Yves Derai (Editions du Moment) , présenté
par ses auteurs lors de son lancement
comme une biographie de Madame Valérie Trierweiller, et dont le titre « La Frondeuse « est
déjà en lui-même une provocation.
Cette biographie du reste
n’avait jamais autorisée par l’une ou l’autre des personnalités citéees dans
l’ouvrage.
Sous le prétexte
fallacieux d’écrire une biographie
de Valérie Trierweiller, les auteurs dans leur livre dévoilent
et insistent surtout sur sa vie privée, les relations sentimentales qu’elle a auraient
ou entretenues, d’après eux,
dans le passé , avec des hommes
politiques et d’autres , et au
travers de toutes ces révélations
sur Valérie Trierweiller les auteurs visent
aussi des personnalités politiques , qui selon eux auraient commis
et dissimulés certains agissements
pendant des périodes électorales remontant à 1995.
Dans l'ouvrage, les auteurs affirment qu’en
1995, François Hollande avait sollicité, dans un courrier, Patrick Devedjian,
qui était alors un supporter du candidat
Balladur à la présidentielle, pour qu'il lui organise une rencontre avec lui.
A la lecture de cet essai on peut voir que c’est en fait une attaque
politique en règle qui apparaît
pratiquement sur toutes les pages,
dans lesquelles se décèle clairement
au fond , à mon sens, une opération de discrédit orchestrée de concert, contre
certaines figures notoires
de la classe politique et de son entourage médiatique
Il n’y a pas de quoi s’en
étonner, les auteurs se sont improvisés
biographes, mais c’est en médias politiques et non en écrivains biographes
qu’ils ont écrit ce livre, si l’on tient
compte que leur « fond de commerce
médiatique » est essentiellement
politique : Chistian Jakubyszyn , est chef du service
politique de TF1-LCI et Madame Alix
Bouilhaguet, est reporter politique à
France 2.
Ce qu’ils ne disent pas sur les
ondes, ils l’écrivent, savez vous
pourquoi ? : parce que ça
« rapporte gros » et plus sûrement qu’au loto, en misant sur
Valérie Trierweiller il était sûrs et
certains de remporter la mise à la
publication, ne vous attendez pas des médias qui écrivent ce genre d’ouvrages,
essais ou livre qu’ils choisissent une personne x..,y…,ou z…, pour écrire , non ils choisissent la personne
qui dans l’actualité du moment fait le
buzz !
Et voila qu’autour du procès qui
s’est ouvert hier, des polémiques
scandaleuses dans leur exagération s’élèvent de la part des politiques UMP et de
droite, reprises et relayées par les médias , au sujet d’une prétendue
« violation de la séparation des pouvoirs » auxquels se seraient
livrés selon eux François Hollande et
Manuel Valls, en écrivant toujours selon
eux au « juge en charge du procès »
D’abord c’est une accusation
tout à fait vide de sens , ces messieurs accusateurs qui se veulent les gardiens des institut ion en criant à
tort et travers commentent une erreur d’interprétation de l’article 97 de la Constitution et d’une, et de deux il mentent quand ils
disent et écrivent que François Hollande et Manuels Valls ont écrit au juge.,
en effet ils ont déposé leur lettre dans le dossier par l’intermédiaire de
l’avocat de Valérie Trierweiller en ce qui concerne la misse de François
Hollande , et pour Manuels Valls
La lecture de l’article 97 de la Constitution nous
enseigne notamment, dans son alinéa 2 que
le Président de la
République
… , « ne peut durant
son mandat et devant aucune juridiction ou autorité administrative française,
être requis de témoigner non plus que faire l'objet d'une action, d'un
acte d'information, d'instruction ou de poursuite …. »
Il est clair que dans cette
affaire que le Président n’a pas été
requis de témoigner par la
Juridiction , il a
simplement écrit et remis sa lettre aux bons soins de l’avocat de la plaignante
Valérie Trierweiller, ce qu’aucun article de la constitution ne lui interdit de
faire.
Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur a écrit lui sur un papier à en-tête, car les propos rapportés par les auteurs dans le livre lui sont attribués en sa
qualité de ministre, l’interviewe datait de juin et se tenait dans son cabinet.
Le Président de l’Union Syndicale
des Magistrat, Monsieur Frédérique Gérard , ne s’y est pas trompé
puisqu’il a déclaré notamment en rappelant l’article 67 de la Constitution n’a
jamais interdit à un président de témoigner :
"Ces lettres ne sont en
aucun cas un acte de violation de la séparation des pouvoirs ou un moyen de
pression" ………… "François
Hollande a rédigé une attestation pour témoigner dans cette affaire et l’a
transmise à l’avocate de sa compagne qui l’a remise au juge, au même titre
qu’une dizaine d'autres pièces" ….."Il l’a écrite sur une feuille de
papier libre car les faits remontent à 1995, date à laquelle il n’avait pas de
statut particulier".
La configuration est la même pour
Manuel Valls, a aussi déclaré Christophe
Régnard. "Dans son courrier, le ministre de l’Intérieur a écrit sur un
papier à en-tête car les propos rapportés dans le livre lui ont été attribués
en sa qualité de ministre, en notant que
l’interview date de juin et a eu lieu à son cabinet".
On peut donc dire que les polémiques n’ont pas
lieu d’être qu’elles sont vides de sens, mais pleine d’acrimonies, et que ceux
qui les profèrent devraient « la fermer » et relire l’article 67 de la Constitution, en en saisissante le sens s’il sont assez intelligent pour l’interpréter,
et si ils ne savent pas l’interpréter, qu’ils il s’alignent
sur l’avis d’une personnalité indiscutable dans son interprétation , comme
l’est Monsieur Christophe Regnard ,
Président de l'Union Syndicale des Magistrats.
Et nous affirmons nous dans notre présent éditorial que le Président de la République n’a commis aucune faute et aucun manquement et n’a
pas exercé de pressions, dans
l’exercice de ses fonctions exécutives,
en effet ce n’est pas le cadre d’une réquisition à témoigner, mais de lui-même
librement en personnalité civile qu’ il a dénoncé dans une lettre manuscrite
sans en tête officielle, « comme
pure affabulation les passages du livre (en pages 36 et 47) concernant
une prétendue lettre jamais écrite.
De toute évidence l’UMP ce parti tapageur qui devrait avoir la honte au front de faire un tabac scandaleux par
l’exposition constante de sa
division interne depuis 4 semaines dans les médias, , a aussi très sérieusement perturbé hier les débats à
l’Assemblée Nationale en hurlant dans l’Hémicycle contre Madame Taubira qui
répondait à une question d’Etienne Leblanc, député UMP, qui avec ses collègue se sert de
lamentablement de l’hémicycle comme d’un terrain de
combat :
C’est ainsi que le député UMP
Etienne Blanc a fustigé
la lettre du Président dans l’affaire de justice sur "La
frondeuse" en interrogeant mardi en
séance le gouvernement sur les lettres adressées par François
Hollande et Manuel Valls , selon lui au TGI de Paris dans l’affaire en
diffamation du livre La frondeuse.
Voici reproduite ci-dessous son échange avec Madame Taubira
garde des sceaux pendant lequel les députés UMP et certains de la droite
faisaient du tapage pour couvrir la voix de Madame Taubira :
Extrait de la séance du Mardi 12
décembre ( sur l’indépendance de la
Justice)
M. le président. La parole est à
M. Étienne Blanc, pour le groupe de l’Union pour un mouvement populaire.
M. Étienne Blanc. Monsieur le Premier ministre,
voici quelques semaines, vous annonciez ici même une décision du Conseil
constitutionnel avant que cette instance ne se prononce. (Exclamations sur
les bancs des groupes UMP et Rassemblement-UMP.)
Mme Catherine Vautrin. Eh oui !
M. Étienne Blanc. Hier, il a été démontré que votre
ministre de l’intérieur avait écrit au président de la 17e chambre
du tribunal correctionnel de Paris (« C’est honteux ! » sur
les bancs du groupe UMP) afin de lui faire part de son sentiment sur une
affaire pendante devant cette juridiction. Il l’a fait sur papier à en-tête du
ministère, sous le timbre du ministère et sous sa signature de ministre de
l’intérieur.
M. Claude Goasguen. C’est très grave !
M. Étienne Blanc. Hier encore, nous apprenions que
le Président de la
République avait écrit au même magistrat, cette fois sur
papier libre, pour lui faire part de son sentiment au sujet d’une affaire qui
le concerne personnellement. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
M. le président. Allons, mes chers
collègues ! Écoutez la question !
M. Étienne Blanc. Ce matin, nous avons appris que
Mme la garde des sceaux, qui parraine une association, avait usé de son
influence pour qu’une plainte déposée par cette association soit suivie
d’effet.
Vous le savez, monsieur le Premier ministre, de
telles pratiques violent les dispositions de l’article 64 de la Constitution, qui
doit garantir l’indépendance des juges, ainsi que les dispositions de
l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Mme Claude Greff. C’est honteux !
M. Étienne Blanc. Monsieur le Premier ministre,
qu’avez-vous fait des promesses électorales de M. François Hollande, en
particulier de la promesse n° 53 par laquelle il s’engageait ainsi à ne
pas intervenir dans le fonctionnement de la justice : « Moi Président
de la République,
je laisserai libre cours aux affaires judiciaires » ? (« C’est
réussi ! » et applaudissements sur les bancs des groupes UMP et
Rassemblement-UMP.)
Monsieur le Premier ministre, quand vous et votre
gouvernement cesserez-vous de vous inviter dans les prétoires des tribunaux
correctionnels ? (Les députés des groupes UMP et Rassemblement-UMP se
lèvent et applaudissent.)
M. le président. La parole est à
Mme la garde des sceaux, ministre de la justice. (Tumulte. – Les
députés des groupes UMP et Rassemblement-UMP se lèvent et huent la ministre.)
Allons, mes chers collègues, un peu de
calme !
Vous avez la parole, madame la ministre.
Mme Christiane
Taubira, garde des sceaux, ministre de la justice. Monsieur le
député (Huées prolongées sur les bancs des groupes UMP et Rassemblement-UMP)…
M. le président. Mes chers collègues,
je vous rappelle que le Gouvernement est le seul à décider du ministre qui
répond à la question posée par le député.
Je vous invite à retrouver votre calme.
Vous avez la parole, madame la ministre.
Mme Christiane Taubira, garde des
sceaux. Monsieur le député, vous ne devriez pas abuser ainsi de votre
immunité parlementaire pour rapporter dans cet hémicycle des ragots que vous
seriez bien en peine de démontrer. (Les députés du groupe SRC se lèvent et
applaudissent longuement. – « Démission ! » sur les bancs des
groupes UMP et Rassemblement-UMP.)
M. le président. Allons, mes chers
collègues ! Vous savez la réaction que provoque, chez les téléspectateurs,
ce genre de comportement !
Mme Christiane Taubira, garde des
sceaux. Monsieur le député, l’habit de l’offuscation vous va si mal !
Ni vous, ni ceux qui m’accusent ne serez en mesure de démontrer ce que vous
prétendez, et la justice démontrera d’ailleurs le contraire. (Exclamations
sur les bancs des groupes UMP et Rassemblement-UMP.)
Pour ce qui est du Président de la République,
M. François Hollande est mis en cause dans un ouvrage faisant l’objet
d’une procédure judiciaire. M. François Hollande, personne privée, est
tout à fait fondé à communiquer à la justice sa version des faits, que le juge
prendra en compte ou non, et que les parties interpréteront à leur façon.
Cette affaire sera examinée en audience publique,
ce qui vous permettra de juger par vous-même en temps utile – pour cela, il
vous faudra simplement faire preuve d’un peu de patience. (Applaudissements
sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP. - Exclamations sur les bancs
des groupes UMP et Rassemblement-UMP.)
Fin de l’extrait.
---------------------------------------
Ce que cet extrait provenant de
la version officielle du débat figurant sur le site de l’assemblée nationae
n’écrit pas, c’est ce que nous avons noté avant-hier lors de la retransmission’*,
notamment les interventions du Président de l’Assemblée Nationale, dans le
tapage, pour ramener le calme par exemple
* ( nous téléchargerons l’extrait
vidéo dès que possible, pour le
moment il figure sans proposition « partagez » sur certains sites)
_ « …allez..allez on retrouve son
calme et on écoute la réponse de la Garde des Sceaux.. »,
ce qu’il rappelle entre autres quand dans le
tollé général la droite couvre de
huées « Démission,
Démission »… la voix de Madame Taubira en réclamant une réponse du premier
Ministre
- et encore « … s’il vous plait, s’il vous plait .., vous savez tous les uns
et les autres ce que la vue de ce genre de comportements provoquent chez les
téléspectateurs
Ndlr : * ( nous
téléchargerons l’extrait vidéo dès que
possible, pour le moment il figure sans proposition « partagez » sur
certains sites)
ooOoo
C’est devenu une pratique
ordinaire pour la droite que d’organiser un tumulte sans pareil et de faire
du tapage dès qu’un membre du gouvernement répond à la question de l’un de
leurs députés, et de même quand un député socialiste s’exprime.
Ils passent en direct à la télé,
ils le savent bien, ils ne respectent
pas les téléspectateurs, et ils n’ont même pas conscience des grimaces
qu’ils font en hurlant et qui les rapprochent des expressions des singes et guenons dans un zoo en folie !
A noter que pendant la suite de
la séance sur d’autres questions ils ont continué à se conduite comme les
« voyous du quartier »
La honte est sur eux mais ils ne
la voient même pas.
Qu’est-ce que ça doit être entre
eux à l’abri des caméras, en huis clos ,
quand ils se règlent les comptes au sujet des vols des « cacahuètes »-, autrement dit des voix pour l’élection de
leur Président de parti -, comme ils le
font depuis déjà 4 semaines , an
aimerait avec une caméra cachée pour voir au moins comment ils se cherchent des
poux dans la tête, comment il s’arrachent les cheveux et se redressent les
bretelles entre eux.
Par contre on leur demande de se
tenir correct à l’Assemblée, en séance, un vœu pieux qu’ils n’entendront
pas, tous fiérots qu’ils sont de leurs
éclats verbaux.qui sonnent faux à toutes les oreilles.
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