* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
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"La voix de son maitre"-sans publicité de marques- va-t-elle sortir le politique de la panne de confiance?
Moutons de France cessez de rêver ! Votre grand berger "bling-bling" ne pense qu'à sauver ses copains les plus friqués et pour y parvenir il vous tondra toujours plus court car c'est vous qui allez lui permettre d'alimenter son fameux fond de sauvetage qu'il vient de créer à l'usage des pauvres patrons dans la moïse! Et vous croyez que votre docilité sera récompensée? Le boss attentionné vous permettra bien volontiers de goûter aux délices de cette nouvelle formule de travail adaptée par sa droite révolutionnaire et c'est cette formidable opportunité qui vous permettra de travailler toujours plus pour gagner moins mais en vous obligeant à afficher ouvertement votre satisfaction. Un point positif tout de même ce scénario devrait vous permettre de mesurer, même si vous n'êtes pas trop éveillé, que tout ce chemin parcouru en marche arrière depuis la prise de fonction de notre bling-bling de berger ne nous a pas apporté de grandes joies! En fait cette formidable précarité, si avantageuse pour les patrons, ne semble pas devoir enchanter durablement le plus grand nombre d'entre nous, même si travailler le dimanche peut nous fournir un alibi en béton pour échapper aux contraintes que nous imposent parfois une vie familiale laborieuse. Vous grappillerez sans aucun doute quelques euros supplémentaires et des flatteurs patentés ne manqueront pas de vous faire remarquer que par ce biais vous êtes entrés, facilement, dans le clan des gagnants ! Il ne vous restera plus alors qu'à convertir votre cagnotte dominicale en un beau geste en direction de votre épouse frustrée et recommencer chaque semaine jusqu'à ce que vous ayez atteint l'âge de la retraite, vers vos 70 ans !
Cette forme de participation subtile va tout de même permettre à nos patrons attentionnés de distinguer leurs salariés les plus courageux qui auront droit, peut-être, à un ruban bleu. Et si le bilan financier le permet pendant que les actionnaires déboucheront moult magnums millésimés, un verre de mousseux vous sera offert généreusement avec une tape dans le dos réservée aux membres actifs cette nouvelle élite?
Quant au capitalisme, soyez sans crainte il est en voie de guérison complète? Il a été sauvé finalement par de gentils politiques qui ont une confiance aveugle en ce formidable moteur, cette sorte de bonne étoile qui les a toujours guidés vers de substantiels avantages!
A grands coup de milliards, la crise finira bien par être jugulée, alors vous vous rendrez compte, mais un peu tardivement, que les super dindons de cette sinistre farce appartiennent tous à la "Confrérie des moutons naïfs, aveugles et sourds" du petit peuple de France !
Vous pourrez, bien sur, continuer à bêler de plaisir, si votre inconscient est toujours aussi farouchement en éveil, mais tout de même n'allez pas jusqu'à rêver que les acquis sociaux que vos bons maîtres vous ont confisqués pendant que vous étiez en léthargie vous seront restitués miraculeusement!
Pour les miracles mieux vaut s'adresser directement à Bernadette à Lourdes!
Mais ne comptez pas trop non plus sur cette gauche à la française qui est entrain de nous offrir un spectacle désolant susceptible de permettre à la droite au pouvoir d'achever, dans la quiétude, sa grande casse du secteur social déjà entreprise avant que le capitalisme ne nous révèle ses vrais limites !
Qui s'inquiète de voir la classe ouvrière dans une situation si peu enviable en lui imposant un bon en arrière d'au moins vingt années certainement pas les tristes leaders de la gauche caviar qui ne pense qu'à une éventuelle alternance leur permettant de s'installer au sommet d'une république de riches dominants ?
Je n'arrive pas à croire qu'un tel scénario puisse véritablement réussir même si un richissime américain, plus de soixante fois milliardaire, n'a pas hésité à proclamer : « La guerre des classes existe, c'est un fait, mais c'est la mienne, la classe des riches qui mène cette guerre et nous sommes entrain de la remporter »
Et c'est hélas tout à fait vraisemblable mais pas forcément rassurant!
Monsieur Dupont Aignan "Debout la République" un homme politique sérieux et crédible.
Voici un article de Michel Mahler du Site "Le réveil des Marmottes" Comme d'habitude son égérie la petite Noutnoute, une vraie petite chatonne qu'il a sauvé de la misère de l'abandon, a donné quelques petits coup de pattes judicieux pour agrémenter son texte.
En plein spectacle du Titanic-PS, l'opposition à Nicolas Sarkozy, comme l'ont déjà écrit Noutnoute et le Réveil des Marmottes, vient... de droite. Nicolas Dupont-Aignan, 47 ans, député l'Essonne ayant quitté l'UMP, a lancé son propre parti: DLR (Debout la République). Nicolas Dupont-Aignan veut s'imposer entre les mastodontes de l'UMP et du PS... «Euh... Du PS ?» s'étonne Noutnoute... «Des reliques issues du plus stupide suicide collectif depuis celui des dinosaures avec une météorite géante !» Si le Réveil des Marmottes n'avait pas le cœur à gauche, il serait tenté par le DLR de Nicolas Dupont-Aignan. «Depuis 30 ans, ils feignent de s'opposer mais en vérité, ils défendent exactement la même politique, la même pensée unique. Ils sont coresponsables du naufrage programmé de notre navire France...» Une fois de plus, Noutnoute et le Réveil des Marmottes sont d'accord avec le jeune député gaulliste comme en 2005 (le "non" au traité de Giscard) et en 2006 (avant de la présidentielle).
Lors d'une réunion du DLR à la Mutualité à Paris, la salle a sifflé le nom de Nicolas Sarkozy lorsque le président de Debout la République a scandé: «À force d'être dirigée directement par le président de la République, l'UMP s'est fossilisée. On dirait une girouette condamnée à suivre le vent qui tourbillonne à l'Élysée au gré des circonstances... Quant au PS, il meurt de ses rivalités internes...» Nicolas Dupont-Aignan a récusé le qualificatif de "souverainiste" et a exclu toute alliance avec le MPF (Mouvement pour la France) de Philippe de Villiers. «On peut aimer l'Europe et ne pas vouloir de cette construction monstrueuse qui ne tient pas compte du vote des peuples... L'UE dans sa forme actuelle est morte et il faut acter sa mort. Mais j'ose aussi vous dire "vive l'Europe", car il est possible de bâtir une solidarité européenne différente de ce qui a été fait jusqu'à présent...» a lancé Nicolas Dupont-Aignan en évoquant les "non" des Pays-Bas, de la France et de l'Irlande aux référendums sur la constitution européenne.
Qu'a fait le PS ? Il s'est rangé aux côtés de l'UMP pour défendre le traité de Giscard et le traité de Lisbonne... Noutnoute et le Réveil des Marmottes le pensent: Nous arrivons vers une nouvelle carte politique en France. Avec le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon et le DLR de Nicolas Dupont-Aignan, c'est la fin des partis unicellulaires, de Jurassic Park ou de l'Europe de Charlemagne. Arrive le temps où des partis neufs repenseront l'Europe sans renier les valeurs qui on fait notre pays. N. D.-A. est un farouche opposant au retour de la France dans l'OTAN comme Dominique de Villepin... Cela nous ramène à Clearstream et à l'opposition de droite qui se construit.
Dominique de Villepin, renvoyé en correctionnelle dans l'affaire Clearstream le 17 novembre, a saisi le Conseil d'État en accusant Nicolas Sarkozy d'abus de pouvoir pour "satisfaire ses intérêts personnels": «Le détournement de pouvoir auquel le président de la République s'est livré, en maintenant Henri Pons dans ses fonctions, dans le seul but de poursuivre l'information dans laquelle il est partie civile, constitue à l'évidence une violation du principe de l'égalité des armes et, plus largement, du droit au procès équitable...» Nicolas Sarkozy, partie civile dans l'affaire Clearstream, a ordonné par décret présidentiel le prolongement des fonctions de l'un des juges en charge du dossier. Le juge Henri Pons devait prendre ses fonctions le 3 novembre à Montpellier, ce qui lui aurait interdit de signer l'ordonnance Clearstream. Il a été prolongé dans ses fonctions par un décret présidentiel jusqu'au 20 novembre. «En maintenant Henri Pons à son poste, Nicolas Sarkozy a manifestement influé sur le déroulement de la procédure et sur le règlement de l'instruction...» a déclaré Me Richard, l'avocat de Dominique de Villepin, en dénonçant un "détournement de pouvoir" et les propos menaçants de Nicolas Sarkozy: «Je pendrai à un "croc de boucher" celui qui m'a mis en cause" (NDLR: L'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, Dominique de Villepin)...»
Le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon, le DLR de Nicolas Dupont-Aignan, Dominique de Villepin, les Gaullistes opposés au travail le dimanche, on comprend pourquoi Nicolas Sarkozy veut prolonger son mandat à l'UE en fabriquant un gouvernement pour la Zone Euro. Si le PS est mort, l'UMPS est morte. Une opposition est en train de naître, à gauche comme à droite, celle des partisans du "non"... Les électeurs devront se souvenir de cela aux prochaines élections (les européennes par exemple) et se remettre en mémoire qui a fait la propagande du "oui" et n'a rien dit lorsque Nicolas Sarkozy a volé le "non" du peuple en ratifiant par la force le traité de Lisbonne.
Voici un article de Michel Mahler du Site "Le réveil des Marmottes"
Comme d'habitude son égérie la petite Noutnoute, une vraie petite chatonne qu'il a sauvé de la misère de l'abandon, a donné quelques petits coup de pattes judicieux pour agrémenter son texte.
Dupont-Aignan, Mélenchon, de Villepin: SOS Sarko !
Monsieur Nicolas Sarkozy a eu beau l’accueillir au pied du perron de l’Elysée en déposant une bise sur chacune de ses joues,Angela toujours souriante ne s'est pas laissée séduire par ces charmants préliminaires protocolaires,et reste fermement ancrée sur ses positions ! C'est bien la peine que Nicolas "se décarcasse,", elle a ses recettes et lui à les siennes ! Le plateau financier allemand ne s'accommode pas des épices françaises.
Et d'une :A l'issue du 10e conseil des ministres franco-allemand qui s'est tenu ce matin à l'Elysée, la chancelière a jugé qu'une baisse généralisée de la TVA, comme l'envisage la Grande-Bretagne , n'était pas une mesure appropriée pour la France et l'Allemagne.
Et de deux : Nein ! d'Angela pour la mise en place de mesures de relance commune contre la crise économique en Europe, qui de plus s'est déclarée contre "toute précipitation" après un conseil des ministres franco-allemand à Paris.
Ce conseil des ministres a débutépar un entretien d'une bonne heure entre les deux responsables, avant d'être élargi à leurs ministres.
Ainsi 10 jours après le G20 de Washington, le président français n’a pas réussi pour le moment à convaincre Angela Merkel,d'engager le poids économique de l'Allemagne dans un plan de relance européen, alors que la zone euro est officiellement entrée en récession pour la première fois de son histoire.
Conformément aux recommandations adoptées par les 20 "grands" de la planète le 15 novembre, la Commission européenne s'apprête à dévoiler mercredi ses propositions pour un programme de soutien à l'économie des 27.
Selon desindiscrétions de Berlin que Bruxelles et Paris n’ont pas confirmées, ce « programme de soutien » totaliserait 130 milliards d'euros, soit l'équivalent de 1% de la richesse des pays de l'Union européenne (UE). Plusieurs de ses membres réclament ce plan de relance, qu'ils s'apprêtent à accompagner de mesures nationales.
Avant d'être présentée, l'initiative européenne bute sur les réticences de l'Allemagne, fer de lance économique des 27. Car si elle soutenu le principe d'une relance européenne, Angela Merkel qui n’est pas opposée au principe d’une relance européennerefuse d’y participer financièrement : Pas un sou de plus ! ... a fait savoir la chancelière allemande qui tient fermement son porte-monnaie en main.
Berlin estime avoir déjà "fait son devoir" européen en engageant 32 milliards d'euros sur deux ans pour son économie, et refuse de remettre en cause son quasi-équilibre budgétaire pour jouer les locomotives du continent.
L’Allemagne a déjà freiné plusieurs fois les initiativeseuropéennes. Elle a longtemps refusé, avant de s'y rallier, un plan européen de sauvetage des banques mais continue à s'opposer fermement à l'idée d’un "gouvernement économique européen"souhaité par Nicolas Sarkozy.
En présentant jeudi dans le Loir-et-Cherun "fonds souverain" à la française, le Président de l'UE Nicolas Sarkozy aplaidé pour une "stratégie offensive" et promis pour "les prochaines semaines" un plan français de "relance des infrastructures".
Le Président Français espéraitbien obtenir un "ja" de sa partenaire au plan de relance de la Commission Européenne, dont il a étudié jeudi soir les détails avec son président José Manuel Barroso.
Mais pour l’UE l’Elysée en est réduit à argumenter : "On ne veut rien imposer à l'Allemagne, mais elle s'est prononcée à Washington pour la relance de toutes les économies, y compris la sienne".... "Si chaque pays décide dans son coin ..... L’impact psychologique en terme de restauration de la confiance sera bien moindre qu'une décision prise à 27" ;
Avant de se rendre à Londres le 8 décembre pour en discuter avec le Premier ministre britannique Gordon Brown, le chef de l'Etat français estime indispensable d’obtenirun « ja » d’Angela Merkel pour faire adopter ce plan de relance , lors du Conseil européen de la mi-décembre.
L'Elysée juge que "les choses sont en train d'évoluer lentement" à Berlin en faveur d'une "relance ciblée" à l'échelle des 27, etattribueces difficultés à la situation politique intérieure allemande, en écartant la relance d’une nouvelle fâcherie avec la chancelière.
Au menu de ce lundi, d’autres projets comme le paquet énergie-climat ou l'Europe de la défense, font espérer à eux seuls, pense-t-on à Paris, de montrer la bonne santé du "moteur franco-allemand".
Est-ce bien suffisant ? « Ja » ou « Nein » ?
Attendons la publication de la Conférence de presse qui était prévue à 12h, avant un déjeuner privé, et nous en saurons plus dans quelques heures.
Monsieur Frédéric Lefebvre porte parole de l’UMP ne se prive pas de déclarer que le PS a implosé, il souligne la « haine » qui existerait au sein du PS, une « pétaudière », d’après lui.
Il exagère naturellement, certes des désaccords qui se font jourau sein du PS au terme d'un vote qui devaitdésigner le successeur de François Hollande à la tête du parti.
Mais il ne s’agit pas d’un carnage, encore moins d’une implosion ! Il faut relativiser. Un exercice auquel cet UMP se prête mal quand ils’agit de brocarder l’opposition avec des crocs de charognard, comme si déjà le PS était un cadavre livré en pâture.
Monsieur Lefèvre exagère, il s’agit d’un comptage de voix, de quelques passes entre membres et militantspour régler les problèmes, d’un peu trop de médiatisation, et en faitil s’agitd’un désaccordsur le comptage,qui vient se greffer sur un problème latentde renouvellement decadres. Les jeunes cadres du PS aspirent au renouveau, tout ceci me parait souhaitable, inévitable. Lescrises qui secouentle PS ne sont ni les premières, ni les dernières, elles attestentde la vitalité de ce parti, elles ne sont ni les premières, ni les dernières, le PSestun parti vivant.
Enfin Monsieur Lefèvre a beau jeu de critiquer le PS, nous savons tous que deszizanies internes minentl’UMP, certains voudraient que Nicolas Sarkozy prenne la tête et d’autres s’y refusent, nous savons tous que certains militants sont censurés ont desdifficultés à s’exprimer menacés demise à pieds et d’exclusion, et quecertainsmilitants UMP, non des moindres,qui osentpar exemple s’exprimer sur des sujets « tabou », entre autres par exemple pour soutenir Monsieur de Villepindans ses difficultés judiciaires, sont impitoyablement marginalisés ; ……la listedes interdits et des tabous ne cesse de s’allonger selon l’humeur du temps des dirigeants de l’UMP .
Pour ne citer qu’un exemple des sentimentsd’intimidation et de haine qui règnent à l’UMP je ne reprendrais qu’un exemple, celui de Monsieur Jean-Pierre Granddéputé UMP, qui n’a qu’un tort celui d’être UMP « villepiniste »
Avant que l'Assemblée n'adopte le projet de loi qui autorise le gouvernement à procéder par ordonnances, Jean-Pierre Grand, le député UMP villepiniste de l'Hérault, a émis des doutes sur l’impartialité du redécoupage électoral mais,plus grave,il a demandé en séance le 20 novembreune « clarification » sur des proposque Nicolas Sarkozy aurait tenu à son encontre.
Selon l'hebdomadaire « Le Point », le chef de l'Etat aurait affirmé en parlant de Jean Pierre Grand : « Celui-là, il est mort ……… Je vais m'occuper personnellement du redécoupage de sa circonscription. » Jean-Pierre Grand a demandé sans succès,une suspension des débats jusqu'à la venue dans l'hémicycle du Premier ministre pour obtenir « toutes les précisions et tous les apaisements nécessaires ».
Alain Marleix, le secrétaire d'Etat en charge du redécoupage, n’a pas hésité à mettre en doute les « bobards »des journaux (sic !) et aappeléJean-Pierre Grand à ne « pas prendre pour argent comptant tout ce qui est écrit dans les journaux.
Le preuve que Monsieur Jean Pierre Grand n’avait pas pris au comptant tout ce qui est écrit dans les journaux c’est qu’il avait demandé une « clarification »et d’obtenir du Premier Ministre toutes les précisions et tous les apaisements nécessaires.
Mais il n’a pas été entendu par ses pairs, ils ont délibérément détournée sa demande enparlant de bobards et en l’engageant à ne pas prendre pour argent comptantetc. .... , une manière comme une autre de le ridiculiser en le faisant passer pour un naïf et le mettre de côté.
La suffisance de certains personnages qui se trouvent placéssur le « bon côté » du manche de l’UMP est tout bonnement insupportable.
Quand Monsieur Lefèvre dénoncele PS comme une pétaudière, il se trompe d’adresse.
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Le redécoupage électoral suscite la méfiance de l'opposition on s’en serait douter, mais il fait aussigrincer des dents àdes élusde droite, maisceux-ci n’osent trop se signaler dans la crainte que Nicolas Sarkozy s’occupe de leur affaire comme il aurait l’intention de le faire pour Jean-Pierre Grand.
Au PS les responsables et les militants en désaccords’expriment librement et même très vivement sans utiliser de formules lapidaires, tandis qu’à l’UMP les militants doivent adopter la pensée unique, le discours unique, avecle petit doigt sur la couture du pantalon sous peinede se faire traiterde noms d’oiseauxet d’exclusion radicale et sans recours.
Bien sur les médias alignés UMP ont surmédiatisés lesdifficultés du PSen les commentant avec leur exagération coutumière et, pour la droite et moutons de panurges associés, le PS s'enfonceraitdans la tourmente, le PS seraiten implosion, le PS seraitau bord de la scission,le PS serait dans la tourmente et la haine, etc.…,comment peut-on dire de telles âneries quand on s’est fait battre à plate couture aux dernières municipales et cantonale par le PS ?
"Il y a un climat de crise qu'il ne faut pas nier", arelativisé François Lamy.
Je ne suis pas socialiste mais quant à choisir je préfère la méthode d’expression socialiste et sa stratégie qui se révèle fructueuse au moment des élections locales.
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Ramenons la crise du PS et à ce qu’elle est réellement !
Ségolène Royal, conteste le résultat du vote qui a donné seulement 42 voix d'avance, sur quelque 134 700 suffrages exprimés, à Martine Aubry.
Pourquoi ?
Parce quelques erreurs incontestables dans le comptage des voix ont fait surface Samedi remettant en cause le score de Martine Aubry, et parce que ses partisans « royalistes » se fondant sur cet incident, et sur d’autres contestations, doutentde la régularité du comptage des votespar certaines fédérations. Manuel Valls, proche de Ségolène,soutientqu’ "il y a eu de la fraude, de la tricherie" ……..et que"Comme il y a doute, confusion, le seul moyen de sortir de cette situation c'est que l'on revote"
La président de la région Rhône-Alpes (PS) a aussi réclamé samediqu'un "nouveau vote soit organisé" et la députée de Moselle Aurélie Filippetti a évoquédes irrégularités dans les fédérations de Seine-Maritime et du Nord.
Gilles Pargneaux, premier secrétaire de la fédération PS du Nord, a rejeté ces "accusationsd’après lui « sans fondement" qui témoignent selon lui "d'une volonté manifeste de polémiquer, qui est celle des mauvais perdants".
François Lamy, député PS de l'Essonne,soutient que Martine Aubry devrait « logiquement, normalement », si l'ensemble desrègles sont respectées, être désignée première secrétaire du PS"car elle "est incontestablement la gagnante du scrutin, même si le score est serré". »
François Hollande a annoncé que le Conseil national du Parti socialiste allait se réunir mardi soir pour se "prononcer sur le résultat et désigner la prochaine première secrétaire". Le Parlement du PS "tranchera en dernier ressort" après avoir étudié le rapport de la commission chargée d'examiner les contentieux, qui se réunira "dans les heures qui viennent", ce samedi. Le Conseil national "aura à délibérer sur l'ensemble des résultats" transmis par toutes les fédérations du PS a expliqué François Hollande.
Elle ne s’avoue pas vaincue et réclame un nouveau vote
Ségolène Royal, invitée sur TF1, a répété qu'il fallait un nouveau vote pour parvenir à un résultat "clair, incontesté et incontestable, « c’est une exigence morale » soutient-elle.
"Il faut beaucoup de calme, de sérénité, en attendant que les résultats officiels soient proclamés", ce qui devrait être chose faite mardi prochain, a déclaré Ségolène Royal.
Ségolène Royal a rappelé que dans son discours prononcée deux heures plus tôtMartine Aubry le discours de Martine Aubry prononcé deux dans lequel la maire de Lille s'est posée en "premier secrétaire de tous les militants" du PS et Ségolène a fait remarquer :
"C'est quand même très étrange de voir une candidate à une élection s'autoproclamer élue alors même qu'il y a actuellement un certain nombre de décomptes de voix qui sont en cours d'examen",en concluant sur ce sujet : «Martine Aubry s'est précipitée parce quelle sait précisément que les résultats sont en train de s'inverser".
Pour Ségolène Royal "il faut que le principe démocratique l'emporte",…….."Les militants socialistes ont le droit, comme tout citoyen électeur, à avoir un vote clair, un vote incontesté, un vote incontestable", a-t-elle dit, dénonçant une nouvellefoi des "méthodes d'un autre âge".
tout en accusantune partie des responsables socialiste de vouloir lui barrer la route. "A chaque fois que (les militants) m'ont mis en tête les règles du jeu ont changé", a-t-elle déploré.
"Si demain les militants me confirment dans ce rôle de première secrétaire, les méthodes changeront. Les votes seront transparents, ils seront contrôlés", a-t-elle ajouté.
Depuis 2006 "chaque fois qu'on m'a cru morte, je me suis redressée, et je vais sans doute gagner demain", a-t-elle affirmé.
Faisant pièce des rumeurs de scission du PSquifait la joie des médias et des politiques de droite, Ségolène Royale a déclaréen insistant que siMartine Aubry l'emporte au final, "il n'est pas question de quitter le Parti socialiste".
La position de Ségolène Royale reste celle d’une militante qui entend « ne pas se laisser faire » comme le disait Manuel Valls, et avec la ténacité que nous lui connaissons il est certain qu’elle ne baissera pas les bras.
(D’autant que nous venons d’apprendre que les voixde Nouvelle Calédonie n’auraient pas été prises en compte dans le comptage final)
2) La position de Martine Aubry« élue de justesse mais non encore « proclamée » :
Précédantla validation du vote qui dans le meilleur des cas interviendra Mardi, Martine Aubry s'est d’ores et déjà investie dèssamedi dans son nouveau rôle de chef de parti, enlançant un appel au rassemblement eten détaillant son programme de gouvernement devant la presse.
Martine Aubry s’est expriméedevant la presseune dizaine de minute à l'Assemblée nationale :
…………….
"C'est avec une grande émotion que j'ai accueilli ces résultats mais aussi avec gravité car c'est une lourde et grande responsabilité et j'ai bien conscience que la situation actuelle ne me crée que des devoirs", a dit Martine Aubry.
« Je serai le premier secrétaire de tous les militants", a assuré la maire de Lille.
"Je souhaite être, je serai le premier secrétaire de tous les militants du Parti socialiste car aucun militant ne doit manquer à notre parti bien sûr, mais surtout aux Français",devant la presse.
(Une victoire "autoproclamée" aux yeux de Ségolène Royal qui reste quant à elle dans le conditionnel)
Martine Aubrya dit comprendre "la déception de Ségolène Royal et de ceux qui ont voté pour elle et l'ont accompagnée, déception d'autant plus grande que les résultats ont été très serrés".
Pour elle, "la question n'est plus de savoir qui a perdu ou qui a gagné. Nous aurons tous perdus si nous ne sommes pas capables de nous rassembler très vite, et nous aurons tous gagné si nous faisons barrage à la droite, à la politique actuelle du président de la République", a-t-elle souligné lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale
Martine Aubry a appelé au rassemblement pour un PS renouvelé tout en se disant consciente de la mauvaise image donnée par les divisions affichées ces dernières semaines
"Nous aurons tous perdus si nous ne sommes pas capables de nous rassembler très vite, et nous aurons tous gagné si nous faisons barrage à la droite, à la politique actuelle du président de la République", a-t-elle poursuivi.
"Le parti n'appartient à personne, il nous appartient à tous. Il traverse des heures cruciales. Ceux qui traversent des heures difficiles, ce sont surtout les Français. Donc faisons tout pour ne pas l'abîmer davantage", a-t-elle dit.
Martine Aubryqui s’est posée en rassembleuse, a dit avoir téléphoné à Ségolène Royal à l'annonce des résultats samedi à l'aube.
"Le rassemblement s'impose aujourd'hui et j'y consacrerai avec beaucoup d'autres toutes les prochaines heures en voyant chacun, en prenant le temps qu'il faut pour que nous arrivions à ce résultat", a-t-elle promis.
Sa "feuille de route", a-t-elle souligné, comporte les mots "rassemblement, renouvellement, remise en marche, renaissance de notre parti".
"Les Français ont besoin de nous, de notre parti, nous devons être à la hauteur et je sais que nous serons à la hauteur", a-t-elle conclu.
3) Les positions* des Fans de l’une et de l’autre sont connues (voir mon article précédent « Le PS en crise de comptage des voix , en date du 22 novembre)
* je n’en ai retenu que trois alléger mon texte :
*PourManuel Valls, le vote de vendredi est "le résultat d'une volonté d'éloigner Ségolène Royal depuis des mois". "On nous a volé cette victoire", a-t-il lancé sur France 2.
* Proche de Ségolène Royal,la députée de Moselle Aurélie Filippetti, a pointé du doigt les fédérations de Seine-Maritime, fief de Laurent Fabius, partisan de Martine Aubry, et du Nord, dont Lille est la capitale.
*Gilles Pargneaux, premier secrétaire de la fédération PS du Nord, a rejeté ces "accusations sans fondement" qui portent le sceau "des mauvais perdants".
4)La position de François Hollande :
"En démocratie, il suffit d'une voix pour avoir la majorité", a tranché le premier secrétaire sortant François Hollande. Dans la situation actuelle de crise financière, économique et sociale, "il faut se rassembler, s'unir et donner un projet au pays", a-t-il ajouté sur France 3.
5) La suite des évènements :
*Une commission se réunira lundi au siège parisien du PS pour enregistrer résultats et contestations, qui proviennentde nombreuses fédérations départementales ;
(Selon les partisans de la présidente de la région Poitou-Charentes, l'écart serait en réalité de 18 voire 12 voix, après modification, entre autres, des scores de la Moselle alors que dans lecamp Aubry, certains parlaientavant les résultats d'une avance de 3.000 voix pour la maire de Lille.)
*Une fois validés, les résultats doivent être proclamés mardi soir lors de la réunion d'un Conseil national, le "Parlement" du parti, à Paris.
L'instance doit également investir le Bureau national, l'exécutif du PS.
Ces deux entités sont composées à la proportionnelle des courants internes. Début novembre, lors du vote sur les motions, les militants ont réparti leurs voix en quatre parts peu ou prou égales ce qui, en plus de la crise de comptage des voixentourant l'élection du premier secrétaire, pourrait occasionner des blocages supplémentaires.
D’ici Mardi gageons qu’il y aura encore de nombreuses déclarations et rebondissement, en dépit de l’appel au calme et à la discrétion de plusieurs responsables du PS qui estiment que ce « tapage » médiatique aggrave encorela mauvaise image donnée par les divisions affichées ces dernières semaines et assombrit l’image d’un PS en crise livré en pâture aux crocs de la droite
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Les partis de droite UMP et alignés, effectivement ne se privent pas d’écorcher à vif le PS, sans avouer qu’ils préféreraient avoir en face d’eux une Martine Aubry ancrée à Gauche, qu’une Ségolène Royale penchée au Centre, ce qui risquerait en période électorale de les mettre à terre.
Les partisans de Ségolène Royal contestentle comptage des voix et appellent à revoter : il y aurait eu des erreurs dans différentes régions.
Les partisans de Martine Aubry font part de "dysfonctionnements " et se sont plus à souligner l'augmentation du nombre des militants votant en Guadeloupe , département où Madame Royal l'emporte sans contestation possible.
Une erreur de comptage en Moselle a remis le feu aux poudres !
La fédération du parti socialiste de Moselle aattribué par erreur 12 voix à Martine Aubry alors qu'elles étaient en fait destinées à Ségolène Royal "Ce samedi, unevérification des bulletins de récolements a fait ressortir qu’ hier dans la nuit de vendredi à samedi, une erreur « humaine »a attribué à Martine Aubry le score réalisé par Ségolène Royal dans l'une des sections de la fédération de la Moselle", comme l’a indiquédans un communiqué Jean-Marc Todeschini, premier secrétaire de la Fédération de la Moselle du PS.
L'erreur proviendrait de la section de Talange qui a par erreur a attribué à la maire de Lille 18 voix contre 6 à l'ex-candidate à la présidentielle.
Au niveau de la fédération de la Moselle, le comptage a ainsi donné à Martine Aubry 569 voix et 891 à Ségolène Royal alors qu'en réalité, Mme Aubry a recueilli 557 voix (38,15 %) et Mme Royal 903 voix (61,85 %) sur les 1.460 suffrages exprimés.
M. Todeschini aenvoyé un correctif au siège du PS à Paris, pour rectifier cette "erreur manifeste de la permanente".
Si la correction est enregistrée, l'écart ne devrait plus être que de 18 voix (moins 12 sur le total de Mme Aubry, plus 12 sur celui de Mme Royal).
Par ailleurs les partisans deSégolèneontémisdes soupçons sur le scrutin dans les fédérations du Nord(celle deMadame Aubry) et de Seine-Maritime (celle de Monsieur Fabius, soutient de Madame Aubry) en raison du retard pris dans la transmission des résultats.
La députée PS Aurélie Filipetti, proche de Mme Royal, a fait remarquer que Ségolène avaitprogressé dans la plupart, voire dans toutes les fédérations de France, sauf" dans ces deux départements. "Nous avons des doutes", a-t-elle déclaré.
Le premier secrétaire de la fédération PS du Nord, Gilles Pargneaux, a indiqué au sujet des résultats dans son département,que Mme Royal y avait progressé de plus de trois points entre jeudi et vendredi.
Les partisans de la maire de Lilleont notéque les représentants de Mme Royal ont quand même signé les procès verbaux dans ces départements.
Du côtédes proches de Martine Aubryles contestations ne sont pas en reste,la fédération du Nord a évoqué "des dysfonctionnements dans le vote de certaines fédérations, notamment celle de l'Hérault", favorable à Mme Royal.
Les partisans deMartine Aubryont égalementfait remarquer l’augmentation de la participation en Guadeloupe, dernière fédération dont le résultat a été connu en raison du décalage horaire.Jean-Christophe Cambadélis s'est étonné de cette progression: "Le seul endroit où la participation a brutalement augmenté après trois heures du matin, c'est là-bas. Malgré ce mouvement citoyen, Martine Aubry termine en tête", a-t-il ironisé.
La Fédération PS de Seine-Maritime s’est insurgéecontre les propos de Manuels Valls qui avaitsouligné"une progression très importante" de Ségolène Royal dans toutes les fédérations, sauf dans le Nord et la Seine-Maritime, fiefs respectifs de Martine Aubry et Laurent Fabius. "Aucune contestation n'a été émise",a affirméle premier secrétaire de cette fédération Christophe Bouillon. "Les représentants des deux candidates ont validé l'ensemble des résultats de la fédération, section par section",a-t-il ajouté.
La députée PS de la MoselleAurélie Filipetti , proche de Ségolène Royal, a fait remarquer q’ "il y avait un élan, une dynamique en faveur de Ségolène Royal qui était portée par le vote des militants , et on voit que le vieux parti s'est arc-bouté et a tout fait pour empêcher la victoire de Ségolène Royal"…….. "Nous demandons des vérifications sur ce qui s'est passé dans les départements du Nord et de la Seine-Maritime", a-t-elle poursuivi, estimant anormal que Mme Royal "ait progressé dans la plupart, voire dans toutes les fédérations de France sauf" dans ces deux départements.
Interrogé sur RTL surune éventuellescission des partisans de Ségolène Royal, Manuel Vallsa répondu "non". Un peu plus tôt sur France Info, il avaitavait renouvelé les accusations de "tricherie" mise en oeuvre, selon lui, pour écarter sa candidate Ségolène Royale, faisant un parallèle avecl'élection présidentielle américaine en 2000 dans l'Etat de Floride. Le députéaprévenu"tout le monde va s'envoyer ses fraudes à la figure, et tout le monde va constater qu'à quelques voix près, les deux candidates sont à égalité »
Manuel Valls soutient que, "le seul moyen d'être au clair, c'est d'organiser de nouveau ce deuxième tour, un scrutin totalement encadré, totalement transparent, dans toutes fédérations pour qu'il n'y ait pas de contestation."
Monsieur Julien Draypartisan de Ségolène Royal a déclaré"Pour nous Martine Aubry n'a pas gagné",…… "Les résultats sont problématiques. Il y a des choses qui ne collent pas et pour lui comme pour Manuel Valls,la seule solution possible, c'est de revoter. Il y a beaucoup de PV qui n'ont pas été signés par les scrutateurs, où il y a des problèmes avec les résultats. Si on fait le total de tous ces problèmes-là, on voit bien que les 42 voix... on ne sait plus où l'on en est dans l'écart". Et le député d'affirmer que "les recour
Bien d’autres déclarations des deux côtés ( que vous retrouverez dans vos quotidiens et magazine) ont empoisonné l’atmosphère socialiste à tel point que des personnalité du PS ont tenté de calmer le je jeu, notamment La Fédération PS de Seine-Maritime s’est insurgéecontre les propos de Manuels Valls qui avaitsouligné"une progression très importante" de Ségolène Royal dans toutes les fédérations, sauf dans le Nord et la Seine-Maritime, fiefs respectifs de Martine Aubry et Laurent Fabius. "Aucune contestation n'a été émise", a affirméle premier secrétaire de cette fédération Christophe Bouillon. "Les représentants des deux candidates ont validé l'ensemble des résultats de la fédération, section par section",a’t-il ajouté.
ajoute-t-il.
La députée PS de la MoselleAurélie Filipetti , proche de Ségolène Royal, a fait remarquer q’ "il y avait un élan, une dynamique en faveur de Ségolène Royal qui était portée par le vote des militants , et on voit que le vieux parti s'est arc-bouté et a tout fait pour empêcher la victoire de Ségolène Royal"…….. "Nous demandons des vérifications sur ce qui s'est passé dans les départements du Nord et de la Seine-Maritime", a-t-elle poursuivi, estimant anormal que Mme Royal "ait progressé dans la plupart, voire dans toutes les fédérations de France sauf" dans ces deux départements.
Interrogé sur RTL surune éventuellescission des partisans de Ségolène Royal, Manuel Wallsa répondu "non". Un peu plus tôt sur France Info, il avaitavait renouvelé les accusations de "tricherie" mise en oeuvre, selon lui, pour écarter sa candidate Ségolène Royale, faisant un parallèle avecl'élection présidentielle américaine en 2000 dans l'Etat de Floride. Le députéaprévenu"tout le monde va s'envoyer ses fraudes à la figure, et tout le monde va constater qu'à quelques voix près, les deux candidates sont à égalité »
Manuel Valls soutient que, "le seul moyen d'être au clair, c'est d'organiser de nouveau ce deuxième tour, un scrutin totalement encadré, totalement transparent, dans toutes fédérations pour qu'il n'y ait pas de contestation."
Monsieur Julien Draypartisan de Ségolène Royal a déclaré"Pour nous Martine Aubry n'a pas gagné",…… "Les résultats sont problématiques. Il y a des choses qui ne collent pas3 et pour lui comme pour Manuel Valls,la seule solution possible, c'est de revoter. Il y a beaucoup de PV qui n'ont pas été signés par les scrutateurs, où il y a des problèmes avec les résultats. Si on fait le total de tous ces problèmes-là, on voit bien que les 42 voix... on ne sait plus où l'on en est dans l'écart". Et le députéa affirmé que les recours, en ce sens, sont déjà faits.
Bon nombre d’autres déclarations ont empoisonné l’atmosphère socialiste à tel point queJean-Marc Ayrault, Maire de Nantes, , chef de file des députés PS, a lancé dans un communiquéun appel solennel à Martine Aubry, à Ségolène Royal et à tous les dirigeants du Parti socialiste. « Il faut arrêter cette course infernale à l'affrontement et à la division", écrit-il, "Il ne peut y avoir une vainqueur et une vaincue" …….. "Il appartient à la nouvelle première secrétaire de concevoir les gestes qui apaisent et rassemblent". Evoquant la gravité de la crise "intérieure et mondiale", il appelle les socialistes à "sauvegarder" le "destin des millions d'hommes et de femmes qui croient dans le parti socialiste et dans la gauche" poursuitavec une certaine empathie grandiloqueMonsieurAyrault, dont lechoix entre les candidats au poste de 1er secrétaire n’est pas connu puisqu’il avait prudemment refusé de le communiquer.
.Manuel Valls a affirmé que le camp Royal n'écarterait pas l'utilisation de moyens "judiciaires pour contester la victoire»,et Me Mignardproche de Ségolène Royal, a expliquéde son côté qu'une saisine de la justice était possible. Néanmoins, il a marqué sa préférence pour "une solution interne" et particulièrement pour unjury de médiation. . Outre les recours prévus par les statuts du parti, l'avocat Jean-Pierre Mignard a évoqué la constitution d'un "jury de médiation, de conciliation" qui pourrait être composé de trois personnalités reconnues pour leur intégrité morale et leur compétence juridique.
Soulignant le très faible écart de voix entre les deux candidates, une validation du scrutin, a-t-il dit, ne peut se faire que si "formellement, il n'y a aucune trace de suspicion" et que "chaque vote est inattaquable". Pour lui, c'est seulement dans ce cas que le vaincu peut accepter la décision.
S'il y a suspicion, le scrutin doit être annulé et la "jurisprudence s'applique en la matière en droit privé de la même manière qu'en droit public", a-t-il dit.
Mais Manuel Valls plus incisif a insisté : «Nous sommes très déterminés à ne pas nous laisser voler cette victoire. Nous utiliserons tous les moyens politiques, juridiques et judiciaires pour contester cette victoire", a déclaré Manuel Valls samedi à la mi-journée sur France 2. "J'appelle à une révolte des militants" a-t-il lancé. Pour le député de l'Essonne, qui avait appelé les militants à« revoter » "il n'y a pas de victoire de Martine Aubry".
François Hollande après avoir déclaré qu'"un résultat connu à l'issue du scrutin pour désigner son successeur devait être validé" par un Conseil national du parti, a estimé plus tard "l'esprit de rassemblement devait l'emporter sur toute autre considération".
Après l'électioncontestée de Martine Aubry , il a demandé à chacune des candidates de faire preuve de sang-froiden estimant qu’ il ne sera pas possible pour la prochaine première secrétaire de diriger le parti simplement avec le résultat qui a été établi vendredi, il faut donc, d’après lui , nécessairement élargir, ouvrir et rassembler". Sur la demande d'un nouveau scrutin par le camp Royal, il a demandé que soient tirées "toutes les conclusions de ce vote avant d'en annoncer un prochain", et en particulier que tous les recours soient examinées par le Conseil national.
Sa position actuelle est la suivante selon ses dernières déclarations : : Le conseil national du Parti socialiste se réunira mardi soir pour se prononcer sur le résultat et désigner la prochaine première secrétaire, Le parlement du PS décidera après avoir étudié le rapport de la commission chargée d'examiner les contentieux, qui se réunira "dans les heures qui viennent" (ce samedi, ), a-t-il précisé. Le Conseil national "aura à délibérer sur l'ensemble des résultats" transmis par toutes les fédérations du PS dans la nuit de vendredi à samedi, et qui octroient 42 voix d'avance à Martine Aubry face à Ségolène Royal. François Hollande a souligné que le conseil national "va trancher en dernier ressort".
Enfin en réaction à l'annonce, par Manuel Valls, que le camp Royal envisageait de contester le résultat de l'élection sur le terrain judiciaire, M. Hollande a invité à "respecter le vote, les règles et les instances" du PS.
". Quant à son propre rôle dans les jours qui viennent, M. Hollande a estimé qu'il lui revenait d'"apaiser les esprits, rassurer les militants qui ont voté, et faire en sorte que s'il y a des contestations, elles puissent être déposées".
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Bien entendules porte parolesde l’UMP se sontdélectés à souligner avec ironie les tensions qui règnent au Parti socialiste, une manière habile de couvrir celles qui de jour en jours’élève dans leur propre parti :
"Ce parti qui a décidé de ne pas choisir a implosé! Il vient de désigner, de justesse, une Premier secrétaire minoritaire déjà contestée, sur qui pèse le soupçon de la fraude!", affirme le député Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP, qui évoque "un parti affaibli et coupé en deux, avec deux camps qui ne se respectent pas... pire, qui se haïssent!;
" Dominique Paillé, autre porte-parole de l'UMP, "salue le talent d'autodestruction du PS".
En France un pharmacien hospitalier à l’Hôpital Purpan à Toulouse qui devrait partir à la retraitele 5 décembre prochain pour ses 65 ans, vient de se voir refuser par l’Administration de l’hôpital la prolongation légale de trois ans de son contrat.
Depuis un an demi ce pharmacien était payé à ne rien faire.
Auparavant, depuis de nombreuses années, ce pharmacien hospitalier travaillait dans son laboratoire.
Jusqu'au jour où l’Administration de l’hôpital décide d’installer ce laboratoire à l’autre bout de l’hôpital. Ce "le labo, on me l'a enlevé ….. » dénonce ce pharmacien et depuis un an et demi il travaille« à ne rien faire » dans un bureau installé dans un bâtiment désaffectéaux fenêtres murées etau plafond éventré et il parait même que ce décor lamentable serait agrémenté de « cadavre de chauve- souris ».
. Ce"le labo, on me l'a enlevé ….. » dénonce ce pharmacien cette situation estla conséquence du déménagement de son laboratoire de pharmacie et de la "désorganisation hospitalière" estime ce pharmacien privé de son activité dont ne nom ne figure plus sur le papier à en-tête de l’hôpital.
Mais il perçoit toujours chaque mois son salaire d’environ 4000 euros
Quelles sont les raisons de cette situation irrégulière ?
D'après les médias qui se sont interrogés sur cette situation pour le moins irrégulière, que certains considèrent comme un acharnement contre ce pharmacien,il existerait un très ancien contentieux personnel entre cette personneet « certaines autorités ».
Le directeur des affaires médicales de l'hôpital Purpan conteste formellement « cet acharnement » en reconnaissant qu’il y a eu quelques « désaccords », et en prétendant que "plusieurs propositions de missions " lui ont été faites, mais qu’ "il les a toutes refusées".
Quant aux conditions de maintien du pharmacien hospitalierdans ce bâtimentdésaffecté,pour le Directeur des affaires médicales c'est simple: "Il a refusé toutes les propositions de relocalisation." ....... le 5 décembre prochain, "il sera rayé des cadres."
Qui dit vrai ? Qui à tort ? Qui a raison ?
Comment accepterqu’une situation irrégulière perdure depuis plus d’un an etdemi dans un Etablissement hospitalier ? La positionlaxiste du directeur médical qui tardivement se révèle intransigeante, etcelle du pharmacien payé « à ne rien faire »qui en dépit de son inactivité et de son installation dans un bâtiment désaffecté a demandé une prolongation qui lui a été refusée, sont tout autant critiquables l’une que l’autre et relève d’un folklore qui ne serait pas admis dans une entreprise privée.
Mais puisque c’est la Sécurité sociale qui cashe pourquoi se gêner ?
Pourtant l’Hôpital Purpan n’est pas une petite unité obscure et devrait être soumis à des contrôles d’autant plus rigoureux que sa réputation médicale soutenue par des actions de communication est présentée comme excellente. Il est regrettable de supposer que sa réputation administrative le soit moins d’après ce que nous venons d’apprendre.
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Information : en savoir plus sur l’Hôpital Purpan - Place du Docteur Baylac – Toulouse - :
L’Hôpital Purpan est un établissement pavillonnaire, situé au nord ouest de Toulouse, dont la construction date de la 1ère moitié du XXe siècle. Il regroupe de nombreux pôles médicaux et chirurgicaux destinés aux malades adultes autour d’un plateau technique complet bénéficiant de matériels médicaux de dernière génération, un service d’accueil des urgences adultes (S.A.M.U.) ouvert 24h/24h et des services de soins proposant toutes les modalités de recours aux soins adaptées aux besoins de la clientèle : hôpital de jour, de semaine, chirurgie ambulatoire, hospitalisation et nutrition à domicile, consultations et réseaux de soins.
L’établissement est également un pôle de recherche important accueillant des unités de l’INSERM, une unité du CNRS ainsi que des structures spécifiques comme le Centre Antipoison et de Toxicovigilance, le Centre de Consultations Maritimes Médicales, l’Institut Européen de Télémédecine et le Centre Régional de l’Hémophilie.