* Lucienne Magalie Pons et ses collaborateurs vous souhaitent la bienvenue *
Relais d'informations générales et politiques - notes d'opinion, et autres nouvelles -
Alors que les forces françaises au Gabon effectuaient avec les forces gabonaises "un exercice de coordination d'opérations de sécurisation maritime,un hélicoptère militaire français s'est abîmé en mer samedi au large du Gabon, avec 10 militaires français à son bord,
Nous sommes désolés d’apprendre qu’un hélicoptère militaire français s'est abimé en mer avec 10 militaires portés disparus, qui se trouvait à son bord , avant tout nous pensons à l’inquiétudes des familles et nous tenons à informer nos lecteurs des circonstances de cet accident.
L'appareil, un Cougar, s'est abimé vers 20h (19h GMT).
"Il y avait bien 10 personnels à bord, tous Français. Pas de Gabonais", selon l’AFP
Dans un communiqué l’Elysée a indiqué : "Le Président de la République vient d'être informé du crash en mer d'un hélicoptère français avec 10 personnels militaires français à bord, au large du Gabon, alors qu'il participait à un exercice bilatéral",...... Le président Nicolas Sarkozy "a demandé que tous les moyens disponibles sur zone soient immédiatement engagés pour retrouver les militaires qui se trouvaient à bord", déclare le communiqué.
Lelieutenant-colonel Pascal Carpentier a déclaré à l’AFP : «L'hélicoptère s'est abimé au large de Nyonié", une petite localité située entre Libreville et la ville portuaire de Port-Gentil (sud). Nous continuons les recherches. Nous n'avons pas de nouvelles pour le moment, mais les conditions ne sont pas très favorables avec une nuit sombre"(1)....."Nous avons mis tout ce que nous avons comme moyens sur l'opération. Il y a notamment des moyens aériens et le navire « La Foudre » un transport de chalands de débarquement..... "Nous avons également fait appel à la société pétrolière Total qui a mis trois navires à disposition", a précisé le lieutenant-colonel.
(1)Au moment de cette déclaration des orages s'abattaient sur la région,
M. Sarkozy qui doit co-présider ce jour dimanche avec Hosni Moubarak un sommet international sur Gaza à Charm el Cheikh (Egypte) et se rendre ensuite à Jérusalem pour s'entretenir avec le Premier ministre israélien Ehud Olmert, a demandé au ministre de la Défense Hervé Morin de se rendre immédiatement sur place au Gabon.
L’administration sortante de Bush déclare la guerre du Roquefort à la France et à L’Europe !
« C’est inadmissible, aberrant, révoltant et scandaleux ! » telles sont les principales premières réactions des personnalités et organismes concernés qui n'en resteront pas là, quand à Michel Barnier, Ministre de l’Agriculture, il a jugé pour sa part que c’était « injustifié ».
. Lafilière de production duRoquefortrecouvre4500 producteurs de lait de brebis, plus de 2000 salariés qui travaillent pour sept fabricants de roquefort, et concerne l'économie de six départements du Sud-ouest (Aude, Aveyron, Tarn, Lozère, Hérault, Gard).Ajouter à cela les filières induites, emballages, transports etc. ... qui sont des sources d’emplois non négligeables.
En 2007, 3800 tonnes de roquefort ont été exportées à l'étranger, sur un total de 19 000 tonnes commercialiséesAu niveau des exportations françaises, surune centaine de pays, les Etats-Unis arrivent en troisième position, derrière l'Espagne et l'Allemagne.
De nombreuses et très pertinentes protestations se sont élevées contre la récente annonce visantle régime des droits d’importation aux Etats-Unis, faite Jeudi par Susan Schwab, représentante américaine au Commerce, avec pour principale cible le roquefort dont les droits de douane triplés, par ailleursde nouveaux produits sont taxés, dont différents produits carnés, eaux minérale ou gomme à mâcher.
Cette sanction, prise jeudi en rétorsion à la poursuite de l'interdiction par l'Union européenne du bœuf aux hormones américain en vigueur depuis 1988, a été jugée "injustifiée" par le ministre français de l'Agriculture, Michel Barnier.
.C’est à juste titre et sans mâcher ses mots et un accent bien de chez nous,queLa Confédération paysanne adénoncévendredi que ces pratiques étaient "inadmissibles", appelant le gouvernement français et l'Union européenne à "ne pas céder".
Dans un communiqué clair et net, le syndicat demande au gouvernement français et à l'Union européenne de "ne pas céder, comme ils l'ont fait jusqu'à aujourd'hui, à la pression mise par les États-Unis et de protéger les consommateurs européens qui ne souhaitent pas être confrontés à des produits alimentaires aux qualités sanitaires plus que douteuses que sont aujourd'hui le bœuf aux hormones et le poulet javellisé, et que seront demain les animaux clonés".
Pour la Confédération Paysanne que je rejoins dans sa dénonciation contre ces pratiques inadmissiblesl’objectif des Etats-Unisest clair « ....... mettre la pression sur l'Europe pour que le bœuf aux hormones, puis le poulet chloré, puissent accéder au marché européen »
La Confédération paysanne "exhorte le gouvernement français à soutenir les producteurs concernés par ces mesures de rétorsion pour éviter qu'une fois de plus, les paysans soient les victimes collatérales d'un bras de fer entre les USA et l'Europe".
Le syndicatpar ailleurs attend du nouveau président des États Unis, qui se revendique d’une « nouvelle gouvernance mondiale » qu'il renonce à ce genre de pratique "
C’est aussi dans ce sens que Martin Malvy, (PS), président de la région Midi-Pyrénées a annoncé qu'il venait d'envoyer à Barak Obama un "colis prestige" d'un fromage entier, soit plus de 2 kilos, en cadeau pour son investiture, accompagnée d'une invitation à venir visiter sa région.
« L'investiture de Barack Obama est porteuse de grands espoirs », a déclaré Martin Malvy, « notamment d'une meilleure relation entre les Etats-Unis et l'Europe. Dans ce contexte, la mesure annoncée du triplement des droits de douane sur le Roquefort est incompréhensible. J'ai donc adressé ce produit prestigieux de l'agriculture midi-pyrénéenne au président Barack Obama en lui demandant que, dès mardi, la nouvelle administration américaine réexamine ce dossier avec plus d'intelligence ».
Et toujours dans la même démarche de défense des producteurs et exportateurs de Roquefort et de la région qu’il préside où est fabriqué ce délicieux fromage, Martin Malvy a aussi adressé une lettre au Président Obama :
Monsieur Barack OBAMA
President
1600 Pennsylvania Avenue NW
THE WHITE HOUSE
WASHINGTON, DC20500 UNITED STATES OF AMERICA
Monsieur le Président,
Il y a quelques semaines, je me permettais de vous adresser mes félicitations, en vous disant combien nous étions heureux de votre élection à la Présidence des Etats-Unis.
Je viens vers vous aujourd'hui pour vous demander de bien vouloir aider l'économie de la Région au nom de laquelle je m'exprimais.
Votre prédécesseur et son administration viennent de prendre la décision d'augmenter de 300% les droits de douanes concernant le fromage de Roquefort en riposte aux mesures prises par l'Union européenne d'interdire l'entrée du bœuf aux hormones en Europe.
Le Roquefort est un fromage produit en France plus précisément en Aveyron, dans la Région Midi-Pyrénées que je préside.
C'est un produit qui ne peut être fabriqué dans aucune autre partie du monde, car il répond à un cahier des charges drastique, spécifique, naturel et très local. C'est devenu avec le temps et le travail des personnes qui en vivent, une économie indispensable à cette partie très rurale de la France.
La Région Midi-Pyrénées est précurseur dans ce domaine et travaille depuis de nombreuses années sur la production de qualité de ses produits agricoles.
Aussi, je considère que la mesure prise par les États-Unis est injuste. Le fromage de Roquefort est devenu l'otage involontaire des accords internationaux en matière d'importations et d’exportations des produits agricoles.
Monsieur le Président je souhaite vous offrir à l'occasion de votre investiture, un fromage de Roquefort afin que vous puissiez en apprécier toute la qualité, mais surtout pour vous demander de bien vouloir revenir sur cette décision, en souhaitant, à l'occasion de l'un de vos voyages en France pouvoir vous accueillir dans cette région et vous en présenter ses spécificités dans le secteur agro-alimentaire notamment, dont le Roquefort constitue depuis des générations l'un des produits les plus emblématiques.
Je reste persuadé qu'une discussion avec l'Europe au sujet de vos exportations est possible.
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à l'assurance de mes sentiments distingués.
Martin MALVY
Thierry Zurcher, Le directeur de "Roquefort Société", président de la Fédération des industriels de la filière brebis, regrette la décision américaine. "C'était un marché plutôt prometteur. On avait déjà fait 700 tonnes il y a quelque temps, et on pouvait atteindre les 1000 tonnes, normalement." ......."Ca aurait été notre premier marché à l'exportation. Il y a un véritable intérêt pour le roquefort aux Etats-Unis, et donc on est en train de casser tout ça", a-t-il déploré sur France-2.
Dans un communiqué, Philippe Folliot, député NC du Tarn,va encore plus loin, il dénonce "une décision injuste, révoltante et scandaleuse". "Dès aujourd'hui, j'écris au nouveau président des Etats-Unis d'Amérique, M. Barack Obama, pour lui demander, dès le 20 janvier, date de sa prise de fonction, de revenir sur cette décision. Par ailleurs, je saisirai directement le président de la République Nicolas Sarkozy lors d'une rencontre prévue mercredi prochain pour que, de son côté, il intervienne auprès de l'administration américaine", affirme-t-il.
En Aveyron, région productrice de Roquefort, l’'ensemble de la communauté politique et économique a commencé à organiser la riposte après l'annonce par l'administration américaine frappant le Roquefort.
Robert Glandières, Président de la Confédération Générale des Producteurs de Roquefort, a déclaré à Reuters vendredi : "Ça ne pourra pas se passer ainsi et il y aura des actions symboliques, déjà, si cette décision est confirmée" ...... "Nous allons réagir et nous organiser, sachant toutefois que c'est sûrement par la diplomatie et avec le soutien de nos pouvoirs publics qu'on trouvera une solution", a t-il ajouté.
Ndlr : il faut souhaiter en effet queles pouvoirs publics remuent leurs fesses un peu plus qu’ils ne l’ont fait jusqu’à présent pour défendre nos producteurs et exportateurs, pour le moment, toutefois, rappelons que cette sanction, prise en rétorsion à la poursuite de l'interdiction par l'Union européenne du bœuf aux hormones américain en vigueur depuis 1988, a été jugée "injustifiée" par le ministre français de l'Agriculture, Michel Barnier, appréciation assez tiède à mon avis.
Les producteurs sont outrés de jouer les boucs émissaires pour une situation qui leur échappe.
"Nous sommes lassés, aussi, de passer pour un symbole auprès de l'administration américaine. D'ailleurs, c'est peut-être pour se faire plaisir que l'administration Bush, avant de partir, a pris cette ultime décision. Sans doute parce que nous lui avions résisté", a conclu Robert Glandières.
Ndlr : C’est l'administration Bush sortante qui a pris la décision de s’offrir entre autres desserts notre Roquefort à nos dépends.
Le Mairede Millau, Guy Durand(PS)s’associe bien évidemment à toutes les protestations etil l’a bien fait entendreen déclarant à Reuters : "Nous allons essayer d'organiser notre riposte car nous ne pouvons rester sans réagir".
"La mise en place de cette mesure ne sera effective qu'au 23 mars prochain. D'ici là, la nouvelle administration américaine voudra peut-être redevenir raisonnable et ne pas se servir encore de nous comme d'un symbole", asouligné Guy Durand. ......"Si ce n'est pas le cas, alors notre réaction sera vive, solidaire et organisée, donc efficace", a t-ilprévenu.
Les éventuels boucs émissaires de la « guerre du Roquefort » redoutent d'ores et déjà des manifestations locales . .
"Ça recommence ! ", s'estlamenté Marc Dehani, directeur du McDonald's de Millau, qui avait été saccagé au printemps 1999 à la suite d'une précédente décision américaine de ce genre.
"Je veux rester raisonnable mais il ne faudrait pas que tout dérape de nouveau. Je n'ai rien à me reprocher. Je ne vends pas de Roquefort et tous mes produits sont issus de l'agriculture française. Je ne peux pas faire mieux!", a-t-iltenu à préciser.
Espérons qu’il sera entendu, en effet il est regrettable de saccager des commerces qui ne sont pour rien dans les décisions américaines et dans la platitude de réaction des pouvoirs publics.
Nous ne pouvons pas terminer ce survol de la « guerre du Roquefort » sans faire état de la position d’un fin connaisseur en la matière, Monsieur José Bové, ancien leader de la Confédération Paysanne, dont on se souvient qu’il était à l’origine du saccage du McDonald’s de Millau, militant reconnu et actif de la lutte contre la "malbouffe" qui avait défié les Etats-Unis en 1999 en introduisant « illégalement » quelques kilos de Roquefort pour les distribuer aux militants altermondialistes à Seattle, en marge d'une réunion de l'Organisation mondiale du Commerce (OMC) face à un McDonald's dévasté.
"Cette décision est aberrante, scandaleuse. Elle n'a aucun sens", a déclaré à Reuters José Bové,
.............. "Chaque pays a droit de protéger ses modes alimentaires et la France ne veut pas du bœuf aux hormones américain, même sous la menace ou le chantage. Il est clair que les hormones sont une menace pour notre santé", a t-il ajouté.
A l’adresse du McDonald’s de Millau il a tenu à le rassurer indirectement sous réserve d’un geste symbolique de la part de ce commerce : "Il n'est pas question, évidement, de retourner détruire le McDonald's de Millau mais il pourrait bien fermer symboliquement quelques temps pour montrer sa solidarité avec nous", a-t-il dit en annonçant des actions si la décision américaine est confirmée.
La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé son taux directeur à deux pour cent et ainsi réagi à la grave récession touchant la zone euro. La presse européenne débat d'une mesure qui doit aussi contrer la menace de déflation.
Le Monde - France Le quotidien Le Monde analyse les répercussions de l'abaissement du taux directeur : "La baisse des taux d'intérêt est un soutien immédiat au secteur financier, mais elle met traditionnellement de six mois à un an à se diffuser à l'économie. Dans la période de crise et de peur du risque actuelle, l'effet entraînant de la baisse des taux d'intérêt pour l'activité est cependant diminué. ... La baisse des taux a aussi un impact psychologique sur les acteurs financiers et économiques. C'est l'aggravation de la crise dans la zone euro qui a forcé la BCE à abaisser à nouveau le loyer de l'argent, alors qu'elle semblait encore, en décembre 2008, vouloir se donner davantage de temps. ... Une baisse de l'écart de taux d'intérêt entre la zone euro et ses partenaires est aussi une indication pour le taux de change de l'euro face aux autres monnaies : l'euro est moins attrayant qu'auparavant, car moins rémunérateur." (15.01.2009)
die tageszeitung - Allemagne La baisse des taux directeurs à 2 pour cent est une mesure insuffisante, assure le quotidien die tageszeitung qui considère que la Banque centrale est confrontée à un dilemme : "La Banque centrale craint manifestement de perdre tout liberté d'action si elle baisse trop ses taux. En effet, comme chacun sait, les taux ne peuvent pas descendre sous la barre du zéro. La Banque centrale est ainsi prise dans un dilemme : si elle baisse faiblement ses taux, elle n'obtient aucun résultat. Si elle se hasarde à réduire les taux à zéro, elle est d'emblée impuissante. Elle ne pourrait alors plus que recourir à des méthodes absolument peu orthodoxes, comme c'est déjà le cas aux Etats-Unis, et par exemple soulager les banques de leurs titres sans valeur. Mais par sa prudence, la Banque centrale européenne montre qu'elle est dorénavant impuissante. La seule baisse des taux ne suffira pas à stimuler l'économie." (16.01.2009)
ABC - Espagne Le quotidien conservateur ABC ne croit pas aux répercussions directes de l'argent bon marché : "La Banque centrale européenne a abaissé hier le prix de l'argent à deux pour cent et les experts n'excluent pas l'éventualité d'autres baisses dans les mois à venir. Avec l'argent bon marché, on tente de relancer les investissements et la consommation. C'est une tâche difficile, car le crédit, malgré la baisse des taux, ne parvient toujours pas aux familles et aux petites et moyennes entreprises." (16.01.2009)
Financial Times - Royaume-Uni Le journal économique Financial Times s'interroge sur les conséquences d'un éventuel abaissement à zéro du taux directeur dans la zone Euro : "Il devient de plus en plus probable que l'Europe soit contrainte de mettre en œuvre des mesures politiques non-conventionnelles. Si le taux directeur devait être de zéro, un assouplissement monétaire de la BCE obligerait à acheter des biens patrimoniaux incorporels et à créer par là même des obligations pour les gouvernements de la zone euro. Il n'existe cependant pas d'autorité fiscale unique grâce à laquelle la BCE pourrait coordonner une telle action. Au contraire, il en a seize qui se trouvent toutes dans des situations différentes et qui ont à gérer leurs propres problèmes. Pour cette raison, les gouvernements de la zone euro auront besoin le mois prochain d'un plan pour le cas où le taux atteindrait la barre du zéro pour cent. Ils devraient laisser à la BCE la direction des opérations de politique monétaire et fixer des paramètres raisonnables dans le cadre desquels elle pourrait agir. L'Europe doit rester unie." (16.01.2009)
De Standaard - Belgique Le quotidien De Standaard se penche sur les conséquences de la baisse des taux de la BCE et sur les plans de plusieurs milliards destinés à relancer la conjoncture. "Personne ne peut dire avec certitude si ces mesures apporteront une solution rapide. Mais personne n'a de meilleure idée. Il est paradoxal que nous devions mettre un terme à une crise qui est apparue car des crédits trop bon marché ont été octroyés trop vite, en contractant encore plus de dettes. Il y a le risque que l'on crée une montagne de dettes qui ralentira la croissance sur le long terme. ... Il serait délirant que nous [la Belgique] mettions en circulation de l'argent non disponible - exactement comme les grands pays. Nous savons seulement que les décennies à venir nous accableront d'un fardeau de dettes insupportable." (16.01.2009)
Un article de Michel Mahler du Site « Le Réveil des Marmottes »
Gaza: Trêve de 4 heures, 1 133 palestiniens tués *
* ndlr : *depuis le 27 décembre
Vendredi 16 janvier 2008
Une trêve de 4 heures a été accordée par Israël à Gaza. Depuis le 27 décembre, début de l'offensive israélienne sur la bande de Gaza, 1 133 Palestiniens ont été tués dont 355 enfants et 100 femmes et plus de 5 130 ont été blessés. Près de 70% des victimes de cette guerre démesurée menée par Tsahal pour soi-disant éliminer le Hamas sont des civils. L'Assemblée générale de l'UNU a condamné les bombardements d'hôpitaux et d'un bâtiment de l'ONU abritant la presse. Miguel d'Escoto, le président de l'Assemblée, a énuméré les violations du droit international par Israël sur la bande de Gaza: «punition collective, usage disproportionné de la force et attaque de cibles civiles dont des maisons, des mosquées, des universités et des écoles». Jeudi, l'hôpital Al-Quds à Gaza était ravagé par les flammes.
Selon des responsables de l'établissement, l'incendie a été provoqué par des obus au phosphore. Une pluie de bombes est tombée de 22 heures à neuf heures du matin. Tsahal, l'armée israélienne, a bombardé partout autour de l'hôpital. Personne ne pouvait sortir, lorsque l'hôpital a brûlé, ce fut l'horreur et l'eau était coupée. L'Assemblée de l'ONU, réunie d'urgence à la demande des pays non-alignés (118 sur 192), veut exiger le respect de la résolution 1860, l'appel au cessez-le-feu à Gaza, lancée par le Conseil de sécurité. Hélas, contrairement à celles Conseil de sécurité, les résolutions de l'Assemblée ne sont pas contraignantes. Israël a tenté d'empêcher la réunion mais sa requête a été repoussée. Miguel d'Escoto a regretté que la résolution 1860 adoptée le 8 janvier ait été ignorée par Israël: «Gaza brûle ! Il est paradoxal qu'Israël, qui doit son existence même à une résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies (en 1948), fasse preuve d'autant de dédain pour les résolutions de l'ONU...» Le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, a rejeté la résolution en revendiquant «le droit sacré d'Israël à protéger la sécurité de ses concitoyens»...
Afin de légitimer le droit fondamental d'Israël de défendre ses citoyens,Gabriela Shalev, ambassadrice d'Israël à l'Assemblée, a accusé celle-ci de se réunir «de manière cynique, haineuse et politisée».
Mohammad Khazaee, son collègue iranien, estime lui «que les actes d'Israël à Gaza sont un génocide et des crimes contre l'Humanité... L'État Hébreu n'est pas qualifié pour être membre de cette organisation...» Hamidon Ali, l'ambassadeur de Malaisie, a appelé à l'adoption d'une résolution prévoyant «l'établissement d'un tribunal pour poursuivre les responsables de crimes de guerre et des sanctions contre Israël en cas de non-respect».
La réunion avait commencé alors que l'entrepôt de l'agence de l'UNRWA (l'aide aux réfugiés palestiniens) était en feu à Gaza-ville après avoir été touché par des obus israéliens. Des dizaines de tonnes d'aide humanitaire ont été détruites. Le bombardement a été condamné par la communauté internationale, par Ban Ki-Moon, le secrétaire général de l'ONU, par les membres de l'ONU et par Martin Palous, l'ambassadeur tchèque, au nom de l'UE.
L’actualité du Moyen Orient très brulante ne m’a permis de relater le mini remaniement ministériel de notre Gouvernement, intervenu le Jeudi 15 janvier, le lendemain du Conseil des Ministres.
Il est temps d’examiner la question.
Comme les médias et les politiques « bien informés » le supposaient depuis plusieurs jours, Eric Besson remplace Brice Hortefeux à l'Immigration et Brice Hortefeux est doté en ces temps de crise du portefeuille des Affaires sociales en remplacement de Xavier Bertrand.
Xavier Bertrand quitte le Gouvernement pour exercer ses talents à la tête de l’UMP, à savoir réorganiser le parti majoritaire, certains disent pour y faire cesser les prises de becs, les divisions, les dissensions et les querelles internes, en deux mots remettre de l’ordre et de la discipline dans le parti, en recadrant les partisans et militants dans une pensée et un langage unique, tous alignés sur le front du combat pour les prochaines élections Européennes. Mission difficile dans laquelle il sera vraisemblablement aidé par Eric Besson qui devrait obtenir un poste de secrétaire général adjoint à l’UMP.
Une petite surprise, Nathalie Kosciusko-Morizet quitte le Ministère de l’Environnement et remplace Eric Besson à l'Economie numérique, comme Secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Selon le premier ministre NKM aurait «accepté avec enthousiasme» sa nomination comme Secrétaire d’Etat à l’Economie numérique.
Le frère de Nathalie Kosciusko-Morizet, Pierre Kosciusko-Morizet, fondateur et directeur du site de vente en ligne Price Minister.com et président de l'Association française pour le commerce et les services en ligne, a fait savoir par la suite que sa sœur était parfaitement compétente en matière d’Economie numérique et il est évident qu’il puisse s’en réjouir.
Pour le moment personne n’a été nommé pour remplacer Nathalie Kosciusko-Morizet au secrétariat d'Etat à l'Ecologie. Jean Louis Borloo a fait savoir que le poste devrait être pourvu rapidement.
Christine Boutin perd une partie de ses attributions et dans la foulée sa secrétaire d'Etat Fadela Amara, « avec facilité » selon François Fillon en veine de confidence, ce qui a été interprété par certaines mauvaises langues médiatiques comme l’illustration d’une certaine inimitié entre ces deux dames.
En conséquence, Madame Christine Boutin Ministre du Logement et de la Ville avant le mini remaniement, perd « la ville » et devient Ministre du Logement, et c’est le Ministère du Travail qui s’étoffe de trois secrétariats d’Etat, la Politique de la Ville avec Fadela Amara, Solidarité avec Valérie Létard et Famille avec Nadine Morano.
Rappelons que la responsabilité de la Jeunesse qui était auparavant en charge de Bernard Laporte et de Roselyne Bachelot, se trouve depuis quelques jours sous l’autorité de Martin Hirsch, qui par suite cumule ses responsabilités de Haut Commissaire aux Solidarités actives avec celle de la Jeunesse. Pour remonter en décembre, Jean-Pierre Jouyet avait été remplacé par le villepiniste Bruno Le Maire au poste de secrétaire d'Etat aux Affaires européennes.
Ce mini remaniement apparait comme un simple déplacement de pions sur l’échiquier Gouvernemental puisque aucune nouvelle personnalité extérieure n’est entrée pour le moment dans le gouvernement.
Finalement l’incidence de ce mini remaniementest beaucoup plus significative pour l’UMP qui hérite à sa tête de Xavier Bertrand, comme quoi nous venons d’assister à un mini remaniement orchestré dans l’intérêt du parti majoritaire dont la remise au pas était devenue impérative et qui manquait d’un « Chef »pour organiser une marche unie à l’approche des élections européennes.
Comme quoiune équipe ministérielle peut être remaniée par le fait du Prince dictateur au profit de son parti majoritaire
Reste une autre étape à franchir pour un remaniement ministériel plus important qui devrait stratégiquement intervenir selon certains avant les élections européennes de Juin et selon d’autres, à mon avis plus pertinents, après les élections européennes de Juin.
20 minutes m’a refusé un droit de réponse pour un article dans lequel j’étais citée suite à une interview
Depuis quelques jours je suis en relation par mail et téléphone avec le Journal 20 minutes édition de Paris , qui me refuse un droit de réponse à la suite d’un article qu’il a publié en date du 7 janvier 2008sous la signature de Rémi Laporte et dans lequel je suis citée et représenté en photo.
Pour ceux qui me connaissent bien je vends en salle méditerranée à la Gare de Lyon à Paris, sous le statut de colporteur de presse déclarée à la Préfecture de Police, avec l’autorisation de la SNCF Gare de Lyon depuis décembre 2000 un magazine mensuel Macadam, quelques heures par jour, sous le statut de colporteur.
Il m'arrive aussi d'écrire assez souvent des articles gratuitement pour le Journal Macadam sous la signature Lucienne Magalie Pons ou simplement Magalie.
Je réserve une partie des maigres bénéfices que me procure cette vente pour aider des personnes en difficultés, ne pouvant disposer pour cela de ma pension de retraitée que je réserve à mes frais d’existence loyers, impôts et dépenses courantes et à ma famille en tant que de besoin.
Je suis heureuse d’avoir trouvé cette solution qui me permet de disposer d’un supplément modeste et d’agir directement en distribuant du linge ou de la nourriture à des personnes en difficultés qui en ont besoin, c’est une action directe qui me permet d’être sure que ce que je peux donner, même pas grand-chose, profite directement aux intéressés.
Pour en revenir à l’article publié le 7 Janvier 2008 par 20 minutes sous la signature de Rémi Laporte il comporte deux inexactitudes principales
1°) il prétend que le Journal n’était plus vendu depuis deux ans : c’est inexact
Monsieur Rémi Laporte m’a fait savoir qu’il s’est fié à un dossier de presse qui lui aurait été remis par les responsables de Macadam, sur ce point je ne doute pas de sa bonne foi.
2°) et ensuite il prétend que c’est pour rompre la solitude que je vends un journal, cette dernière affirmation n’es pas exacte, j’avais parfaitement indiqué à Rémi Laporte que j’avais été toujours été très entourée avant ma retraite et avant cette petite activitéet que j’avais souhaité continuer à me trouver entourée et en contact avec le monde plutôt que de rester chez moi.
Sur ce point Monsieur Rémi Laporteà fait confusion entre « solitude » et mon intention de l’époque de rester entourée.
Voici doncreproduit ci-dessous l’article que je conteste :
1°) reproduction de l'article de 20 minutes du 7 janvier signé Rémi Laporte :
Social .Disparu depuis deux ans le journal de rue reprend du service
« Macadam » redonne de la voie
« Après deux ans d'absence, il est réapparu lundi à Paris, métamorphosé. Pour son numéro « renaissance », le premier journal de rue en France, a changé sa présentation et établi un partenariat avec Reporters d'Espoir, qui a rédigé un cahier spécial de huit pages. Les vendeurs, qui touchent 1 euros sur les 2 que coûte le journal, sont le plus souvent des travailleurs précaires. Parfois même, c'est pour rompre la solitude qu'ils ont choisi d'être colporteurs, comme Lucienne Pons, retraitée de 74 ans. Elle a vendu ses premiers Macadam en 2000. Aujourd'hui, elle vient quatre heures par jour à la gare de Lyon. Non sans fierté, elle explique : « A force, les gens me connaissent. »
Si la plupart des vendeurs étaient des SDF lors de la création du journal en 1993, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Lucienne note toutefois que « beaucoup font encore la confusion entre vente de journaux et mendicité ». Pour cette nouvelle formule du mensuel, les vendeurs seront fréquemment invités à donner leur avis et même à écrire dans le journal. Pour cela, des ateliers d'écriture, encadrés par des journalistes, sont organisés. Lucienne confie qu'elle s'est « très vite impliquée dans l'écriture ». Elle est convaincue de « l'impact social du journal ». Actuellement, une soixantaine de vendeurs travaillent pour le mensuel présent dans de nombreuses villes de France. Mais à Paris les vendeurs font défaut. Pourtant, la seule qualité requise est une volonté de fer. Deux autres journaux sont vendus dans la rue : L'Itinérant et Sans Abris, « mais leur vocation n'est pas la réinsertion », selon Macadam.
■Renseignements sur www.macadamjournal.com ou au 06 73 34 64 28 auprès d'Olivier Desmoulins.
Rémi Laporte
EXPLICATIONS : je n'étais pas d'accord avec l'interprétation de Rémi Laporte sur quelques points comme je l’ai déjà expliqué plus haut.
En effet l'’article de Monsieur Rémi Laporte comporte des inexactitudes tant en ce qui concerne Macadam qui n'a jamais cessé d'être édité et vendu, qu’en ce qui me concerne personnellement.
Je suis entrée en contact le 13 Janvier, avec le Journaliste signataire de l’article par mail et par téléphone pour obtenir un droit de réponse qui m’a été refusé par ce journaliste le 15 janvier 2008 par e mail
Je passe sur une autre affirmation écrite dans l'article : « non sans fierté elle explique « A force les gens me connaissent ».... et pour rétablir la vérité je dois dire que j’éprouve de la reconnaissance pour les personnes qui m’achètent le Journal et qui en effet me connaissent, et qu’il ne s’agit pas de fierté mais de gratitude, ce serait inconvenant pour une personne de mon éducation qui n’a pas à être rehaussée par qui que ce soit et qui se suffit à elle-même en toute simplicité. Enfin l’expression qui m’est prêtée « A force ........ » N’est pas dans mon vocabulaire !Mais ce n’est pas sur ce dernier point que portait ma demande de droit de réponse.
Voici ci-dessous le texte droit de réponse que j’avais avais soumis par mail à Monsieur Rémi Laporte et 20 minutes le 14 Janvier : Paris, le 14 janvier 2008 Messieurs, Vous avez publié le 7 janvier 2008 un article dans votre rubrique « social » signé par Rémi Laporte sur le Journal Macadam dans lequel vous me citez puisque j’étais interviewée par Rémi Laporte à la demande de F. Fillon l’un des responsables de la rédaction de Macadam,
1°) Dans cet article vous indiquez en titre : « Disparu deux ans,....le journal reprend du service » et cette indication est aussi reprise en début d’article.
Cette indication estfausse, le journal est édité et vendu depuis plusieurs années à Paris et dans d’autres villes sans interruption depuis bien plus de deux ans. J’avais pourtant indiqué à Rémi Laporte que la vente du Journal n’avait jamais été interrompue.
Certains de mes clients réguliers m’ont questionné et me soupçonnent maintenant d’avoir vendu depuis deux ans un journal « édité au noir et vendu au noir » et ne se sont pas gênés de venir me le reprocher : c’est très grave.
2)° Rémi Laporte écrit ensuite dans cet article que c’est pour rompre la solitude que je vends le journal, c’est encore faux, je lui ai indiquée que dans mon travail avant ma retraite j’avais été très entourée et que c’est pour continuer à l’être que je n’ai pas souhaité rester isolée chez moi, quand à mes motivations il les a passées à la ‘trappe’, alors que je lui ai expliqué que les petits revenus que me procurent le journal sont investis par mes soins pour aider des personnes en difficultés, ne pouvant le faire en utilisant ma pension de retraitée.
Je vous demande de publier ma présente lettre expressément comme un droit de réponse dans 20 minutes le plus tôt possible et de m’avertir par mail de la date de publication, puisque vous avez publié mon nom et ma photo. J’ai déjà consulté un avocat pour me protéger des suites éventuelles des indications fausses de votre article.
Meilleures salutations
lucienne.pons@wanadoo.fr
(fin du texte du droit de réponse qui m'a été refusé par le journaliste)
Voici le refus à ma demande de mon droit de réponse que j’ai reçu par mail :
> Message du 15/01/09 18:32
> De : "Rémi Laporte"
> A : lucienne.pons@wanadoo.fr
> Copie à :
> Objet :
>
>Madame,
>
>J’ai bien reçu vos différents mails et fais suivre comme convenu votre courrier à ma chef de service. Je tenais à vous informer qu’il ne sera toutefois pas possible de publier un droit de réponse. Je vous souhaite bonne continuation.
>
>Cordialement,
>
>Rémi Laporte
>
Et voici ma réponse à Rémi Laporte par mail :
Ma réponse à Rémi Laporte (J’ai supprimé ici l’adresse e mail de Rémi Laporte par mesure de respect de sa confidentialité)
"Rémi Laporte" .....................
date :
16/01/09 07:31
objet :
re:
voir l'en-tête complet
Date: Fri, 16 Jan 2009 07:31:22 +0100 (CET)
From: Lucienne PONS
Monsieur,
Je vous ai donné hier une première réponse très courte (‘ J’aviserai’) ne disposant pas du temps nécessaire pour vous répondre plus longuement
Je vaisdans un premier temps donner suite à cette affaire, disposant de nombreuses entrées tant dans les ministères concernés que par l'accès à des sites internet qui régulièrement me publient, sans parler de mes blogs personnels au nombre de trois, je vais m'employer à relater sobrement cette affaire pour informer de ce qui s'est passé et de votre refus de publier mon droit de réponse, preuve à l'appui, puisque certains de mes clients fidèles qui m'achètent régulièrement Macadamdepuis plusieurs années soit en Magazine soit en éditions de mots croises, sodoku et autres jeuxseront mes témoins.
Si dans un deuxième temps je devais faire l'objet d'une enquête par l'administration sur mon activité de ces dernières années, y compris des deux dernières en ce qui concerne la vente du journal Macadam, je confierais alors à mon avocat le dossier et il est certain qu'une actionet une procédure d'enquête serait engagée pour rétablir la vérité : à savoir que Macadam a été régulièrement édité et vendu par les vendeurs colporteursdepuis plusieurs années et y compris ces deux dernières.
Je dois vous préciser que Macadam est mon fournisseur, je ne suis par leur salariée, je vends ce journal comme tous autres vendeurs sous le statut de colporteur. Je seraisd'autant plus libre dans d'éventuelles actions en défense que je suis tout à fait en règle avec l'administration tant avec la SNCF gare de Lyonqui s'est aussi interrogée sur votre article et compte interroger les responsables de Macadam qu'avec la Préfecture de Police de Paris qui réglemente l'activité de Colporteur
J’ai fait le 15 décembre 2000, il y a donc presque 9 ans, la déclaration de mon activité qui a débuté à cette date à la Préfecture de Police de Paris, Direction de la Circulation des Transports et du Commerce, 1er BUREAU qui réglemente et contrôle l'activité de Colporteur (loi du 22 juillet 1881). A l'époque la Préfecture de Police délivrait un récépissé de déclaration et effectivement je possède ce document officiel portant mon nom et mon état civil et la mention "RECEPISSE DE DECLARATION n° 21270", document daté du 15 décembre 2000, tamponné par la Préfecture et signé "pour le Préfet de police et par attribution " par le Directeur de la Circulation de la CIRCULATION, DES TRANSPORTS ET DU COMMERCE DE L'EPOQUE.
Cette déclaration est toujours en cours devalidité comme je viens de m'en assurer par moi même en me rendant hier à la Préfecture de Police ou un employé a examiné mon récépissé.
Je veux bien croire que vous avez informée votre Chef de service, je ne mets en doute votre bonne volonté, je vais réfléchir plus avant à son refus de mon droit de réponse, j'ai trois mois pour agir. Je choisirai la voie ou les voies simultanément qui me conviendront le mieux soit politique, soit administrative, soit en informant les organismes officiels, je dispose de tous mes droits et suis honorablement connue et respectée et j'entends aussi me faire respecter.
Qui plus est ma famille est au courant et interviendra si nécessaire.
MEILLEURES SALUTATIONS
Ma conclusion et information supplémentaire àl’égard des lecteursde Macadam
Croyant certainement avoir affaire à une personne de modeste condition et sans moyens de défense 20 minutes n’a pas jugé nécessaire de m’accorder un droit de réponse.
Faut-il être en position haute dans la pyramide sociale pour obtenir un droit de réponse ?
Quant aux responsables de Macadam pour le moment ils n’ont pas réagit à mes demandes d’explications par mails ou téléphone, sauf en biaisant et répondant à coté de mes questions ou pour certain par le silence.
D’après Rémi Laporte Journaliste de 20 minutes( journaliste stagiaire m’a-t-il aimablement indiqué) il a puisé ses informations concernant Macadam dans un dossier de Presse qui lui aurait été remis par les responsables de Macadam. Je sais qu’ils se connaissent personnellement puisque j’ai eu l’occasion le jour de l’interview de les voir ensemble dans la Salle Méditerranée de la Sncf gare de Lyon à Paris ou je me suis trouvée moi-même en leur compagnie pendant quelques minutes pour nous présenter nos vœux (l’interview venait de se terminer et naturellement je ne savais pas la teneur de l’article qui ne devait être publié que le lendemain sans que j'ai pu le lire au préalable) .
Il n'en demeure pas moins que 20 minutes a refusé de faire droit à ma demande de droit de réponse, que leur rédaction n'a pas enquêtée sur les affirmations contenues dans le dossier de presse, et que ce Journal m'impose en quelque sorte le "fait du prince" d'un journal gratuit tenu dans des mains puissantes et pour qui Lucienne Magalie PONS n'est qu'une quantité négligeable dont on peut se passer d'accorder droit, mais que ce Journal 20 minutes a utilisé pour remplir un pavé avec des accents de gloire pour les responsables de Macadam et leur nouvelle initiative et avec un accent à mon sens de populisme social vulgaire qui n'était pas de mise à mon encontre.
Je dois aussi signaler que je n'ai jamais pu obtenir un contact par téléphone avec la Chef de Service de Rémi Laporte, qui serait Madame Magali Gruet, qui selon le mail de Rémi Laporte aurait été informée....
Information dont je n'ai aucune raison de douter, mais n'aurait-il pas été correct que cette dame m'exprime son refus elle même ? J'aimerais bien connaître le degré de considération *que cette responsable de rédaction accorde aux personnes interviewés par ses journalistes subordonnés et si les dossiers de presse qui lui sont soumis font l'objet de vérification sur la crédibilité de leur contenu informatif, par ses journalistes ou d'elle même ou si ils se contentent de retranscrire purement et simplement des affirmations inexactes.
* vu la manière dont j'ai été traitée ce degré de considération doit être positionné au dessous de 0