19 décembre 2010

Mon amie la Rose par Françoise Hardy

Une grande dame hélenniste vient de nous quitter

Éditorial de lucienne magalie pons


L'académicienne Jacqueline de Romilly, spécialiste de la civilisation et de la langue grecques, qui fut la première femme professeur au Collège de France, est décédée samedi à l'âge de 97 ans

Cette grande intellectuelle helléniste, spécialiste de la civilisation et de la langue grecques,  incarnait l'enseignement des études grecques classiques en France ainsi qu'une conception  humaniste de la culture.

Grand Croix de la légion d'honneur, Jacqueline de Romilly qui fût la première femme professeur au Collège de France,   jugeait les années 2000 "inquiétantes et pleines de périls", mais restait confiante dans la "possibilité humaine de se reprendre, de se redresser et, avec l'aide du passé, d'inventer quelque chose de mieux".

Elle était devenue Académicienne en 1988,  deuxième femme élue à l'Académie française, après Marguerite Yourcenar
 Jacqueline de Romilly a écrit en plus de 60 ans de très nombreux ouvrages,  une œuvre remarquable,   sur cette Athènes du Ve siècle (d'avant JC) d'où  disait-elle "tout est sorti brusquement": la philosophie, l'histoire, la tragédie, la comédie, les sophistes.


Les Grecs contemporains l'honoraient  et lui avaient souvent exprimé leur gratitude.

 Membre correspondant étranger de l'Académie d'Athènes, Madame Jacqueline de Romilly avait obtenu la nationalité grecque en 1995 et avait été nommée ambassadrice de l'hellénisme en 2000.
 La Secrétaire perpétuelle de l’Académie Française Madame  Hélène Carrère d'Encausse, a salué  la  mémoire de Jacqueline de Romilly  en ces termes  …. «C'est une femme qui a porté toute sa vie la langue et la culture grecques parce qu'elle considérait ….. que c'était une éducation  à la compréhension de la liberté de l'individu, de l'attachement à la démocratie» ……   «Elle a souffert énormément depuis quelques dizaines d'années de voir l'étude de cette langue décliner, et cela a été pour elle un immense chagrin» ….. en ajoutant que le meilleur hommage à lui rendre «serait d'attacher plus d'importance désormais à la langue grecque dont elle a été le plus grand défenseur dans notre pays».

 ci-dessous une vidéo de l'Ina dans laquelle est présenté  un ouvrage émouvant de Jacqueline de Romilly "Les roses de la Solitude" :

cliquez sur le lien



    retrouver ce média sur www.ina.fr

Côte d'Ivoire : La communauté Internationale et l''Onu se mobilisent pour éviter le pire en Côte d'Ivoire

Éditorial de lucienne magalie pons


Jeudi 16 Décembre :

Jeudi, le Conseil de sécurité de l'ONU  s’état déjà  déclaré inquiet des violences en Côte d'Ivoire, en appelant toutes les parties prenantes ivoiriennes à rester calmes et à éviter tout acte provocateur.

Les membres du Conseil ont prévenus toutes les parties prenantes qu'elles seront tenues pour responsables des attaques contre les civils et seront traduites en justice, conformément au droit international et au droit humanitaire international.
             
Vendredi 17 décembre :

A l’issue du Conseil Européen  le Président Nicolas Sarkozy a sommé Laurent Babgo  Gbagbo de quitter immédiatement le pouvoir  en rappelant que le candidat défait pourrait être traduit devant  le tribunal pénal international.

« Laurent Gbagbo doit se plier sans délai au verdict des urnes sous peine d'encourir des sanctions européennes et d'avoir affaire au tribunal pénal international, a déclaré vendredi Nicolas Sarkozy. Le président ivoirien sortant et son épouse "ont leur destin entre leurs mains", a dit le chef de l'État français lors d'une conférence de presse à l'issue du Conseil européen. Si Laurent Gbagbo n'a pas quitté "avant la fin de la semaine" le poste qu'il continue d'occuper "en violation de la volonté du peuple ivoirien, ils seront nommément sur la liste des sanctions" européennes, a ajouté Nicolas Sarkozy.

"Est-ce qu'il veut laisser l'image d'un homme de paix ? il est encore temps, mais le temps presse et il doit partir", a  affirmé  le président français. "Ou est-ce qu'il veut laisser l'image de quelqu'un qui a fait tirer sur des civils parfaitement innocents ? Et, dans ce cas-là, il y a des juridictions internationales comme la Cour pénale."

Le Président Français  a précisé  que ce n'était pas seulement la position de la France mais aussi celle l'Europe "unanime", des États-Unis et du Conseil de sécurité des Nations unies. "Il n'y a pas d'autre possibilité pour Laurent Gbagbo que de quitter à bref délai un pouvoir qu'il usurpe", a-t-il insisté.


Le Conseil européen a confirmé vendredi dans ses conclusions la détermination de l'UE à prendre de telles mesures "contre ceux qui continueraient à faire obstruction à la volonté souveraine exprimée par le peuple ivoirien". Le Conseil Européen a rappelé  aussi que la Cour pénale internationale peut poursuivre les personnes responsables d'actes de violence, comme ceux qui ont fait jeudi au moins une vingtaine de morts à Abidjan.

Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a estimé vendredi que le maintien au pouvoir de Laurent Gbagbo conduirait à une "parodie de démocratie", mettant en garde contre toute attaque des troupes des Nations unies présentes sur place.

Vendredi, lors de sa conférence de fin d’année,  le secrétaire général de l'ONU, Monsieur Ban Ki-moon, a adressé  un message au président ivoirien sortant, Laurent Gbagbo,  en  déclarant  que ce dernier doit  s'écarter du pouvoir et permettre à son successeur élu, Alassane Ouattara, d'exercer ses fonctions.

"Les efforts de Laurent Gbagbo et ses partisans pour conserver le pouvoir et ignorer la volonté du peuple ne peuvent être laissés sans réponse. Je l'appelle à se retirer et à permettre à son successeur élu de prendre ses fonctions sans entrave supplémentaire", a déclaré Monsieur  Ban lors de sa conférence de fin d'année.

Mettant en garde contre toute action "visant à entraver les activités de l'ONU"  Monsieur Ban Kimon a averti  que "toute attaque contre les forces de l'ONU sera perçue comme une attaque contre la communauté internationale   …. "Gbagbo doit s'écarter du pouvoir, toute autre solution serait une parodie à la démocratie et à l'état de droit", a martelé le chef de l'ONU,  en rappelant que dans les circonstances d'instabilité actuelle en Côte d'Ivoire, les deux parties,  doivent "éviter les provocations où une nouvelle escalade de la violence". "Les résultats de l'élection sont connus. Il y a eu un gagnant clair. Il n'y a pas d'autre choix", a conclu le chef de l'ONU.

Alassane Ouattara doit être autorisé à entrer en fonctions après sa victoire lors du scrutin du 28 novembre, a dit Monsieur  Ban Kimon  lors d'une conférence presse, ajoutant que "toute autre solution serait une parodie de démocratie et de l'état de droit".

Les casques bleus de l'Onu resteront en Côte d'Ivoire - Fil news ...

 - 09:35
17 déc. 2010 ... Pour y accomplir leur mandat en dépit du retrait exigé par Laurent Gbagbo, les casques bleus de l'Onu resteront en Côte d'Ivoire, ...
lci.tf1.fr/.../les-casques-bleus-de-l-onu-resteront-en-cote-d-ivoire-6190616.html
 

 Samedi  18  Décembre :

Mais en dépit de tous les avertissements  de la Communauté internationale  et de l’ONU, la situation restait très tendue,  dans la nuit de vendredi à samedi, le siège de l'Onuci a essuyé des tirs de la part d'"hommes armés vêtus de tenues militaires"

Pour  Charles Blé Goudé «  la récréation est terminée  ….., on va libérer totalement le pays »  a déclaré le  leader des « jeunes patriotes » partisans de Laurent Gbagbo,  et il a appelé Samedi le peuple "à s'apprêter à livrer" le "combat" contre le camp d’Alassane Ouattara.

"Nous allons défendre la dignité et la souveraineté de notre pays jusqu'à la dernière goutte de notre sueur" …….. «  Je demande à tous les Ivoiriens de s’apprêter à  livrer ce combat a déclaré  Charles Blé Goudé, …….  "Gbagbo n'est pas le sous-préfet de  Sarkozy",  et celui-ci "devra passer sur nos corps pour s'attaquer à Gbagbo", a  martelé Charles Blé Goudé, surnommé «le général de la rue »,  qui avait été le meneur de violentes attaque anti-françaises en 2003/1004 à Abidjan.

Il a appelé  un rassemblement des "jeunes patriotes"  pour  samedi après-midi dans le quartier pro-Gbagbo de Yopougon à Abidjan, afin de nous "mettre en ordre de bataille à travers tout le pays….

Peu après,  Laurent Babgo dans un communiqué  du samedi 18 décembre, lu  par  Jacqueline Lohouès Oble, porte parole du gouvernement Babgo à la Télévision d’Etat Ivoirienne, il « exige »   le départ de la mission Onuci  de l'ONU dans le pays  et de la force militaire française Licorne :  "Le président de la République de Côte d'Ivoire vient de demander le départ immédiat du territoire ivoirien de l'Onuci et des forces françaises qui la soutiennent, cela implique que le gouvernement ivoirien s'oppose d'ores et déjà au renouvellement de cette opération qui expire [lundi] 20 décembre 2010."

Dans  ce communiqué "le gouvernement ivoirien considère que l'Onuci a largement failli à sa mission en posant des actes qui ne sont pas conformes à son mandat ".

 Le texte accuse les troupes étrangères d'avoir soutenu les forces nouvelles, alliées au rival de M. Gbagbo, Alassane Ouattara et la radio  Onuci-FM, de s'être "érigée en relais médiatique" des partisans de M. Ouattara, "en diffusant à longueur de journée des émissions appelant à la haine, au non-respect de la décision du Conseil constitutionnel  et à la désobéissance civile »

De son côté la Cédéao (Communauté économique des états d'Afrique de l'ouest) a demandé vendredi par écrit au président ivoirien sortant Laurent Gbagbo de transférer "immédiatement" le pouvoir au "président élu" Alassane Ouattara, a annoncé le chef de la diplomatie du Nigeria.

Vendredi, Odein Ajumogobia,  Chef de la Diplomatie du Nigéria, a annoncé  que le président nigérian Goodluck Jonathan, actuel président de la Cédéao (15 Etats membres) a envoyé une lettre au nom de l'organisation régionale à Laurent Gbagbo qui lui a été remise par un haut représentant de la Cédéao et le président de la commission de l'Union Africaine Jean Ping.

Avant de se rendre vendredi à Abidjan, M. Ping avait  fait un détour  par Abuja  pour s’entretenir avec le président nigérian qui lui avait  confié cette lettre qui "reconnait Alassane Ouattara comme président-élu".

"Cette lettre réitère la détermination de la Cédéao et de toute la communauté internationale à ce que le président Gbagbo transmette immédiatement le pouvoir au président-élu Ouattara et évite le retour imminent d'un conflit sanglant et inutile", a ajouté le ministre nigérian.

Par ailleurs,  ….."Le président Jonathan a offert son aide pour la réinstallation de M. Gbagbo et sa famille dans l'intérêt de la paix et de la stabilité de la Côte d'Ivoire ainsi que de la sécurité de tous les citoyens et personnes y résidant", a poursuivi le ministre.

ooOoo

Rappelons que le Lundi 13 décembre, Lundi,  les ministres des Affaires étrangères européens ont décidé lundi d'imposer des sanctions ciblées contre Laurent Gbagbo et ses proches. Cela consisterait  à interdire de visa vers l'Union européenne les personnes faisant obstruction au processus de réconciliation nationale en Côte d'Ivoire et à geler leurs avoirs.

Selon une source diplomatique,  une liste de 19 dirigeants ivoiriens et de proches existerait  déjà. Elle comporte le nom de Laurent Gbagbo, L'Allemagne, la Grande-Bretagne et la Pologne  souhaitent  que cette liste soit confirmée en l'état lundi prochain, lors d'une réunion technique à Bruxelles. "Le contenu en sera déterminé en fonction de l'évolution de la situation sur le terrain et des responsabilités de chacun", a expliqué jeudi la porte-parole adjointe du ministère français des Affaires étrangères, Christine Fages.


·  Côte d'Ivoire : des hommes armés ont tiré sur des casques bleus


Radio Chine Internationale - Il y a 15 minutes
L'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) a indiqué que l'un de ses véhicules qui effectuait une patrouille de routine à Abidjan, ...
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·  Côte d'Ivoire : un leader pro-Gbagbo appelle à libérer "totalement ...


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"L'ONU a démontré qu'elle n'est pas une force de paix en Côte d'ivoire. On leur demande gentiment et poliment de partir", a t-il soutenu, sous des cris ...
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Côte d'Ivoire: appel au calme de l'UE


Le Figaro - Il y a 1 jour
La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton a mis en cause aujourd'hui la "responsabilité" dans la crise en Côte d'Ivoire de ceux qui s'opposent à ...


18 décembre 2010

Un sommet européen sans coup d'éclat

Éditorial de lucienne magalie pons

Sources : différents articles journaux et sites Web :

Les vingt-sept chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE ont choisi de s’entendre implicitement  comme larrons en foire et ils ont  décidés  vendredi la décision de rendre permanent à partir de 2013 l'actuel fonds européen de stabilité financière sans en définir les modalités concrètes …en laissant bon nombre de questions sans réponses. N’est pas merveilleux ? Pas  d’affrontement, pas  d’effet de manches,  pas de bouderies, ils ont éviter d’aborder les sujets qui fâchent  pour afficher leur unité face  au risque de contagion de la crise de la dette publique et de la montée générale du scepticisme à l'égard de la zone de la monnaie unique.


Même le  bouillonnant chef de  l' État  Français qui a pour projet  de reconstruire l'Unité Européenne en      harmonisant l’économie, le social et l’éducation dans la zone euro s'est montré  calme pour régler d'abord les urgences qui s'attachent la crise de l'Euro.  

A l’issue du sommet le Président Français a déclaré : "La sortie de l'euro, c'est tout simplement irresponsable et inenvisageable. L'euro, c'est le cœur de la construction européenne. Si l'euro s'écroule, si l'euro devait disparaître, c'est la construction européenne qui serait atteinte structurellement" en prenant un engagement devant ses pairs  "moi, je ne l'accepterai jamais !"
Une  décision   prise  à l'unanimité par les Vingt-Sept a été la pérennisation à partir de 2013 de l'actuel Fonds européen de stabilité financière (FESF) mis en place en mai, garanti par les membres à hauteur de 440 milliards d'euros, en un mécanisme permanent de stabilité financière, dont il reste encore à fixer les modalités, en particulier sur le montant de la garantie, la part supportée par les investisseurs privés en cas de restructuration de la dette d'un pays et l'allongement des  modalités pour étaler les remboursements des dettes.

Cette décision nécessitera au préalable  une modification  simplifiée du Traité de Lisbonne , par l'ajout d’un  paragraphe indiqué dans le  communiqué lu par le président du conseil européen Herman Van Rompuy à l’issue du sommet  : "les Etats membres dont la monnaie est l'euro peuvent instituer un mécanisme de stabilité qui sera activé si cela est indispensable pour préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L'octroi, au titre du mécanisme, de toute assistance financière nécessaire, sera subordonné à une stricte conditionnalité.
 
La décision des chefs d'États et de gouvernement ouvre une période de trois mois au cours de laquelle le Parlement européen, la Commission et la Banque centrale européenne devront fournir un avis consultatif sur la procédure de révision simplifiée du traité.

Parallèlement  les membres de la zone euro devront préciser les modalités d'un nouvel accord intergouvernemental pour transformer le Fonds européen de stabilité financière (FESF) en un mécanisme permanent prévoyant une participation graduelle et au cas par cas du secteur privé, selon les modalités arrêtées le 28 novembre dernier.

Le tout devra être ensuite formellement adopté lors du sommet européen de mars , afin que les processus de ratification du traité réformé dans les 27 États membres puissent débuter. La date limite de ratification sera fixée au 1er janvier 2013.

 Pour  le court terme, les chefs d'États  sont restés  encore plus discrets , la solution d'une émission d'"eurobonds" a été  éludée, et les chefs d'Etat se  sont engagés à augmenter, si nécessaire,  les moyens financiers du FESF pour maintenir la stabilité financière de la zone euro,  mais sans donner de précisions.

 Les dirigeants européens  s’en sont tenus au strict minimum pour rassurer  les marchés financiers  en marquant  leur volonté  de défendre la monnaie unique.

Les marchés financiers  et les investisseurs de leur côté n’attendaient pas des miracles du sommet européens, ils commencent à être blasés et demeurent attentifs à leurs propres constatations financières, pour eux les problèmes de fond subsistent.
 
Les observateurs économiques  font remarquer que  la situation  ne s’améliore pas pour  les maillons faibles de la zone et les marchés restent prudents.  Après la Grèce en mai, qui a reçu une aide de 110 milliards d'euros, et l'Irlande en novembre, qui a bénéficié d'un plan de 85 milliards d'euros, le Portugal et l'Espagne sont  cités comme les prochains pays qui pourraient nécessiter  un secours financiers pour faire face à leurs besoins.

Mercredi,   deux jour avant le fin du sommet, l'agence Moody's  avait placé la dette de  l’Espagne sous sous surveillance « négative » et vendredi elle a dégradé la dette souveraine  de l’Irlande  de « cinq crans "

Selon l’analyse de Bruno Cavalier, économiste en Chef chez Oddo Securities, la réponse des Européens à ces crises est bien réelle, mais elle est partielle, mal calibrée et  révèle des sources d'incertitude pour l'avenir. Pour cet économiste, sans solution globale, la perception d'un risque souverain/bancaire élevé va subsister en 2011. Toutefois Bruno Cavalier ajoute sans doute pour atténuer son analyse, qu’on risque donc de connaître des nouvelles poussées de stress et des phases d'accalmie avec, le temps passant et les stratégies de consolidation budgétaire portant leur fruit, un recul de ce risque".

Pour Steve Barrow, économique chez Standard Bank "Les marchés ne voient pas l'octroi d'aides de secours aux pays de la zone euro comme une solution au problème sous-jacent, et la Grèce en est une illustration. Comme elle ne peut pas dévaluer sa monnaie, elle doit mener une "dévaluation" interne pour restaurer sa croissance. Ce qui ne peut se faire que par la réduction salariale, ce qui aggrave les problèmes de dette publique à cause d'une croissance faible et ceux de fonds propres pour les banques alors que les défauts s'accentuent", pour cet économiste, explique Steve Barrow,  la seule issue à cette spirale mortelle, est "de restructurer la dette".

Dans le communiqué  du  président du conseil européen Herman Van Rompuy  lu à l'issue du sommet, il est indiqué  : "Dans le cas peu probable où un pays s'avérerait insolvable, l'Etat membre concerné devra négocier un plan de restructuration global avec ses créanciers privés, dans le respect des pratiques du FMI, afin de revenir à un niveau d'endettement supportable. Si ces mesures permettent d'atteindre cet objectif, le MES (Mécanisme européen de stabilité) pourra fournir une aide en matière de liquidités."

Comme on le voit les politiques  de l’UE  veulent rester rassurants, mais les financiers et les économistes restent très prudents,  d’autant que le communiqué de Herman Van Rompuy n’explique pas quelle serait conduite à tenir si un pays devenait insolvable avant la mise en place du MES   prévue, si tout va bien d’ici là, pour 2013.
Or le FMI ne croit pas à un redressement rapide de l’Irlande.
Revue de Presse :
A lire

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Rixe au Parlement Ukrainien entre les députés

Éditorial de lucienne magalie pons


Il arrive qu’il y ait des moments hot   à l’Assemblée Nationale Française, cela se traduit généralement par des invectives et des chahuts, voire récemment  par des bizutages et des parties de rigolade  de l’opposition pour accueillir les nouveaux ministres lors des séances de questions au Gouvernement, il arrive aussi que la misogynie de certains députés de droite explose au grand jour à l’égard des députés du sexe dit faible de l’opposition,  mais il est rare que nos députés en viennent aux mains, même  si très rarement ils  se permettent
un petit sprint dans les couloirs de l'Assemblée pour courser le Président de l'Assemblée Nationale pour le punir de ne pas leur accorder la parole en séance.


Souhaitons qu’ils continuent à nous délecter avec leurs querelles et leurs mots d’esprit pour certains ,et  pour d'autres très minoritaires heureusement,  par la  lourdeur de  leurs propos.

Quand on n’a pas le temps d’aller à la comédie il suffit de se brancher par ordinateur sur le site de l’Assemblée Nationale au moment de la retransmission en direct  d’une  Séance et,  en dépit de la gravité du fond  politique des débats,  on passe des moments tout aussi délicieux que dans un théâtre de boulevard.

Beaucoup  de nos députés sont d’excellents acteurs et orateurs ,certains  d'entre eux  forcent l'attention  je dirai même l'admiration, et sont écoutés aussi bien par la droite que par l'opposition, même s'ils ne sont pas politiquement d'accord,  leurs interventions sont  appréciées  pour le sens humoristique  qui allège leurs discours, ou encore mieux  pour d'autres par  la finesse de leur culture qui se traduit par l'excellence oratoire de leur vocabulaire ornée de citations littéraires. 

Il en est tout autrement en Ukraine où les députés souvent se castagnent entre eux,  c'est ainsi que le 16 décembre une violente rixe a éclaté au Parlement Ukrainien  ou des députés de l’opposition ont été violemment attaqués physiquement  par des partisans de la majorité.

Une  bagarre  a opposé jeudi soir des députés du parti pro-occidental de Ioulia Timochenko, l'ex-Premier ministre ukrainien aujourd'hui dans l'opposition, à des membres du Parti des régions du président Viktor Ianoukovicht.

 Comment la bataille s’est-elle engagée  et pourquoi ?  …..D’après les informations  diffusées par les agences et reprises dans les médias,   les partisans du président Ianoukovicht ont  défoncé  la porte de l'hémicycle où les députés de l'opposition s'étaient barricadés pour protester contre les poursuites judiciaires engagées contre Ioula  Timochenko,  laquelle  est assignée à résidence à Kiev depuis mercredi dans le cadre d'une enquête pour abus de pouvoir. Ce que les députés de l’opposition considèrent comme une répression politique.

Et après avoir défoncé la porte les députés du Parti des Régions ont frappés les députés de l'opposition.faisant plusieurs blessés.


Le parquet de Kiev enquêtait vendredi sur cette rixe  parlementaire pour ensuite  analyser toutes les informations recueillies sur cet incident et les envoyer au Parquet général ukrainien", précisent les agences de presse.

Sergueï Sobolev, chef du parti de Ioulia Timochenko au Parlement n’entend pas se montrer battu et content et il a l’intention de porter avec son groupe contre les « responsables » de ce crime,  voici ce qu’il a déclaré : "Les députés de notre groupe parlementaire ont été violemment frappés par ceux du Parti des régions, et nous allons porter plainte pour qu'on engage des poursuites contre les responsables de ce crime".

Selon Sergueï Sobolev  lui et  au moins trois députés de son  groupe ont été blessés au cours de la rixe. Un parlementaire du être  évacué de l'hémicycle sur un brancard avec une grave blessure dans la tête, un autre député a été hospitalisé et un troisième a été blessé à la main.

De leur côté  les journalistes ukrainiens ont décidé de boycotter le membre du Parti des régions, Mykhaïlo Tchetchetov, qui avait accusé jeudi les députés d'opposition d'avoir mis en scène leurs blessures en affirmant qu'il n'y avait pas de bagarre au Parlement.


Ce n’est pas la première fois que de tels incidents parlementaires  se produisent  au Parlement ukrainien, les  députés de l'opposition pro-occidentale et ceux du parti de Viktor Ianoukovicht en viennent fréquemment aux mains, la dernière démonstration de coup de poing remonte en avril  lors d'un vote controversé sur le maintien jusqu'en 2042 de la flotte russe en Ukraine.

Le président ukrainien Viktor Ianoukovicht a dénoncé la bagarre, en appelant les hommes politiques à "élever le niveau de leur culture politique".

 Il serait bon d’inviter en France  les députés Ukrainiens  en stage de formation  lors des séances de l’Assemblée Nationale Française s’il ‘est pas garanti qu’ils élèveraient  le niveau de leur culture politique ils y gagneraient une certaine gouaille politique qui a pour résultat de faire passer chez nous les amendements les plus amers comme des bonbons au miel.

La séance au Parlement Ukrainien  vendredi s'est déroulée dans le calme,  et pour cause les députés d'opposition ont quitté l'hémicycle dès le début en signe de protestation.

Pour compliquer le tout, des militantes l'organisation féministe FEMEN ont défié le froid vendredi, en manifestant seins nus à Kiev contre l'absence de femmes au gouvernement ukrainien, là encore elles devraient venir en France s’enquérir auprès de nos femmes politiques des moyens d’accéder  au  Gouvernement et au parlement et dans instances politiques de haut niveau. La plupart des  femmes politiques  en France sont passés maîtresses dans l’art de d’accéder aux fonctions politiques les plus nobles en appliquant un principe universellement reconnu : « la plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu’elle a »

Il est donc parfaitement inutile d’aller exhiber des seins nus en Ukraine au risque de  les faire se congeler et inaptes à l’emploi , il suffit d’user des charmes de l’intelligence politique  associés aux autres charmes féminins dont la nature dotent les femmes généreusement,  pour gravir les marches du Pouvoir. 

La Zone Euro s'apparente de plus en plus à un Club de Pays en faillite !



Éditorial de Lucienne Magalie Pons

La vision du chef de Gouvernement Luxembourgeois  Jean Claude Junker sur la crise de la Zone Euro reflète en très peu de mot ce que les européens de l'UE constatent tous les jours , voici ce qu'il en dit :  "La crise de la zone euro n'est pas la conséquence d'un excédent mais d'un déficit d'intégration et de coordination au sein de l'UE, déclare-t-il, en reprochant ouvertement à ses homologues leur 'mauvaise gestion de la crise de l'euro', et 'l'attention démesurée qu'ils accordent à leur propre agenda de politique intérieure', c'est-à-dire leur populisme.

On rappellera aussi par ailleurs une récente déclaration de Vernon Smith prix Nobel d'économie, lors de sa  visite  en Pologne : 'Je ne comprends pas pourquoi un pays qui aspire à la liberté et à l'indépendance tient absolument à adhérer à la zone euro.' Ces réflexions ne concernent  en outre pas seulement la Pologne mais aussi l'Estonie par exemple, qui aura l'honneur à partir du 1er janvier de  rejoindre le Club des pays en faillite, appelé 'zone euro'. Je ne sais pas si ceux qui qualifient l'Union européenne de modèle quasi socialiste ont raison. Il faut quand même rappeler que les moyens de production ne sont pas entre les mains de l'UE. Mais je sais avec certitude que l'on a là une organisation de désespérés politiques qui, pour sauver peut-être de nobles idées, sont capables de sacrifier les droits de ses membres sur l'autel communautaire." 

Ces deux appréciations décrivent parfaitement la comédie politique que nous livrent fréquemment le couple  franco-allemand pour se faire mousser en nous jetant de la poudre au yeux



 REVUE DE PRESSE :


SOURCE : EURO/TOPICS


Linie

Revue de presse européenne du 17/12/2010


À LA UNE

Linie

L'UE s'entend sur une sortie de crise

Pour protéger l'euro, le sommet européen à Bruxelles a adopté jeudi un mécanisme de crise permanent. Si les commentateurs demandent d'une part des mesures de soutien comme l'introduction des euro-obligations, ils critiquent de l'autre les atteintes à la souveraineté des Etats membres.

Corriere della Sera - Italie

Un tranquillisant inefficace

Le nouveau mécanisme de crise permanent présente des carences importantes, estime le quotidien libéral-conservateur Corriere della Sera : "La création d'un 'système permanent de réponse aux crises devra nécessairement aboutir à une intervention systématique en faveur des pays menacés de faillite, ouvrant la voie à l'émission d'euro-obligations. Si c'est la perspective qui se dessine, le mécanisme présent au moins trois défauts. Le premier, c'est que ce système ne supprimera qu'en 2013 l'actuel fonds provisoire d'aide aux finances publiques des pays de la zone euro. … Ce report permet de s'interroger sur l'efficacité de son organisation et pourrait inciter les investisseurs à se débarrasser sur-le-champ des obligations les plus problématiques. … Cela renforce en outre le second problème : les règles visant à déterminer l'insolvabilité d'un Etat seront 'adaptées au cas par cas'. … Une marge d'appréciation large et préoccupante, surtout si c'est le fruit d'un compromis entre partenaires litigieux, en raison de situations économiques diverses. Le troisième défaut est une conséquence directe du second : la marge d'appréciation empêche la définition de règles stables et d'interventions systématiques." (17.12.2010)
» informations complémentaires (lien externe, italien)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse
» Constitution de l´UE, » Budget, » Europe
Tous les textes disponibles de » Marcello Messori

Kurier - Autriche

Juncker a raison

Lors du sommet européen à Bruxelles, les 27 chefs d'Etat et de gouvernement se sont entendus sur un mécanisme de crise permanent pour la zone euro. L'UE est toutefois loin d'être sortie d'affaire, estime le quotidien Kurier : "Après tout le battage des dirigeants et leur pusillanimité, le sommet engendre un compromis sur les mécanismes de crise de l'UE. On peut se demander si celui-ci stabilisera l'euro et l'Union monétaire sur la durée. Pas seulement parce que le marché continue de spéculer contre l'euro, mais parce que la question de la survie de l'UE n'est pas encore élucidée : … Il est étonnant que ce ne soit plus - comme avant - les grands qui répondent à cette question dans l'UE, mais le chef de gouvernement d'un petit pays : le chrétien-démocrate luxembourgeois Jean-Claude Juncker. La crise de la zone euro n'est pas la conséquence d'un excédent mais d'un déficit d'intégration et de coordination au sein de l'UE, déclare-t-il, en reprochant ouvertement à ses homologues leur 'mauvaise gestion de la crise de l'euro', et 'l'attention démesurée qu'ils accordent à leur propre agenda de politique intérieure', c'est-à-dire leur populisme. Juncker a raison, son appel à davantage d'Europe devra être entendu au plus tard lors de la prochaine crise." (16.12.2010)
» article intégral (lien externe, allemand)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse
» Politique Européenne, » Europe
Tous les textes disponibles de » Margaretha Kopeinig

Wprost Online - Pologne

L'UE rogne la souveraineté de ses membres

Les décisions du sommet européen privent les Etats membres d'une part de leur souveraineté, critique Sebastian Stodolak dans l'édition en ligne du magazine d'information Wprost : "On comprend mieux désormais ce que voulait dire le professeur et prix Nobel d'économie Vernon Smith, lorsqu'il déclarait récemment lors de sa venue en Pologne : 'Je ne comprends pas pourquoi un pays qui aspire à la liberté et à l'indépendance tient absolument à adhérer à la zone euro.' Ces réflexions ne concernent en outre pas seulement la Pologne mais aussi l'Estonie par exemple, qui aura l'honneur à partir du 1er janvier de rejoindre le Club des pays en faillite, appelé 'zone euro'. Je ne sais pas si ceux qui qualifient l'Union européenne de modèle quasi socialiste ont raison. Il faut quand même rappeler que les moyens de production ne sont pas entre les mains de l'UE. Mais je sais avec certitude que l'on a là une organisation de désespérés politiques qui, pour sauver peut-être de nobles idées, sont capables de sacrifier les droits de ses membres sur l'autel communautaire." (17.12.2010)
» article intégral (lien externe, polonais)
Pour en savoir plus sur les thèmes de la revue de presse
» Politique Européenne, » Politique Economique, » Pologne
Tous les textes disponibles de » Sebastian Stodolak

17 décembre 2010

Côte d'Ivoire : Escalade vers la Guerre Civile



Éditorial de lucienne magalie pons


Aujourd’hui

Toute la communauté internationale redoute que les affrontements violents se poursuivent aujourd’hui, alors que Guillaume Soro premier ministre d’Alassane Ouattara  avait annoncé hier  la reprise de la marche contre la Télévision d’Etat.

Par la voie de la Ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot Marie, la France appelait hier « à la retenue de part et d’autre ».

L’Opération « Licorne » a déployé environ 900 militaires Français pour soutenir les forces des Nations Unis.

Les heurts entre l’armée de Laurent Babgo et les forces armée dont dispose Guillaume Sorro  premier ministre d’Alassane Ouattara deviennent inévitables,  certains ressortissants Français  tentent de s’organiser pour partir,  et le Ministre de la Défense Alain Juppé a fait savoir  récemment que la France avait la capacité « si nécessaire » d’évacuer ses ressortissants.

Monsieur Luis Moreno Ocampo, Procureur de la Cour Pénale Internationale,  a prévenu  qu’il « engagerait des poursuites » contre les responsables des violences

Hier :

Les affrontements entre les partisans d’Ouattara et l’armée on fait des dizaines morts hier et aujourd’hui la journée risque de basculer dans la guerre civile.

Hier à Abidjan des combats à l’arme automatique et l’arme lourde se sont déroulés dans des scènes d’émeute, on estime au moins à 20 morts  dont dix membres des forces de l’ordre, alors que l’armée  de Laurent Babgo dispersaient des partisans d’Alassane Ouattara.

Aux abord de l’hôtel du Golf qui sert  de palais président à Alassane Ouattara  , les forces nouvelles (FN)  du  gouvernement Soro, qui prévoyaient  de prendre la tête de la marche sur la RTI, n’ont pu se déployer  et en fin de matinée  de vifs échanges de tirs ont eu lieu à proximité de l'hôtel du Golf, entre combattants de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) - dirigée par Soro  et les forces  pro-Gbagbo, les forces de Sorro    n'ont pu lever un barrage sur la route qui passe devant l'hôtel pour conduire à la RTI et ont eu à déplorer "deux morts" et "un blessé" dans leurs rangs, a indiqué l'entourage de Soro

Quand au  milliers de personnes qui  étaient descendues dans les rues dès  jeudi matin à l'appel de Guillaume Soro, Premier ministre de Ouattara,( qui veut installer  un nouveau directeur à la tête de la radiotélévision  RTI l’un des pilier du régime Gbagbo), elles ont été  dispersées à la sortie des quartiers,  par  les Forces de défense et de sécurité (FDS)  de Laurent Gbagbo  qui avaient  bouclé   la RTI,  avec un impressionnant dispositif de sécurité.

Selon Amnesty International, des tirs des forces de l'ordre ont fait au moins neuf morts parmi les manifestants et  selon la Croix Rouge 80 blessés.

Le camp Ouattara a fait état "d'une trentaine de morts et de 110 blessés" et le gouvernement Gbagbo d'au moins vingt morts, dix manifestants et dix membres des FDS, sans que ces chiffres puissent être confirmés.
A Washington, le département d'Etat a annoncé qu'une roquette avait touché l'enceinte extérieure de l'ambassade des Etats-Unis à proximité de la zone de combat, sans faire de victimes.

L'ONU a annoncé de  New York que 800 Casques bleus avaient pris position autour de l'hôtel du Golf, alors que Ouattara est reconnu président légitime par la communauté internationale, Nations unies en tête.

Soro a annoncé la reprise vendredi de la marche sur la RTI ainsi que sur le siège du gouvernement, au risque de nouveaux affrontements sanglants.

"Demain nous irons à la RTI et à la Primature",  menacé Guillaume Soro qui au cours de la journée avait exhorté les Ivoiriens "à ne pas se laisser distraire par cette dictature des chars, et à réclamer la liberté de l'information pluraliste par les médias d'Etat".

Dans le même temps, la perspective d'un choc entre FN et FDS sur l'ancienne ligne de front de 2002-2003 se précisait.

Des combats à Tiébessou (centre) avec les forces loyales à Laurent Gbagbo auraient fait  au moins 27 blessés jeudi dans le camp de l'ex-rébellion ivoirienne favorable à Alassane Ouattara, les combats, qui avaient débuté à la mi-journée ont été marqués par des échanges de tirs d'armes automatiques et à la roquette, selon les deux camps.

Revue de presse

Aujourd’hui, hier  et articles antérieurs

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L'Express - ‎Il y a 17 minutes ‎
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  1.  

RTL.fr
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