20 juillet 2011

Libye : entre aides aux insurgés et projets de négociations la Coalition contre Kadhafi avance au radar

Éditorial de lucienne magalie pons

Le Régime de Khadafi accepterait de négocier mais sans qu'aucune condition préalable ne lui soit imposée, tout au contraire la Coalition voudrait imposer préalablement à toute négociation que le Colonel Kadhafi quitte le pouvoir et se retire de toute activité politique.

On n'est pas sorti de l'auberge

Le département d'Etat a fait savoir récemment que des responsables américains avaient rencontré des émissaires de Mouammar Kadhafi en Tunisie samedi passé pour demander au dirigeant libyen de quitter le pouvoir, qu'il occupe depuis près de 42 ans.

Les États-Unis ont souligné que cette rencontre ne constituait pas une négociation en tant que telle.

Les médias rapportent que le régime libyen s'est dit ouvert à des négociations mais a refusé toute condition préalable.

A la suite de cette rencontre Moussa Ibrahim, un porte parole du gouvernement libyen a déclaré Lundi :"Tout dialogue avec les Français, les Américains, les Britanniques est le bienvenu. Nous sommes prêts à discuter", en faisant référence aux trois principaux pays impliqués dans les bombardements de la coalition internationale, qui ont débuté en mars dernier sous mandat de l'Onu.

De son côté Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations Unies, a rappelé que l'Onu jouait un rôle central de coordination dans les discussions.

Aujourd’hui Mercredi Alain Juppé Ministres français des Affaires Etrangères (faisant l’impasse sur la volonté exprimée par le gouvernement libyen aux Américains à TUNIS, selon laquelle il s’est dit ouvert à des négociations mais en refusant toute condition préalable), a déclaré sur LCI que Mouammar Kadhafi pourrait être autorisé à rester en Libye à condition de renoncer clairement à toute activité politique dans le pays.

Un tel engagement du dirigeant libyen permettrait de déclencher le processus politique du cessez-le-feu, a précisé Alain Juppé sur LCI. "J'entends dire qu'il ne veut pas quitter la Libye. Mais l'une des hypothèses qui est envisagée, c'est effectivement qu'il séjourne en Libye à une condition, c'est que très clairement il se mette à l'écart de la vie politique libyenne"

"C'est cela que nous attendons avant de déclencher le processus politique du cessez-le-feu, une grande convention nationale avec l'ensemble des parties prenantes", a-t-il ajouté.

Le Ministre Français a insisté sur le fait que le cessez-le-feu, pour mettre fin aux combats qui durent depuis cinq mois, passait "par un engagement formel et clair de Kadhafi de renoncer à ses responsabilités."

Prié de dire si des négociations avec des émissaires du régime avaient lieu actuellement en France, il a répondu: "Non, il n'y a pas en ce moment à Paris de contacts."

Manifestement en entendant les propos très assurés du Ministre Français des Affaires Etrangères lorsqu’il explique notamment que Mouammar Kadhafi « pourrait être autorisé à rester en Libye à condition de renoncer clairement à toute activité politique dans son pays » , on a l’impression que le Colonel Kadhafi est acculé et qu’il n’aurait plus qu’à s’exécuter et à plier sous les conditions ou la sentence de la Coalition Internationale et des rebelles du Cnt.

Les déclarations du Ministre Français des Affaires Étrangères devraient en principe seules être entendues et prises en considération même si elles sont sujettes à analyses, eh ! bien non, une fois encore le philosophe-écrivain BHL interfère dans la question Libyenne en jetant son grain de sel sans égard pour le Ministre qu’il se permet de contredire, en effet le philosophe zélé pour alimenter le feu sur tous les fronts aussi bien sur le terrain des combats que sur le terrain politique et diplomatique, a jugé l’idée d’Alain Juppé « inconcevable…… »

Bernard Henry Levy qui veut garder la main du grand chef d’orchestre dans cette partition au-dessus de tous les ministres Français concernés, a estimé que l'hypothèse d'un maintien du colonel Kadhafi dans le pays ne serait jamais acceptée.

"L'idée est juste inconcevable. L'idée de Kadhafi restant en Libye ou même dans un pays limitrophe, même dans un pays voisin, est juste impensable. Ils ne l'accepteront jamais", a-t-il dit sur i>Télé.

Il n’est pas tolérable de voir que le Ministre des Français des Affaires Etrangères n’avertisse pas fermement BHL d’avoir à s’abstenir de marcher sur ses prérogatives, de critiquer ses interventions officielles et de se livrer à des hypothèses hasardeuses.

Il faut dire que Bernard-Henri Lévy ose tout parce qu’il se trouve conforté par la place préférentielle que lui accorde le Chef de l’Etat Français dans les relations qu’il entretient directement avec les responsables politiques et militaires des insurgés Libyens, et ce mercredi matin encore BHL assistait à un entretien d’environ 45 minutes que Nicolas Sarkozy a accordé discrètement au général Ramadan Zarmouh , au colonel Ahmed Hachem, et au représentant local du Conseil national de transition (CNT), Souleiman Fortia,

Bernard Henri Levy a précisé ensuite une partie de cet entretien : « Le général Ramadan Zarmouh et le colonel Ahmed Hachem, ainsi que le représentant local du Conseil national de transition (CNT), Souleiman Fortia, ont été reçus pendant environ 45 minutes par le président français ….., Ils sont venus expliquer que la clef de Tripoli était à Misrata, pour peu qu’on les soutienne, y compris en convainquant nos alliés arabes de leur fournir les armes nécessaires » ….. « Ils demandent une meilleure coopération avec l’Otan et une aide de toute nature »

Les médias ajoutent que la ville de Misrata située à l’Est de Tripoli est pilonnée depuis des semaines par l’armée loyaliste et qu’après avoir aidé les insurgés du Djebel Nefoussa la France pourrait faire de même avec ceux de Misrata dans l’espoir qu’un mouvement de tenaille sape, enfin, la résistance des hommes de Kadhafi et que des livraisons d’armes supplémentaires seraient à l’étude.

De son côté Gérard Longuet, Ministre Français de la Défense et des anciens combattants, a déclaré «Le compte à rebours est engagé» a déclaré ce matin le ministre de la Défense, Gérard Longuet

Revue de Presse :

Sarkozy reçoit les chefs de la rébellion libyenne de Misrata

Le Parisien - ‎Il y a 1 heure ‎

...

Libye: les chefs rebelles de Misrata demandent l'aide de la France nouvelobs.com

Les chefs militaires des rebelles libyens cherchent à Paris l'aide ... Nice-Matin

Ouest-France - AFP - Libération

17 juillet 2011

A cause du Dailï-Lama le torchon brûle entre les Etats-Unis et la Chine

Éditorial de lucienne magalie pons

Le Gouvernement de Pékin, avait exhorté le 16 juillet le Président des États-Unis Barack Obama de renoncer à sa rencontre avec le Daïla-lama prévue le 16 juillet à la Maison Blanche et dans un communiqué le porte parole chinois du Ministère des Affaires Hon Lei, demandait aux Etats-Unis de ne pas "interférer dans les affaires intérieures chinoises" et de ne rien faire qui soit susceptible de "nuire aux relations sino-américaines".

( Rappelons que le Dalaï-Lama , chef spirituel des Tibétains avait quitté son pays en 1959 après l'échec d'un soulèvement contre la présence chinoise, a toujours assuré depuis qu'il ne réclame pour le Tibet qu'une autonomie réelle , mais des négociations engagées par le passé épisodiquement entre des émissaires du gouvernement tibétain en exil à Dharamsala en Inde et des représentants de Pékin n'ont jamais débouché sur rien, Pékin considérant qu’en réalité le Dalaï-Lama recherchait l’indépendance du Tibet )

Les requêtes et mises en garde chinoises n’ont pas eu d’influence sur le président américain qui a bien reçu le Dalaï -lama, samedi à la Maison Blanche.

La rencontre, fermée à la presse, a été annoncée à la dernière minute et s’est tenue dans la « Salle des cartes », avant le départ du Dalaï-lama qui devait quitter Washington peu de temps après.

Dans un communiqué diffusé après la rencontre entre Barack Obama et le dalaï-lama, la Maison Blanche a indiqué que le président a encouragé «le dialogue direct pour résoudre les vieilles divergences et qu'un dialogue débouchant sur des résultats serait positif pour la Chine et pour le Tibétains».

Selon un porte-parole de la Maison Blanche, cette rencontre " illustre le soutien vigoureux du président en faveur de la préservation de l'identité religieuse, culturelle et linguistique unique du Tibet et de la protection des droits de l'Homme des Tibétains."

Cette intervention au sommet a indigné le gouvernement chinois.

Pékin a réagi immédiatement en exigeant que Washington "n'interfère pas dans les affaires intérieures chinoises" et ne fasse rien qui soit susceptible de "nuire aux relations sino-américaines.

Après l'entrevue de samedi entre Barack Obama et le dalaï-lama à la Maison blanche

Robert Wang, chargé d'affaires à l'ambassade américaine de Pékin, a été «convoqué d'urgence» par le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Cui Tiankai pour recevoir les protestations de Pékin

Par ailleurs le ministère chinois des Affaires étrangères dans un communiqué diffusé sur son site internet souligne que : … « Le Tibet fait partie intégrante de la Chine et les questions tibétaines sont purement une affaire intérieure», en ajoutant …., «Entretenir le développement stable et continu des relations sino-américaines demande beaucoup de travail de la part des deux parties».

Revue de presse :


TF1
  • La Chine en colère après la rencontre entre Obama et le dalaï-lama
    La Croix - Il y a 2 heures
    Quelques heures après la rencontre entre le dalaï-lama et Barack Obama, le ministère chinois des affaires étrangères a vivement critiqué samedi soir cette ...
    Autres articles (117)

  • Vidéo de l'entrevue :

    Le Dalaï lama a rencontré ce samedi Barack Obama, à Washington. Les deux hommes se sont entretenus pendant 45 minutes. A l'issue de ce tête-à-tête, la Maison Blanche a indiqué que le président américain et le chef spirituel des Tibétains avaient évoqué la question des droits de l'homme et de la liberté religieuse en Chine.

    Cela n'a pas manqué de susciter la colère de Pékin, qui a dénoncé une ingérence dans ses affaires intérieures. "Cela va nuire aux relations sino-américaines", a même prévenu le chef de la diplomatie chinoise.

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    Week end présidentiel au Fort de Bregançon










    Très originale : la Golfette du Président








    Éditorial de lucienne magalie pons

    Le chef de l'État est arrivé vendredi au Fort de Brégançon dans le Var, l’une des résidences présidentielles de vacances, pour rejoindre, au moins le temps d’un week-end, Madame Carla Bruni-Sarkozy son épouse, qui y réside depuis le début du mois de Juillet, embellie par son état de future maman.

    Sur le parcours, le Président Sarkozy applaudi par quelques vacanciers et touristes les saluaient aimablement de la main , puis en descendant de voiture il a comme il se doit, serré sa femme dans ses bras.

    Peu après, le couple présidentiel s’est échappé en amoureux pour une originale petite balade.en golfette.

    Madame Carla Bruni-Sarkozy, gracieusement coiffée d’un chapeau à larges bord et protégée par des lunettes de soleil, portait une robe de plage blanche, son époux en manches courtes tenait le volant de la golfette.

    Les médias soulignent que le couple présidentiel, comme tous les couples français en vacances, profitera de la plage et du soleil.

    Hier à Paris il faisait un temps de chien, mais comme nous ne sommes pas jaloux du bonheur des couples Français, y compris du bonheur du couple présidentiel, même si la politique du Chef de l’Etat nous écorche trop souvent les fonds de poches, nous souhaitons évidemment à tous ces couples de bonnes vacances sous le soleil … exactement.

    Libye : Neuf rebelles tués et 79 blessés samedi à Brega

    Éditorial de lucienne magalie pons

    Démocratie ou Guerre du Pétrole ?

    En dehors des arguments démocratiques mis en avant par la rébellion libyenne pour justifier le changement de régime et la chute de Kadhafi qu'elle souhaite , entre aussi et surtout en jeu la richesse pétrolière libyenne que la rébellion veut conquérir pour asseoir son autorité en Libye

    Samedi, Mouammar Kadhafi prévenait que son peuple ne laisserait pas le pétrole aux mains des rebelles: "Le peuple libyen est prêt à mourir pour défendre son pétrole et il ne laissera jamais cette richesse aux mains d'une bande de traîtres inféodée à l'Otan".

    Samedi, 9 rebelles ont été tués et 79 blessés dans la poursuite d’une offensive que la rébellion libyenne avait lancée depuis Jeudi sur le front est, en direction de la ville de Brega, un site pétrolier important, qu’elle tente de reprendre aux forces de Kadhafi.

    D’après les communiqués de presse c’est le plus lourd bilan enregistré en une journée par la rébellion, depuis qu'elle tente de reprendre cette ville.

    Au total, depuis que la rébellion a lancé jeudi son offensive sur Brega 12 rebelles ont été tués et 178 blessés.

    Les pertes des forces du colonel Kadhafi dans ces combats ne sont pas connues.

    La rébellion a déclaré que son avancée vers Brega avait été ralentie samedi par des champs de mines et par des tranchées défensives remplies de produits chimiques inflammables.

    "Nous savons que les forces de Kadhafi ont posé de nombreuses mines, elles ont aussi creusé des tranchées (remplies) de produits chimiques et de pétrole pour y mettre le feu lorsque nos forces entreront dans Brega", a déclaré un membre du Conseil révolutionnaire militaire de la rébellion, Mustafa el-Sagezli.

    Selon le colonel Ahmed Omar Bani, l’un des porte paroles des rebelles, environ 400 mines ont été découvertes aux abords de Brega.

    A Tripoli, une série de puissantes explosions ont été entendues dans la nuit de samedi à dimanche, selon un journaliste sur place, au moins 13 explosions ont été entendues avant et peu après 01h00 (dans la nuit), mais ce journaliste au moment de l’information n’a pas identifié les cibles visées.

    De son côté, la télévision d'Etat Al Jamahiriya a indiqué en citant une source militaire, que l'"agresseur colonialiste croisé" (l'OTAN) avait mené des raids sur des sites civils et militaires dans le quartier de Aïn Zara, dans l'est de Tripoli et à Tajoura, dans la grande banlieue Est de la capitale libyenne.

    La télévision, a fait état de victimes, sans en préciser le nombre.

    On voit bien qu’en dehors de considérations tournant autour de la démocratie et d’un changement de régime, entrent surtout en ligne l’enjeu de la richesse pétrolière que la rébellion convoite pour asseoir son autorité en Libye

    Rappelons que Samedi, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi , dans un discours retransmis par haut-parleurs à des milliers de partisans rassemblés à Zawiyah, à 50 km à l'ouest de Tripoli, avait fustigé les appels des membres du groupe de contact sur la Libye qui avaient de nouveau insistés vendredi, lors de leur réunion à Istanbul, pour qu’il quitte le pouvoir.

    ….

    "Ils me demandent de quitter …… Je ne quitterai pas la terre de mes ancêtres, ni le peuple qui s'est sacrifié pour moi", …… "Je suis prêt à me sacrifier pour mon peuple et je ne quitterai pas cette terre arrosée par le sang de mes ancêtres qui ont combattu les colons italiens et britanniques", a déclaré notamment le dirigeant libyen, en jurant encore une fois qu'il ne quitterait "jamais" la terre de ses "ancêtres".

    Dans ce même discours, Mouammar Kadhafi prévenait que son peuple ne laisserait pas le pétrole aux mains des rebelles: "Le peuple libyen est prêt à mourir pour défendre son pétrole et il ne laissera jamais cette richesse aux mains d'une bande de traîtres inféodée à l'Otan".

    16 juillet 2011

    Lybie : Reconnaissance du CNET comme " seule instance représentative du peuple Libyen "

    Éditorial de lucienne magalie pons

    Vendredi 15 Juillet 2011

    Les pays de l'Otan et les puissances arabes, soit 30 membres du groupe de contact sur la Libye, réunis à Istanbul le Vendredi 15 juillet, ont reconnu le Conseil national de transition (CNT) Libyen comme seule instance représentative du peuple libyen.

    Une vingtaine de pays, dont notamment la France, la Grande-Bretagne et l'Italie, qui font figure de triptyque diplomatique, politique et militaire précurseur, considéraient déjà le CNT comme unique représentant du peuple libyen.

    La secrétaire américaine d'Etat Hillary Clinton alors que les émissaires de la trentaine de pays et d'organisations réunis à Istanbul n’en était encore qu’à la rédaction du texte de leur déclaration finale triomphait déjà : « Jusqu'à la mise en place d'un cabinet de transition, les États-Unis reconnaîtront le CNT en tant qu'autorité gouvernementale légitime en Libye, et nous traiterons avec lui sur cette base »

    Le document élaboré à Istanbul aborde également l'après-Kadhafi: "La formation d'un gouvernement provisoire devra être rapidement suivie de la convocation d'un Congrès national formé de représentants de toutes les branches de la Libye."

    Cette reconnaissance du CNT (mis en place par les insurgés de Benghazi) comme « autorité gouvernante légitime en Libye, pourrait apporter une manne à cette instance qui ne cesse depuis sa formation de réclamer des aides financières à ses alliés notamment à la Coalition occidentale, en effet cette reconnaissance pourrait conduire au déblocage en faveur du CNET de plus de 34 milliards de dollars d’avoirs libyens du Régime Kadhafi actuellement gelés aux États-Unis. Les rebelles pourraient donc commencer à recevoir une partie des 30 milliards de dollars gelés par les États-Unis, après que certains obstacles juridiques aient été levé.

    Les puissances occidentales , membres du « groupe de contact » ont annoncé, - entendez décidé - , qu’il n’y aurait pas de pause pendant le Ramadan, mois de jeûne de la religion musulmane qui commencera le 1er Août et qu'elles allaient augmenter la pression militaire contre le régime de Kadhafi et prévenu qu'il n'y aurait pas de pause pendant le ramadan, le mois de jeûne de la religion musulmane, qui commence cette année le 1er août.

    Alain Juppé, Ministre Français des Affaires Étrangères a pour sa part confirmé que les opérations militaires de la coalition internationale se poursuivront bel et bien durant le mois de ramadan, …… à moins que le numéro un libyen ne cède le pouvoir ».

    "La feuille de route est très claire: d'abord et avant tout une annonce claire par Kadhafi de son intention de céder le pouvoir et particulièrement toutes ses responsabilités militaires, puis un authentique cessez-le-feu sous le contrôle de l'Onu et, nous l'espérons, de l'Union africaine", a-t-il dit.

    William Hague, son homologue britannique, ne pouvait que suivre Alain Juppé dans cette détermination, il a déclaré en insistant que "la pression militaire sur le régime continuera de s'intensifier".

    Mahmoud Chammann l’un des porte paroles du CNT présent à Istanbul a soutenu la décision de poursuivre les combats pendant le Ramadan "Le prophète Mahomet a mené de grandes batailles pendant le ramadan à La Mecque, aucun facteur religieux ne nous dissuadera donc de lutter pour notre liberté", a-t’il déclaré.

    Depuis la création du groupe de contact en mars à Londres, cette quatrième réunion de Vendredi s’est tenue sur fond de spéculations des intentions qu’il aimerait imposer au Colonel Kadhafi . C’est ainsi que quatre mois après les premières frappes alliées sur les structures de l'armée régulière libyenne, et les frappes aériennes incessantes sur Tripoli que des informations de plus en plus nombreuses s’accentuent pour évoquer comme s’il s’agissait de certitudes, le « probable retrait prochain de Kadhafi » et que d’après « des contacts informels, il semblerait que le dirigeant libyen pourrait être prêt à renoncer au pouvoir qu'il exerce s'il obtient des garanties.

    Toujours dans l’optique où Kadhafi accepterait de se retirer, différentes solutions sont envisagées sur l'avenir personnel du dirigeant libyen, visé par un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité, lui offrirait-on en échange une immunité, serait-il autorisé à rester sur le sol libyen ou à chercher refuge dans un pays tiers, mais aucune solutions pour le moment ne semblent arrêtées.

    La recherche d’une solution sera confiée à une équipe dirigée par l'émissaire spécial du secrétaire général de l'Onu pour la Libye, le Jordanien Abdoul Elah al Khatib, et le Ministre Italien des Affaires Étrangères Franco Frattini a précisé à ce sujet : …"Ils décideront non pas si Kadhafi doit quitter le pouvoir, mais comment et quand".

    Mais il faut souligner aussi qu’en dépit des efforts qui sont déployées médiatiquement pour faire croire que les insurgés avancent sur le terrain des opérations militaires en Libye, on est bien obligé en lisant et entendant journellement les médias, français et étrangers, que lorsque des informations disent que les rebelles libyens investissent un village ou un lieu, quelques heures après on nous informe que les forces armées de Kadhafi réinvestissent le village et le lieu en chassant les rebelles pourtant soutenus par les forces de l’Otan.

    De son côté Kadhafi, la veille de la réunion du « groupe de contact », devant des dizaines de milliers de partisans à Al Adjaïlat, à 80 km à l'ouest de Tripoli, avait renouvelé son intention de poursuivre la lutte. "Je me sacrifierai pour vous ……Je combattrai jusqu'au bout", avait-il dit.

    Et Vendredi Kadhafi a affirmé que la reconnaissance par les puissances mondiales et régionales du conseil de transition (CENT) mis en place par la rébellion dans son pays n'avait aucune portée pour le peuple libyen.

    « Reconnaissez un million de fois le soi-disant Conseil national de transition (CNT), cela n'a aucune portée pour le peuple libyen qui va piétiner vos décisions, a déclaré Kadhafi dans un message relayé par haut-parleurs à des milliers de ses partisans rassemblés à Zliten, une ville visée par les rebelles à 150 km à l'est de Tripoli.

    Dans son message, le dirigeant libyen a estimé qu'il n'imaginait pas qu'un jour le peuple libyen puisse être représenté par une poignée de traîtres qui ont ouvert les portes de Benghazi à des forces croisées.

    Personne ne peut représenter le peuple libyen, même pas Kadhafi. Le peuple va donc piétiner vos décisions et vous dire « Zut », a poursuivi le colonel Kadhafi dans son quatrième message depuis le 1er juillet.

    ……….

    En visant l’Otan la Coalition et le CNT, le Colonel Kadhafi a affirmé dans son message :

    « J'ai avec moi cinq millions de Libyens prêts au martyr. Je ne leur ai pas encore donné le feu vert pour marcher sur vous, je vous donne une dernière chance de cesser vos opérations et je demande aux traîtres de Benghazi (fief de la rébellion dans l'Est) de se rendre ou de se sauver du pays »

    Le colonel Kadhafi s'est une nouvelle fois élevé Vendredi dans son message contre le président français Nicolas Sarkozy, qu'il a qualifié de fou et stupide en l’accusant d’avoir détruit les intérêts communs de la Libye et de la France. La veille Jeudi, Kadhafi avait déjà « gratifié » M. Sarkozy de « retardé mental et de criminel de guerre qui a entaché l'histoire de la nation française et détruit les rapports de son pays avec la Libye et les pays musulmans »

    « Nous avons toujours œuvré pour avoir de bonnes relations avec les peuples français, britannique et italien, a dit le guide libyen Vendredi , accusant les dirigeants de ces pays de vouloir créer un désastre pour l'Europe, la Méditerranée et l'humanité entière en lançant une croisade contre le peuple libyen pacifique.

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    Pour Alain Juppé, Ministre Français des Affaires étrangères, a réagi Vendredi aux discours de Kadhafi. Interrogé vendredi sur les discours du colonel Kadhafi à l'encontre du président français Nicolas Sarkozy, le ministère des Affaires étrangères a rappelé que le maître de Tripoli faisait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre l'humanité en dénonçant "le cynisme et l'isolement d'un dictateur qui continue à massacrer le peuple libyen et qui n'a plus d'autre issue que de se retirer".

    Le Ministre Italien des Affaires Étrangères Franco Frattini, en marge de la quatrième réunion du Groupe de contact sur la Libye à Istanbul, a déclaré aux journalistes :

    "Le Groupe de contact sur la Libye tout entier a décidé de reconnaître le CNT comme l'autorité légitime de la Libye"

    La décision des États-Unis de reconnaitre le Conseil national de transition a été bien accueillie par un groupe de sénateurs républicains dont John McCain qui avait soutenu la rébellion dès le début du conflit. Dans leur communiqué, les sénateurs républicains qualifient « d’étape encourageante cette reconnaissance qui montre, l’engagement des États-Unis en faveur des Libyens qui se battent pour libérer leur pays du régime de Kadhafi et pour instaurer la démocratie » … en demandant qu’un ambassadeur américain soit nommé à Benghazi, afin de renforcer la présence diplomatique américaine auprès des rebelles.

    Par ailleurs, le porte parole Mark Toner a rappelé que Washington avait été assez lent à reconnaitre le CNT, incertain de son aptitude à gouverner. Toutefois a déclaré Mark Toner, les inquiétudes de l’administration ont disparu après un exposé convaincant de l’un des dirigeants du Conseil devant le groupe de contact.

    Mark Toner a aussi renouvelé l’appel des États-Unis en faveur d’un cessez-le-feu et du départ de Kadhafi.

    L’un des avantages de la reconnaissance américaine pour les rebelles serait de pouvoir commencer à recevoir une partie des 30 milliards de dollars appartenant au régime et qui sont gelés par les Etats-Unis. Mais il faut pour cela que certains obstacles juridiques soient levés.

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    Pour l’Organisation de défense des droits de l’Homme « Human Right Watch », il n'est pas certain qu'un premier gouvernement mis en place par le CNT représenterait tout le spectre de la société libyenne. Cette organisation a appelé Vendredi le Groupe de contact à faire pression sur l'opposition pour garantir la sécurité des civils dans les zones dont les rebelles au régime de Tripoli se sont emparées.

    ooOoo

    Revue de presse :

    Une trentaine de pays reconnaît pleinement l'opposition libyenne

    nouvelobs.com -

    L'organe politique des rebelles est désormais considéré comme "autorité gouvernementale légitime" et doit maintenant établir un gouvernement de transition. Les délégués de plus de 30 pays ont décidé de reconnaître le Conseil national de transition .

    Libye: Le groupe de contact reconnaît officiellement la rebellion 20minutes.fr

    Le Parisien - Courrier International - Europe1 - Metro France

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    15 juillet 2011

    Madame Carla Bruni-Sarkosy a accepté de recevoir NICE MATIN






    Pour illustrer mon Éditorial j'avais publié une photo de Madame Carla Bruni-Sarkozy qui figure sur Internet dans différents sites et blogs , mais je viens de la supprimer à la demande d'une Agence de presse, qui d'après le mail confidentiel ,que je viens de recevoir affirme qu'elle diffuse ces images" sur les marchés français et internationaux à titre exclusif"

    Mon blog est tout à fait accessible gratuitement ...je ne sais pas s'il se trouve contenu dans les marchés Français et internationaux", .. mais quoiqu'il en soit j'ai supprimé la photo.

    Voici le texte de leur mail (pour respecter la confidentialité que l'Agence de presse me demande, j'ai supprimé le nom de l'expéditeur du mail , son adresse mail, et les références de l'Agence)

    copie du mail :

    "Bonjour,

    Nous avons constaté que vous publiez sur votre site internet une image de Carla Bruni qui fait partie d’une série pour laquelle vous ne disposez d’aucun droit de reproduction.

    http://luciennemagaliepons.blogspot.com/2011/07/photo-de-madame-carla-bruni-sarkozy.htm

    Nous sommes l’agence de presse qui diffuse ces images sur les marchés français et internationaux, de manière exclusive.

    Nous vous demandons de retirer cette image sans délai

    Sincèrement.

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    Éditorial de Lucienne Magalie Pons

    L’épouse du Président de la République Carla Bruni-Sarkozy qui séjourne actuellement au Fort de Brégançon a accepté de recevoir NICE MATIN pour une interview exclusive le 14 juillet 2011

    A la suite NICEMATIN.com a publié ce matin 15 Juillet sur son site internet un large compte-rendu de cette rencontre.

    A la lecture de cet article nous mesurons combien Carla Bruni-Sarkozy a su maîtriser progressivement son expression, en sa qualité d'épouse du Chef de l'État Français depuis un peu plus de trois ans , tout en gardant l’essentiel de sa personnalité et de son style.

    C’est avec sincérité qu’elle a répondu aux questions qui lui étaient posées en disant exactement ce qu’elle pouvait dire et faire entendre, sans entrer dans les détails de sa vie privée.

    Revue de Presse :

    Source : NICEMATIN.com

    Publié le vendredi 15 juillet 2011 à 07H53 -

    En intégralité: notre rencontre avec Carla Bruni

    Jour de fête, journée de deuil. Fierté et tristesse. Carla Bruni-Sarkozy naviguait entre ces deux sentiments, à l’heure de recevoir dix femmes de marins, engagés depuis plusieurs mois au large de la Libye. En ce 14 juillet, où l’on déplorait la perte de nouveaux soldats français en Afghanistan, la réception « élyséenne » au Fort de Brégançon n’en prenait que davantage de sens, tout ancré dans l’émotion. Une rencontre exceptionnelle et d’une très grande simplicité à laquelle Nice-Matin a pu assister. À l’issue, l’épouse du chef de l’État a reçu votre journal pour une interview exclusive. Avec nous, Carla Bruni-Sarkozy a évoqué son mari, ses passions, ses engagements et sa carrière artistique. Un échange chaleureux et rayonnant.

    Au regard de l’actualité, cette rencontre avec des femmes de militaires devient hautement symbolique?

    Oui, c’est vrai. En ce jour de deuil, très cruel, je pense beaucoup aux familles des soldats disparus. En même temps, c’est un jour important pour toute l’armée française, et à défaut de pouvoir assister au défilé, j’avais envie de faire un geste. Mon mari m’a dit : pourquoi ne pas inviter les épouses des marins, basés à Toulon ? Cela me semblait nécessaire et important. Et puis pour moi, ça touche aussi une corde sensible…

    La fonction de votre mari vous plonge forcément dans cette actualité brûlante? Parlez-vous de ces sujets avec lui ?

    Je m’intéresse forcément à son travail. Aujourd’hui, je le sais bouleversé par la mort des soldats. Son discours aux forces armées était très beau et solennel.

    Avec les femmes de marins, vous avez insisté sur la notion de courage. Votre époux fait-il lui aussi preuve de courage ?

    Je le trouve très courageux. Mon mari n’est pas soldat ni marin, mais en tant que chef de l’armée française, il est professionnellement très impliqué lorsqu’il faut prendre une décision.

    Après, ce sont les soldats qui sont sur le terrain. Au-delà de ce trouble actuel, le futur annonce un heureux événement, que vous avez de plus en plus de mal à dissimuler. Pourquoi tant de discrétion?

    D’abord pour me protéger, pour ne pas exhiber toute ma vie intime. C’est un très grand bonheur pour moi, mais il est somme toute banal, et d’un autre côté, les gens ont bien d’autres problèmes, et ce serait déplacé de trop en parler. Nous sommes déjà tellement exposés médiatiquement…

    Les rumeurs font néanmoins état d’un petit garçon ?

    Mais ça, je ne le sais pas moi-même ! Il y a des choses que l’on doit garder secrètes.

    Et comment vivez-vous cette grossesse dans le Fort de Brégançon, que l’on qualifiait parfois de « spartiate »?

    Je n’ai touché à rien, même pas un rideau ! Il est très confortable. Spartiate, je ne dirais pas ça. Il est surtout magnifique ! Sans doute l’héritage de Bernadette Chirac, une vraie maîtresse de maison. Moi, je suis un peu plus bohème…

    Dans ce cadre idyllique comment organisez-vous vos journées ?

    Pour moi, ce sont des journées de repos, en vérité. Dans mon état, c’est une chance incroyable de séjourner ici, plutôt qu’en ville. Et puis j’attends mon mari, qui devrait venir ce week-end, avant des vacances en famille en août.

    Première Dame de France, ça peut donc rimer avec vacances ?

    (rires) Mais pour moi, Dame de France, ce n’est pas un fardeau. C’est une fonction, avec des devoirs, mais ça n’a rien d’accablant. Le poids de la charge est pour mon mari, je ne fais que l’accompagner. Trois ans ainsi, c’est beaucoup moins fatigant que dix ans de mannequinat. Dame de France, c’est une responsabilité, il ne faut pas dire n’importe quoi, mais je ne suis pas d’une nature écervelée, et c’est une parenthèse magnifique dans mon existence. Et puis, c’est d’abord la rencontre avec l’homme de ma vie.

    La naissance à venir va-t-elle changer le regard des gens sur votre couple présidentiel?

    Je ne sais pas… Le regard extérieur des gens est tellement différent de ce que nous sommes dans l’intimité, il est si décalé qu’il est difficile d’ajuster leur vision et la réalité.

    Vous êtes personnellement blessée par les critiques et attaques dont votre mari fait parfois l’objet?

    Président, c’est toujours ainsi. La fonction suscite forcément des critiques et de l’agressivité, ce n’est pas contre mon mari. Mais on ne peut pas choisir ce destin-là sans être critiqué. La critique, c’est l’essence de la démocratie, et ça tient mon mari en éveil. Quand on est élu, il est important de rester conscient et sensible, même si c’est parfois difficile. C’est ce qui permet ensuite de se régénérer, ça donne le pouvoir de faire des choses formidables.

    Lui donnez-vous également des conseils ?

    Il a déjà tellement de conseillers! Mon mari reste lié aux gens, il n’est pas enfermé dans une bulle, ne crée pas de désert autour de lui. C’est quelqu’un d’humain, il n’est pas distant. C’est la grande différence avec d’autres présidents de la République : mon mari reste humain, les gens le sentent, et une certaine élite s’en exaspère.

    Vous souhaitez donc qu’il soit de nouveau candidat en 2012 ?

    Oui, je le souhaite pour la France.

    Et votre engagement à vous? Contre l’illettrisme notamment ?

    À travers ma fondation, j’ai découvert des chiffres éloquents sur le sujet. L’éducation, ce n’est pas un médicament, mais c’est une nourriture de l’âme. Je veux rendre la culture plus accessible à tous, apporter un petit quelque chose à toutes ces personnes qui vivent dans une situation précaire, faute de culture. C’est une goutte d’eau, mais je découvre toutes les difficultés des gens, je n’en avais pas vraiment conscience avant d’être Première Dame de France.

    Vous-même, vous ne regrettez pas d’avoir arrêté tôt vos études ?

    Pas du tout. J’ai arrêté après le baccalauréat, mais je suis issue d’une famille où la culture était omniprésente. Je n’étais pas une étudiante modèle, mais j’avais accès à tout. J’avais envie de voyager, je me suis sentie libre, mais j’avais déjà un gros bagage culturel dans ma besace.

    Vous avez aussi apporté cette ouverture-là à Nicolas Sarkozy ?

    Je ne sais pas. Ensemble, en vérité, on se pose. C’est un homme profondément actif, et pour découvrir la culture, la lecture, il faut être dans une certaine paix. Au-delà de moi, je pense qu’il en avait besoin, c’est une façon de se ressourcer, pour mieux repartir.

    Et votre carrière artistique : une nouvelle inspiration, née de votre état ?

    J’ai fait un album, mais il n’est pas tout à fait terminé, en raison de ce bonheur à venir, inattendu et inespéré. Je me suis aperçue que je ne pourrais pas assurer la promotion de l’album avant plusieurs mois, mais je ne l’ai pas du tout remisé dans un tiroir! C’est juste une parenthèse.

    Déçue de n’avoir pas pu monter les marches à Cannes pour Minuit à Paris où vous tenez un rôle ?

    Oh, mais j’y suis déjà allée à Cannes! Pas souvent pour un film de Woody Allen, je vous le concède, mais je n’avais pas le choix. J’aurais adoré y aller, mais je ne pouvais pas, uniquement à cause de mon état. Pas à cause de La Conquête !

    Pour Julien Clerc, vous avez écrit les paroles de Si j’étais elle. Si vous deviez écrire Si j’étais lui pour Nicolas Sarkozy, que lui chanteriez-vous ?

    (Sourire espiègle). Vous verrez bien dans mon prochain album!

    Fin de l’article recueilli sur le Site NICEMATIN.com

    C'est sûr et certain ... l'Elysée attend un bébé

    Éditorial de lucienne magalie pons

    Madame Bruni –Sarkozy n’a jamais vraiment caché sa grossesse, simplement elle en est restée discrète dans les interviews qu’ elle a pu accorder dans les premiers mois, comme le font habituellement les futures mamans avec cette pudeur toute naturelle qui entoure ces premiers moments émouvants où une femme sent naître en elle la promesse d’ un germe de vie.

    Mais cette grossesse étant maintenant consolidée et apparente il est tout à fait naturel qu’elle accepte d’en parler. C’est ce qu’elle vient de faire, dans une interview exclusive qu’elle a accordée au quotidien Nice Matin depuis le Fort de Brégançon il est rapporté que pour Madame Carla Bruni-Sarkozy sa grossesse est un bonheur à venir, inattendu et inespéré.

    (Inattendu et inespéré bien sûr dans le sens où les époux ne s’y attendaient pas)

    Interrogée sur le sexe du futur bébé elle aurait dit « je ne le sais pas moi-même » … « je ne suis pas une écervelée et c’est une parenthèse magnifique dans mon existence »

    Il y a quelques jours des magazines peoples s’étaient relayés un peu trop vite pour affirmer qu’il s’agissait d’un garçon en soulignant que Nicolas Sarkozy était déjà père de deux fils Jean et Pierre d’un premier mariage, d’un troisième fils Louis de son second mariage et que Carla Bruni-Sarkozy son épouse était déjà mère d’Aurélien fils de son ancien compagnon Raphaël Enthoven., mais en oubliant de rappeler que le Président est aussi déjà grand-père d’un petit garçon.. Il est vrai que les époux Jean Sarkozy savent très bien protéger leur vie de couple et de jeunes parents.

    Carla Bruni-Sarkozy affirme aussi dans cette interwiev à Nice Matin avoir trouvé «l'homme de sa vie» en la personne de Nicolas Sarkozy.

    Comme quoi tout finit par arriver, il suffit d’attendre le vrai coup de foudre durable, chacune, chacun a pu l’expérimenter dans son destin !

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    Du point de vue politique, l’épouse du Président est favorable à la candidature de son mari à la présidentielle de 2012 : «Oui, je le souhaite pour la France » a-t-elle confié.

    Pour elle, son rôle de première dame de France n'est pas un «fardeau» : «trois ans ainsi, c'est beaucoup moins fatigant que dix ans de mannequinat», a-t-elle affirmé.

    Après la mort de six militaires français survenue en Afghanistan en deux jours, Carla Bruni-Sarkozy a confié que son mari était «bouleversé par la mort des soldats». La veille elle recevait au Fort de Brégançon, dans le Var, dix épouses de marins français engagés à bord du Charles-de-Gaulle et du Tonnerre au large de la Libye.

    «La critique, c'est l'essence de la démocratie et ça tient mon mari en éveil», a-t-elle aussi déclaré, estimant que la fonction de président «suscite forcément des critiques et de l'agressivité» mais que «ce n'est pas contre son mari». «Mon mari reste humain, les gens le sentent et une certaine élite s'en exaspère.»

    Sur son absence au récent Festival de Cannes où était présenté «Minuit à Paris», le dernier film de Woody Allen dans lequel elle tient le rôle d'une guide de tourisme, elle a expliqué que sa grossesse l'a empêchée de s'y rendre.

    Ce ne serait donc pas à cause d’un autre film « La Conquête » le film de Xavier Durringer présenté hors compétition à Cannes qui raconte la conquête du pouvoir par Nicolas Sarkozy et évoque sa relation avec son ex-femme Cécilia, comme certaines rumeurs médiatiques des peoples l’auraient supposé.

    Par ailleurs l’hebdomadaire Paris Match a dévoilé dans son numéro de mercredi plusieurs photos de Nicolas Sarkozy et de son épouse.

    Dans une vidéo de BFM-TV quelques-unes de ces photos sont reprises et commentées et l’on peut s’apercevoir que Madame Carla Bruni –Sarkozy beauté enceinte a su garder sa ligne en dépit de son ventre gracieusement arrondi.

    Pour voir la vidéo cliquez sur le lien ci-dessous :

    Carla Bruni enceinte : la rumeur confirmée par BFMTV


    Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

    Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...