28 décembre 2010

Agressions des Chrétiens en France


Ce document nous a été transmis avec prière de le publier, dont acte, pour « briser le silence » : 
 
"Le Père Gabriel brise le silence politique".

 Lire ce qu'il écrit dans le bulletin paroissial, sans aucunement  nier l'origine musulmane des agressions récurrentes:

http://www.secteurparoissialstjean.com/index.php?ption=com_content&view=article&id=583%3Ajuste-prier-en-paix-07-novembre-2010

« Des semaines et des mois d'incivilités comme il sied de  dire aujourd'hui.
Des semaines et des mois de jets de pierre et de  pétards dans les jambes de ceux qui se rendent à la Messe ou qui  viennent entretenir notre église.
Des tags et autres graffitis  dessinés à la peinture rouge sur toute une façade. Des inscriptions  vantant les mérites de telle ou telle communauté. Des jets de bouteille  d'alcool divers contre les murs et, après chaque week end, le ramassage  des débris en espérant que personne ne sera tombé et blessé sur un  tesson.
Une entrée d'église prise pour un urinoir et qu'il faut  nettoyer chaque matin. Des jets d'excréments contre les murs de l'église  et ce régulièrement, une fois par semaine environ, avec ce que cela  représente en tant que symbole, mais aussi en tant que difficulté pour  faire disparaître une telle souillure.
Un porche d'église maculé de  tout ce qui peut se manger, emballages de nourriture de Fast Food ou  biscuits apéritifs, paquets de cigarettes vides etc.
Des jets de  pierre dans les vitres sans doute avec l'espoir de finir par  arriver à en achever une. Des tirs de ballon au moment de l'office  mais aussi des jets de bâton, sans s'inquiéter du fait que cela  puisse blesser physiquement quelqu'un.
Des rodéos avec des voitures  volées sur le parking, au début uniquement la nuit mais maintenant  aussi en plein jour. D'ailleurs, un bébé a failli être blessé avec  sa nounou il y a quelques jours, frôlé par une voiture conduite par deux  personnes manifestement pas en âge d'avoir le permis. C'est un miracle  qu'il n'y ait pas eu de victimes.
Des barreaux aux fenêtres tordus,  un robinet d'arrosage volé, des bloque-portes disparus, des boites aux  lettres forcées dernièrement. Deux voitures flambées tout contre  l'église depuis le début de l'année, une première tentative d'incendie  volontaire en s'en prenant au tableau d'affichage extérieur, et cette  nuit une deuxième tentative en incendiant un cyprès de 10 mètres situé  tout près de la porte du presbytère.
Voilà en quelques lignes le  quotidien de notre paroisse St Jean Baptiste à Avignon.
Le père Gabriel:
  "Incivilités ? Non. Profanation ! Il faut appeler un chat un chat.  Ils ne savent pas ce qu'ils font ? Mais bien sûr, ils le savent. Et ils  le font en riant parce que personne ne dit rien, le silence est de mise  de la part des autorités et de la presse.
Nous vivons dans un pays  qui respecte la liberté de culte et il est de notre droit de pouvoir  pratiquer notre religion dans le lieu de notre choix sans avoir à  craindre de prendre un jet de pierre quand nous nous y rendons. On ne  doit pas craindre de prendre un mauvais coup quand on va prier. Nous  avons le droit de nous réunir pour prier sans avoir à craindre  que notre foi ne soit la source de conflits insupportables ni l'objet  de provocations injustifiées."
 On imagine seulement le dixième de tout cela contre une  mosquée, et ce sont des communiqués immédiats de la Mrap +  Licra + SOS-Racisme + Cran, le déplacement du Préfet et d'au moins un  Ministre.
Une manif avec le Maire escorté de barbus et de femmes  voilées hurlant « Allah Akbar ! », un Michel Vauzelle qui parade sous  les youyous en disant qu'il est « fier de présider une grande région  musulmane », le président du CFCM reçu par le Ministre de l'Intérieur,  voire le Président de la République, un Évêque et un Grand Rabbin  vantant l'islam « de paix et de tolérance », quelques voitures flambées  en représailles, des émeutes etc...etc...
 Mais là, rien de tout cela puisque les victimes et les coupables n'  entrent pas dans les cases du politiquement correct. Le curé de  Saint-Jean le déplore :
« Le silence est de mise de la part des  autorités et de la presse ». La lâcheté des journalistes et des  politiques face à l'islam, comme d'habitude !
Il ne s'agit pas  seulement d'une « profanation » à répétition, mais d'une  volonté délibérée d'empêcher des Catholiques de pratiquer leur culte,  en les empêchant d'aller à l'église comme le note fort bien le Père  Gabriel. Et nous sommes en France, terre de tradition chrétienne, pas en  Arabie Saoudite !
C'est donc bien la foi des Chrétiens de France qui  est visée, c'est le fait qu'ils soient chrétiens et rien d'autre que  veulent éradiquer les jeunes jihadistes, à Carcassonne comme à  Avignon, à Bagdad comme au Caire.
C'est une guerre religieuse, c'est le jihad contre les infidèles  tel que prescrit par plusieurs versets du Coran et pratiqué par le «  beau modèle » Mahomet.
Alors si Alain Planet ne mérite que notre réprobation et notre  condamnation, par contre il faut encourager le Père Gabriel, qui a  osé briser le mythe d'un tabou médiatique et politique. Tabou relayé par  des évêques et certains curés qui se couchent lâchement devant l'ennemi,  même quand leurs ouailles subissent le harcèlement violent et permanent  d'abrutis coranisés, mahométisés et benladenisés.
Tout comme nous  procédons envers les journalistes, les politiciens,  les fonctionnaires, distinguons le bon grain (souvent « de la base »  donc en première ligne) de l'ivraie hiérarchique, carriériste et  collaborationniste.
J’invite donc tous les Français à montrer leur soutien au Père  Gabriel et aux victimes de sa paroisse : 

par courriel : peregabriel@aliceadsl.fr
 
par téléphone : 04 90 87 55 41, 06 25 90 10 35
 
par fax : 04 90 89 87 34
 
par courrier :
  
 Père Gabriel Picard d'Estelan, Paroisse Saint-Jean,
 15 rue Guillaume de Machault,
84000  AVIGNON


SNCF : Un voyage extraordinaire !

Éditorial de lucienne magalie pons

S comme Sckoumoun N comme navrant C comme "cata" F comme fatalité ... indépendante de leur volonté ? 


Parti « un peu en retard de Strasbourg »  dimanche soir, le train de nuit Strasbourg/Port Bou-Nice a battu la campagne,  subissant la sckoumoun d’une  "une succession exceptionnelle d'incidents", de  nombreux arrêts « plus ou moins prolongés », un conducteur absent à Belfort, un incident de maintenance à Tournus, une correspondance à Lyon pour Nice,  finalement   ses quelque 600 passagers sont arrivés exténués à Port Bou  tard dans la soirée de  lundi, et non dans la matinée comme prévu.

 Le président de la SNCF Guillaume Pepy a  présenté ses excuses … il a estimé que la succession d'incidents qui a conduit le train de nuit Strasbourg-Port Bou/Nice à accumuler plus de treize heures de retard, lundi, "ne peut être acceptée",….. "La série d'incidents que vous avez subie n'est pas admissible",  a  écrit dans une lettre aux passagers, datée de mardi,  le Président de la SNC F Guillaume Pepy.

Ndlr : Inadmissible ou pas, il n’en demeure pas moins  que  les incidents ont été subis ! Le voyage a duré en tout 26 heures, en effet les 13 heures de retard s’ajoutent aux 13 heures d’un  trajet, entrecoupé d’incidents divers ! Bravo la SNCF ! Cette fois il ne s’agit pas selon la formule consacrée d’ « incidents techniques (ou sociaux) indépendants de la volonté de la SNCF  , mais bel et bien de désorganisation interne, le train de nuit  parti de Strasbourg  vers 21 heures 30 « avec un peu de retard » a été immobilisé à Belfort toute la nuit faute de conducteur  pour assurer la relève !  La planification de la relève avait  été annulée   en raison d’une « erreur grave »  un conducteur à du être acheminé par taxi de Lyon à   Belfort son voyage  « extrêmement long » a duré plusieurs heures,  ensuite le train  est enfin  reparti, mais à Tournus nouvelle  immobilisation surprise,   pour  changer de locomotive, le train ensuite arrive à Lyon ou les voyageurs en direction du Sud Est prennent la correspondance pour Nice, enfin le train repart pour sa destination finale et arrive en accusant 13 heures de retard qui ajouté aux treize heures de trajet  ,  font au total un voyage au long cours de  26 heures de galères subies par les voyageurs !

Les excuses du Président de la SNCF : quelques extraits de sa lettre aux voyageurs) :

"La série d'incidents que vous avez subie n'est pas admissible",  a  affirmé dans une lettre aux passagers, datée de mardi,  le Président de la SNC F Guillaume Pepy.
………..

Le Président de la SNCF  écrit notamment dans sa lettre :

"Cette succession d'incidents est, évidemment, tout à fait exceptionnelle. Elle ne peut être acceptée. Je sais que l'assistance et l'information ont été, pendant ce trop long voyage, partielles. Il a manqué un certain nombre de plateaux repas et les informations successives auraient dû être meilleures",

"Je veillerai personnellement à ce que l'enquête ordonnée ait les suites nécessaires", a souligné M. Pepy, invitant les passagers à contacter directement par courriel le directeur des grandes lignes "pour traiter les situations particulières".

……….

L'enquête ordonnée dira, d'ici lundi 3 janvier, si une autre solution existait", relève Guillaume Pepy.

Présentant au nom de la SNCF ses "excuses pour ce très mauvais voyage", M. Pepy a rappelé que l'entreprise allait rembourser leur billet et offrir un aller-retour aux quelque 600 passagers du train.

Le prélude :



l'aboutissement :


Côte d'Ivoire : Actualités RTI

Éditorial de lucienne magalie pons

Le chef des jeunes partisans pro-babgo  a appelé les Ivoiriens à manifester  Mercredi 29 décembre  pour soutenir Laurent Babgo.

La télévison d'état ivoirienne RTI a diffusé une émission dans laquelle sont relatés les circonstances pré et post électorales qui ont divisé le pays, tout en désignant, selon elle, les causes et   les responsables de la crise politique qui agite  le pays.

pour voir la vidéo, lien ci-dessous  :


Crise post électorale : Le rôle de l’ONU en CI - RTI - 27/12/2010


 

Côte d'Ivoire : Ahoua Don Mello, porte parole de Laurent Babgo, donne son avis sur la BBC

Éditorial de lucienne magalie pons


Ahoua Don Mello  ministre de l’équipement et de l’assainissement, et  porte parole du  Gouvernement du Président sortant Laurent Babgo a réagi hier sur la radio BBC britannique, notamment   sur la visite de  ce jour  à Abidjan d’une délégation de médiation  missionnée  par la CEDEAO.

Au cours de son entretien avec la BBC,  Ahoua Don Mello relativise la visite de cette délégation.

Pour lui,  cette  visite devra leur permettre de mieux comprendre la situation en Côte d’Ivoire et de ne pas entendre qu’un seul son de cloche. Il estime heureux  que l’on se décide à « commencer par là où on devait commencer » avant de prendre une décision et il pense que la sagesse et la vérité peuvent éclater à tout moment

Comme la question lui était posée  d’un dialogue de sortie de crise  et d’une éventuelle proposition de la CDEAO d’un gouvernement d’Union ?  Ahoua Don Mello, a  répondu que pour le moment il n’était pas question d’un gouvernement mais d’un contentieux électoral …. «  . Il est bon que nous discutions déjà du contentieux. Le contentieux est d’abord à gérer et qu’on reconnaisse Laurent Gbagbo comme le président de la République de Côte d’Ivoire. Une fois que cette vérité est établie, tout le reste est possible par le dialogue » a- t-il précisé.

Est-ce que vous écartez d’emblée la possibilité que M. Laurent Gbagbo ne soit pas à la tête d’un gouvernement d’union ? a insisté son intervieweur…, ce qui a donné lieu à une mise au point de la part du Ministre du Président sortant Laurent Babgo  qui a réaffirmé :   « Le peuple de Côte d’Ivoire a choisi son président et la Constitution a validé ce choix. Il n’y a pas d’autre solution en dehors de la loi et de la Constitution ivoirienne. »

Quand à « l’idée » de la CEDEAO à savoir  l’usage de la force pour faire partir M. Laurent Gbagbo, Ahoua Don Mello, a donné son opinion :  « Evitons la délinquance politique. Aucune institution internationale n’a le droit d’intervenir par la force pour imposer un président dans un Etat souverain. Evitons de refaire l’histoire et de nous replonger à l’époque coloniale où le président français choisissait un gouverneur et le faisant encadrer par des soldats africains.

Et quand l’intervieweur se risque à  faire remarquer …. « Mais il semble qu’il s’agit plutôt de la CEDEAO ? »….

 Ahoua Don Mello répond,   en accusant le président Français : « Mais c’était sur injonction du président français. »

Donc c’est le président français qui donne des ordres à la CEDEAO ?.....insiste l’intervieweur

«  Exactement ! » …. affirme Ahoua Don Mello,  « C’est lui qui se cache derrière la CEDEAO comme à l’époque de la colonisation. »

Dans une interview réalisée récemment,  Ahoua Don Mello avait  dit que cela pourrait mener à la guerre civile…, et quand  l’intervieweur de la BBC le questionne sur cette précédente affirmation, Ahoua Ben Mello reprend des arguments qu’il avait déjà fait valoir précédemment  en répondant  …… « Vous savez, la Côte d’Ivoire est une terre d’immigration et donc faire la guerre à la Côte d’Ivoire par un pays voisin, c’est faire la guerre à son propre pays. Donc, évitons cette voix. C’est de la délinquance politique pure et simple. Evitons la délinquance politique. Nous sommes dans un monde civilisé basé sur des règles, des lois et les dialogues. Utilisons ces moyens conventionnels pour dialoguer.
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Information de source ivoirienne :


Par ailleurs, abandonné, sanctionné, isolé par la Communauté Internationale et l’ONU, soumis de la part de la CEDEAO à un ultimatum, le Président Babgo n’est pas si seul dans son pays tel  que les médias et politiques occidentaux nous le présentent.

Il  est intéressant  dans un souci de transparence de tenir compte des informations de source ivoirienne,  pour avoir une vision équilibrée de ce drame post-électoral,  tel qu’il se déroule de jour en jour sur le terrain.

Dans son pays de nombreux mouvements le soutiennent. Hier Lundi, ce sont les femmes chrétiennes  ivoiriennes  qui se sont  réunies en communion place de la République à Abidjan pour une prière de soutien à Laurent Babgo et pour le renouveau de leurs pays.

Pour voir la vidéo, cliquez sur le lien ci-dessous :  








Brice Hortefeux à fait une " tournée des grands ducs" dans le 93

Éditorial de lucienne magalie pons


 Brice Hortefeux  et ses collaborateurs se sont offert une tournée des grands ducs dans le 93.

A Grenoble, le 23 décembre, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait lancé  une nouvelle force de police et de gendarmerie «  l'Unité mixte d'intervention rapide (Umir) », destinée  à  contenir les émeutes urbaines et avait  annoncé que la ville de Grenoble était ainsi transformée en «laboratoire» sécuritaire.

Cette fois,  dans la nuit de Dimanche à Lundi, entre minuit et deux heures du matin, c’est dans  le 93, département de la Seine Saint Denis, que le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux et ses collaborateurs se sont déployés en formation d’observation en effectuant un parcours à la suite d’une patrouille de la brigade anti-criminelle (BAC)
   
Pendant deux heures, le ministre et ses collaborateurs  ont suivi des patrouilles à la cité des Francs Moisins de Saint-Denis, franchi la barre Balzac et le nord des 4 000 à la Courneuve, et achevé leur parcours par la cité du Clos Saint-Lazare, à Stains.

Pendant leur périple nocturne,  le ministre et sa suite ont assisté au contrôle d'un débit de boisson à Saint-Denis,  à une opération de contrôle de trafic de drogue dans un hall d'immeuble de la cité Romain Rolland et à des opérations de contrôles en gare ferroviaire.

 «Ma présence vise, d'abord, à rendre hommage à ces hommes et à ces femmes qui, à tout moment de l'année, nuit et jour, parfois au détriment de leur propre vie de famille, sont à leur poste pour protéger les Français», a-t-il expliqué.

«Elle vise, aussi, à souligner que l'action de l'État ne connaît aucune pause», a-t-il ajouté : «pendant les fêtes comme durant le reste de l'année».

Nous pouvons penser que cette sortie  du Ministre et de ses collaborateurs égayés sur le terrain en pleine nuit, sous la lueur sinistre des lampadaires,   leur a procuré des sensations plus fortes et plus natures  que celles qu’ils  auraient pu ressentir au spectacle d’un de ces films policiers ou l’on voit des policiers traquant  dans des bars obscurs des  petites pointures de la mafia locale, avec laquelle souvent  ils  pactisent (sans succès )  pour amener dans leurs filets les  gros  requins  non identifiés qui les empêchent de tourner en rond. dans le scénario. Imaginez un instant qu’un gros requin démasqué  tombe dans le film ! Plus de suite… acteurs et figurants au chômage…

Une façon comme une autre pour le Ministre et ses collaborateurs  de s’offrir deux heures d’éducation policière  sur le tas en visitant   un Département dont les habitants et certains élus n’apprécient pas ces visites  qui les montre du doigt comme les habitants d’un département qui serait voué essentiellement  au banditisme et à la violence.

 Or les grosses pointures maffieuses responsables, celles qui font se mouiller  à leur profit  financiers ou idéologiques des dealers et des chef de bandes  dans les banlieues en  leur ordonnant en plus   au besoin de casser du bus, du conducteur, des flics, des petits vieux et des jeunes aussi,  ce n’est pas dans le 93 qu’elles résident  principalement.

 Pour les débusquer   il conviendrait  de faire des virées  surtout  dans les beaux quartiers  branchés des grandes villes, ou résident des VIP de toutes obédiences maffieuses copinant ouvertement avec  des personnalités importantes,  qui  quand elles ne sont pas de sorties la nuit dans des galas somptueux,  dorment tranquillement la nuit dans leurs luxueuses demeures bourgeoises,   sans aucun danger  de recevoir une nuit  la visite « surprise » d’un Ministre et de ses collaborateurs accompagnés d’une patrouille de la Brigade anti-criminelle (BAC), à tel point qu’ils n’ont sans doute pas jugé bon de préparer dans cette éventualité improbable ,  des « cakes  shitt », des zakouskis, du caviar,  des mignardises,  du champagne, au cas où … et des gros flingues en cas de …..

27 décembre 2010

Des partisans d'Alassane Ouattara occupent l'ambassade de la Côte d'Ivoire à Paris

Éditorial de lucienne magalie pons


Des partisans d'Alassane Ouattara occupent l'ambassade de Côte-d'Ivoire à Paris

Alassane Ouattara  bénéficie de plus d’audience à Paris qu’à Abidjan.

L'appel à la grève générale lancé par le camp d'Alassane Ouattara  pour  ce lundi à Abidjan a été suivi de peu d’effet, mais à Paris   des partisans d’Ouattara a la suite de cet appel  ont investi  l'ambassade de la Côte-d'Ivoire en France qui se trouve en  attente d’un nouvel ambassadeur désigné par Alassane Ouattara. 

De l’intérieur du Bâtiment  Bouaké Karamoko, secrétaire général en France du mouvement pro-Ouattara  a expliqué : «A la suite du mot d'ordre de grève générale décidé jusqu'au départ de Laurent Gbagbo, la jeunesse du RHDP  a décidé que les fonctionnaires de l'ambassade devaient aussi cesser de travailler» …… «Les fonctionnaires sont partis. Il n'y a pas eu de violences. Nous attendons la venue du nouvel ambassadeur», a-t-il ajouté.

Pierre Kipré, l’ancien ambassadeur,   personnalité proche de  Laurent Gbagbo,  n'était pas à l'ambassade ce lundi, d’après les médias.

Une vingtaine de policiers bloquaient l'entrée de l'ambassade, située près de la place de l'Etoile à Paris.

 Le président sortant Laurent Bagbo reste sous forte pression de la communauté internationale et de l’Onu, son régime est prévenu d'une opération militaire que les  pays de l’Ouest Africains regroupés en Cédéao  sont décidés de déclencher s’il ne quitte pas sa fonction au profit d’Alassane Ouattara, mais au préalable ils  délèguent   en  mission  trois chefs d'Etat ouest-africains qui ont du   arriver ce jour mardi à Abidjan  pour demander à Gbagbo de céder la présidence à  Alassane Ouattara,  faute de quoi il court le risque d'une intervention armée pour le faire partir de force.

La France a été informée aujourd'hui de la désignation par Alassane Ouattara d'un nouvel ambassadeur à Paris et a  entamé la procédure d'agrément du nouveau  diplomate.


Relais d'informations : Les délégations Russes et Ukrainiennes sont arrivées ce 2 juin 2025 au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour reprendre de nouveaux pourparlers

Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025.  ...