Selon les déclarations et informations qui circulent dans les médias Olivier Véran , Ministre de la santé, espère pouvoir voir reprendre la campagne de vaccination avec le vaccin AstraZeneca - , ( actuellement suspendu depuis 2 jours en France « par mesure de protection ») -, après un nouvel avis de l’Agence Européenne du médicament attendu pour Jeudi …
Les médias soulignent aussi que le ministre de la santé a tenu à rassurer les patients qui ont déjà reçu une injection en déclarant ce mardi en visite dans une école de Villiers-le-Bel dans le Val d’Oise :
- « Je fais partie de ces Français qui ont reçu une injection d’AstraZeneca. Il n’y a pas de démarche particulière à entamer, les gens ne sont pas en danger parce qu’ils auraient été vaccinés par AstraZeneca »
- « Ce que nous dit l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), c’est que comme pour toute prise de médicament, si vous présentez des symptômes, d’ailleurs liés ou non à la prise de ce médicament, et bien vous appelez votre médecin. Sinon, il n’y a aucune démarche particulière à entamer », a insisté le ministre.
-- « Nous attendons je l’espère pour jeudi après-midi une forme de verdict de la part de la communauté scientifique européenne nous permettant, je le souhaite encore une fois ardemment, de pouvoir reprendre la campagne », a-t-il ajouté. « On ne confond pas vitesse et précipitation […] on prend le temps lorsqu’il y a des questions qui se posent de dire "on suspend, on fait un pas de côté et on regarde comment ça se passe" », a ajouté Olivier Véran.
Il est évident
que les autorités sanitaires de la France et le ministre de la santé se répandent
en déclarations et communiqués pour
couvrir ces incidents qui bouleversent la
stratégie de la Campagne vaccinale française qui n’arrive pas à donner satisfaction aux personnes qui voudraient se faire vacciner
mais qui ne parviennent toujours pas à se faire vacciner en raison de toutes sortes complication qui déferlent en cascade depuis le début de la campagne vaccinale.
Vous trouverez plus bas en Revue de presse les arguments que développent préalablement l’EMA, - ( avant même le verdict de la communauté scientifique européenne qui doit être connu seulement jeudi )-, pour minimiser les graves effets secondaires observés chez plusieurs patients après l’injection du vaccin AstraZeneca , en assurant que les avantages de ces vaccins étaient supérieurs aux risques encourus et que ces symptômes seraient sans lien avéré avec l’injection.
De son côté le Professeur Alain Fischer Président du Conseil
d’Orientation a déclaré sur France Inter :
… « La
situation est qu’il y a eu de nouvelles alertes venant de différents pays
européens … avec des anomalies de la thrombose, un tout petit peu atypiques,
qui suggèrent qu’éventuellement il pourrait se passer un événement dans lequel
le vaccin joue un rôle »
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