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L’Assemblée nationale a levé, ce jeudi matin, l'immunité parlementaire de Georges Tron, conformément à la requête du parquet d'Évry (Essonne) au garde des Sceaux. Cette levée d'immunitéétait indispensable pour que puisse continuer à s'exercer le contrôle judiciaire auquel est soumis l'ancien ministre UMP, mis en examen pour viols et agressions sexuelles en réunion par personne ayant autorité.
Mercredi soir à minuit, après un délai d’un mois depuis sa démission du gouvernement, Georges Trondevait en principe retrouverson fauteuil de député, et son immunité parlementaire,comme le prévoit la loi.
Hier dans la soiréeGeorges Tronavait adressée au Président de l’Assemblée Nationale Bernard Accoyerune lettre dans laquelle il rappelait sa volonté de respecter le contrôle judiciaire auquel il est soumis
(Rappelons que Georges Tron, 53 ans, accusé par trois anciennes employées municipales de Draveil, avaitété mis en examen le 22 juin et placé sous contrôle judiciaire, ce qui posait la question de son immunité parlementaire par rapport à l’exercicepratique ou effectif de ce contrôle judiciaire).
Mais le Bureau de l’Assemblée Nationale a tranché rapidement en levant cette immunité dès ce matin.
Reste posé dans les faits l'exercice de ce contrôle judiciaire à la Mairie de Draveil et dans l'agglomération Sénart Val de Seine.
Toutefois localement à la Mairie de Draveille contrôle judiciairerisquedese révéler compliqué, car il prévoit que Georges Tron, toujours maire de Draveil, doit s’abstenir de rencontrer des témoins de l’affaire, dont certains travaillent en mairie.
Des élus d'opposition avaient réclamé que le préfet démette le maire de ses fonctions et placent la ville sous tutelle au motif que les témoins puissent subir des pressions. La procureure d’Évry, quant à elle, avait indiqué la nécessité de mettre en place une «organisation spéciale» en mairie.
Par ailleurs, le 24 JuinGérald Hérault, maire PS de Montgeron, et Serge Poinsot,MaireUMP de Vigneux, ont demandé dans une lettre commune adressée à Georges Tron de donner sa démission du poste de président de l’agglomération Sénart Val de Seine (CASVS), dont ces deux maires sont respectivement premier et deuxième vice-présidents
Cette intercommunalité regroupe les trois villes de Draveil, Montgeron et Vigneux.
Dans leur lettre, les maires demandaient à Georges Tron, au vu de sa « situation personnelle , notamment depuis sa mise en examen pour « viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité » ……. « …, d’apporter la plus digne des réponses en acceptant de donner sadémission » du poste de président de la CASVS.
La lettre a été portée au siège de l’agglomération, à Draveil. Une copie de la lettrea été envoyée au préfet. Pour Gérald Hérault la situation actuelle n’est plus tenable.
Ces deux maires justifiaient leur prise de position du faitquela prise de décisions estbloquée et « l’image de notre territoire écornée ».
« On ne peut pas fonctionner comme cela à l’agglomération. On a des marchés qu’on ne peut pas passer à cause de la situation de Georges Tron. La machine est bloquée ».
Au cabinet de Georges Tron, on réfute toute idée de démission. « Les juges n’ont pas considéré qu’il y avait matière à remettre en cause ses mandats », souligne ses collaborateurs.
Toutefois Georges Tron avaittéléphoné à Gérald Hérault et d’après le maire de Montgeron« Il est prêt à déléguer plus et n’exclut pas une plus large délégation de signatures en cas d’absence ».
Les deux vice-présidents de la CASVS ont aussi demandé la démission de Brigitte Gruel, élue sur Draveil et également mise en examen dans l’affaire Tron. (A la communauté d’agglomération, Brigitte Gruel est chargée des appels d’offres)
Nicolas Sarkozy a été agrippé par un homme, jeudi 30 juin, un peu avant mididans lebain de foulecomposé de quelques habitants qui l’accueillaient lors de son arrivée habitantsà Brax, en Haute-Garonne. Le chef de l'État était en train de serrer les mains de cespersonnes rassemblées derrière une barrière de sécurité, lorsqu'un homme a tendu la main etl'a brusquement saisi par la veste à l'épaule et l'abousculé en le déséquilibrant pour le projeter versle sol. Nicolas Sarkozy a pu se redresser pendant que quatre à cinq hommes de son service d’ordre plaquaient immédiatementl’agresseur au sol et le maitrisaient.
Nicolas Sarkozya très vite retrouvé son équilibre et a poursuivi son parcours en serrant des mains.
L’hommequi serait à l'origine de l'agression a été placé en garde à vue dans les locaux de la section de recherche de gendarmerie d'Agen.
L'homme, âgé de 43 ans,demeurant dans le Lot-et-Garonne, n’est pas connu des services de sécurité et il a été placé en garde à vue à la gendarmerie d'Agen, où une enquête a été ouverte.
Selon une source judiciaire, les faits peuvent être qualifiés en violences aggravées du fait de la qualité de dépositaire de l'autorité publique du chef de l'État. Si c'est le cas, l'homme risquerait jusqu'à trois ans de prison et de 45 000 euros d'amende
J’ai ressenti, après l’émission de Marine Le Pen sur France 2, un étrange sentiment, fait de colère calme et d’inquiétude démocratique. Pourquoi tant de haine, que cache-t-elle dans l’inconscientdes chiens de garde enchainés à la niche du micro ? Évidemment, le point de rage écumante ce fut la cacophonie des deux derniers intervenants, Laurent Geoffrin et Caroline Fourest, les deux haineux de service, les haineux dont la haine politique sentait la hyène. C’était un interrogatoire de police conduit par des flics fachos ! Pourquoi, mais pourquoi ? Les mêmes qui restent prudents avec les pires pitres du PAF politique se sont montrés agressifs, autoritaires, armés de petits papiers qu’ils brandissaient comme des procès-verbaux de garde à vue, empêchant Marine Le Pen de parler, comme s’ils étaient l’incarnation jugulaire d’un tribunal journalistique. Est-ce cela la démocratie, le débat ? Au-delà du trac qu’on a du mal à admettre chez des professionnels, mais qu’on peut toujours comprendre, il y avait autre chose, une volonté de tuer en meute, une volonté organisée, que je vois à l’œuvre dans la peur qu’elle répand d’empêcher les gens d’oser dire qu’ils soutiennent Marine : une volonté de tout un système qui s’appelle la terreur ! Ils ont leur bonne conscience commerciale : ils luttent contre le racisme, que Marine le Pen condamne autant qu’eux, ce qui les emmerde plus que tout. Derrière ce prétexte moral se cache la réalité hypocrite, évincer la candidate qui ne joue pas leur jeu, qui n’est pas l’invitée protégée des émissions, qui parle au peuple, qui essaye de dire la réalité, d’exister dans le respect, et avec elle les citoyens qui voudraient vivre autrement que par procuration des procureurs promus qui savent et sauvent tout. Cette haine du chien qui perd son os, elle est visible, et la France estde moins en moinsdupe des traquenards que tendent ces policiers permanents de la parole politique. Ils se disent démocrates, d’une démocratie sélective : l’hommage, l’écoute, la discussion pour les uns, l’insulte, la parole coupée, l’altercation pour les autres, les bannis, les populistes, les méchants. C’est tellement pratique d’avoir sa réserve d’infâmes ! Et si l’infamie changeait de camp ? Il suffirait que les peureux n’aient plus peur, qu’ils comprennent qu’on cherche seulement à les culpabiliser comme des gosses ; la technique première du manipulateur étant de culpabiliser, de créer la suspicion (lire « Les manipulateurs sont parmi nous », d’Isabelle Nazare-Aga). Soyez attentifs, quelles que soient vos opinions, que je respecte, vous verrez la technique à l’œuvre : créer de la culpabilité, créer de la suspicion, à partir de rien, d’un mot, d’un geste, d’une interprétation, d’un père, d’un sport, d’une amitié, d’un parrain de baptême, d’une photo, d’une interview ancienne et décalée, d’une souffrance, d’une tristesse, d’un document que l’on tronque, d’une arrière-pensée… Finalement, ces journalistes sont-ils des journalistes ou des manipulateurs professionnels au service d’un système qui les fait vivre, les honore, leur gratouille le nombril médiatique, assure la promotion de leurs livres, leur conférant, en contrepartie, la toute-puissance palabreuse qui paye si bien ? Poser la question, c’est déjà être condamné à la mort ignominieuse sur le coin d’un trottoir médiatique une balle dans la tête. La haine, ça sent la haine, tout çà ! A preuve, l’article du site MEDIAPART qui propose aux âmes respectueuses de la démocratie «de mettre une balle dans la tête » des frontistes ! Dans le front, c’eut été mieux… Et personne ne s’indigne. C’est normal. C’est bien. C’est démocratique, la balle dans la tête. Il est vrai que monsieur Plenel a grande tendresse pour Battisti.
Les fachos ne sont pas là où l’on croit ! Le premier qui dit la vérité… J’espère que le moment va venir où la trouille que ces terroristes mous comme des tortillas répandent se dissipera devant le courage retrouvé, devant l’honneur de n’avoir plus peur, devant le bonheur de n’avoir plus peur. Peur de quoi, au fait ? Soyez lucides, ils nous prennent pour des cons, dans les salons parisiens ils se marrent, entre eux, de nos bêlements, de nos tremblotements, de nos apeurements de perdre le boulot, des clients, de voir la carrière arrêtée,de subir un article odieux,d’être stigmatisé, d’être fascisé facticement. C’est le prix à payer pour le redressement démocratique, égalitaire, économique, respectueux, d’une France plénière et souveraine.C’est ignoble, d’accepter cette dictature. Et vous savez qu’elle existe ! Bien sûr, on voit passer quelques corbillards, Zemmour, Menard, mais ils vont ressusciter et rigoler.
Les éructeurs des médias veulent faire durer la croisière duTitanic à tout prix ! Et, comme toujours ce sont les passagers des premières classes qui ne veulent rien entendre, à cause de leur propre musique sur laquelle ils dansent, qui s’en sortiront etles passagers d’en bas qui se noieront d’abord. Celui qui dit que l’iceberg peut n’être pas loin, il faut le passer par-dessus bord, c’est un empêcheur de valser dans la vaseline, de dîner dans la vaisselle en argent des autres, d’être en la bonne compagnie des gens bien de la compagnie, Les Chics, Les Propres, Les Irréprochables, qui pour fuir se déguiseront.
N’ayez pas peur de crier que vous voyez l’iceberg ! N’ayez pas peur !
C'est officiel, Martine Aubry, Première Secrétaire du Parti Socialiste,est candidate à la primaire socialiste pour 2012.
Martine Aubry aproposé hier Mardi 28 Juin 2011 sa candidature à l’élection présidentielle de 2012, aux termes d’une déclaration trèsconcise et cohérente, elle expose les raisons politiques de sa décision, notamment en soulignant les désordreséconomique, budgétaire, social que subit la France, et leurs conséquences.
En référence à ses valeurs politiquesde gauche, mais aussi,sur les valeurs transmises par sa famille, la morale, le sens de la justice et le goût des autres elle , Martine Aubry a déclaré : « Je puise ma force dans mes convictions de toujours, celles de la République et celles de la gauche »… en expliquant que pour ellela liberté rime avec l’égalité, pour donner à chacune et chacun les moyens de construire sa vie, queseule la fraternité permet une société apaisée où chacun donne le meilleur de lui-même aux autres et quela laïcité est une valeur inestimable que nous devons protéger précieusement.
Au terme de son interventionMartine Aubrya déclarée : « Je veux plus que tout rassembler, rassembler aujourd’hui les femmes et les hommes de gauche, les écologistes et les humanistes, pour que demain en 2012 nous puissions rassembler les Français et la nation toute entière.
Avec votre soutien, avec votre confiance, je prends aujourd’hui devant vous l’engagement de la victoire en 2012.
ooOoo
Voici ci-dessous le discours de Martine Aubry :
Redresser la France, rassembler les Français dans la justice
Mes chers compatriotes,
J’ai souhaité aujourd’hui m’adresser à vous.
Dans moins d’un an a lieu l’élection présidentielle. La France a rendez-vous avec la démocratie, c’est-à-dire avec elle-même.
Notre pays subit de grands désordres, désordre économique, désordre budgétaire, désordre social, qui entraînent d’autres désordres dans les vies comme dans les lieux de vie. Un pouvoir enfermé dans ses certitudes, a touché à tout sans rien régler.
Je le dis : on ne peut pas innover, créer, soigner, éduquer, et soumettre ces nécessités vitales aux seules lois du marché. On ne peut pas critiquer le pouvoir financier, tout en le laissant continuer ses pratiques détestables. On ne peut pas protéger les Français en imposant les recettes libérales qui les fragilisent.
On ne gouverne pas en opposant les jeunes aux plus âgés, les travailleurs aux chômeurs, les Français aux étrangers. On ne préside pas la France sans porter haut ses valeurs et son identité, qui ont fait l’admiration du monde. Derrière l’apparence de l’énergie, trop souvent confondue avec l’agitation, ce pouvoir a surtout une réalité : une politique injuste exclusivement menée au profit des privilégiés.
Il est temps, il est grand temps que cela change vraiment.
Je veux rendre à la France sa force, sa sérénité, son unité.
Je veux redonner à chacun le goût de l'avenir et l'envie d'un destin en commun.
Aussi, j’ai décidé de proposer ma candidature à l’élection présidentielle.
***
Oui, la France connait des heures difficiles. Mais je suis résolue à me battre de toutes mes forces pour lui redonner avec vous un avenir. Il n’est pas de plus beau combat, il n’est pas de mission plus noble.
J’ai la conviction que face aux multiples défis de notre monde, une vision claire, une action cohérente et un langage de vérité permettront de récréer de la confiance, de redresser notre pays et de le rassembler dans la justice. La peur, le repli sur soi et le défaitisme : ce n'est pas la France!
- Je vous le dis ici dans ma ville de Lille, capitale d’une grande région industrielle où rien n’a jamais été donné, où tout a été conquis par le courage des femmes et des hommes. Lille, terre d’hospitalité pour ceux venus d’ailleurs, qui contribuent aujourd’hui à notre prospérité. Lille, que j’aime tant, qui m’a tant donné et qui m’a tant appris.
- Je vous le dis en m’appuyant sur ce que j’ai de plus cher, les valeurs transmises par ma famille : la morale, le sens de la justice et le goût des autres. Je puise ma force dans mes convictions de toujours, celles de la République et celles de la gauche. Pour moi, la liberté rime avec l’égalité, pour donner à chacune et chacun les moyens de construire sa vie. Pour moi, seule la fraternité permet une société apaisée où chacun donne le meilleur de lui-même aux autres. Pour moi, la laïcité est une valeur inestimable que nous devons protéger précieusement.
- Je le dis aussi après trois années de travail à la tête du Parti Socialiste, confiante dans le grand projet du changement que nous avons préparé tous ensemble pour répondre à vos attentes et aux besoins du pays. J’ai vu, j’ai entendu, j’ai écouté, j’ai échangé avec beaucoup d’entre vous.
Les difficultés et même la colère sont là, mais le désir d’agir pour que notre pays retrouve un sens est puissant. Nul n’ignore la situation réelle de la France et la dureté de la crise. Nous aurons des efforts à réaliser, mais je m’y engage, ils seront justement répartis. On ne peut pas demander toujours plus à ceux qui ont peu et donner à ceux qui ont déjà tout. Tout ne sera évidemment pas possible tout de suite, mais nous reprendrons ensemble le chemin du progrès.
***
- Je m’adresse à vous aujourd’hui pour vous dire que je veux relever le défi d’une France innovante, compétitive et écologique.
Nous avons des ressources puissantes pour être dans le peloton de tête des nations. Nos ouvriers, nos employés, nos cadres, nos agriculteurs, nos entreprises, nos chercheurs, nos artistes, nos créateurs débordent de compétences, d’imagination et d’initiatives. Nos jeunes sont énergiques et créatifs. Il faut leur faire confiance et leur donner les moyens de leur autonomie.
Nous avons tous les atouts pour réussir dans la compétition mondiale en bâtissant, dans une France conquérante, un nouveau modèle économique, social et écologique, qui donnera à la France une génération d'avance.
- Je veux aussi restaurer la justice associée à la promesse républicaine.
Les Français doivent pouvoir vivre de leur travail, avec des emplois qui valorisent et permettent de progresser. Les jeunes doivent pouvoir faire des projets de vie et de travail. Les parents doivent pouvoir éduquer et protéger leurs enfants.
Chacun doit avoir accès aux soins et à un logement digne. Nos anciens ont droit à une retraite décente et à une prise en charge de la perte d’autonomie par la solidarité nationale. La sécurité qui est un droit essentiel, doit être assurée : le gouvernement utilise l’insécurité pour faire peur, moi je veux la combattre. Nous nous appuierons sur des services publics rénovés, attentifs à chacun, et sur une fiscalité juste.
Je vous promets de nouvelles conquêtes. L’égalité des droits pour tous, et d’abord entre les femmes et les hommes, doit enfin devenir une réalité. La culture doit être mise en avant pour nous inspirer, nous faire grandir et nous réunir.
- Je veux enfin que notre pays retrouve toute sa voix dans le monde.
La France ! Notre France, avec une diplomatie et une défense respectées, doit œuvrer pour la paix, la démocratie et la prospérité du monde!
Et aussi pour l’Europe ! Vous le savez bien, l’Europe est pour moi un combat de toujours. Mais je veux une nouvelle Europe, une Europe qui produit et qui protège, une Europe qui fait respecter de nouvelles règles dans le commerce international, une Europe forte et en même temps solidaire.
***
Redonner à la France son poids et sa voix, rassembler dans la justice, tout cela sera possible grâce à un vrai souffle démocratique : une présidente qui préside, un gouvernement qui gouverne, un parlement renforcé et respecté, l’indépendance de la justice et des médias assurée, des syndicats et des associations au cœur du changement, une nouvelle décentralisation réelle et démocratique. Il faut oser la démocratie jusqu’au bout, comme nous le faisons avec nos primaires citoyennes !
Mes chers compatriotes de la métropole et des Outremers,
Nous rêvons d’un véritable changement au profit de tous, un changement où les mots se transforment en actes.
Je suis enthousiaste à l’idée d’aller à votre rencontre.
Je veux plus que tout rassembler, rassembler aujourd’hui les femmes et les hommes de gauche, les écologistes et les humanistes, pour que demain en 2012 nous puissions rassembler les Français et la nation toute entière.
Avec votre soutien, avec votre confiance, je prends aujourd’hui devant vous l’engagement de la victoire en 2012.
Lundi 27 Juin la Cour pénale internationale (CPI) a émis, des mandats d'arrêt à l'encontre du dirigeant libyen Muammar Kadhafi, de son fils Seif el-Islam et d'Abdallah al-Senoussi, chef des services de renseignements, pour crimes contre l'humanité.
Lors d’une audience publique à la Haye, lesjuges de la CPI ont estimé qu' "il y a des motifs raisonnables de croire que … Mouammar Kadhafi, en coordination avec son cercle rapproché, a conçu et orchestré un plan destiné à réprimer et à décourager la population qui manifestait contre le régime et ceux considérés comme dissidents au régime".
Saisi fin février par le Conseil de sécurité des Nations unies, le procureur en chef de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, avait requis ces mandats d'arrêt le mois dernier pour le meurtre avec préméditation d'opposants et la mise en place d'une politique d'"agressions extensives et systématiques" contre les populations civiles.
Rappelons quele 16 mai, trois mois après le début de l’insurrection Libyenne,Luis Moreno-Ocampo, procureur de la Cour pénale internationale (CPI), avaitdemandé aux juges de délivrer des mandats d'arrêt contre Muammar Kadhafi, son fils Seif Al-Islam et Abdallah Al-Senoussi,à cette époque déjà Luis Moreno-Ocampo affirmait avoir la preuve que les trois hommes se sont rendus coupables de crimes contre l'humanité.
La juge Sanji Mmasenono Monageng , Présidente de la chambres préliminaire de la CPI, a estimédans son arrêt que le dirigeant libyen dispose d'un "contrôle absolu, ultime et incontesté de l'appareil du pouvoir de l'État libyen, y compris les forces de sécurité etajoute que Muammar Kadhafi et son fils Seif el-Islam ont conçu et orchestré une politique d'État "aux fins d'empêcher et de réprimer, par tous les moyens, les manifestations des civils contre le régime". Il est reproché à Abdallah-Al- Senoussi, chef des services de renseignementsd'avoir mis ce plan en oeuvre.
La décision de la CPIdu 27 Juinest intervenue au lendemain d'une réunion des médiateurs de l'Union africaine sur la Libyeà Pretoria. Les médiateurs avaientannoncé, dans un communiqué publié à l'issue de cette réunion, "la décision du colonel Kadhafi de ne pas faire partie du processus de négociations" sur l'issue du conflit, y voyant une concession de la part du dirigeant libyen.
"Le président sud africainZuma estdéçu de la décision de la Cour Pénale Internationaleet préoccupé par le mandat d'arrêt lancé par la CPI contre le colonel Kadhafi", a déclarélundi son porte parole à la radio publique SABC"Il est vraiment malheureux que la CPI puisse prendre un telle décision alors que l'Union africaine, à travers ses commissions ad hoc, a tant fait", selon le porte-parole.
"Je pense que le progrès réalisé montre qu'il y a maintenant un engagement à la fois du côté de l'autorité libyenne conduite par Kadhafi et duConseil National de transition (CNT ) et t par conséquent ce dernier développement va vraiment saper … le travail des comités ad hoc", a-t-il ajouté.
Les mandats d’arrêts lancés le 27 Juin paront étéaccueilliedans la « liesse » par les dirigeants de l'opposition libyenne, rapporte un quotidien émirati.
. "Les suspects bénéficieront d'une justice plus équitable que celle qu'ils ont rendue chez eux, à la tête des autorités libyennes", se réjouit William Pace, qui dirige la Coalition pour la justice internationale.
Des commentateursont évoquélapossibilité de négociations d’unmarchandageen s’interrogeant surle départ de Kadhafi contre l'amnistie ?"L'amnistie pour des exactions graves commises à l'encontre de civils est impossible au niveau international",a préciséRichard Dicker, directeur du programme Justice internationale à Human Rights Watch. Politiquement, il est cependant possible de négocier le départ discret du dictateur vers un pays qui ne reconnaît pas la juridiction de la Cour : Russie, Chine, quelques États africains...
Le Colonel Kadhafi pourrait être arrêté à tout moment, mais la CPI ne dispose d'aucune force de police et doit s'appuyer sur les États signataires du statut de Rome pour l’exécution de ses mandats d’arrêt.
Il est à noter que si la CPI a compétence en Libye en vertu de la résolution du Conseil de sécurité de l'Onu, les autorités libyennes contestent cette décision n'ayant pas ratifié le statut de Rome, traité fondateur de la CPI.
"Il existe des procédures juridiques formelles. L'article 16 et 53 du traité de Rome estime que le Conseil de sécurité peut suspendre une instruction s'il estime qu'il en va des intérêts supérieurs de la paix et des victimes", explique Pierre Hazan,spécialiste de la justice internationale "On peut donc très bien imaginer que chaque partie s'accorde pour cette solutionsi elles estiment qu’il en va de la stabilité régionale » Pour que le colonel Kadhafi soit arrêté, il faudrait que ses propres troupes le remettent à la Haye ou bien que les rebelles prennent le pouvoir et le fassent eux-mêmes. "On peut aussi imaginer qu'un nouveau mandat explicite du Conseil de sécurité de l'Onu autorise une alliance militaire à exécuter cette tâche", explique encore Pierre Hazan, "ce qui me semble compliqué en l'état actuel des choses" a-t-il ajouté.
Dèsl'annonce de la décision des juges de la CPI, Moustapha Abdeljalil, président du Conseil national de transition (CNT), organe politique des rebelles libyens, s’est avancé : "Nous ferons tout ce que nous pourrons pour amener Kadhafi devant la justice. Toute personne qui tenterait de le cacher sera traquée et présentée à la justice. D’après ce responsable du CNT les Libyens sont capables d'appliquer cette décision."
Par ailleurs, il est certain que lespressions de la coalition vont s’accentuer pour traquer Kadhafi l’arrêter et le faire tomber.
Londres mise sur le lâchage de Kadhafi par son propre camp et a lancé un appel en ce sens.Autre possibilité, que son propre camp le lâche. Un appel en ce sens a déjà été lancé par Londres
Le sous-secrétaire d'État américain aux Affaires politiques William Burns a plaidé lundi à Tunis pour "un isolement accru" de Mouammar Kadhafi, notamment par l'assèchement "de ses ressources financières".
Pour Alain Juppé,Ministre français des Affaires Etrangères,la délivrance du mandat d'arrêt est le signe que "la question n'est pas de savoir s'il doit quitter le pouvoir, mais comment et quand. On est en train de chercher une solution politique avec nos partenaires de la coalition, de l'Union africaine et avec les pays arabes", a-t-il expliqué.
Un mandat d'arrêt à l'encontre de Mouammar Kadhafi et de son fils Seif Al-Islam a été émis par la Cour pénale internationale, pour crime contre l'humanité. ...
27 juin 2011 – Chargée d'enquêter sur les crimes commis en Libye depuis le début de la révolte en février, la Cour pénale internationale a décidé de ... www.lefigaro.fr/.../01003-20110627ARTFIG00549-kadhafi-frappe-par-un-mandat-d-arret-international.php
27 juin 2011 – Le dictateur libyen est désormais dans le collimateur de la justice internationale, qui a délivré un mandat d'arrêt contre lui. www.lepoint.fr/.../quel-avenir-pour-kadhafi-27-06-2011-1346552_24.php
La France pleure la disparition de Cyrille Hugodot, 63e soldat françaismort en Afghanistan
Cyrille Hugodot parachutiste de première classe venait d'avoir 24 ans, il était père d'un enfant de quatre ans.
Pour la deuxième fois en une semaine, un parachutiste du 1er RCP de Pamiers a été tué par les insurgés au cours d’un accrochage qui s'est produit en milieu de matinée du samedi 25 Juin, alors que la section appartenant au BG (Battle Group) Raptorétait attaquée par un groupe d'une demi-douzaine d'insurgés.
Deux hélicoptères, un Tigre et une Gazelle, sont intervenus après cet affrontement et l'artillerie a tiré pour détruire le groupe de combattants insurgés. Cyrille Hugodot et ses camarades assuraient la protection d'une unité du génie qui reconnaissait un itinéraire.
Grièvement touché et blessé, lesoldat a été évacué par un véhicule blindé vers la base de Tagab, puis vers l'hôpital militaire de Kaboul où il est décédé des suites de ses blessures.
L'état-major de l'armée de terre aprécisé dans la biographie du jeune homme, diffusée peu après l'annonce de son décès par le service de presse de la présidence de la République, que Cyrille Hugodot était un tireur d'élite affecté depuis janvier 2010 à la 3e compagnie de combat et qu’il se trouvait se trouvait en Afghanistan depuis le 15 mai.
Depuis la mort de son camarade de combat Florian Morillon, tué lui le 18 juin il y a une semaine, le Président Nicolas Sarkozy a annoncétout récemmentl’amorce d’un début prochain du retrait des forces françaises d'Afghanistan,à la suite de l’annonce du Président Obama qui avait annoncélui aussi son intention de retirer progressivement une partie des effectifs américains en Afghanistan.
Dans son communiqué l'état-major particulier de la présidence de la République a changé les termes qui annonçaient jusqu’à présent le décès d'un soldat français. Dans l’ancienne formule figurait : …. "Le chef de l'État réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il exprime la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité. Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan."
La nouvelle formulation évoque désormaisun « processus de transition » …….. "Le chef de l'État réaffirme l'engagement de la France aux côtés du peuple afghan et des autorités afghanes pour mener à son terme, avec ses alliés, le processus de transition. La France, au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité, oeuvre depuis 10 ans avec détermination au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan."
Jeudi soir 23 juin, France 2 lançait sa nouvelle émission politique : "Des paroles et des actes".
David Pujadas avait pris soin de réunir une meute de personnalités et d’observateurs préparés àridiculiser la première invitée de cette nouvelle série, la Présidente du FN , laquelle les a laminé l'un après l'autre.
Durant cette émission, Madame Marine Le Pen a été confrontée à Nathalie Saint-Cricq, François Lenglet, Cécile Duflot, Fabien Namias, Caroline Fourest etLaurent Joffrin.
David Pujadas avait bien préparé son coup, pour avoir suivila première émission « Des paroles et des actes » dont on espérait qu’elle seraitdestinée à cerner le programme politique du FN et à permettre à Marine Le Pende s’en expliquer, nous avons eu à assister en première partie à un lamentable tribunal médiatique d’inquisition qui n’avait d’autre but que de faire le procès de Jean Marie Le Pen de sa famille au sens propre et de sa famille politique , de déstabiliser et de décribiliser Marine Le Pen et de marginaliserson parti.
Dès le commencement de l’émission le ton était donné par David Pujadas qui a présentée son invitée en l’accablant sous couvert d’interrogations sur le FN, d’ un changement de façade ,d’ un changement de nature, d’ un vote FN utile ou inutile, avec des doutes sur la crédibilité de son programme politique, tout en gratifiant son invitée d’une percée dans les sondages pour marquer sa progression de Mars à ce jour pour souligner que d’après lui tout s’arrête et stagnemaintenant dans les sondages pour Marine Le Pen avec une perte de 3 point depuis l’affaire DSK qui aurait bénéficier en report de voix sur d’autres candidats.
Il s’agissait de la première perfidie de la part de ce présentateur qui s’appuyait sur une cote d’opinion de popularité et de confiance selon un sondageIPSOS commandé par la chaîne , en dissimulant soigneusement dans son propos la cote d’intention de vote qui fait ressortir dans d’autre sondages Marine le Pen devant Nicolas Sarkozy ou encore le talonnant de très près selon les sondages
Ensuite au menu venait une séquence destinée selon David Pujadas à « décrypter » la crédulité deMarine Le Pen d’aprèssesimages et ses mots , séquence conduite par Nathalie Saint Cricq , mais une fois de plus il s’agissait de l’inévitable numéro qui consistait a faire le procès de Jean-Marie Le Pen en essayant d’obtenir de Marine Le Pen un désaveu des propos de son père allant jusqu’à vouloir lui faire dire sans y parvenir qu’elle était en désaccord personnel avec luiet qu’elle pouvait avoir avec luien privé des « coups de gueule » pour ainsi dire.
A cet effet F2 n’a pas lésiné sur la présentation d’ une sélection d’anciennesphotos de la famille Le Penetde vidéos d’archives accompagnées decommentaires etde questions de Natalie Saint-Crick sur les déclarations d'époque de son père et leur relation familiale et politique.
(Nathalie Saint-Cricq,est l’épousede Patrice Duhamel et la fille de Jacques Saint-Cricq, ancien président du conseil de surveillance du quotidien régional La Nouvelle République du Centre-Ouest. Nathalie Saint-Cricqet très proche d’Arlette Chabot, etaime bien parler de sa “maman” en évoquant Arlette Chabot »Quand elle était journaliste à La Cinq, Nathalie Saint-Cricq suivait le Parti socialiste, et s'étaitliée à toute la mouvance de SOS Racisme, notamment Julien Dray, régulièrement invité sur les plateaux d'Arlette Chabot.Xavier Bertrand, lorsqu’il était président de l’UMP, le président de l'UMP avaitproposéà Nathalie Saint-Cricq d'être son attachée de presse,cette dernière flattéea néanmoins poliment refusé la proposition)
David Pujadas pendant cette première partie de « décryptage » exultait et semblait boire du petit lait, manque de pot pour lui, Marine Le Penn’a pas désavoué son père, eten expliquant que saligne politique aquelque peu évoluée, elle a confirmé qu’elle est restée fidèle à son père qu’elle respecte et l’ aime en tant que fille, mais aussi en politique.
Passé cette première partie instrumentaliséepar l’antipathiqueNathalie Saint-Crick qui s’est efforcéesans succès de la déstabiliser et de la décrédibiliser en laprésentant comme malheureuse, triste, pessimiste, j’en passe et des meilleures,vint le moment des questions économiques.
Très suffisant et pontifiant François Lenglet (économiste, écrivain) prenait l'initiative de passer à l’attaque, en soutenant à l'aide de tableaux « soigneusement choisis » (sur un trimestre)de prouverque la réindustrialisation de la France est une folie et la sortie de l'euro une imbécillité, le touten présentant avec ostentation les performances de la France et de pays "comparables"en citant pompeusement l’Allemagne, le Royaume-Uni, et lesÉtats-Unis.
Marine Le Pen ne s’est pas laisser désarçonner face à François Lengletelle lui a rappelé qu'il y a quelques temps encore sur BFM TV, il expliquait que l'Euro était mort, à l’appuide la sortie de l’euro qu’elle préconise, elle puexposerles lignes de sonprogramme - économique notamment : une sortie de l'Euro, le protectionnisme, l'État stratège, la réindustrialisation du pays.
Marine Le Pen en rappelant l’échecdes politiques monétaires et industriellesa soutenu que la sortie de l’euro qu’elle préconise était envisageable et envisagée par des citoyens de différents bords politiques, et à l’appui de ses arguments elle a cité les avis duprix Nobel d'économie français Maurice Allais, ou encore deJean-Jacques Rosa, Alain Cota, Christian St-Etienne, Morad el Hattib, Jacques Nikonoff et Gabriel Marquez ..
Elle puexposer les lignes de sonprogramme - économique notamment -, en expliquant ses préconisations: une sortie de l'Euro, le protectionnisme, l'État stratège, la réindustrialisation du pays
Lenglet et Pujadas dépitéstentaientvainement de ridiculiser les positions lepénistes, peine perdue …Lenglet allait jusqu’à s’emporter sur le « protectionnisme: "Vous allez multiplier le prix des téléphones et des téléviseurs par deux !". "Et pourquoi pas par quatre, dix, cent ou mille ?", accusait-ilà coursd'arguments, en improvisantdes chiffrespour impressionner les auditeurs et surtoutpour défendrele dogme du libre-échange qui fonctionne si bien d’après lui, là encore peine perdue Marine Le Pen n’a eu aucune peine de rabattre le caquet de cet impertinentqui n’avait d’autre objectif que de se moquer d’elle.
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Vint ensuite en scène sur le plateau,Cécile Duflot, secrétaire nationale d'Europe Écologie Les Verts,pourattaquer gratuitement le FN de vouloir expulser 10 millions de personnes. "Vous n'avez absolument rien compris" rétorque calmement la présidente du FN à son « interlocutrice » mis à mal après ce premier uppercut à froid.
Face à Cécile Duflot, Mme Le Pen a expliqué ses solutions face à la bi nationalité : félicitons au passage la connaissance de Mme Duflot qui nous a appris qu'on pouvait avoir la bi nationalité franco-bretonne
Cécile Duflot a aussi glissé sur un autre terrainen développantun argumentaire favorable à la dépénalisation du cannabis. MarineLe Pena soutenu que face aux problèmes du quotidien, le cannabis n'était absolument pas un problème qui préoccupait les français... et qu'elle ne souhaitait pas voir la France jouer le rôle de dealer.
Marine Le Pen a également donné son avisà Cécile Duflot sur la souffrance animale, l'abattage des animaux, etla protection contre les maladies alimentaires etla sortie du nucléaire qui selon elle,ne se fera seulement quesi on réfléchissait à de nouvelles techniques de production et qu'il fallait, en attendant, protéger et sécuriser nos centrales.
Marine Le Pen pendant tout l’échangea pris l’ascendant sur uneCécile Duflot qui n’avait d’autres recours que de s’agiter bruyamment en pure perte.
D’une chaîne à l’autre comme on le sait la télévision est une affaire de famille, vint alors le tour de Fabien Namias fils de Robert Namias, lequel s’est efforcé de jeter le doute sur la stratégie politique de Marine Le Pen, sans succès.
Vint le temps des observateurs, David Pujadas espéraitune estocade finale, il tenait en réserveCaroline Fourest et Laurent Joffrin un duo qu’il avait érigé en « Jury ».
Depuis le début de l’émission ces deux personnages armés de blocs et de stylos notait tout, ils avaient eu le temps de préparer leur langue et d’aiguiser leurs couteaux, mais en panne d’arguments solides ils n’ont n'ont fait que hurler sur Marine Le Pen,en l’abreuvantd’invectives tirées du vocabulaire de diabolisation que les opposants du FN utilisent abusivement contre ce parti et sa Présidente : «Marine Le Pen raciste !"… "fasciste !" …. "anti-républicain !""xénophobe… etc… a-t-on entendu.
Madame Caroline Fourest a même persiflée sur le grand-père de Marine Le Pen, mort depuis plus d'un demi-siècle, sur une mine allemande !
Laurent Joffrin a reproché à Marine Le Pen d’être « une fille à papa » !
Tout et n’importe quoi !
L’intervention d’un Joffrin très agressif et coléreux s’estpoursuivie dans une cacophonie à laquelle participait Caroline Fourest, Marine Le Pen finalement hausse le ton, à tel point que David Pujadas a tenté d’intervenir pour recadrerle débat, trop tard ….. , l’émission s’est terminée sur cet épisode qui signe l’échec de Pujadas et de ses amis.
En conclusion, Marine Le Pen attaquée sur tous les fronts a eu le beau rôle sur la meute deses contradicteurs qui avaient eu la prétention de la décrédibiliser en ressortant des fantômes de leurs placards et en cherchant àhumilier son père, sa famille et elle-même et à ridiculiser son programme politique.
Marine Le Pen au cours de cette émissiona su garder son calmeface à unemeute de roquets enragés, elle nous a montré par son attitudequ'elle avait le courage et la carrured’unefemme d'État,
Par souci d’équité Pujadas et ses amis lorsqu’ils inviteront les candidats PS et UMP auront-ils le front de les interroger sur leurs antécédents familiaux, s’aviseront-ils de critiquer leurs pères,et toute la tantina de Burgos ?
La question ne se pose même pas, ce traitement inquisitoire et agressifest réservé à Marine Le Pen en exclusivité qu’ils entendent diaboliser en usant abusivement des écrans de la télévision publique pour manipuler l’opinion.
En conclusion, de l’avis des gens honnêtes, Marine Le Pen seule contre la meute a répondu clairement et sans détours avec franchise,contrairement à ses détracteurs haineuxqui se sont "ridiculisés"dans cette émission devant des millions de téléspectateurs qui de jours en jours heureusement percent la perversité et les manipulationsd’une oligarchie politique et médiatique au pouvoir actuellement
Depuis cette émission Laurent Joffrin devenu semble-t- il encore plus enragé a publié plus de 4 billets contre Marine Le Pen , qui ne méritent pas d’être lus quand on a le sens de l’objectivité.