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28 novembre 2020

La version des policiers, consignée sur Procès verbal est différente de la version édulcorée et partisane que nous servent les médias et le Producteur de musique qui se dit victime de "racisme" ( différentes sources )

Éditorial de lucienne magalie pons







Les médias porteurs de la parole unique relayent tous avec  un parti-pris qui se veut arbitraire  et  force lamentations   le  tabassage de Michel Zeclerc, Producteur de musique,  en favorisant la thèse de Michel Zecler qui s'exprime dans la vidéo ci-dessus après l'incident mais cette fois masqué, en accusant les policiers de racisme,   mais leurs informations sont incomplètes ... cependant on  trouve sur des sites internet une version plus exacte  des faits qui remonte plus haut  que l'interpellation et nous pensons que pour savoir de quoi il en retourne vraiment il faut s'informer autrement. qu'en écoutant les journaleux- gourous de la désinformation.

Nous notons au passage que Michel Zeclerc avant son interpellation  avec les policiers ne portait pas de masque , s'agissait-il d'une provocation pour créer un incident ? , naturellement personne  parmi les adeptes de la bien-pensance  codifiée et partisane  n'envisage cette éventualité et pourtant on a le droit de s'interroger !  

Pour accéder à une information plus complète que l'information édulcorée que nous servent  les praticiens de la langue de bois et   et de la bien-pensance médiatique assujettie à la désinformation en continu sur  dispensée en boucle sur BFMTV, LCI etc... nous copions/collons ci-dessous:

 1/ un article publié sur le site                  
  " qui met en évidence la version des policiers en citant comme source le PV de la déposition des policiers, et   France Bleu, 

- et plus bas vous trouverez aussi en copié/collé 

2 / la version de   France BleuFrance Bleu Paris


Nous ajoutons que jusqu'à preuve du contraire nous sommes d'abord intéressés par la version des policiers 

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1/ de source  du site 

 Copié/collé 🔻

" Interpellation du  "Producteur producteur de musique" ; la version des policiers
Marc Sergent 
  
 Nos confrères de France Bleu ont pu consulter le PV de la déposition des policiers.

Dans ce PV rédigé par un gardien de la paix, les policiers racontent avoir aperçu “un individu non porteur du masque qui se dirige d’un pas rapide vers la rue de Renaudes (…) L’individu ne cesse de jeter des coups d’œil en direction de notre véhicule sérigraphié, paraissant nerveux

Les policiers racontent qu’ils décident de le contrôler “vu la réglementation concernant la lutte contre le Covid-19 et la mise en place du confinement. “Nous nous dirigeons vers lui, revêtus de notre brassard police tout en lui déclinant notre qualité et intention à son égard. Une forte odeur de matière stupéfiante émane de sa personne. Il est porteur d’un gros sac en bandoulière de couleur marron, précise le PV.

L’homme continue son chemin, et alors que nous tentons de le saisir par le bras pour le maintenir sur place, il se débat en nous repoussant à l’aide de ses mains et se précipite par la porte d’un établissement recevant du publicqui se révèlera être un studio d’enregistrement musical. “Dans son action, alors que nous tentons de l’intercepter, il nous entraîne de force dans l’enceinte du bâtiment, racontent les policiers.

Le PV se poursuit par le récit de ce qui s’est passé dans le hall d’entrée du studio de musique. “Nous tentons d’interpeller l’individu avec peine. Celui-ci se débat et nous repousse à plusieurs reprises avec ses bras en tentant de nous porter des coups et en hurlant des prénoms comme pour solliciter de l’aide afin d’échapper à notre emprise. Nous tentons vainement de procéder à son menottage.

Ce dernier devient dangereux à notre égard, nous trouvant dans un milieu clos, qui ne nous permet que peu de mouvements, nous sommes contraints d’effectuer, via les gestes techniques et professionnels, une amenée au sol de l’individu (…) Dans la débâcle, l’homme tente à plusieurs reprises de se saisir de notre arme administrative, se trouvant dans un étui comportant une sécurité, ce qui entrave ses intentions. Il tente également de se saisir d’un objet se trouvant dans sa sacoche, sans succès et sans que nous ne puissions déterminer la nature de l’objet. L’individu hurle et nous donne des coups avec ses bras et ses jambes, indique le PV.

Les trois policiers affirment avoir alors tenté de sortir du local, en vain. “L’individu continue de nous porter des coups avec ses bras et ses jambes et se met devant la porte de sortie, nous empêchant ainsi de quitter le local (…) Nous constatons la présence d’un escalier semblant donner sur un étage en sous-sol, d’où semble provenir soudainement une dizaine d’individus. Ces derniers crient à plusieurs reprises ‘on va vous défoncer’, ‘vous êtes morts’. Le brigadier tente de bloquer la porte d’accès donnant sur cet escalier, afin que la dizaine d’individus y restent bloqués, ces derniers étant susceptibles de représenter un danger imminent à notre égard.

Le PV décrit une “situation de plus en plus critique. “Nous recevons à plusieurs reprises des coups au niveau du visage, émanant de l’individu dont nous souhaitions initialement procéder au contrôle (…) Le brigadier et le gardien reçoivent également plusieurs coups portés par l’individu bloquant la porte d’accès extérieur, au niveau du ventre, des bras et du visage.

Ne parvenant toujours pas à nous extraire de ce local, le gardien se saisit de sa matraque télescopique et en porte plusieurs coups au niveau du ventre des jambes, des bras de l’homme. Ce dernier semble totalement insensible à la douleur et parvient à se saisir de la matraque télescopique par le bout. Il tente de s’en emparer (…) Le gardien effectue une saisie arrière sur l’individu et nous parvenons à cet instant à récupérer sa matraque télescopique des mains de l’individu. Nous portons alors plusieurs coups de matraque télescopique à l’individu dont certains, dans la débâcle et l’agitation l’atteignent au visage, indique le récit des policiers. C’est alors qu’ils parviennent à ouvrir la porte et à sortir du local.

A l’extérieur, les trois policiers trouvent les renforts qu’ils avaient sollicités par radio. Ils décident de tenter à nouveau de rentrer dans l’établissement “afin de procéder à l’interpellation de l’auteur des violences à notre égard, ainsi que, vu le contexte sanitaire en vigueur, de procéder à des contrôles et vérifications sur la présence de l’ensemble des occupants de ce local, ne s’apparentant aucunement à un lieu d’activité de première nécessité. A cet instant, l’auteur des violences à notre égard se place derrière la porte et fait délibérément obstacle à son ouverture. Alors que la porte se trouve entrouverte, un effectif de police que nous ne sommes pas en mesure d’identifier (…) qui ne fait pas partie de notre unité, jette une grenade lacrymogène de type MP7 dans l’enceinte du local, poursuit le procès-verbal. 

Les policiers racontent qu’ils attendent “à l’extérieur que le gaz se dissipe. Vu la superficie des lieux, les individus à l’intérieur ont la possibilité de se dégager et de se protéger des gaz”, estiment-ils.

Nous pénétrons à nouveau dans le local et en extrayons l’ensemble des personnes s’y trouvant, notamment “l’auteur des violences à notre égard. Il est alors 18h55, selon le PV. “Lors de son menottage, l’individu ne se laisse pas faire, un gardien de la paix se blesse au pouce. Les neuf autres hommes présents dans les locaux, tous âgés d’une vingtaine d’années, sont interpellés.

__ fin du copié/collé_/


Puisque le site "la Lettre Patriote" cite France Bleu   nous  copions/collons  ci-dessous  la version de France Bleu, France Bleu Paris:   

2/  Copié/collé  de source 
France BleuFrance Bleu Paris

       🔻



Interpellation violente à Paris : ce qu'ont dit les policiers dans le procès-verbal

 - 
Par France BleuFrance Bleu Paris
D'après le procès-verbal dressé à la suite de l'interpellation violente samedi à Paris d'un producteur de musique, les policiers accablent l'homme interpellé. Les trois membres des forces de l'ordre ont été suspendus et ils sont soupçonnés d'avoir rédigé de fausses déclarations.

Le procès-verbal des policiers qui ont procédé à l'interpellation violente d'un producteur de musique dans le 17e arrondissement de Paris ce samedi accable l'homme interpellé, selon le PV daté de ce dimanche. D'après ce récit rédigé le lendemain de l'intervention, l'homme a entrainé les policiers à l'intérieur du bâtiment et il a porté de nombreux coups en direction des policiers, essayant de se saisir de leur arme et de leur matraque télescopique. 

Ces éléments ne sont pas visibles sur les images de vidéosurveillance diffusées ce jeudi par le site d'information Loopsider. Ils sont contestés par le producteur de musique qui a témoigné auprès de ce site. 

Cette version des policiers, inscrite dans le PV, devra être vérifiée par l'IGPN, inspection saisie par le préfet de police ainsi que par le parquet de Paris qui a ouvert une enquête pour "violences par personne dépositaire de l'autorité publique" et "faux en écriture publique". 

Les policiers sont en effet soupçonnés d'avoir rédigé de fausses déclarations. Les trois membres de cet équipage ont été suspendus à titre conservatoire ce jeudi. Par ailleurs, la procédure ouverte pour violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique a été classée sans suite.

Ce qu'ont dit les policiers

Dans ce PV rédigé par un gardien de la paix, les policiers racontent avoir aperçu "un individu non porteur du masque qui se dirige d'un pas rapide vers la rue de Renaudes (…) L'individu ne cesse de jeter des coups d'œil en direction de notre véhicule sérigraphié, paraissant nerveux". 

Les policiers racontent qu'ils décident de le contrôler "vu la réglementation concernant la lutte contre le Covid-19 et la mise en place du confinement". "Nous nous dirigeons vers lui, revêtus de notre brassard police tout en lui déclinant notre qualité et intention à son égard. Une forte odeur de matière stupéfiante émane de sa personne. Il est porteur d'un gros sac en bandoulière de couleur marron", précise le PV.

"L'homme continue son chemin, et alors que nous tentons de le saisir par le bras pour le maintenir sur place, il se débat en nous repoussant à l'aide de ses mains et se précipite par la porte d'un établissement recevant du public" qui se révèlera être un studio d'enregistrement musical. "Dans son action, alors que nous tentons de l'intercepter, il nous entraîne de force dans l'enceinte du bâtiment", racontent les policiers.

Le PV se poursuit par le récit de ce qui s'est passé dans le hall d'entrée du studio de musique. "Nous tentons d'interpeller l'individu avec peine. Celui-ci se débat et nous repousse à plusieurs reprises avec ses bras en tentant de nous porter des coups et en hurlant des prénoms comme pour solliciter de l'aide afin d'échapper à notre emprise. Nous tentons vainement de procéder à son menottage."

"Ce dernier devient dangereux à notre égard, nous trouvant dans un milieu clos, qui ne nous permet que peu de mouvements, nous sommes contraints d'effectuer, via les gestes techniques et professionnels, une amenée au sol de l'individu (…) Dans la débâcle, l'homme tente à plusieurs reprises de se saisir de notre arme administrative, se trouvant dans un étui comportant une sécurité, ce qui entrave ses intentions. Il tente également de se saisir d'un objet se trouvant dans sa sacoche, sans succès et sans que nous ne puissions déterminer la nature de l'objet. L'individu hurle et nous donne des coups avec ses bras et ses jambes", indique le PV.

Les trois policiers affirment avoir alors tenté de sortir du local, en vain. "L'individu continue de nous porter des coups avec ses bras et ses jambes et se met devant la porte de sortie, nous empêchant ainsi de quitter le local (…) Nous constatons la présence d'un escalier semblant donner sur un étage en sous-sol, d'où semble provenir soudainement une dizaine d'individus. Ces derniers crient à plusieurs reprises 'on va vous défoncer', 'vous êtes morts'. Le brigadier tente de bloquer la porte d'accès donnant sur cet escalier, afin que la dizaine d'individus y restent bloqués, ces derniers étant susceptibles de représenter un danger imminent à notre égard".

Le PV décrit une "situation de plus en plus critique". "Nous recevons à plusieurs reprises des coups au niveau du visage, émanant de l'individu dont nous souhaitions initialement procéder au contrôle (…) Le brigadier et le gardien reçoivent également plusieurs coups portés par l'individu bloquant la porte d'accès extérieur, au niveau du ventre, des bras et du visage."

"Ne parvenant toujours pas à nous extraire de ce local, le gardien se saisit de sa matraque télescopique et en porte plusieurs coups au niveau du ventre des jambes, des bras de l'homme. Ce dernier semble totalement insensible à la douleur et parvient à se saisir de la matraque télescopique par le bout. Il tente de s'en emparer (…) Le gardien effectue une saisie arrière sur l'individu et nous parvenons à cet instant à récupérer sa matraque télescopique des mains de l'individu. Nous portons alors plusieurs coups de matraque télescopique à l'individu dont certains, dans la débâcle et l'agitation l'atteignent au visage", indique le récit des policiers. C'est alors qu'ils parviennent à ouvrir la porte et à sortir du local.

A l'extérieur, les trois policiers trouvent les renforts qu'ils avaient sollicités par radio. Ils décident de tenter à nouveau de rentrer dans l'établissement "afin de procéder à l'interpellation de l'auteur des violences à notre égard, ainsi que, vu le contexte sanitaire en vigueur, de procéder à des contrôles et vérifications sur la présence de l'ensemble des occupants de ce local, ne s'apparentant aucunement à un lieu d'activité de première nécessité. A cet instant, l'auteur des violences à notre égard se place derrière la porte et fait délibérément obstacle à son ouverture. Alors que la porte se trouve entrouverte, une effectif de police que nous ne sommes pas en mesure d'identifier (…) qui ne fait pas partie de notre unité, jette une grande lacrymogène de type MP7 dans l'enceinte du local", poursuit le procès-verbal. 

Les policiers racontent qu'ils attendent "à l'extérieur que le gaz se dissipe. Vu la superficie des lieux, les individus à l'intérieur ont la possibilité de se dégager et de se protéger des gaz", estiment-ils.

"Nous pénétrons à nouveau dans le local et en extrayons l'ensemble des personnes s'y trouvant", notamment "l'auteur des violences à notre égard". Il est alors 18h55, selon le PV. "Lors de son menottage, l'individu ne se laisse pas faire", un gardien de la paix se blesse au pouce. Les neuf autres hommes présents dans les locaux, tous âgés d'une vingtaine d'années, sont interpellés.



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