26 juin 2011

Cyrille Hugodot 63° soldat français tué en Afghanistan

Éditorial de lucienne magalie pons

Samedi 24 Juin :

La France pleure la disparition de Cyrille Hugodot, 63e soldat français mort en Afghanistan

Cyrille Hugodot parachutiste de première classe venait d'avoir 24 ans, il était père d'un enfant de quatre ans.

Pour la deuxième fois en une semaine, un parachutiste du 1er RCP de Pamiers a été tué par les insurgés au cours d’un accrochage qui s'est produit en milieu de matinée du samedi 25 Juin, alors que la section appartenant au BG (Battle Group) Raptor était attaquée par un groupe d'une demi-douzaine d'insurgés.

Deux hélicoptères, un Tigre et une Gazelle, sont intervenus après cet affrontement et l'artillerie a tiré pour détruire le groupe de combattants insurgés. Cyrille Hugodot et ses camarades assuraient la protection d'une unité du génie qui reconnaissait un itinéraire.

Grièvement touché et blessé, le soldat a été évacué par un véhicule blindé vers la base de Tagab, puis vers l'hôpital militaire de Kaboul où il est décédé des suites de ses blessures.

L'état-major de l'armée de terre a précisé dans la biographie du jeune homme, diffusée peu après l'annonce de son décès par le service de presse de la présidence de la République, que Cyrille Hugodot était un tireur d'élite affecté depuis janvier 2010 à la 3e compagnie de combat et qu’il se trouvait se trouvait en Afghanistan depuis le 15 mai.

Depuis la mort de son camarade de combat Florian Morillon, tué lui le 18 juin il y a une semaine, le Président Nicolas Sarkozy a annoncé tout récemment l’amorce d’un début prochain du retrait des forces françaises d'Afghanistan, à la suite de l’annonce du Président Obama qui avait annoncé lui aussi son intention de retirer progressivement une partie des effectifs américains en Afghanistan.

Dans son communiqué l'état-major particulier de la présidence de la République a changé les termes qui annonçaient jusqu’à présent le décès d'un soldat français. Dans l’ancienne formule figurait : …. "Le chef de l'État réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il exprime la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité. Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan."

La nouvelle formulation évoque désormais un « processus de transition » …….. "Le chef de l'État réaffirme l'engagement de la France aux côtés du peuple afghan et des autorités afghanes pour mener à son terme, avec ses alliés, le processus de transition. La France, au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité, oeuvre depuis 10 ans avec détermination au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan."

Marine Le Pen le 23 Juin sur France 2 a laminé la meute Pujadas

Éditorial de lucienne magalie pons

Jeudi soir 23 juin, France 2 lançait sa nouvelle émission politique : "Des paroles et des actes".

David Pujadas avait pris soin de réunir une meute de personnalités et d’observateurs préparés à ridiculiser la première invitée de cette nouvelle série, la Présidente du FN , laquelle les a laminé l'un après l'autre.

Durant cette émission, Madame Marine Le Pen a été confrontée à Nathalie Saint-Cricq, François Lenglet, Cécile Duflot, Fabien Namias, Caroline Fourest et Laurent Joffrin.

David Pujadas avait bien préparé son coup, pour avoir suivi la première émission « Des paroles et des actes » dont on espérait qu’elle serait destinée à cerner le programme politique du FN et à permettre à Marine Le Pen de s’en expliquer, nous avons eu à assister en première partie à un lamentable tribunal médiatique d’inquisition qui n’avait d’autre but que de faire le procès de Jean Marie Le Pen de sa famille au sens propre et de sa famille politique , de déstabiliser et de décribiliser Marine Le Pen et de marginaliser son parti.

Dès le commencement de l’émission le ton était donné par David Pujadas qui a présentée son invitée en l’accablant sous couvert d’interrogations sur le FN, d’ un changement de façade ,d’ un changement de nature, d’ un vote FN utile ou inutile, avec des doutes sur la crédibilité de son programme politique, tout en gratifiant son invitée d’une percée dans les sondages pour marquer sa progression de Mars à ce jour pour souligner que d’après lui tout s’arrête et stagne maintenant dans les sondages pour Marine Le Pen avec une perte de 3 point depuis l’affaire DSK qui aurait bénéficier en report de voix sur d’autres candidats.

Il s’agissait de la première perfidie de la part de ce présentateur qui s’appuyait sur une cote d’opinion de popularité et de confiance selon un sondage IPSOS commandé par la chaîne , en dissimulant soigneusement dans son propos la cote d’intention de vote qui fait ressortir dans d’autre sondages Marine le Pen devant Nicolas Sarkozy ou encore le talonnant de très près selon les sondages

Ensuite au menu venait une séquence destinée selon David Pujadas à « décrypter » la crédulité de Marine Le Pen d’après ses images et ses mots , séquence conduite par Nathalie Saint Cricq , mais une fois de plus il s’agissait de l’inévitable numéro qui consistait a faire le procès de Jean-Marie Le Pen en essayant d’obtenir de Marine Le Pen un désaveu des propos de son père allant jusqu’à vouloir lui faire dire sans y parvenir qu’elle était en désaccord personnel avec lui et qu’elle pouvait avoir avec lui en privé des « coups de gueule » pour ainsi dire.

A cet effet F2 n’a pas lésiné sur la présentation d’ une sélection d’anciennes photos de la famille Le Pen et de vidéos d’archives accompagnées de commentaires et de questions de Natalie Saint-Crick sur les déclarations d'époque de son père et leur relation familiale et politique.

(Nathalie Saint-Cricq, est l’épouse de Patrice Duhamel et la fille de Jacques Saint-Cricq, ancien président du conseil de surveillance du quotidien régional La Nouvelle République du Centre-Ouest. Nathalie Saint-Cricq et très proche d’Arlette Chabot, et aime bien parler de sa “maman” en évoquant Arlette Chabot »Quand elle était journaliste à La Cinq, Nathalie Saint-Cricq suivait le Parti socialiste, et s'était liée à toute la mouvance de SOS Racisme, notamment Julien Dray, régulièrement invité sur les plateaux d'Arlette Chabot. Xavier Bertrand, lorsqu’il était président de l’UMP, le président de l'UMP avait proposé à Nathalie Saint-Cricq d'être son attachée de presse, cette dernière flattée a néanmoins poliment refusé la proposition)

David Pujadas pendant cette première partie de « décryptage » exultait et semblait boire du petit lait, manque de pot pour lui, Marine Le Pen n’a pas désavoué son père, et en expliquant que sa ligne politique a quelque peu évoluée, elle a confirmé qu’elle est restée fidèle à son père qu’elle respecte et l’ aime en tant que fille, mais aussi en politique.

Passé cette première partie instrumentalisée par l’antipathique Nathalie Saint-Crick qui s’est efforcée sans succès de la déstabiliser et de la décrédibiliser en la présentant comme malheureuse, triste, pessimiste, j’en passe et des meilleures, vint le moment des questions économiques.

Très suffisant et pontifiant François Lenglet (économiste, écrivain) prenait l'initiative de passer à l’attaque, en soutenant à l'aide de tableaux « soigneusement choisis » (sur un trimestre) de prouver que la réindustrialisation de la France est une folie et la sortie de l'euro une imbécillité, le tout en présentant avec ostentation les performances de la France et de pays "comparables" en citant pompeusement l’Allemagne, le Royaume-Uni, et les États-Unis.

Marine Le Pen ne s’est pas laisser désarçonner face à François Lenglet elle lui a rappelé qu'il y a quelques temps encore sur BFM TV, il expliquait que l'Euro était mort, à l’appui de la sortie de l’euro qu’elle préconise, elle pu exposer les lignes de son programme - économique notamment : une sortie de l'Euro, le protectionnisme, l'État stratège, la réindustrialisation du pays.

Marine Le Pen en rappelant l’échec des politiques monétaires et industrielles a soutenu que la sortie de l’euro qu’elle préconise était envisageable et envisagée par des citoyens de différents bords politiques, et à l’appui de ses arguments elle a cité les avis du prix Nobel d'économie français Maurice Allais, ou encore de Jean-Jacques Rosa, Alain Cota, Christian St-Etienne, Morad el Hattib, Jacques Nikonoff et Gabriel Marquez ..

Elle pu exposer les lignes de son programme - économique notamment -, en expliquant ses préconisations : une sortie de l'Euro, le protectionnisme, l'État stratège, la réindustrialisation du pays

Lenglet et Pujadas dépités tentaient vainement de ridiculiser les positions lepénistes, peine perdue …Lenglet allait jusqu’à s’emporter sur le « protectionnisme : "Vous allez multiplier le prix des téléphones et des téléviseurs par deux !". "Et pourquoi pas par quatre, dix, cent ou mille ?", accusait-il à cours d'arguments, en improvisant des chiffres pour impressionner les auditeurs et surtout pour défendre le dogme du libre-échange qui fonctionne si bien d’après lui, là encore peine perdue Marine Le Pen n’a eu aucune peine de rabattre le caquet de cet impertinent qui n’avait d’autre objectif que de se moquer d’elle.

.

Vint ensuite en scène sur le plateau, Cécile Duflot, secrétaire nationale d'Europe Écologie Les Verts, pour attaquer gratuitement le FN de vouloir expulser 10 millions de personnes. "Vous n'avez absolument rien compris" rétorque calmement la présidente du FN à son « interlocutrice » mis à mal après ce premier uppercut à froid.

Face à Cécile Duflot, Mme Le Pen a expliqué ses solutions face à la bi nationalité : félicitons au passage la connaissance de Mme Duflot qui nous a appris qu'on pouvait avoir la bi nationalité franco-bretonne

Cécile Duflot a aussi glissé sur un autre terrain en développant un argumentaire favorable à la dépénalisation du cannabis. Marine Le Pen a soutenu que face aux problèmes du quotidien, le cannabis n'était absolument pas un problème qui préoccupait les français... et qu'elle ne souhaitait pas voir la France jouer le rôle de dealer.

Marine Le Pen a également donné son avis à Cécile Duflot sur la souffrance animale, l'abattage des animaux, et la protection contre les maladies alimentaires et la sortie du nucléaire qui selon elle, ne se fera seulement que si on réfléchissait à de nouvelles techniques de production et qu'il fallait, en attendant, protéger et sécuriser nos centrales.

Marine Le Pen pendant tout l’échange a pris l’ascendant sur une Cécile Duflot qui n’avait d’autres recours que de s’agiter bruyamment en pure perte.

D’une chaîne à l’autre comme on le sait la télévision est une affaire de famille, vint alors le tour de Fabien Namias fils de Robert Namias, lequel s’est efforcé de jeter le doute sur la stratégie politique de Marine Le Pen, sans succès.

Vint le temps des observateurs, David Pujadas espérait une estocade finale, il tenait en réserve Caroline Fourest et Laurent Joffrin un duo qu’il avait érigé en « Jury ».

Depuis le début de l’émission ces deux personnages armés de blocs et de stylos notait tout, ils avaient eu le temps de préparer leur langue et d’aiguiser leurs couteaux, mais en panne d’arguments solides ils n’ont n'ont fait que hurler sur Marine Le Pen, en l’abreuvant d’invectives tirées du vocabulaire de diabolisation que les opposants du FN utilisent abusivement contre ce parti et sa Présidente : «Marine Le Pen raciste !" … "fasciste !" …. "anti-républicain !" "xénophobe… etc… a-t-on entendu.

Madame Caroline Fourest a même persiflée sur le grand-père de Marine Le Pen, mort depuis plus d'un demi-siècle, sur une mine allemande !

Laurent Joffrin a reproché à Marine Le Pen d’être « une fille à papa » !

Tout et n’importe quoi !

L’intervention d’un Joffrin très agressif et coléreux s’est poursuivie dans une cacophonie à laquelle participait Caroline Fourest, Marine Le Pen finalement hausse le ton, à tel point que David Pujadas a tenté d’intervenir pour recadrer le débat, trop tard ….. , l’émission s’est terminée sur cet épisode qui signe l’échec de Pujadas et de ses amis.

En conclusion, Marine Le Pen attaquée sur tous les fronts a eu le beau rôle sur la meute de ses contradicteurs qui avaient eu la prétention de la décrédibiliser en ressortant des fantômes de leurs placards et en cherchant à humilier son père, sa famille et elle-même et à ridiculiser son programme politique.

Marine Le Pen au cours de cette émission a su garder son calme face à une meute de roquets enragés, elle nous a montré par son attitude qu'elle avait le courage et la carrure d’une femme d'État,

Par souci d’équité Pujadas et ses amis lorsqu’ils inviteront les candidats PS et UMP auront-ils le front de les interroger sur leurs antécédents familiaux, s’aviseront-ils de critiquer leurs pères, et toute la tantina de Burgos ?

La question ne se pose même pas, ce traitement inquisitoire et agressif est réservé à Marine Le Pen en exclusivité qu’ils entendent diaboliser en usant abusivement des écrans de la télévision publique pour manipuler l’opinion.

En conclusion, de l’avis des gens honnêtes, Marine Le Pen seule contre la meute a répondu clairement et sans détours avec franchise, contrairement à ses détracteurs haineux qui se sont "ridiculisés" dans cette émission devant des millions de téléspectateurs qui de jours en jours heureusement percent la perversité et les manipulations d’une oligarchie politique et médiatique au pouvoir actuellement

Depuis cette émission Laurent Joffrin devenu semble-t- il encore plus enragé a publié plus de 4 billets contre Marine Le Pen , qui ne méritent pas d’être lus quand on a le sens de l’objectivité.



OoOoo

23 juin 2011

Georges TRON et Brigitte GRUEL mis en examen sous contrôle judiciaire

Éditorial de lucienne magalie pons

L’affaire Georges Tron

Georges Tron, ex-Secrétaire d’État à la Fonction publique, Maire de Draveil et Député de l’Essonne, mis en cause par trois femmes, dont deux ex-employées municipales plaignantes et une ancienne attachée parlementaire qui elle n'a pas porté plainte, a été mis en examen mercredi soir pour viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité.

Il a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

Également accusée, la maire-adjointe chargée de la Culture, Brigitte Gruel, a été mise en examen pour les mêmes chefs et laissée en liberté sous contrôle judiciaire.

·

· Tron: deux victimes présumées dénoncent des menaces, Draveil divisée
Il y a 2 heures

Au lendemain de la mise en examen de l'ancien ministre Georges Tron pour viols et agressions sexuelles, des plaignantes affirment subir des "menaces" et un ...

Le Parisien - Autres articles (997)

· Georges Tron invoque un complot du FN
Atlantico.fr - Autres articles (6)

· Affaire Tron : "J'irai jusqu'au bout"
Europe1 - Autres articles (5)

· Georges Tron mis en examen pour viols et laissé en liberté sous ...

23 juin 2011 – Le Monde.fr - L'ancien secrétaire d'Etat a été mis en examen pour viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité.
www.lemonde.fr › Société


Plus de résultats au cours des dernières 24 heures

22 juin 2011

Actualités récentes : vidéowall

Éditorial de lucienne magalie pons

Nouvelles brèves du 19 au 22 juin 2011

Éditorial de lucienne magalie pons

Nouvelles Brèves du Dimanche 19 Juin 2011 au Mercredi 22 Juin 2011

Nos soucis informatiques ne nous ont pas permis d’éditer journellement depuis Dimanche, mais nous avions pris note de quelques actualités pour les faire paraître dès que possible.

C’est chose faite, tout est rentré dans l’ordre, nous avons un nouveau fournisseur d’internet et nous pouvons reprendre notre rythme de croisière, nos adresses de messagerie fonctionnent à nouveau et tout est parfait dans le meilleur des mondes.

Dimanche 20 juin :

La communauté asiatique a défilé dans Paris entre République et Nation pour protester contre les violences et la hausse des agressions dont est victime leur communauté dans la capitale. (Plus de 3000 participants selon les autorités, et 20.000 selon les organisateurs)

Cette manifestation s’est déroulée dans le calme.

« Cessez la violence », « Vivons ensemble, vivons en sécurité », «Liberté, oui, Fraternité, oui, Égalité, oui, mais aussi la Sécurité, » réclamaient notamment les manifestants chinois en scandant des slogans

La colère des manifestants se justifient par la hausse des agressions dans des quartiers comme Belleville, Crimée, Masséna et Tolbiac.

Cette manifestation organisée par le collectif des associations asiatiques de France succède à une précédente qui s’était tenue l’an passé.

Léo Zheng, représentant de l’Association des jeunes chinois en Europe rapporte que les asiatiques sont menacés et frappés pour leur voler de l’argent ou à l’arraché un bijou ou un téléphone portable.

Dans la nuit du 30 au 31 Mai, Jiang Hu, un homme de 32 ans a été violemment agressé rue de Belleville, il tentait de filmer avec son portable l’agression de deux femmes par trois individus, devant le Nouveau Palais de Belleville ou il travaille. Ses agresseurs se sont saisi du téléphone et l’ont lynché, depuis Jiang Hu est hospitalisé et son frère , présent à la manifestation, a déclaré que les médecins ne peuvent statuer sur son état et qu’on ne sait quand il pourra se réveiller.

Le lendemain de ce grave incident, un couple a subi des violences dans un parking de Belleville et a été dépouillé de plusieurs milliers d’euros, l’homme s’est retrouvé avec une jambe fracturée. Trois jours plus tard, deux adolescents ont fracturé le crane de Nicolas Moulis , ils voulaient lui voler son portefeuille.

La communauté asiatique chinoise révoltée à juste titre réclame que des mesures soient prises de toute urgence, pour leurs responsables ces agressions ne peuvent plus durer et ils veulent obtenir un rendez vous dans les plus brefs délais du Ministre de l’Intérieur Claude Guéant

Anh-Dao Traxel, fille adoptive du couple Chirac, a déclaré « Rien n’a changé. Nous exigeons une présence policière renforcée dans les quartiers sensibles des XI°, XIX° et XX° arrondissements, et des sanctions à hauteur des violences commises.

Pour elle et pour la communauté asiatique le gouvernement ne peut plus fermer les yeux sur ces recrudescences

ooooooooooooooo

Le même jour près de 450 « indignés » ont renouvelé une précédente action de protestation qui avait eu lieu à la Bastille en écho de celui qui s’était tenu à Madrid le 15 mai, cette fois ils ont défilé de Jussieu à l’Hôtel de Ville pour réclamer « une réelle démocratie et la liberté d’opinion » Il brandissait des banderoles sur lesquelles ont pouvait lire « c’est pas les immigrés ni les sans papiers , c’est le capitalisme qu’il faut virer. Peu d’échos dans les médias presse et télévision sur ce mouvement français.

La Grèce sur la corde raide : Athènes propose de nouvelles mesures de rigueur.

Les ministres Européens de la zone euro débattent de la suite du plan de soutien à la Grèce, l’Europe entend aider la Grèce avec « prudence » et essaient de trouver un accord pour débloquer une nouvelle tranche des 110 milliards d’euros sur trois ans qui avaient été promis par l’Europe et le FMI.

La Grèce pour éviter la faillite a besoin d’urgence de cette nouvelle tranche de 12 milliards d’euros qui devraient « en principe » être versée en Juillet (8,7 milliards d’euros par les Européens et 3, 3 milliards d’euros par le FMI), toutefois comme les prêts sont versés tranche après tranche seulement après un examen de la situation budgétaire pour s’assurer que le gouvernement grec respecte ses engagements d’assainissement de ses comptes publics.

D’après les discussions en cours, une partie seulement pourrait être versée à court terme, selon le Ministre Belge des Finances : « Il y a des capacités de financement au FMI et dans l’Union Européenne pour trouver au moins 6 milliards d’euros d’ici au début du mois de Juillet.

Une contribution des banques et des fonds d’investissements qui détiennent de la dette publique grecque a été évoquée, l’Allemagne semble tenir à cette contribution, mais d’autres pays redoutent comme la Banque Centrale Européenne que les marchés en déduisent que la Grèce est en situation de faillite.

Georges Papandréou le Premier Ministre grec s’efforce de regagner la confiance des créanciers, en ce sens il a proposé au Parlement Européen la mise en place rapide d’un nouveau plan d’austérité de 28, 4 milliards d’euros qui s’ajouteraient aux mesures de rigueur déjà décidées en 2010 ;

Le Ministre grec des finances Evangélos Venizélos a ajouté « Nous pouvons atteindre nos objectifs grâce aux efforts de nos concitoyens et à l’aide de nos partenaires »

Dimanche à Athènes des milliers de personnes se portaient sur la place Syntagma devant le Parlement à l’appel du mouvement des « indignés » pour manifester contre ces nouvelles des mesures d’austérité prévue par le Gouvernement Grec et faire pression sur les députés grecs pour qu’il ne les votent pas

Le Gouvernement Grec espère que le Parlement votera ce nouveau plan d’austérité.

(À suivre)

Fukushima : Cent jours après la catastrophé nucléaire de Fukushima, les cent cinquante et un États membres de l’AIEA (Agence Internationale de l’énergie atomique) se réunissent à Vienne en vue d’améliorer la sécurité des centrales et mieux gérer les crises. Selon son rapport rendu public l’AIEA déplore que les centrales japonaises aient été mal préparées face au risque sismique. Cette agence souligne que les autorités japonaises n’ont pas eu recours à une convention d’assistance entre États à la suite de l’accident ; Parmi d’autres observations et critiques il est à noter que la centrale était « hors d’âge », que le réacteur n°1 de Fukushima datait de 40ans, et que le gouvernement japonais avait délivré , un mois avant le tsunami une extension d’exploitation de 10 ans, alors qu’un rapport gouvernemental faisait état de problèmes dans les moteurs de refroidissement.

De son côté l’opérateur Tepco avait omis d’inspecter 33 pièces du circuit de refroidissement, enfin insuffisance notoire, le plan prévu en cas d’accident majeur ne prévoyait qu’un téléphone satellitaire et un brancard.

Tepco a été très critiqué aussi notamment dans le cadre des informations données à la population après les premières explosions d’hydrogènes, ses responsables avaient assuré que les réacteurs étaient intacts, alors que des fuites radioactives massives s’étaient produites mettant en danger les habitants qui n’avaient pas été évacués .

Le japon est critiqué pour avoir fixé un seuil d’évacuation au-delà de 20 millisierverts par an, alors que la dose maximale annuelle admissible est établie à 1 millisierverts dans le reste du monde, au-delà le risque de cancer à terme est jugé inacceptable, selon la Criirad (Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité).

L’AIEA recommandait une zone d’évacuation de 40 km autour de la centrale de Fukushima, mais le Japon n’a maintenu qu’une zone de 20 km, alors que les retombées radioactives étaient détectables à des niveaux significatifs jusqu’à Kanagawa, une ville située à 270 km environ de la Centrale d’après l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest.

Alors que les Japonais semblaient inconscients dans les jours suivant cette catastrophe de l’ampleur des retombées radioactives et de ses conséquences prévisibles, d’après un sondage publié hier ils souhaitent maintenant à 82 % voir leur pays abandonner le nucléaire.

Seront-ils entendus ?


Monsieur Georges Tron, ancien secrétaire d’État, et actuel Maire de Draveil (UMP), et son adjointe à la culture Brigitte Gruel sont en garde à vue prolongée et entendus depuis Lundi par les enquêteurs de la division régionale de la police judiciaire (DRPJ) à Versailles, suite à la plainte de deux ex-employées pour agressions sexuelles et viol. Selon les médias, Monsieur Georges TRON nie les faits en bloc, mais son avocat M° Schnerb a tenu à rectifier … « Il ne s’agit pas de nier, mais quand on est innocent, on conteste, donc il conteste, par ailleurs interrogé sur l’état de son client, son avocat a affirmé qu’il était « costaud et combattif ».

Rien n’a filtré de la DRPJ, aucune information non plus de la Mairie de Draveil.

Toutefois les médias citent « une source proche du dossier » selon laquelle Georges Tron n’aurait rien dit d’intéressant, sinon qu’il a confirmé être un adepte de la réflexologie et qu’il a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés. Toujours d’après la même « source.. » il profite de la réforme de la garde à vue et ses avocats jouent « la montre » pour récupérer tous les éléments du dossier auxquels ils n’ont pas eu accès pour l’instant.

Monsieur Georges Tron devait retrouver son siège de Député à l’Assemblée Nationale mercredi prochain, un mois après sa démission du Gouvernement, il retrouverait alors son immunité parlementaire, jusqu’à la fin de la session le 13 Juillet. Il est rare que le Bureau de l’Assemblée Nationale lève l’immunité parlementaire d’un député, mais il est à noter que pendant la période de vacances parlementaire il redeviendrait un justiciable ordinaire.

Pour 2012, la France ne manque pas de candidat potentiel pour la Présidence de la République, chez Europ-Écologie-les Verts Stéphane Lhomme est candidat à la primaire de son parti, et se présente virtuellement comme le candidat « anti-Hulot », en prenant soin de préciser qu’il ne s’agit pas d’attaques personnelles, par contre il affirme que Nicolas Hulot est « totalement illégitime » pour représenter les écologistes et explique que le principal atout de son concurrent (rival ?) est une notoriété acquise chez TF1 où il a été sponsorisé depuis vingt cinq ans par les multinationales les plus polluantes.

Plus sérieusement la profession de foi anti-nucléaire de Stéphane Lhomme le distingue de Nicolas Hulot et d’Eva Joly , il souligne qu’EDF a prévu d’investir 35 milliards dans les réacteurs nucléaires pour les faire continuer au-delà de trente ans., comme l’approuveraient d’après lui Hulot et Joly, accepter que cette somme « astronomique » soit investie dans le nucléaire et accepter que des réacteurs fonctionnent jusqu’à ce qu’ils aient 45, 50, voire 55 ans c’est irresponsable, soutient Stéphane Lhomme qui prévoit qu’on aura un Fukushima bien avant.

Pour Stéphane Lhomme il faut sortir du nucléaire en moins de dix ans.


La prime : L’assemblée Nationale a voté hier en première lecture la prime « dividendes » destinée aux salariés des entreprises versant des dividendes en hausse. Cette mesure ne devrait bénéficier qu’à un quart des salariés.

Cette mesure est fortement contestée par les syndicats et le patronat.

En évoquant « un problème majeur d’école primaire » le Président Nicolas Sarkozy lors d’un déplacement Mardi à la Canourgue en Lozère, a annoncé un gel des fermetures de classes en 2012 ;

Les Syndicats enseignants et l’opposition dénoncent un tour de passe-passe et une politique politicienne à l’approche des élections.

Madame Valérie Pécresse monte au créneau contre la Région Île-de-France

Le Conseil Régional votera demain sa stratégie de développement économique et d’innovation qui prévoit de renforcer d’ici à 2014 les aides aux PME, notamment les jeunes industries innovantes fragilisées par la crise.

Madame Valérie Pécresse considère que ce document n’a rien d’une stratégie, d’après sa lecture on n’y trouve aucune mention de la ville ou des transports de demain, des industries de santé , du logiciel ou encore du Grand-Paris qui selon elle, avec ses soixante-dix futures gares autour de Paris est un facteur incontournable de croissance.

Pour Madame Pécresse une stratégie suppose que l’on identifie des secteurs clés pour la création d’emplois, elle estime aussi qu’il y a dans cette « stratégie » une méconnaissance du développement économique durable et moderne.

En conséquence la Ministre tire la sonnette d’alarme sur le fait que l’Ile-de-France est le mauvais élève en matière de développement économique et d’innovation derrières les autres Régions Francilienne.

Madame Pécresse qui n’est jamais à cours de propositions dit qu’il faut aider les projets innovants à éclore, elle reproche à la Région de ne pas s’être impliquée dans l’appel à projets de l’État pour la création d’instituts de recherche technologiques notamment et souligne que la Région refuse de soutenir le projet du pôle de Saclay « parce que c’est l’État qui le porte ».


19 juin 2011

Celle ou celui qui clouera le bec à Jacques Chirac n'est pas encore né !

Éditorial de lucienne magalie pons

L’ancien Président de la République Monsieur Jacques Chirac est un homme de ma génération, indépendamment de toute opinion politique les personnes de notre génération, toutes classes sociales confondues, cultivent tout naturellement la qualité de s’exprimer librement avec parfois quand la situation des lieux et les évènements du moment le permettent une certaine forme d’humour convivial qui confine à la taquinerie.

Je ne connais pas personnellement Monsieur Jacques Chirac, sauf à l’avoir croisé quelques fois dans des cérémonies qu’il présidait et où ma présence était égale ni plus ni moins à celle d’autres invités qui ont eu à remplir quelques rôles au service de l’État, et si la présence du Chef de l’État était naturellement remarquée il est bien certain que Monsieur Jacques Chirac s’il nous adressait quelques paroles de bienvenue ne nous connaissaient pas individuellement, ce qui ne nous empêchait pas d’apprécier ses réparties bien à propos et qui visaient juste où il le fallait pour détendre ou créer l’ambiance.

C’est naturellement ce qui s’est passé le Samedi 11 juin lorsque Monsieur Jacques Chirac à lancé quelques traits « bien de chez lui », nous pourrions dire par extension « bien de chez nous », en présence d’une nombreuse assistance réunie par François Hollande pour l’inauguration de l’exposition Bronze et Or de Chine au Musée de Sarran en Corrèze.

Qu’a- t-il dit ? Que s’est-il passé ?

Alors que le repas venait de se terminer Madame Bernadette Chirac s’est tournée aimablement vers son époux : "Jacques, vous venez pour les petits discours?" "Ah! Parce qu’il y a encore quelque chose", a répondu son époux en avançant très entouré vers le musée, puis en montant quelques marches, il a pris un instant François Hollande par l’épaule et l’a lâché pour glisser à un ami tout en regardant le socialiste : "J’ai beaucoup d’estime pour François Hollande. Je peux le dire, moi je suis le passé mais lui c’est l’avenir il va être candidat".

D’après ce que les médias étriqués et soupçonneux en rapportent , François Hollande rougit, parait gêné, quand à moi je ne peux penser que c’est de confusion, encore moins de gêne, mais bien plutôt de plaisir ou encore de surprise, c’est alors que Jacques Chirac sur sa lancée lui dit sur le ton de la confidence "J’aime beaucoup Alain [Juppé] mais comme il ne sera pas candidat, je voterai pour toi », François Hollande souriant s’éloigne un peu happé par ses obligations, c’est alors que les collaborateurs de Jacques Chirac s’autorisent à le prier de se taire, mais comme on s’en doute Jacques Chirac qui sait rester maître en toute circonstance fronde à voix plus haute : "Mais si, je peux dire que je voterai Hollande, je fais ce que je veux", ce qui laisse coi son entourage.

Le regard narquois et certainement mis en verve par sa sortie verbale, l’ancien Président s’est ensuite assis à l’entrée du musé et en attendant les discours a réchauffé l’ambiance en lançant à l’adresse de son épouse : "Bernadette, il faut commencer, il fait un froid de canard".

Jacques Chirac écoute alors sa femme puis apprécie en souriant les interventions de François Hollande.

Par la suite François Hollande a relativisé adroitement les propos de Jacques Chirac :

"Il a été président, j’essaie de le devenir. Je ne pense pas que Jacques Chirac me soutienne, il a ses convictions, j’ai les miennes « … et surtout François Hollande a confié avoir trouvé l’ex-Président en forme … ce qui lui a fait plaisir.

La finesse était aussi du côté de Jacques Chirac , surtout quand il prenait plaisir à appeler François Hollande "Président", comme il l’a fait à plusieurs reprises samedi , notamment en admirant à ses côtés des pièces d’art et d’orfèvrerie chinoises exposées et en s’exclamant à l’adresse de François Hollande : "Président, on n’a pas l’équivalent dans les collections françaises, lequel en entrant dans le jeu a répondu en souriant : "Il faut être au musée Chirac pour voir des choses comme ça".

Le même jour, le deuxième tome des mémoires de Jacques Chirac venait de sortir, et les médias tartinaient largement en rapportant que Jacques Chirac critiquait dans son livre Nicolas Sarkozy et que tout au contraire il se montrait élogieux pour François Hollande qualifié au détour d’une phrase "d’homme d’État", un hommage réitéré quand il est écrit aussi que le socialiste a "fait preuve de courage, de lucidité et d’un grand sens des responsabilités".

Comme nous l’avons vu, les propos tenus par Jacques Chirac lors de la Journée de Sarran et la publication du deuxième tome de ses mémoires, a « électrocuté » pendant toute une semaine, depuis le Samedi 11 Juin le landernau politique et médiatique de gauche et de droite, lequel s’est répandu en déclarations et en articles qui se voulaient du ressort de l’analyse et de l’exégèse politique, mais qui en fait n’était que du niveau « polémique coin-coin, pimpon- pimpon » ; il est bien évident qu’il suffit d'en avoir lu et entendu quelques uns pour se rendre compte que le landernau politique et médiatique est peuplé en grande partie de pisse-vinaigres vaniteux dénués de tout sens de l’humour, au point de prendre des boutades, des plaisanteries et des taquineries pour argent comptant et de partir en bataille comme des Don Quichotte de parodie pour lutter contre des mirages.

Dans la presse certains titres n’y allaient pas de plume morte, tel que « Jacques Chirac divise la classe politique », à noter au passage que la « classe politique » n’a pas besoin de Jacques Chirac pour nous montrer à longueur de temps ses divisions et ses prises de becs.

La polémique propulsée dans le cadre de la campagne présidentielle a duré plus d’une semaine , d’un côté les pétochards de Droite paniqués qui interprétaient les propos de Jacques Chirac comme une charge à l’égard de Nicolas Sarkozy doublé d’ un soutien à la candidature de François Hollande, de l’autre les pétochards de Gauche tout aussi paniqués à l’idée que les propos de Jacques Chirac ne desservent les candidats du PS

A noter la pétarade prétentieuse de Manuel Valls, candidat à la Primaire Socialiste, pour lui "La référence à Jacques Chirac n'est pas pour le présent, le passé et l'avenir une référence positive"…. D’après Manuel Valls Jacques Chirac représentait "les vieilles méthodes en politique», il a rappelé qu’il devait comparaître devant la justice en septembre et ce terne personnage en a conclu : "La France a besoin de changement ... pas d'une France pépère ... qui sent bon la naphtaline

On peut noter aussi des extrapolations gratuites telles que celle du PS Michel Sapin « Pour Chirac Sarkozy n’est pas un homme d’État »…

Sans compter l’affirmation de Nathalie Arthaud de Lutte ouvrière qui a déclaré à la Télévision « Chirac déteste Nicolas Sarkozy »

Stéphane le Fol eurodéputé socialiste a estimé « J’ai l’impression que Jacques Chirac a envoyé un message surtout à Nicolas Sarkozy »

Et celle du PS Jean-Marie Le Guen, « Jacques Chirac sait très bien ce qu’il fait. Il savait qu’il exprimait une certaine distance vis-à-vis de Nicolas Sarkozy et la disponibilité de nombreux Français à une autre politique ». Sur BFMTV, Jean-Marie Le Guen a tenu à y voir un symbole de l'esprit actuel des Français : "Beaucoup ne veulent pas d'une solution Sarkozyste en 2012" a-t-il opiné.

Pour Ségolène Royal candidate à la primaire, la sortie de l'ancien président montre que "parmi la droite, une partie de responsables politiques pensent qu'il faut vraiment aujourd'hui un vrai changement en 2012"…… et « tout le monde est bienvenu pour voter à la primaire, Jacques Chirac comme un autre ».

Du côté de la droite des allusions aussi à son état de santé prêtées par le Figaro à un ancien ministre « dont on ne connaît pas le nom » qui aurait déclaré : « Chirac n’a plus aucune limite. La disparition des inhibitions est liée à la maladie. Mais je pense aussi qu’il y a chez lui une part de provocation. Il se sait diminué et il en profite »

Que ce soit à gauche comme à droite, les cadres et serviteurs des partis et basse-cours politiques et médiatiques se sont saisis de la boutade de Jacques Chirac pour en faire un évènement politique, mais avec un certain recul on peut voir que toutes leurs affirmations, déclarations, écrits, supputations etc… ressortaient purement et simplement du bouillonnement de leurs propres neurones enfiévrées à l’approche des primaires PS et de la campagne présidentielle , pensez donc un homme de droite ancien Président de la République qui considère François Hollande politique de gauche comme un homme d’État et déclare vouloir voter pour lui ! , c’était inimaginable et inadmissible que ce soit une boutade ou de l’humour, c’était forcément politique et prémédité pour tous ces petits censeurs en puissance qui estiment qu’eux seuls détiennent le savoir et la vérité et ont droit à la parole !

En effet nous pouvons remarquer dans notre société actuelle que les anciens sont censurés, en politique comme dans les familles. La génération qui nous a suivi (les fameux enfants rois nés après guerre) sont d’une prétention ridicule, très suspicieux en général vis-à-vis des anciens, ils veulent toujours avoir raison, développent leurs idées plus au moins teintées des idées avortées de 68, censurant les anciens, grands parents et parents et surtout n’appréciant pas leurs traits d’humour.

D’après les médias, le gendre de Jacques Chirac Frédéric Salat-Baroux, l'ancien secrétaire général de l'Élysée, qui a épousé Claude Chirac en février, aurait appelé son beau-père pour lui demander avec insistance d’atténuer ou d’expliquer ses propos, Jacques Chirac serait resté « d’une placidité exemplaire ».


Les médias rapportent aussi que Frédéric Salat-Baroux, avait décroché son téléphone à deux reprises le dimanche matin pour informer Xavier Musca, secrétaire général de l’Élysée, qu’un communiqué allait corriger les propos de Chirac...

De son côté Claude Chirac a tenté d’apaiser les tensions Chirac avec l'Élysée en sollicitant un rendez-vous auprès de Nicolas Sarkozy, selon le Journal du Dimanche le rendez-vous aurait eu lieu le lundi de Pentecôte, deux jours après le trait d'« humour corrézien » de Jacques Chirac, « propos qui auraient « blessé » Nicolas Sarkozy » …… "J’ai appelé Nicolas Sarkozy le dimanche et il a eu la gentillesse de me recevoir le lendemain. Je trouvais que la situation tournait à l’irrationnel. J’ai pensé que c’était mieux d’aller le voir pour en parler ensemble" ….. "Notre conversation n’a pas vocation à être rendue publique", a-t-elle expliqué au JDD.

Et les médias d’extrapoler en supputant que le Président Sarkozy aurait obtenu, « dit-on », la promesse d’une plus grande neutralité de son prédécesseur à l’approche de la prochaine échéance présidentielle et qu’on n’entendrait plus beaucoup Jacques Chirac deviser sur ses préférences pour 2012. Encore moins faire la promotion du socialiste François Hollande, » son ami corrézien ».

Ainsi Claude Chirac et son époux s’efforcent de garder le grappin sur la communication de Jacques Chirac, et les médias rapportent que le nouveau couple a pris l'habitude de relire à la virgule près le " testament " du père …. « Elle (Claude Chirac) veut " tout contrôler sans savoir déléguer ", mettre la main sur le vieux lion, elle " l'enferme " et le " stresse ", accusent même certains. Son mariage avec M. Salat-Baroux n'a rien arrangé. "

C’est bien regrettable cette pression familiale qui s’exerce à l’encontre du patriarche, pour nous qui apprécions la personnalité de Jacques Chirac et ses franches réparties nous regretterions de le voir réduit au silence ou à la langue de bois. Ses réparties et traits d’humour mettent du sel et ne passent pas inaperçus dans ce monde politique peuplé de pisse vinaigres, qu’il domine sans conteste de sa prestance et de son éloquence naturelle.

Il y a cependant quelques rares politiques qui n’ont pas foncé tête baissée dans la polémique pour Dominique de Villepin, par exemple Chirac est « un homme à la fois taquin, provocateur et surtout plein d’humour ».

Jean-Marc Ayrault Président du Groupe PS à l’Assemblée Nationale, a déclaré dès le samedi soir sur RTL "Ce n'est pas parce que Jacques Chirac a fait un compliment qu'il va changer de camp politique, ce serait un scoop!" …… "Je crois que c'était plus une boutade, peut-être une pique à Nicolas Sarkozy! Cela fait aussi partie du style du personnage, du côté sympathique que les Français continuent d'apprécier", a-t-il ajouté.

François Hollande est resté tout à fait fair play et les pieds sur terre en assurant au sujet des propos de Jacques Chirac qu’ il s’agissait d’une plaisanterie pour énerver ses amis : "C'est pour énerver ses amis, c'était sur le mode du sourire", tempérait-il alors, ajoutant qu'il ne fallait surtout pas y "voir une déclaration" de soutien en vue de 2012.

Jacques Chirac enfin a apporté son éclairage : «Je tiens à apporter les précisions suivantes : il s'agissait d'humour corrézien entre républicains qui se connaissent de longue date", a-t-il déclaré dimanche, dans une déclaration à l'AFP.

"Je déplore que cela ait pu être interprété autrement", en répétant qu'il ne "prendrait pas part au débat politique et en particulier à celui de la campagne présidentielle". "C'est un choix et un principe auxquels je me suis tenu depuis la fin de mon mandat", a assuré l'ancien chef de l'État.

Déjà la veille Samedi dans une interview au Figaro Jacques Chirac indiquait ne pas vouloir "s'immiscer dans le débat à venir". "Ce n'est pas mon rôle", précisait-il …."C'était plus une boutade"

Après tout ce remue ménage politique et médiatique, notre ancien Président Jacques Chirac a pu mesurer cette semaine que sa popularité restait intacte, prenant un verre à la Rhumerie, il a été applaudi et acclamé spontanément par les passants, de quoi en boucher un coin aux hommes politiques qui s’efforcent d’obliger des mains qui s’y refusent à leur serrer la patte …

Quand à Monsieur Jacques Chirac en visualisant la vidéo ci-dessous on peut comprendre qu’il a gardé sa bonne humeur et qu’il a du bien s’amuser de la sottise des uns et des autres.

Lybie : sous le signe de l'enlisement, voix discordantes , poursuites des frappes occidentales , recherche d'une solution politique

Éditorial de lucienne magalie pons


Selon les médias, le responsable des finances et du secteur pétrolier au sein des insurgés libyens prétend que les promesses d'aide financière ne sont pas tenues par les occidentaux.


Cependant nous avons pu lire et entendre depuis le début des opérations que les insurgés bénéficiaient de plusieurs milliards de dollars d’aide en provenance des Occidentaux qui les soutiennent militairement pour abattre Kadhafi et ses forces armées.

Comble de l’ironie Ali Tarhouni , a affirmé que la production pétrolière dans l'est de la Libye contrôlé par les insurgés était désormais complètement suspendue en raison des dégâts matériels provoqués par les combats contre les forces du régime de Mouammar Kadhafi., sans aller cependant jusqu’à condamner ces frappes.

Alors que les médias occidentaux prétendent que les forces de l’Otan sont victorieuses sur tous les fronts contre les forces de Kadhafi et que le départ de ce dernier ne saurait tarder, le responsable financier des insurgés avoue : "Nous n'avons plus (d'argent). Nous commençons à manquer de tout", a-t-il dit. "C'est un échec complet. Soit ils (les pays occidentaux) ne comprennent pas, soit ils s'en moquent." "Nous ne produisons plus de pétrole à cause des dégâts. Je ne m'attends pas à ce que nous en produisions rapidement. Les raffineries n'ont plus de brut, donc elles ne fonctionnent plus", a-t-il poursuivi. D’après ce responsable … "Des gens sont morts pour cette révolution et d'autres continuent de mourir. Nous allons trouver une solution. Une chose est sûre : nous ne renoncerons jamais."

Ali Tarhouni a fait savoir que les insurgés (en désespoir de cause ?), auraient noué des contacts directs avec des compagnies étrangères en vue d'une future coopération, notamment la française Total et l'allemande Wintershall en assurant qu'il n'avait aucun scrupule à discuter avec des entreprises ayant coopéré avec le régime de Mouammar Kadhafi. "Nous avons besoin d'aide, nous disons que nous respectons tous les contrats. Mon seul ennemi, c'est Kadhafi et ses assassins et ses voyous", a-t-il dit. "En ce qui concerne les relations commerciales et les sociétés, je n'ai pas d'ennemis."

En conclusion les insurgés « en échec complet » semble-t-il ont les dents très longues et s’apprêtent à manger à tous les râteliers.

Sans doute craignent-ils en raison de la bagarre qui oppose le Congrès américain à Barack Obama de se trouver en difficultés dans l’avenir. tant sur le plan de l’aide militaire que sur le plan de l’aide financière.

En effet, près de trois mois après le début des frappes en Libye, Barack Obama est attaqué par les républicains qui lui reprochent de ne pas avoir demandé au Congrès l'autorisation de poursuivre cette coûteuse opération contre le régime de Mouammar Kadhafi.

Rappelons qu’une loi fédérale, de 1973, la War Powers Resolution, interdit que l'armée américaine soit impliquée pendant plus de 60 jours dans des opérations sans autorisation du Congrès, avec un délai supplémentaire possible de 30 jours. L'opération en Libye a franchi la limite des 60 jours le mois dernier, ET CE Dimanche, elle va atteindre le seuil des 90 jours.

Pour se justifier, la Maison Blanche assure que la participation à la mission de l'OTAN n'engage pas l'armée américaine dans des "hostilités". Une position contredite cette semaine passée par nombre de parlementaires républicains et même démocrates.

Qu’à cela ne tienne ? le Président Obama qui de plus en plus se comporté comme un dictateur en devenir, a décidé de continuer la mission en Libye sans autorisation du Congrès contre l'avis de juristes des ministères de la Justice et la Défense en préférant retenir l’avis de son Conseil à la Maison Blanche Robert Bauer et le conseiller juridique du Département d’État Harold Koh.

Mercredi, l'administration a remis au Congrès un rapport de 32 pages dans lequel elle présente ses arguments juridiques, en expliquant que les États-Unis jouant un rôle de soutien dans la mission aérienne de l'OTAN en Libye, et en soulignant notamment que les forces américaines ne font pas face à des hostilités qui nécessiteraient que le président demande l'autorisation du Congrès.

Ce rapport chiffre à environ 715 millions de dollars (près de 500 millions d'euros) le coût des opérations militaires américaines en Libye ( au 3 juin) Il estime qu'il atteindra 1,1 milliard (769 millions d'euros) début septembre si la mission, lancée dans le cadre de la résolution 1973 du Conseil de sécurité des Nations unies pour protéger les populations civiles(sic) continue.

Le rapport de la Maison Blanche n’a pas calmé , loin s’en faut, la désapprobation des parlementaires, "Dépenser un milliard de dollars et larguer des bombes sur les gens, ça me fait assez penser à des hostilités", a répliqué notamment le sénateur démocrate Jim Webb, un ancien combattant de la guerre du Vietnam qui siège à la commission des forces armées , et le de son côté le sénateur républicain Tom Rooney a protesté : … Dire au Congrès et aux Américains que "ce n'est pas une guerre, c'est faire insulte à notre intelligence".

Pour justifier la position d’Obama et de son administration, Jay Carney porte-parole de la Maison Blanche a expliqué Jeudi que l'application de la loi de 1973 avait fait débat parmi les juristes du gouvernement "Il n'y a rien d'étonnant à ce qu'il y ait des désaccords, même au sein d'une administration, sur l'application d'un statut quasiment vieux de 40 ans à un conflit unique et en évolution. Ces désaccords sont normaux et sains", a-t-il estimé ..

Cependant, le désaccord entre Obama et le Congrès s'est accentué cette semaine passée, le président de la Chambre des représentants, le républicain John Boehner, a durcit le ton en menaçant de couper le financement de la mission en laissant entendre que la chambre basse pourrait prendre des mesures dès la semaine prochaine.

Bien entendu le Sénateur républicain John McCain, lequel fait parti de la Commission des forces armées au Sénat, partisan acharné de l’offensive en Libye a considéré que "La conséquence de cet atermoiement, cette confusion et cette opacité, c'est une révolte générale au Congrès contre la politique de l'administration".

John McCain a aussi demandé à ses collègues républicains si c'était vraiment le moment de "voler au secours de l'homme que le président Reagan surnommait le chien enragé du Moyen-Orient". (en parlant de Kadhafi), et il a fait savoir qu'avec le démocrate John Kerry, de la Commission des affaires étrangères, il allait défendre une résolution autorisant sous condition la poursuite de la mission américaine en Libye.

Pendant que l’Administration Obama et le Congrès se divisent sur la poursuite des opérations en Libye, le 18 Juin au Caire les instances internationales ont insisté sur la nécessité d'une solution politique en Libye

Une réunion de hauts responsables de l'ONU, de l'UE, de la Ligue arabe, de l'Organisation de la conférence islamique et de l'Union africaine a souligné samedi au Caire sur la nécessité d'une solution politique en Libye.

Un communiqué publié à l'issue de la rencontre a affirmé l'importance "d'accélérer le lancement d'un processus politique qui réponde aux aspirations légitimes du peuple libyen".

Ban Ki-moon le secrétaire général de l'ONU a exprimé samedi sa "forte préoccupation" sur la poursuite des violences et la situation humanitaire en Libye, en affirmant lors d’une vidéoconférence depuis le Caire que "trouver une solution politique à la crise en Libye reste la priorité des Nations unies".

Le secrétaire général a exprimé sa forte préoccupation sur la poursuite des violences et l'impact humanitaire des combats en Libye, a rapporté son porte-parole, ajoutant que Ban Ki-moon a souligné l'importance des efforts coordonnés et d'un message cohérent de la communauté internationale aux acteurs sur le terrain en Libye.

"Chaque jour qui passe signifie davantage de troubles pour la population de Libye, la situation est très instable et les lignes de front ne cessent de changer. Il est important que nous continuions à travailler ensemble", a dit le secrétaire général lors de cette réunion.

"Le secrétaire général a rappelé que trouver une solution politique à la crise en Libye reste la priorité des Nations Unies", a ajouté son porte-parole, en précisant que Ban Ki-moon a souligné le rôle joué par son envoyé spécial Abdul Ilah Khatib dans le processus de négociation en cours.

S`agissant de la situation humanitaire, le secrétaire général a noté des pénuries de stocks de nourriture et de carburant et des inquiétudes croissantes concernant l'accès à l'eau et aux soins médicaux. "Il a également noté une épidémie de rougeole signalée récemment dans la ville de Sabha, et un manque de vaccins et d'autres médicaments dans le pays".

"Les efforts humanitaires des Nations Unies ont lieu dans des circonstances extrêmement difficiles", a dit le secrétaire général.

Au plan diplomatique une grande confusion semble régner et des informations contradictoires circulent dans les médias qui rapportent qu un émissaire russe a évoqué jeudi des contacts entre Tripoli et les rebelles, évocation tout aussitôt démenti formellement par le les responsables rebelles du CNT, alors que le premier ministre libyen, Baghdadi Mahmoudi, a lui confirmé des contacts avec les rebelles. «Nous sommes en contact avec toutes les parties. Demandez aux renseignements égyptiens, français, norvégiens et tunisiens, ils vous diront la vérité», a-t-il déclaré.

Si négociations il y aurait eu, les rebelles auraient réclamé avant toute discussion le départ du colonel Kadhafi.

La France , volontairement discrète ces temps derniers sur ses opérations armées qui se poursuivent intensément en Libye, affirmerait ne pas avoir été associée à ces contacts, quand bien même ils auraient existé

Le ministre italien de la Défense Ignazio La Russa a indiqué vouloir commencer «à réfléchir à une date» pour mettre fin à la partie active de la mission Italienne en Libye, au-delà des trois mois pour lesquels l'Otan vient de s'engager. Une telle attitude pourrait «inciter nos alliés britanniques, français et américains à trouver une porte de sortie diplomatique à la crise», a-t-il dit.

En ce qui concerne La France, la Grande-Bretagne et l’Amérique, le Ministre Italien rêve tout éveillé, ce que souhaitent ces trois pays c’est d’ouvrir une porte de sortie à Kadhafi quitte à ce que ce soit la porte de son tombeau.

Les médias rapportent que Mouammar Kadhafi, traqué et malmené par les frappes de la coalition internationale est de plus en plus isolé diplomatiquement, mais aussi ils rapportent que Mouammar Kadhafi a assuré vendredi sa volonté de rester au pouvoir et qu’il n’entend pas le lâcher.

Vendredi, le dirigeant libyen a marqué implicitement sa volonté de na pas céder aux imprécations des dirigeants des pays de la coalition internationale et de leurs partisans qui ne cesse de réclamer son départ ou de l’annoncer comme imminent, en avertissant dans un message audio, que l'Otan serait vaincue. «Nous sommes décidés à ne rien changer dans notre pays si ce n'est par notre propre volonté et loin des avions de l'Alliance», a-t-il déclaré.

Sur la ligne de front, tout paraît stagner entre Ajdabiya et Brega, cité pétrolière à 240 kilomètres à l'ouest de Benghazi. Sur place, les ennemis se harcèlent, avancent de quelques kilomètres, puis reculent. Pourtant une ligne rouge est bien marquée par l'aviation de l'Otan aux forces de Kadhafi, interdites de progresser au delà d'Ajdabiya.

Un des proches du Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion a constaté : «La révolution tourne en rond».

«Il semble clairement que l'on attende une évolution dans Tripoli pour avancer militairement dans l’Est, a estimé un diplomate occidental en poste à Benghazi.

La situation des affrontements sur le terrain est très contrastée, l'Otan concentre son action dans l'ouest du pays, proche de la capitale, mais la rébellion n y gagne que lentement du terrain, elle a ainsi pris le contrôle de certaines localités situées entre Zenten et Yefren, au terme de violents affrontements avec les pro-Kadhafi.

Selon les rebelles, de violents combats se déroulent également à Nalout, près de la frontière tunisienne. Dans les environs de Misrata, une ville bombardée quasi-quotidiennement par les forces loyales au régime, dix personnes ont été tuées et 40 blessées vendredi, selon un porte-parole des rebelles. Toutes les victimes seraient des civils.

Dans la journée de vendredi, puis dans la nuit de vendredi à samedi, des explosions ont secoué Tripoli et ses environs. Selon les rebelles, de violents combats se déroulent également à Nalout, près de la frontière tunisienne. Dans les environs de Misrata, une ville bombardée quasi-quotidiennement par les forces loyales au régime, dix personnes ont été tuées et 40 blessées.

Par ailleurs, l'OTAN a reconnu qu'un de ses avions avait accidentellement frappé une colonne des forces rebelles dans la région de Brega (est) le 16 juin, en disant regretter toutes pertes humaines et les civils blessés vendredi. Selon un porte-parole des rebelles, toutes les victimes seraient des civils.


l'Otan a réaffirmé vendredi sa volonté d'atteindre ses objectifs en Libye avec des arguments maintes fois mis en avant à savoir l'arrêt des attaques contre les civils, le retour dans leurs casernes des pro-Kadhafi et l'accès total des organisations humanitaires.


Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...