07 décembre 2012

ArcelorMittal : les syndicats restent murés dans leurs colère

Éditorial de lucienne magalie pons




La crise sociale chez Florange a été alimentée hier par l’annonce du retrait  d’ArcelorMittal de l’appel d’offre du projet Ulcos, ce qui ne signifie pas qu’ArcelorMittal  abandonne le projet Ulcos, comme  l’explique  le dirigeant de cette entreprise dans un communiqué de presse par lequel il  dit que  ceci est en parfaite cohérence avec ce qui figure   dans l’accord signé avec le Gouvernement Français et que  « Cela ne signifie en aucun cas l’abandon du projet Ulcos…. Cela signifie qu’aujourd’hui, dans l’état actuel des recherches, étant données les difficultés techniques rencontrées, le projet ULCOS remis dans le cadre de l’appel d’offre NER 300 – phase 1 – ne peut être mis en place."

Dans  le cadre l’accord signé avec le Gouvernement Français  Vendredi passé,    en ce qui concerne précisément  le   projet Ulcos, Monsieur Mittal  s’était  engagé  en précisant qu'il allait "continuer à travailler sur le projet de recherche et de validation technologique, en s'appuyant sur l'expertise du centre R&D de Maizières-lès-Metz".

Si les raisons techniques invoquées par Monsieur Mittal sont réelles, sa décision de retrait  d’ArcelorMittal du projet d’Ulcos de l’appel d’offre industriel Européen,  révèle  qu’un chef d’entreprise responsable et prévoyant  préfère retirer actuellement  son entreprise d’un appel d’offre    dans lequel  il se trouve en concurrence avec d’autres entreprises,  en  se réservant pour l’avenir d’y concourir à nouveau   quand les  difficultés de recherches et les difficultés techniques auront été surmontées.

Le projet de recherche Ulcos, est avant tout un projet d’avenir,   porté par un consortium de 48 entreprises européennes, dont ArcelorMittal.  Ce projet a  pour but de mettre au point un procédé de production de l'acier à la fois plus propre et plus efficace.

Ulcos repose sur deux composantes : d'une part, le recyclage d'une partie des gaz produits par les hauts-fourneaux et une alimentation de ceux-ci en oxygène pur, ce qui permet d'augmenter leur rendement ; d'autre part, la capture et le stockage du CO2 produit pour réduire l'impact environnemental. Les professionnels de la sidérurgie estimaient à 20 à 30% les gains de rendement qui peuvent en découler pour la production d'acier. Il  est  aussi censé permettre de réduire de 50% les émissions de CO2.

 Dans cette perspective,  le  site de Florange doit accueillir le démonstrateur industriel permettant de mettre au point le projet.


Le gouvernement voit dans ce "projet d'avenir" le futur du site sidérurgique, et a négocié sur cette base avec ArcelorMittal.


Les professionnels du secteur ont cependant  souligné qu'il faudrait au moins 18 mois avant que les essais ne puissent commencer, et qu'il ne s'agissait que d'un pilote pas nécessairement destiné à être pérennisé et que le   délai pourrait donc être encore plus long.


Enfin le   projet ULCOS  ne peut être mené à bout sans le financement Européen.


La  Commission  Européenne devrait  le financer à hauteur de 260 millions d'euros, soit 45% de l'enveloppe globale. Le reste se répartit entre l'Etat français (150 millions), les collectivités territoriales (30 millions) les membres du consortium Ulcos (130 millions).


La Commission  devait annoncer le 20 décembre les candidats retenus pour un financement européen parmi plusieurs projets similaires. 
ArcelorMittal avait  envoyé mercredi 5 décembre une lettre à la Commission pour l'informer de sa décision. Cette lettre, que  francetv info s’est procurée  évoque "cinq points critiques de technique et de sécurité" qui rendent "impossible de déployer immédiatement cette technologie à l'échelle industrielle".


Si les raisons techniques invoquées par Monsieur Mittal sont réelles, sa décision de retrait  d’ArcelorMittal du projet d’Ulcos de l’appel d’offre industriel Européen,   fait apparaître  qu’un chef d’entreprise responsable et prévoyant  préfère retirer actuellement  son entreprise d’un appel d’offre   dans lequel  il se trouve en concurrence avec d’autres entreprises,  en  se réservant pour l’avenir d’y concourir à nouveau   quand les  difficultés de recherches et les difficultés techniques auront été surmontées.


Et    finalement la  Commission européenne  a annoncé jeudi 6 décembre que le Groupe Arcelor Mittal  se  retirait  du  projet industriel Ulcos.

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"ArcelorMittal a informé la Commission qu'il retire le projet Ulcos à cause de difficultés techniques", a indiqué à l'AFP Isaac Valero, porte-parole de la Commissaire en charge du Climat, la Danoise Connie Hedegaard. "Ulcos pourrait concourir au prochain appel d'offres qui sera lancé l'an prochain", a-t-il précisé.


Pour autant le projet n’est pas abandonné  ont assuré Matignon et ArcelorMittal  à la suite de ces annonces,   en précisant qu’il souffrira, a minima d'un délai supplémentaire.


Matignon a  aussi souligné  qu'ArcelorMittal, "à la demande du gouvernement", s'était "engagé à poursuivre les travaux liés au projet Ulcos" et que l'accord passé avec Mittal vendredi sur Florange était "toujours valable".


Les  Syndicats représentants des salariés du site ont   fait part de leurs  doutes  et  de leur colère après l'annonce par la Commission européenne du retrait du projet Ulcos d'ArcelorMittal  de l’appel d'offres industriel européen,  en employant    des expressions excessives tirées de leur vocabulaire ordinaire : Mittal "a enfumé tout le monde" a réagi Edouard Martin, de la CFDT. "On a signé l'arrêt de mort de la filière liquide", a-t-il ajouté."Merci à Ayrault, c'est la signature de la trahison".


Toutes ces  écarts de langage sont  regrettables  de la part des syndicats qui se veulent les censeurs du jeu, nous comprenons leurs inquiétudes, mais faut-il vraiment pour les exprimer apporter des accusations de trahison à l’encontre de Jean-Marc Ayrault ? 



 "A partir d'aujourd'hui, on prend possession de l'usine, on va dans les hauts-fourneaux", a  ajouté  jeudi 6 décembre devant la presse à Florange (Moselle) Edouard Martin, un des leaders du syndicat CFDT d'ArcelorMittal, les larmes aux yeux. Des métallos CFDT ont menacé jeudi d'occuper les hauts-fourneaux du site sidérurgique lorrain, s'estimant une fois de plus trahis par le gouvernement et leur employeur.


De leur côté des salariés de l'usine ArcelorMittal de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) ont décidé de bloquer, jeudi, l'entrée des camions approvisionnant le site, en solidarité avec leurs collègues de Florange.
Par ailleurs Jeudi  , jour  de l’annonce du retrait d’ArcelorMittal  de l’appel d’offre industriel Européen,  le député PS Michel Liebgott  venu de Moselle et   des élus de Lorraine  pour rencontrer à Matignon le Premier ministre sur l'accord passé avec Mittal sur Florange,  ont été invité   à déjeuner  par Jean- Marc Ayrault, à ce repas participaient également  le Ministre du Redressement Productif  Arnaud Montebourg, et la ministre de l’Enseignement supérieur  Geneviève Fioraso 


Là encore on a pu voir le Député Michel Liebgott , à la sortie de cette rencontre,   dramatiser  la situation en employant des expressions et des mots que l’on n’attend pas  de la part d’un élu qui se respecte , il a déclaré notamment en autre qu’ils  ont  l’impression «  d’être entubés pour ne pas être plus vulgaire » … : 


«C'était assez tendu parce que la matinée a été terrible pour nous, puisqu'on a eu l'impression d'être pris pour des imbéciles par ArcelorMittal. On a eu l'impression, comme disait Edouard Martin (le syndicaliste CFDT), moi en tout cas, non pas d'être enfumés mais d'être entubés pour ne pas être plus vulgaire. Et donc on l'a dit au Premier ministre, qu'on ne l'acceptait pas».
Passons outre ces  excès vulgaire de langage qui salissent les élus  qui les prononcent,  et revenons à la déclaration de François Hollande qui lui en toute occasion s’exprime avec la dignité qui s’attache à son  rang..


Face à toutes ces turbulences  et vives critiques dont se font l’écho les médias  avides de polémiques ravivées par le retardement du projet Ulcos, François Hollande   a répondu aux questions des journalistes le  jeudi 6 décembre, lors de l'inauguration du nouveau site d'Emmaüs « Défi », chargée de l'insertion, dans le 19e arrondissement de Paris.


 Il a notamment  a affirmé d’une part ,  à propos de l'accord passé entre le gouvernement et le groupe sidérurgique,  que  les engagements seraient tenus .., et qu’il en serait le Garant, d’autre part concernant l'avenir des hauts-fourneaux, le chef de l'Etat a fait aussi la promesse de faire en sorte que "ce qui a été engagé aussi pour faire que le  projet Ulcos voie le jour auprès de l'Europe soit  mené à bien".


Voici ce qu’il a dit exactement :

« Le Gouvernement a pris des décisions, elles ne sont jamais faciles, ce sont des décisions courageuses qui permettent d’éviter un plan social à Florange, d’obliger l’actuel industriel MITTAL  à faire des investissements qui n’ont que trop tardés,  et à engager un plan Ulcos  qui doit permettre justement qu’il y ait un avenir pour la filère chaude.

« Je peux ici dire que ces engagements seront tenus,  et que j’en serai avec le Gouvernement le garant,.

« Je sais  les inquiétudes, les doutes , compte tenu du passé, compte tenu des manquements, j’ai vu la détresse et la colère, j’en mesure aussi les causes, mais ma responsabilité c’est de faire qu’il y ait un avenir pour Florange , et tous les engagements qui ont été pris seront tenus , et ce qui a été  engagé aussi pour faire que ce projet Ulcos voit le jour auprès de l’Europe sera mené à bien , j’en fait ici la promesse ;

« Merci. »


ooOoo

Les syndicats du Site de Florange qui font des hauts Fournaux de Florange le symbole de leurs doutes , de leurs inquiétudes et de leur colère,   devraient,  à notre sens, se rendre compte que  Florange n’est pas le centre sidérurgique du monde, leur site est situé dans un environnement européen et international dont il ne mesurent pas à leur niveau  de compétence les enjeux  et les difficultés qui reste à franchir  et dont ils ne sont pas les maîtres , ce n’est pas en accusant le Gouvernement qu’ils pourront régler des questions industrielles  sidérurgiques  industrielles  qui manifestement les dépassent,  et  dont seuls détiennent les clefs le Chef de l’Etat Français et ses homologues Européens.


Le  comportement des syndicats et des salariés serait plus constructif s’ils restaient  au côté du  Chef de l’Etat et  du Gouvernement et leur accordaient confiance,  avec les  respects qui  leur sont  dus par rapport à l’Etat et aux Institutions,  tout en restant vigilants sur le terrain pour,  si besoin,   avec l’aide et l’appui  du Gouvernement,  ramener Monsieur Mittal à ses promesses au cas où il s’en détournerait.

 On est plus fort  avec l’appui et l’aide d’un Gouvernement   que seuls et  isolés  sous les hauts fourneaux  à  préparer des "patates chaudes" et  à crier son désespoir la larme à l’œil  et les accusations à la bouche.


        ArcelorMittal. La pression monte encore d'un cran

Le Télégramme
 - ‎Il y a 1 heure ‎




Le feuilleton Florange a rebondi hier avec le retrait d'ArcelorMittal du projet Ulcos. «Écoeurés», les métallos menaçaient hier soir d'occuper les hauts-fourneaux. «À partir d'aujourd'hui, on prend possession de l'usine», a déclaré, visiblement ému, Édouard ...
Articles de fond :Florange : la crise s'aggraveLe Figaro

 

06 décembre 2012

UMP : Actualités du site "je veux revoter"

Éditorial de lucienne magalie pons



Pour information :

La pétition lancée par le site  www.jeveuxrevoter.fr  a  déjà recueillie  plus de 40 000 signataires (5..12.2012 )


Source : SITE www.jeveuxrevoter.fr

Bâtir notre avenir sur un socle démocratique solide

Tribune publiée dans le Figaro du 5 décembre


Nous, députés UMP, entendons défendre l’unité de notre groupe et notre famille politique.

Nous voulons exercer pleinement le mandat qui nous a été confié par des millions de citoyens français : nous opposer de manière constructive au gouvernement socialiste en place et proposer un autre avenir à la France.

Certains d’entre nous ont voté Jean-François Copé aux élections internes à notre parti ; d’autres ont voté François Fillon. Mais tous, nous nous sommes engagés dans ce processus électoral avec la volonté de donner un élan à nos valeurs et à nos idées.
Comme les militants, nous vivons douloureusement la situation actuelle et la création d’un second groupe à l’Assemblée nationale.

Nous continuerons donc à nous rassembler chaque semaine pour porter un message d’unité et de rassemblement de notre groupe et de notre mouvement, dont la diversité fait la force.

Nous voulons également tirer des leçons de ce scrutin manqué.

Nous voulons bâtir notre avenir sur un socle démocratique solide. Nous refusons le statu quo et espérons que les discussions entre Jean-François Copé et François Fillon pourront aboutir rapidement.

Nous appelons donc à redéfinir dans les trois mois les conditions d’organisation et de contrôle d’une nouvelle élection interne de notre parti, entraînant simultanément la reconstitution de l’unité du groupe.


Avec la campagne qui vient de se dérouler, nous avons fait naître un espoir parmi nos militants, nos sympathisants, et plus largement tous ceux qui veulent construire une alternative à la politique socialiste. Aujourd’hui la déception est immense. Pour que cette déception ne se transforme pas en colère, retrouvons la dignité.


Définissons ensemble un processus démocratique transparent, neuf, qui donne à notre président, à ses équipes, et par conséquent à toute l’UMP, une légitimité incontestable. A ce prix, nous retrouverons la confiance des Français.
Nathalie Kosciusko-Morizet et Bruno le Maire.



Les députés cosignataires :
Bernard Accoyer, David Douillet, Pierre-Morel-à-l'Huissier, Eric Woerth, Benoist Apparu, Edouard Philippe, Daniel Fasquelle, Martial Saddier, Damien Abad, Philippe Armand Martin, Patrick Balkany, Xavier Breton, Olivier Carré, Philippe Cochet, François Cornut-Gentille, Jean-Louis Christ, Bernard Debré, Claude de Ganay, Laure de la Raudière, Sophie Dion, Virginie Duby-Muller, Alain Gest, Franck Gilard, Arlette Grosskost, Antoine Herth, Patrick Hetzel, Philippe Le Ray, Céleste Lett, Lionnel Luca, Damien Meslot, Jean-Luc Moudenc, Jacques Myard, Dominique Nachury, Yves Nicolin, Jacques Pélissard, Jean-Luc Reitzer, Sophie Rohfritsch, François Scellier, Claudine Schmid, Thierry Solère, Alain Suguenot.
 

Fillon - Copé : une quatrième rencontre est programmée pour 17 h 30

Éditorial de lucienne magalie pons

Dans la troisième semaine de conflit qui oppose dans le château  de carte UMP ,  le camp de François Fillon à celui de Jean-François Copé, la donne a changé  après l’expiration Mardi  de l’Ultimatum de Sarkozy , expiration qui contrairement à ce qu’attendait les médias n’a pas fait un flop dans les micros et  sur les écrans,   et pas plus de bruit qu’un soupir  de petit  lapin :   plus question de date butoir en ce qui concerne le résultat à obtenir des rencontres FILLON/COPE,  chacun réfléchi , mais  les obligations  politiques, civiles et mondaines  hors UMP,  et  périphériques,  reprennent de l’importance pour chacun d’entre les deux.

C’est ainsi qu’ hier les deux hommes ont laissé un jour de plus les sujets étalés  sur la table en décommandant une rencontre qui avaient été annoncée  comme devant se tenir Mercredi  pour la reporter à ce Jeudi,
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Confirmation : d’après les dernières infos du début d’après-midi provenant  des médias via  leur entourage,  Jean-François Copé et François Fillon vont bien se retrouver en tête à tête ce jeudi à 17h30 à l’Assemblée nationale.

«Cette réunion n’a pas vocation à être conclusive. Les deux hommes ne se sont pas donné de date butoir», a indiqué un proche de Jean-François Copé.

 «La discussion n’est pas linéaire», a  prévenu Jérôme Chartier, porte-parole de François Fillon, d’après lui   «Ce n’est pas tendu, mais il n’y a pas de réchauffement des relations. François Fillon reste dans le contexte dans lequel il est entré dans ce cycle de discussions. 

Il y a un vrai problème … 

On n’en saura pas plus.


Puisque aucune information  n’a été donnée  sur l’avancée des sujets placés sur la table depuis Lundi, nous attendrons  comme tout le monde  la fin de cette réunion pour savoir s’ils ont pu commencer à les dépoussiérer,  à moins qu’ils n’en soient encore à vider leurs sacs sans être parvenu à approcher d’ un  éventuel accord    .


Les  choses depuis Lundi cependant ont évoluées ,  dans le sens d’une rupture provisoire,  puisque Mardi à l’Assemblée Nationale le Groupe parlementaire  «  Rassemblement UMP de François Fillon  a été officiellement  consacré et doté d’un temps de parole relatif à son importance,  et a  ainsi pu  prendre place dans l’hémicycles à 15 h. pour  la  séance de questions au Gouvernement,  à égalité   avec les autres Groupe de l’UMP. 

C’est un point important à l’actif du camp Fillon qui garde ce Groupe parlementaire  en réserve comme garanties avant de parvenir à   un accord sur les conditions et les délais d’un nouveau vote avec le camp Copé,   et de ne  le dissoudre  qu’après.

Ce procédé me fait penser à une guerre d’indiens,   et finalement c’est sûr,  l’un des deux chefs,  accord ou pas,  se trouvera  un jour scalpé de la présidence de l’UMP, puisque dans toutes les coutumes de parti  politique et par comparaison  dans toutes les hiérarchies de formations  militaires, ou encore patriarcales,   il ne peut y avoir qu’un seul  Grand  Chef, même si dans nos temps moderne le « Chef » peut être une femme..


Nous n’en sommes encore pas là ,  .les discussions  pour l’instant  tournent autour du calendrier électoral,  et  les médias -, qui disposent toujours  de certaines sources anonymes et  d’un nuage d’imagination -,   rappellent  que Jean-François Copé, Président de l’UMP ( cependant contesté par une partie du parti depuis son élection) ,   accepte l’idée éventuelle d’un nouveau vote, à condition que ce nouveau vote ait lieu après les élections municipales de Mars 2014, mais novation il  se serait dit prêt  à avancer d’un an la fin de son mandat à la présidence de l’UMP. 

   

Mais Fillon,  le  chef du camp adverse ne l’entend pas de cette oreille, pour l’ancien Premier Ministre, Chef du Groupe parlementaire  R-UMP il   juge  qu’il faut voter très vite,  dans les trois mois à venir, toujours d’après les médias naturellement..


Cependant puisqu’il faut bien s’organiser en attendant l’armistice,  Stéphane Juvigny, proche  et ancienne collaboratrice de  l’ancien ministre  François Baroin, a été désignée Secrétaire général du groupe filloniste « Rassemblement UMP », a-t-on appris ce  jeudi   par les médias qui citent cette information comme provenant de «  sources parlementaires concordantes. »  

Selon une autre source parlementaire, François  Fillon  « est en train de recruter «une dizaine de collaborateurs» pour son groupe R-UMP, d’après les méfias ce serait  un signe, pour les copéistes, que l’ex-Premier ministre «ne s’inscrit pas dans la logique d’une installation purement provisoire de son groupe».


Vous m’en  direz tant !

Jean Mrc Ayrault s'est expliqué sur ArcelorMittal , que leur faut-ils de plus ? :

Éditorial de lucienne magalie pons




Le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault était en direct de Matignon avec  David Pujadas, mercredi 5 décembre 2012, au journal télévisé de 20 heures sur France 2,  à propos de la situation du site sidérurgique de Florange

Le Premier ministre venait de s'entretenir  avec l'intersyndicale de Florange à Matignon, mais de nouveau dans l’émission de 20 h  il a du expliquer et redire ce qu’il ne cesse de répéter depuis vendredi soir.

Pour voir la vidéo cliquez sur le lien ci-dessous :
 

ooOoo


Il avait déjà  été interrogé le 4 décembre à l’Assemblée Nationale dans la séance des questions aux Gouvernement, et  bis repetita le 5 décembre toujours  à l’Assemblée Nationale, dans  ses réponses  il s’est clairement exprimé, mais pires  sont les sourds  de l’opposition qui ne veulent pas entendre et s’accrochent  à des polémiques montées de toutes pièces et alimentées par les médias  pour s’attaquer au gouvernement de gauche, et pires sont aussi les syndicalistes qui se laisse gonfler la tête  comme des baudruches par toutes  ces polémiques et les font leurs
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 _Ce matin sur RTL________________


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L'intégralité de l'interview du Premier ministre sur RTL :à retrouver en vidéo et en Texte sur le site RTL.fr

Revue de presse :
 
  1. ·  
Boursier.com ‎- il y a 5 minutes
(Boursier.com) -- Jean-Marc Ayrault répète ce matin qu'il assume sa position dans le dossier Florange, au lendemain d'une rencontre avec des ...
  1. Jean-Marc Ayrault assume Florange et confirme la poursuite de l'EPR
La Croix‎ - il y a 5 heures

·  Jean-Marc Ayrault assume le choix du gouvernement pour Florange

www.lemonde.fr/.../jean-marc-ayrault-assume-le-choix-pour-florang...
il y a 6 heures – Le premier ministre indique qu'une nationalisation du site aurait coûté "plus d'un milliard d'euros".

·  Jean-Marc Ayrault

www.lemonde.fr/sujet/6625/jean-marc-ayrault.html
Entre applaudissements et huées, Jean-Marc Ayrault et Jean-François Copé ont croisé le fer dans l'hémicycle, à l'occasion de la première séance de questions ...

·  Jean-Marc Ayrault - Le Nouvel Observateur

tempsreel.nouvelobs.com/tag/jean-marc-ayrault
Retrouvez toute l'actualité sur Jean-Marc Ayrault (ayrault) avec Le Nouvel Observateur.

·  Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, invité de RTL | Portail du ...

www.gouvernement.fr › ... › Industrie & innovation
il y a 4 heures – Invité de RTL le 6 décembre 2012, Le Premier ministre, a répondu aux questions de Jean-Michel Aphatie.

·  M. Jean-Marc Ayrault : Assemblée Nationale

www.assemblee-nationale.fr › Les députés
Mandat de député. 8e législature : Élu le 16/03/1986 - Mandat du 02/04/1986 (élections générales) au 14/05/1988 (Fin de législature); 9e législature : Réélu le ...

·  Jean-Marc Ayrault assume Florange et confirme la poursuite de l ...

www.la-croix.com/.../Jean-Marc-Ayrault-assume-Florange-et-confir...
il y a 5 heures – Invité de la station RTL, jeudi 6 décembre, le premier ministre a assumé la solution choisie pour Florange et confirmé la poursuite du chantier ...

·  Compte suisse: Jean-Marc Ayrault est "aux côtés" de son ministre ...

www.jeanmarcmorandini.com/article-296921-compte-suisse-jean-ma...
il y a 4 heures – Jean-Marc Ayrault a redit jeudi qu'il était "aux côtés" de son ministre Jérôme Cahuzac , accusé par Mediapart d'avoir détenu un compte ...

·  Jean-Marc Ayrault: Arnaud Montebourg au gouvernement, "il y est, il ...

www.jeanmarcmorandini.com/article-296926-jean-marc-ayrault-arna...
il y a 5 heures – Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a assuré jeudi que son ministre Arnaud Montebourg "reste" au gouvernement, après les débats autour ...

 



 

Jacques Attali : La Leçon de Morale Médiatique de Jacques Attali

Éditorial de lucienne magalie pons

Une leçon de moralité médiatique de Jacques  ATTALI  

Il arrive que  certains observateurs de notoriété indiscutable ont l’honnêteté de se placer hors des polémiques vulgaires,  pour analyser et commenter  avec la   pertinence  de leur intelligence , les aspects sociaux, économiques, et  industriels  de certaines affaires en pointe d'actualité, comme par exemple   l’accord ArcelorMittal,  sans se permettre de porter des jugements tranchés contre ses acteurs. 

C’est ce que l’un d’entre eux, Jacques Attali, président de PlaNet Finance,  ancien Conseiller de François Miterrand,   s’est  intelligemment acquitté de faire hier soir à 19 heures, dans l’émission de Ruth  El Krief   de BFMTV (avant l’émission de 20 h de France 2 ), en évitant les pièges  d’une polémique personnalisée  que lui tendaient Ruth El Kief en revenant constamment dans ses questions  sur  Jean-Marc Ayrault, Alain Montebourg   François Hollande et les syndicats ..  

Ci-dessous nous vous donnons un  très court extrait  tiré de cette émission, par lequel vous pourrez constater à quel point Ruth El Krief est contaminée par le virus de la polémique,  et  bifurque souvent  pour y revenir à tout propos, et comment habilement Jacques Attali  a évité d’y tomber  en  ramenant  son interlocutrice  des  fausses affirmations,  des symboles et  des « peut-être »   à la réalité  :

RE : …. C’est tout à fait faux de la part des médias de mettre l’accent et de faire des titres sur ces histoires-là

RE ; non,  non , nous, nous, nous , mais non, , nous on donne aussi la parole à toutes sortes de regards , et on suit aussi ce qui fait réagir les Français .,. parce que  que les Français sont aussi inquiets .., et vous savez bien qu’en politique il y a des symboles…

JA : il y a des symboles …

RE :   et s’il y a des symboles,  

JA : non, il peut y avoir des symboles..

RE : peut-être que là-dessus la gauche a la responsabilité de dire la vérité comme vous dites, elle ne le fait  pas

JA : Je le fais à l’instant,  je pense que c’est très urgent  de le faire, le discours du Premier Ministre était empreint d’une vérité  totale quand il a dit  sque la nationalisation dans ce cas-là était indéfendable et j’ajoute …

RE : Donc,   Jean-Marc Ayrault est le seul à dire la vérité dans cette affaire ? 

JA : Jean-Marc Ayrault dans cette affaire dit la vérité, je ne dis pas que c’est le seul, il dit la vérité

RE : Contrairement à Arnaud Montebourg ? , puisque vous avez souligné …

JA : Alain Montebourg a fait une proposition que je trouve tout à fait loufoque, il l’a  peut-être  fait de bonne foi, sûrement fait de bonne foi, mais elle est loufoque..

RE : et François Hollande l’a laissé faire 

JA : alors.., les ministres s’expriment, le Président de la République ne peut pas être derrière chaque micro de chaque ministre qu’il emploie.

RE : enfin vous connaissez François Hollande, lui c’est le Président, il intervient et suit tout ce qui se passe, il regarde.

.
JA : il faut une doctrine, et la doctrine elle est  que la nationalisation au cas par cas, sans loi cadre, parait une folie, donc voilà je le dis et le Premier ministre a bien fait de le dire        .

RE : et ce soir lorsque les syndicats vont sortir de ce rendez-vous..,  

JA : c’est un monde de fou, il y 50 000 chômeurs de plus par mois, ça veut dire qu’à l’heure où nous parlons,  dans la journée où ces gens viennent plaider d’un dossier qui n’existe pas puisqu’ils ne sont pas menacés de chômage , dans cette journée il y a eu  au moins 1500 personnes  de plus qui ont été mis au  chômage  et qui auraient dû faire les titres  de votre Journal, qu’est-ce qu’on va faire pour les gens licenciés un par un, deux par deux, dix par dix, dans des PME, qu’est-ce qu’on va faire  pour les 4 800 000  de  personnes qui aujourd’hui désespèrent  et en silence cherchent un emploi, c’est d’eux dont il faut s’occuper, c’est de ceux ceux-là qu’il faut faire les titres , et faire les titres aussi  sur les Entreprises  qui réussissent et qui créent des emplois, il y a une Entreprise Française  qui vient d’être déclarée comme une des dix entreprises les plus importantes révolutionnaire du 21me siècle , avez-vous si je puis me permettre ..,

RE : bien  sûr, bien sûr,

JA :Avez-vous invité son Fondateur qui se trouve être un Français  du Sénégal, en plus, Sénégalais devenu Français, numéro un dans la robotique pour  la neurochirurgie, excusez –moi du peu, ça mérite qu’on les aide ces gens- là , et pas des gens ni menacés  et de perdre leurs revenus, et qui évidemment  savent parfaitement  que les hauts fourneaux ne réouvriront pas , et que ça sert à rien , faut passer à l’avenir.

RE : alors qu’est-ce qu’il fait Arnaud Montebourg quand il dit ça .. ? et qu’est-ce qu’il dit François Hollande quand  il laisse faire,  (quand) il fait aussi de la politique le Président  qui inquiète parce que le  pacte de compétitivité ça coince un peu à gauche , il donne des signaux à la gauche et la gauche de la gauche, il fait de la politique politicienne    ?

JA : Oh là je pense que vous chercher une rationalisation habile qui est possible, mais qui je crois n’existe pas. Je crois que Arnaud Montebourg  lui lui, fait de la politique en ..

RE : Il instrumentalise cette affaire ? ..

JA : oui ..

RE : à des fins personnelles ..

JA : disons ..

 
RE : Une carrière politique à des fins personnelles ?

JA :  disons que comme tout ministre il essaye d’avoir un rôle , mais dans une économie mondialisée , ou on est la Corée du Nord, et on fait comme il dit, on ferme les frontières  et l’on a jamais que ce que l’on  .(.ndlr :  j’ai cru entendre « produit »),  ou alors on joue les règles du jeu comme elles sont, c’est-àdire on construit une Europe fédérale puissante qui peut réagir à ça, et on se donne des instruments réels d’actions pour créer des emplois nouveaux , et non pour défendre des emplois morts depuis longtemps, alors quand on dit ça , on est soi de bonne foi et incompétent ou on est pas de bonne foi, je vous laisse choisir.

RE : Alors Arnaud Montebourg il devrait plutôt aller vers la création des nouveaux emplois ?

JA ; Bien sûr

RE dans des nouveaux secteurs ?

JA : Bien sûr, Bien sûr 

RE : et du coup François Hollande  devrait quand même être plus clair, là-dessus est-ce que, ..,  est-ce qu’il est assez clair ?

JA : A ma connaissance il n’a pas pris parti pour la nationalisation ad hoc à aucun moment, dans aucun discours, Arnaud Montebourg a cité François Hollande au « 14ème degré », donc je fais confiance à François Hollande, pas à qui que ce soit quand il rapporte les propos d’un tiers, ce n’est pas bien d’ailleurs quand un ministre a eu un entretien privé avec le Président de la  République, de prétendre rapporter ses propos, c’est pas bien, ça  ne se fait pas , je trouve que ce n’est pas bien, sauf si on est couvert par le Président  en question, qui vous dit «  oui tu as le droit de dire ça ».

RE : vous avez beaucoup écrit sur les conversations du  Président.. » …., Verbatim » …

JA : oui j’ai beaucoup écrit , mais ces textes ont été revus la plume à la main  par François Miterrand , qui l’a reconnu lui-même , il a dit dans des interviewes , avoir eu la plume à la main, il y a même des images filmées de ces relectures, donc je ne suis pas dans ce cas-là.

Fin de l’extrait …

Au cours de cette émission bien sûr Jacques Attali  a pu développer plus largement  son analyse et son  avis  pertinent   sur  le fond  de l’affaire ArcelorMittal  et autres actualités ,  mais  nous tenions à  mettre en évidence l’échange ci-dessus   parce qu’il met bien le focus sur le malaise médiatique des polémiques interminables  qui se prolongent dans les médias  comme la chevelure d’Eléonore sur certains sujets , en passant à la trappe l’essentiel sur des sujets d’actualités  plus importants qui mériteraient de faire la UNE des médias.

Mais  étant donné la qualité de  l’invité  nous publions ci-dessous  en vidéo  l’émission complète :




UMP : COPE fait pisser le mouton !

Éditorial de lucienne magalie pons



L’agenda chargé de François Fillon  qui devait se rendre hier soir , après ses nombreuses activités de député  de  Paris et Président du nouveau groupe parlementaire R-UMP, pour une remise de décorations au Conseil Constitutionnel, ne lui a pas permis hier de s’entretenir avec   Jean-François Copé , comme  les médias l’avait annoncé Mardi soir  à l’issue de leur troisième rencontre,  sans qu’une avancée notoire pour une solution du conflit n’ait été officiellement ou même officieusement   annoncée.

Hier assez  tard dans l’après midi, on apprenait qu’ils devaient  se rencontrer aujourd’hui Jeudi pour poursuivre leurs entretiens.

Alors que « les sujets sont été étalés  sur la table »  depuis déjà Lundi  et en dépit que l' ultimatum de Nicolas Sarkozy s’est terminé Mardi soir, sans qu’un accord n’ait été annoncé,  nous n’avons pas entendu la déclaration fracassante que les médias  promettaient  en écrivant et disant que si  Copé et Fillon  ne trouvaient aucune solution pour sortir de la crise  dès Mardi soir, il les déclarerait  publiquement disqualifiés pour diriger le parti.

Il est vrai que Nicolas Sarkozy, membre de droit du Conseil Constitutionnel en sa qualité d’ex Président de la République, est tenu à la plus grande discrétion publique  en matière de politique de parti notamment ……Il ne s’est donc pas exprimé publiquement , mais  comme il peut le faire  librement en privé,  il  leur a peut-être  arrangé la cravate  et redressé les bretelles  en interne dans les coulisses  de l'UMP , dans lesquelles il se tient d'après les médias

Toutefois on note un changement dans les commentaires politiques qui entourent  ces entretiens, ce qui était présenté en fin et début de semaine comme un ultimatum  de Nicolas Sarkozy,  est présenté depuis hier comme une ouverture d’ entretiens  à longue  échéance,  dont l’essentiel réside maintenant à constater que les deux hommes se sont enfin parlés seuls en face à face  ! oui,  ils se sont parlés  mais les militants de base et les observateurs ne savent pas  ce qu’ils se sont dit pour faire avancer le schmilblick, sauf à savoir que les « sujets à examiner étaient sur la table » et que les entretiens se poursuivraient.

Entre-temps, Mardi matin, après les deux rencontres de Lundi entre Fillon et Copé , le groupe R-UMP de François  Fillon était officiellement constitué et consacré à l’Assemblée Nationale et  doté d’un temps de parole , et  72 députés Fillonistes s’installaient avec François Fillon à leur tête  dans l’hémicycle à 15 h  pour l’ouverture de la Séance de questions aux Ministre.

Qui  fait le mieux dit le mieux, pour le moment dans les faits c’est François Fillon qui avance  dans ses intentions, le principe d’un nouveau vote a fini par s’imposer, il respecte la stratégie qu’il s’est fixée,   puisqu’il préside depuis Mardi  un nouveau groupe parlementaire, et on peut observer qu’il ne dévie pas  de sa ligne de conduite et  résiste  en se tenant sans fléchir  sur ses propositions en accord avec son camp :  arriver à  trouver très vite un accord sur les modalités d’organisations  d’un nouveau vote  offrant toutes les garanties de régularités, et enfin voter dans les meilleurs délais.


Pour Jean-François Copé il a fait mine de lâcher du terrain, mais  il ne fait plus de doute au yeux des observateurs que c’est une tactique dilatoire  qu’il adopte pour se prolonger dans la Présidence de l’UMP  en vue  consolider sa stature de Président de l’UMP auprès des militants et sympathisants de droite, tant autant qu’au plan national en se déclarant le seul opposant à François Hollande et au Gouvernement de Gauche.

C’est dans ce contexte qu’ il s’affirme Président de l’UMP,   en dépit du fait que son élection,   entachée d’irrégularités de forme et de fond,    est le déclencheur de la crise qui  déchire  et divise depuis trois semaines  l’UMP,   avec le fracas politique et médiatique que l’on connaît, et c’est dans ce même contexte qu’après avoir soutenu que le vote était régulier, qu’il a  distillé   plusieurs propositions différentes,  toutes intentionnellement  assorties de conditions qu’il sait inacceptables pour le camp Fillon,  il  prétend  avoir admis l’idée d’un nouveau vote  puisqu’il  à évoqué à deux reprises l’idée de  deux référendums sous des  formes différentes, pour parvenir à un accord éventuel sur  un nouveau vote. Dans cette éventualité Jean-François Copé propose de soumettre aux militants  le principe d'un nouveau vote après les municipales de mars 2014.

Là ou François Fillon est dans les propositions concrètes, Jean-François Copé est dans l’éventualité, et c’est bien avec sagacité que les observateurs disent que Jean-François Copé est dans  une démarche dilatoire pour obtenir gain de cause en faisant mine de jouer l’apaisement

C’est ce qui s’appelle « faire pisser le mouton » !

Plus sérieusement  dans un climat non apaisé, l’idée d’un nouveau vote prend corps  et progresse depuis deux semaines, des députés aussi bien fillonistes que d’autres copéistes le demande en nombre  ouvertement, les non alignés  et les neutres aussi, avec quelques différences quand aux modalités et aux délais, mais l’idée d’un nouveau vote est maintenant bien admise  dans  la majorité des députés UMP et des militants de base.

 Revue de presse :

Crise à l'UMP : revivez la journée de mercredi 5 décembre

leJDD.fr
 - ‎Il y a 46 minutes ‎




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