15 décembre 2010

Georges Tron se glorifie d'être dans la majorité .. et alors ? une redomontade de plus !

Éditorial de lucienne magalie pons


Georges TRON reçu par Michel FIEL dans l'émission OUI/NON  mérite  la médaille des  bénis OUI-OUI "sarkozystes".

Une fois de plus il a distillé son fiel contre Monsieur de Villepin,   pour Georges TRON être un ami n'empêche pas d'avoir des idées politiques différentes. Ce qu'il oublie c'est que quand on est un ami ça n'autorise pas à casser du sucre en public contre "son ami", ne serait-ce que par respect et par pudeur. Or il ne manque jamais une occasion de le faire.

Georges TRON  a raconté  qu’il s’agissait d’une question personnelle de différence d’analyse politique, pour lui la difficulté c’est de montrer à  Dominique de Villepin qu’on peut faire un  choix  différent en restant ami,  il lui aurait écrit pour  l'en persuader , pour lui Dominique de Villepin s'écarte de la majorité mais il a beaucoup insisté en se glorifiant « Moi je suis de la majorité … »

Et alors,  sa position dans la majorité lui donne-t-elle en prime le droit de dicter sa conduite à Dominique de Villepin ? 

Georges TRON oublie aussi que Monsieur de Villepin ne s'est jamais autorisé à critiquer son entrée au Gouvernement.

D'autre part ,  Georges TRON  a remis  sur le tapis l'affaire de la condamnation des policiers et se permet de donner son avis piétinant lui aussi  plus le principe constitutionnel  de séparation des pouvoirs.

Pour  le secrétaire d'État à la Fonction publique  : "la Police est troublée par un verdict qui va au-delà de la requête du Parquet".

Il a aussi évoqué  sa commune de Draveil et le repas des Anciens, mais il n’a pas évoqué les très forts remous qui secouent son conseil municipal au sujet du départ d’une commissaire police.

Il n'a pas été questionné par Michel  Fiel sur cette affaire  gênante, mais il aurait pu profiter d’être à l’écran pour la tirer au clair.

Pour information voici de quoi il s’agit :

Certains élus de Draveil soupçonnent Georges Tron  d’avoir usé de sa fonction de secrétaire d’Etat pour faire partir sa commissaire de police.  Lundi soir  en conseil municipal, la conseillère municipale d’opposition MoDem Fabienne Sorola et son homologue PS Daniel Groiselle ont interpellé le maire UMP sur le départ de la patronne des policiers, qualifié d’« aussi précipité qu’inexpliqué ».  Fabienne Sorola a écrit à Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur.

Georges Tron récuse ces soupçons  même s’il reconnaît qu’il y a eu « beaucoup d’incidents » avec cette jeune femme de 29 ans et que « les choses ne se passaient pas (...) comme elles auraient dû se passer ».

 Pour Georges Tron député-maire de Draveil cette mutation est « normale ». Il ajoute que les commissaires précédents « sont aussi restés environ deux ans en poste ».

 La jeune femme était bien notée par sa hiérarchie — elle est sortie 7e de sa promotion — et  des collègues  son élogieux à son sujet : « C’est une flic remarquable, courageuse, qui a le sens du service public et qui manie professionnalisme et humanisme », a déclaré  un ancien formateur. Fabienne Sorola a écrit à Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur.

Serge Poinsot, le maire UMP de Vigneux-sur-Seine, lui aussi défend  la fonctionnaire, qui a autorité sur sa commune. Dans une lettre adressée au préfet, cet élu énonce la « brutalité » du départ de cette « fonctionnaire exemplaire et appréciée de tous », mutation qu’il qualifie de « limogeage déguisé ».

 De son côté Jean Marc Bailleul  secrétaire général du Snop (Syndicat national des officiers de police),  souligne  que « l’affaire de Draveil est connue de tous » et assure que « Georges Tron est intervenu pour que la commissaire parte ».

A Draveil tout le commissariat est monté au créneau. Une pétition signée par près de 80 policiers a été envoyée au directeur départemental de la sécurité publique de l’Essonne. Les signataires s’étonnent de cette mutation « dont le bien-fondé leur échappe ». « Du jamais-vu », analyse un haut fonctionnaire…

« C’est révélateur », estime Jean-Marc Bailleul, qui  s’insurge contre l’ingérence des élus dans le commissariat de leur ville. « Ce ne sera pas la première fois qu’il y a des interventions d’hommes politiques pour obtenir le départ d’un fonctionnaire de police. »



14 décembre 2010

Monsieur François Bayrou hospitalisé Lundi soir après un léger malaise

Éditorial de lucienne magalie pons

François Bayrou a été hospitalisé après avoir eu «un malaise à la fin de l'émission Le Grand Journal de Canal Plus où il était invité hier soir», a annoncé  la vice-présidente du parti, Marielle de Sarnez  mardi à L’AFP  en indiquant qu’il  avait  été hospitalisé lundi soir au Val-de-Grâce  à Paris .

 Elle a précisé que ce malaise était «probablement dû à la fatigue» et que le président du MoDem subissait depuis des examens.

Tout aussitôt les médias se sont emparé de cette information pour établir un lien entre le malaise au demeurant sans gravité de François Bayrou  et son échange avec Yann Barthés.

Il y eut en effet un échange assez contradictoire hier soir sur Canal+  le  journaliste Yann Barthès après la diffusion d'une séquence reprenant quelques extraits de ses discours présentés sur un fond d’images composées de silhouettes fictives, et c’est vraiment extrapoler que de relier le malaise du Président du Modem (réélu le 10 décembre à la tête se son parti) à cet incident.

"Je ris comme tout le monde, c'est drôle" a d'abord lancé François Bayrou avant de demander à Yann Barthès "Est-ce que vous avez l'honnêteté de dire que c'est des phrases que je n'ai pas prononcées ce week-end ?"

"Ah bien sûr que si" conteste aussitôt répondu  le présentateur du Petit journal.

"Non ce n'est pas vrai (...) Ce sont des déclarations anciennes (...) Je vous le dit avec certitude" a avancé François Bayrou, en ajoutant … "Je trouve qu'il y a des manip' qui ne sont pas du jeu".

En fait les  phrases extraites par le Petit Journal   étaient  tirées  des discours d'ouverture et de clôture du congrès du MoDem et un mot avait été inversé, ce qui dénaturait un peu leur signification.

Mais François Bayrou devait bien se douter qu’il était  dans journal satirique où les journalistes se plaisent à se mettre en évidence eux-mêmes, le plus souvent en faisant des tirades et des comparaisons inappropriées  pour se payer  de  la tête de leur invité, ce qui parait les faire braire  de plaisir  sur le plateau comme des ânes excités par leur propres ânonnements.

Et puis même, François Bayrou aurait-il prononcé ces phrases il n’y avait rien là à s’en défendre, il ne mettait personne en cause, simplement il énonçait son opinion politique.

Comme il faut mesurer les journalistes pour ce qu’ils sont dans un journal satirique, la meilleure façon de  réduire à néant les  batifoleries  des journalistes c’eut été de répondre affirmativement ,:« Tout à fait, c’est mon opinion à quelques mots prêts et d’ajouter que ça vous plaise ou non, et  d’enchaîner sur autre chose.

Bref les remettre à leur place sans entrer dans leur  jeu  en les prenant de court.

PARIS (Reuters) - Le président du Mouvement démocrate François Bayrou, qui est âgé de 59 ans, a été hospitalisé lundi soir à Paris après un léger malaise ...



  Voir un extrait de l'émission
Petit Journal de Canal+ : François Bayrou mauvais joueur?
envoyé par TELEOBS. - L'info internationale vidéo.

Lundi, Le Premier Ministre Fillon a fait une mise au point sur la condamnation des policiers

Éditorial de lucienne magalie pons

Décidément le Ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux  tient toujours à se justifier envers et contre tout, on pouvait penser qu’après la déclaration  mesurée,  de Dimanche, du Garde des  Sceaux Michel Mercier  tout rentrerait dans l’ordre des choses au moins en attendant que se déroule la procédure d’Appel.

Mais après ses déclarations de Vendredi et Samedi,  le Ministre Brice Hortefeux s’est encore manifesté dans l’émission « Dimanche soir politique de France » de  France Inter en confirmant   "J'ai dit très exactement qu'effectivement il pouvait légitimement apparaître aux yeux des forces de sécurité (que) ce jugement (était) disproportionné. Ces propos, je les confirme, je les revendique et je les assume".

"Michel Mercier a dit une chose évidente et que je partage …….Je ne suis pas ministre de la Justice a aussi dit Brice Hortefeux, assurant "travailler "main dans la main" avec le ministre de la justice...                      

Déjà  Samedi  devant le conseil national de l'UMP, le ministre Hortefeux  s'était "réjoui" de l'appel du parquet de Bobigny. "Le jugement est allé très au-delà des réquisitions et le parquet, qui n'est pas placé sous mon autorité, considérant que ces décisions et ces jugements étaient sans doute disproportionnés, a décidé de faire appel", avait déjà  exposé  Monsieur Hortefeux.

Rappelons  aussi qu’en septembre, dans une  interview au Figaro Magazine, Monsieur Hortefeux   faisait plusieurs propositions censées remédier à un supposé laxisme des magistrats, ce qui n’avait pas plu à la Ministre de la Justice de l’époque.

Dimanche, le Garde des Sceaux Michel  Mercier  qui  depuis vendredi s’était refusé  de commenter une procédure judiciaire encours s’est finalement  déterminé à  faire une déclaration très mesurée par laquelle sans entrer dans la polémique, il récusait surtout  les accusations de laxisme des magistrats, renouvelées vendredi par les syndicats de policiers Alliance et Synergie-Officiers.

"Je ne laisserai jamais dire que les magistrats sont laxistes. C'est totalement faux. Ils effectuent leur travail avec sérieux et responsabilité", a répondu notamment le ministre de la Justice  ( Le Parisien )

Interrogé par le Parisien sur les déclarations  de Brice Hortefeux  le Garde des Sceaux  s’était contenté de répondre en situant sobrement leurs fonctions respectives au sein du Gouvernement :

"Je rappelle simplement que lui n'est pas ministre de la Justice, mais qu'il est chargé des policiers", avait-t-il déclaré dans un entretien au Parisien.

Les syndicats de magistrats, avait  salué ses déclarations  comme un soutien, même si l'Union Syndicale des Magistrats (USM, majoritaire) les a jugés "un peu tardifs
 
Le syndicat de la magistrature (SM, gauche) a toutefois  souligné  "une dérive institutionnelle exceptionnellement grave de services de l'Etat", visant notamment Monsieur Brice  Hortefeux et la procureur de Bobigny, Sylvie Moisson.

 ( pour mémoire : Les syndicats de policiers Alliance et Synergie-Officiers avaient dénoncés le laxisme des magistrats, Synergies-Officiers notamment   avait affirmé que le tribunal de Bobigny était connu pour "remettre dehors à tour de bras les trafiquants de stupéfiants, braqueurs, auteurs de tentatives d'homicide, etc".)

Le syndicat de la magistrature (SM, gauche) a toutefois  souligné  "une dérive institutionnelle exceptionnellement grave de services de l'Etat", visant notamment Monsieur Brice  Hortefeux et la procureur de Bobigny, Sylvie Moisson.

On aurait pu penser que tout s’apaiserait après la prise de position du Garde des Sceaux,  mais la déclaration de dimanche de Monsieur Brice Hortefeux,  dimanche soir sur France Inter, risquait de relancer la polémique à la vitesse grand V .

Une mise au point de la part du Premier Ministre s’imposait.

C’est donc le Premier Ministre qui a décidé de monter Lundi au créneau pour tenter  d’éteindre la polémique médiatique, qui sur fond de  guerre entre les policiers et les magistrats, permettaient en plus à l’opposition  d’aiguiser leurs couteaux contre les déclarations de Brice Hortefeux et contre le Gouvernement.

Pour sa par le Premier Ministre François Fillon  a insisté surtout sur la mésentente entre les magistrats et les policiers  en les rappelant à leurs devoirs.

Il a déclaré notamment   devant les préfets réunis à huis clos au ministère de l'Intérieur :

Extrait :
…………………………

"Passé l'émotion, je ne puis admettre que magistrats et policiers donnent le sentiment de se dresser les uns contre les autres. ………. J'appelle chacun à la raison, à la modération et au sens des responsabilités"

"Qui profite de cet affaiblissement de l'Etat? Certainement pas les magistrats, certainement pas les policiers et encore moins les citoyens; les seuls bénéficiaires sont les criminels et les délinquants!"

M. Fillon a évoqué des "faits injustifiables". …. "L'honneur de la police exige un comportement exemplaire",  mais  le Premier ministre a aussi rappelé la justice à son "devoir".

Si le respect qui lui est dû "est un des fondements de l’Etat", elle a "le devoir d’assurer la cohérence de la chaîne pénale tout entière".

« Le travail des policiers, dont les missions sont "de plus en plus difficiles", il "doit être suivi de jugements, et les peines prononcées doivent être exécutées et prévenir la récidive", a  rappelé  Monsieur François  Fillon, ce qui pour certains commentateurs a été compris comme  faisant écho aux critiques contre les magistrats formulées par des syndicats de police.

Cette mise au point du Premier Ministre intervenait Lundi  au terme d'un week-end marqué par le désaccord public entre le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, et son collègue de la Justice, Michel Mercier.

Mais le Premier Ministre a surtout insisté sur les désaccords de la police et de la justice en les renvoyant pour ainsi dire « dos à dos ».

(Par ailleurs, le premier président de la cour d'appel de Paris, juridiction devant laquelle sera examiné l'appel du jugement de Bobigny, a estimé lundi que "certains commentaires" étaient "de nature à troubler la sérénité des débats" en appel. Dans un communiqué, Monsieur Jacques Degrandi , premier président de la cour d'appel de Paris considère « que certains commentaires sur le jugement des faits reprochés à des agents de police devant le tribunal de grande instance de Bobigny sont de nature à troubler la sérénité des débats qui auront lieu en cause d'appel », en rappelant d'une part, que les décisions de justice ne peuvent être remises en cause que par l'exercice des voies de recours, d'autre part, que l'indépendance juridictionnelle des juges est une condition essentielle de la démocratie.")

Il ne parait pas que le Premier Ministre ait réussi à éteindre les polémiques au  sujet des déclarations de Brice Hortefeux.

 Des  personnalités politiques  viennent ajouter leur opinion  respective et  continuent à épiloguer sur ce qu’ils considèrent pour certain d’entre eux  par référence aux déclarations de Brice Hortefeux comme une violation  de  la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la Justice  garantis par la Constitution et pour d’autres comme  des déclarations ne pouvant intervenir  alors que la décision  judiciaire n’est pas encore définitive.

Certains voit dans  la mise au point du Premier Ministre comme un désaveu cinglant de Brice Hortefeux, sans doute ont-ils lu la déclaration de François Fillon avec un Télescope géant, d’autres demandent la démission du Ministre de l’Intérieur ….

Voici  ci-dessous un bref aperçu des opinions de personnalités qui  continuent  la polémique avec  d’autres  qui s’étaient exprimées  déjà depuis vendredi (*voir mon article précédent du Lundi 12 décembre, rédigé avant les dernières déclarations de dimanche soir sur France Inter et l’intervention du Premier Ministre)

Relevé dans la presse :

Je citerai tout d’abord la remarquable concision de Maître Robert Badinter, Sénateur PS  et ex-Ministre qui à cette occasion  ne fait pas dans la politique mais dans la rigueur constitutionnelle :  « Il n’appartient pas à un Ministre de critiquer une décision de Justice », a déclaré Maître Badinter , tout est dit dans cette courte appréciation juridique, c’est à mon avis une déclaration qui devrait mettre un terme à toute opinions  des Ministres sur des décisions judiciaires  et les renvoyer à l’exécution de  leur feuille de route stricto sensu.

Mais comme Monsieur Badinter n’est pas Premier Ministre, nous pouvons douter qu’il sera entendu par les intéressés.

Les autres interventions sont politiques émanant surtout de l’opposition de gauche :

« Europe Ecologie-Les Verts a même demandé la "démission" du ministre de l'Intérieur, lui reprochant d'avoir "violé une nouvelle fois la séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice garantis par la Constitution".

« Le discours du Premier ministre est un "désaveu cinglant" de Monsieur  Hortefeux, a pour sa part estimé le député PS André Vallini.

«  Benoît Hamon, porte-parole du PS, a fustigé "un ministre qui se comporte de la pire façon qui soit  ………..comme le premier des syndicalistes policiers".


«  Enfin une personnalité  UMP qui  fut  Garde des sceaux, Madame  Rachida Dati , s’est invitée dans la polémique en faisant savoir  qu’ une décision qui n'est "pas définitive" n'a "pas à être commentée".

Revue de Presse et de toile :

Rien ne va plus pour Hortefeux
LaDépêche.fr - Il y a 28 minutes

En effet, Brice Hortefeux, fidèle ami du président Sarkozy, enchaîne les bourdes au point que François Fillon vient de lui administrer un cinglant recadrage ...






 Brice Hortefeux : "Mes propos, je les confirme, les revendique et ...
Le Monde - Il y a 19 heures

En apportant votre soutien aux policiers condamnés vendredi à Bobigny à de la prison ferme, vous avez choqué les magistrats. Michel Mercier, le garde des ...

·  Hortefeux fortement critiqué

Europe1 - Il y a 2 jours
Brice Hortefeux est très critiqué pour sa prise de parole, après la condamnation de policiers. La condamnation de sept policiers par le tribunal de Bobigny ...
YouTubeBFMTV

Hortefeux critiqué pour son soutien à des policiers condamnés- Le Monde
Le soutien de Brice Hortefeux aux policiers condamnés "scandalise"- France Soir
Le Parisien - AFP
Autres articles (308) »


Policiers condamnés: la sérénité des débats peut être troublée ...

AFP - Il y a 22 heures
Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait qualifié vendredi de "disproportionné" le jugement du tribunal de Bobigny à l'encontre de sept policiers ...

Police: Le NPA critique l'attitude d'Hortefeux

leJDD.fr - Il y a 13 heures
Le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) a jugé lundi, dans un communiqué, que le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, "si prompt pour venir au secours de ...

Brice Hortefeux et "l'auvergnat" qui encourait la réclusion à ...

MediaPart (Blog) - Il y a 18 heures
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13 décembre 2010

L'unité gouvernementale n'est pas souvent au rendez vous, ça fait désordre !

Éditorial de lucienne magalie pons



Comme vous le savez  le T tribunal correctionnel de Bobigny a condamné , Vendredi passé,  sept policiers à des peines allant de six mois à un an de prison ferme  pour avoir menti en accusant un automobiliste d'avoir renversé l'un d'eux

Le tribunal a condamné les sept policiers à des peines allant de 6 mois à 1 an de prison ferme. La condamnation sera inscrite au casier judiciaire de cinq d'entre eux, ce qui reviendrait  à les révoquer de la police.*

*Sans perdre de temps, le parquet de Bobigny a annoncé, vendredi, qu'il faisait appel de la condamnation à de la prison ferme de sept policiers, jugés pour avoir menti et accusé à tort un homme pour expliquer une course-poursuite au cours de laquelle l'un d'eux avait été blessé. Lors du procès, le 4 novembre, le ministère public avait requis des peines d'emprisonnement avec sursis de 3 à 6 mois.


« Deux policiers, condamnés à 7 mois et 1 an de prison, ont fait appel peu après le jugement. "Il apparaît nécessaire au procureur de la République qu'un second jugement du dossier soit « assuré au niveau de la cour d'appel", écrit dans un communiqué Madame Sylvie Moisson,  la procureur de Bobigny,  Cet appel est "nécessaire …. tant au regard des faits que de la « personnalité des policiers, qui n'avaient naturellement jamais été condamnés, qu'en « considération de la jurisprudence habituelle du tribunal". La procureur  a fait « également « appel de la confiscation des scellés, qui comprennent une voiture de police.

*(Le tribunal a condamné les sept policiers à des peines allant de 6 mois à 1 an de prison ferme. La condamnation s’il était confirmée en appel  serait inscrite au casier judiciaire de cinq d'entre eux, ce qui reviendrait  à les révoquer de la police.)

La condamnation des policiers a provoqué  immédiatement un mouvement de contestation  au sein de la police, dont les syndicats ont déploré la décision du tribunal.


Peu après le jugement  plus de 200 policiers ont  manifesté  vendredi  après midi devant le tribunal, ou une cinquantaine de voitures étaient stationnées sirènes hurlante,  pour protester contre le jugement de leurs collègues avec  le soutien du préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, qui s'était dit "très étonné" de  ce jugement en oubliant que son devoir de réserve ne lui devrait pas permettre de commenter une décision judicaire.

De même franchissant  la  barrière de ses compétences et passant outre le  principe constitutionnel de la séparation   des pouvoirs ,  sans se concerter avec son collègue  le  Garde des sceaux Michel Mercier ,  le Ministre de l’intérieur Brice Hortefeux  avait déjà estimé Vendredi  que la condamnation des policiers pouvait "légitimement apparaître, aux yeux des forces de sécurité, comme disproportionné", ce qui immédiatement a été interprété par les médias comme un soutien de sa part  aux policiers condamnés.

Monsieur Brice Hortefeux   a réaffirmé samedi devant le Conseil National de l’UMP  son opinion sur la condamnation judiciaire :   "Ce jugement  …..peut légitimement apparaître, aux yeux des forces de sécurité, comme disproportionné" …… "Le métier de policier, de gendarme, de sapeur pompiers, ce n'est pas un métier comme les autres. C'est un métier où il arrive quotidiennement de risquer sa vie, et je me réjouis de la décision du parquet de faire appel de ce jugement".


Comme il fallait s’en douter,  les  déclarations du Ministre de l’intérieur n’ont  pas manqué de relancer les tensions  latentes  entre la police et la justice.

Se sentant soutenus, les syndicats policiers ont vivement  mis en cause les magistrats de Bobigny, qu'ils accusent régulièrement de laxisme. "Ce tribunal est connu pour receler les pires idéologues de la culture de l'excuse quand il s'agit de remettre dehors à tour de bras les trafiquants de stupéfiants, braqueurs, auteurs de tentatives d'homicide, etc.", a fustigé Synergie-Officiers.

De leur côté les syndicats de la magistrature ont réagi aux propos du Ministre de l’Intérieur :

 - Christophe Regnard, président de l’Union syndicale  des magistrats (majoritaire)  a déclaré :  "Que le ministre de l'Intérieur soutienne des policiers condamnés pour des faits particulièrement graves, c'est ahurissant",  en rappelant que   l'homme dénoncé à tort par les policiers encourait la perpétuité si le mensonge n'avait pas été dévoilé.

- Clarisse Terron , présidente du Syndicat de la magistrature (Dm de gauche)  a dénoncé ;  "Ce qui me désole, c'est qu'on renforce une guerre police-justice qui n'a pas lieu d'être".

 Christophe Regnard et Clarisse Terron,  on aussi souligné  l'absence de réaction du ministre de la Justice, Michel Mercier.

 "On demande juste qu'il intervienne pour appeler à respecter les magistrats et leurs décisions", a souligné Christophe Regnard.

Dans un premier temps selon la chancellerie   "le garde des Sceaux ne souhaite pas alimenter la polémique" et "attend que la cour d'appel puisse se prononcer avec du recul et dans la sérénité sur cette affaire".

Mais la polémique relayée par les médias  a repris de plus belle, dès Samedi. "Laissez les magistrats faire leur travail !", a lancé la patronne du PS Martine Aubry, et à la suite  les réactions n'ont pas tardé.

Notamment :

- Benoît Hamon, porte-parole du PS, a accusé Brice Hortefeux d'être "dans un registre de premier syndicaliste de la police",  

- L'ancienne garde des Sceaux, Elisabeth Guigou, a jugé  les déclarations de Brice Hortefeux  " irresponsables" …

-         "Critiquer publiquement le jugement  enfreint le principe  de la séparation des pouvoirs", a relevé le président d'honneur du PRG, Roger-Gérard Schwartzenberg,

-          Pour le PCF, Brice Hortefeux "a gravement discrédité sa fonction de ministre de l'intérieur".

Toutefois comme on peut aussi s’en douter, cinq parlementaires UMP de Seine-Saint-Denis, dont le député Éric Raoult, ont tout au contraire  apporté leur "soutien" aux policiers et au ministre Brice Hortefeux.

Ndlr : avant de confier un portefeuille à un Ministre le Chef de l’Etat et le Premier Ministre devrait s’assurer que le ministre pressenti connaît par cœur la Constitution notamment l’article sur la séparation des pouvoirs, cela éviterait bien des dérapages verbaux et les polémiques virulentes  qui s’ensuivent dans les médias Et puis cela donnerait  l’image d’une équipe gouvernementale disciplinée,  soudée et efficace comme se promettait de l’être le Gouvernement Fillon3. Or que voyons nous ? Un ministre tirer à hue et l’autre tirer  à dia..

Finalement devant l’ampleur des polémiques  qui ne cessaient d’enfler  le Garde des Sceaux Michel Mercier  a pris   la défense des magistrats ;

"A Bobigny, la justice a fonctionné, la procédure suit son cours",  a déclaré le garde des Sceaux dans un entretien publié dimanche par Le Parisien.

"Des faits, que tous les prévenus ne contestent pas d'ailleurs, ont été commis",  a-t-il souligné , … "Ces personnes ont été convoquées devant le tribunal correctionnel. Le parquet a requis des peines avec sursis. Le tribunal a jugé différemment et le parquet a fait appel. Il appartient désormais à la cour d'appel de se prononcer. C'est ainsi que la justice fonctionne."

Interrogé sur les déclarations de Brice Hortefeux,  Michel Mercier  a déclaré avec une certaine réserve  au Parisien: "Je rappelle simplement que lui n'est pas ministre de la Justice mais qu'il est chargé des policiers. Pour le reste, je ne vais pas commenter les déclarations de mon collègue."

"Je serai toujours là pour défendre les magistrats qui ont toute ma considération", a  ajouté  Michel Mercier. "Je ne laisserai jamais dire que les magistrats sont laxistes. C'est totalement faux. Ils effectuent leur travail avec sérieux et responsabilité. Je les recevrai dans les prochains jours".

Nous ne savons pas si Brice Hortefeux recevra les Syndicats de policiers dans les prochains jours.

Il est regrettable que par suite des déclarations des uns et des autres, notamment de l’interprétation du jugement par l'autorité préfectorale "étonnée" et celle de Brice hortefeux , tous deux   en dehors de leur domaine de compétence, la confusion et les polémiques se soient déchainées tout un Week end, cela faisait vraiment désordre , tout aussitôt à la suite des dérapages, glissades et   polémiques  de la tempête de neige.

Espérons que  la déclaration faite dimanche par  Michel Mercier Garde des Sceaux permettra à la Justice de se prononcer en toute sérénité.



 Propos recueillis par  Timothée Boutry
Michel Mercier : « Hortefeux n’est pas ministre de la Justice » Alors que la polémique sur le jugement de Bobigny enfle, le garde des Sceaux, Michel Mercier, s’explique sur cette histoire. Le ministre de la...

12 décembre 2010

François Hollande était en Algérie à l'invitation du FLN cette semaine

Éditorial de lucienne magalie pons


Nous avons appris dans de cours entrefilets parus  dans nos journaux en France que Monsieur François Hollande s’était rendu en Algérie, et toujours par des  articles réduit à la peau de chagrin , nous avons été informé d’un super condensé de ses prises de positions, de plus expurgé de ce qui pouvait froisser les français.

La presse algérienne qui n’a pas les mêmes soucis vis-à-vis de ses lecteurs s’est bien au contraire étendue très largement et très explicitement sur la position politique de Monsieur François Hollande qui de l’autre côté de la Méditerranée s’est révélé dans sa véritable pensée politique, pour lui « le fait colonial doit être condamné sans réserve »

Monsieur François Hollande dans son déplacement en Algérie était accompagné de députés de gauche et d’un pseudo historien Benjamin Stora dont les discours et les écrits ne cessent jamais d’accuser la France des prétendus pires méfaits et crimes  qu’elle aurait commis pendant la période coloniale, et d’une dizaine de journalistes.

Les journalistes Algériens et les autorités Algériennes sont libre chez elles en Algérie de soutenir leurs prétentions politiques au sujet de la période coloniale Française, que François Hollande aille en Algérie porter publiquement  de l’eau à leur moulin est indigne de sa part.

Certes chacun en France vote selon sa conscience morale  et sa politique, mais pour les électeurs il est important de connaître un volant de  la politique de François Hollande qu’il dévoile à l’Etranger, alors qu’il a l’intention de se présenter comme candidat aux présidentielle de 2012, mais qu’il ne dévoile pas ouvertement en France pour esquiver des polémiques.

Pour prendre connaissance de la randonnée Algérienne de François Hollande et de ses déclarations, je vous invite à lire les articles ci-dessous principalement publiés dans la presse algérienne.

Algérie-France : Le président du Conseil de la nation reçoit M. François Hollande

10-12-2010 : 20:57 | Commentaires 12
Le président du Conseil de la nation, M. Abdelkader Bensalah, a reçu jeudi M. François Hollande, membre dirigeant du Parti socialiste (PS) français et député de Corrèze, a indiqué un communi...
M. François Hollande : Le fait colonial doit être condamné

M.François Hollande : Le fait colonial doit être condamné "sans réserve"

08-12-2010 : 22:25 | Commentaires 12
M.Belkhadem : “Les Français doivent reconnaître leurs crimes coloniaux”

A l’invitation du FLN : François Hollande (PS), aujourd’hui à Alger

05-12-2010 : 21:21 | Commentaires 12
L’ancien maire de Paris sera accompagné de députés, de l’historien Benjamin Stora et d’une dizaine de journalistes français.
A l’invitation du FLN, François Hollande (PS),  lundi à Alger

A l’invitation du FLN, François Hollande (PS), lundi à Alger

03-12-2010 : 21:24 | Commentaires 12
L’ancien maire de Paris sera accompagné de députés, de l’historien Benjamin Stora et d’une dizaine de journalistes français, tous médias confondus.

Offensives politiques et médiatiques de diabolisation contre Marine le Pen

Éditorial de lucienne magalie pons

Offensive généralisée de diabolisation  contre  Marine Le Pen

Avant la lecture de mon Éditorial lire  l’article ci-dessous de Valeurs actuelles


Pourquoi Marine Le Pen fait peur à la droite



Valeurs Actuelles - Il y a 2 jours
C'est l'opinion de dizaines d'élus et cadres de l'UMP, parmi lesquels Jean-Pierre Raffarin et Bernard Debré. « Marine Le Pen peut être dans le duo de tête, ...

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Ses détracteurs  politiques et médiatiques  accusent , Marine Le Pen  d'être la fille de son père, de porter d'après eux  l'oriflamme du fascisme, c'est aussi stupide que s'ils lui reprochaient d'être blonde et aux yeux  bleus et pourtant certains démangent secrètement de l'en accuser.
J'ai lu des commentaires anonymes sur Internet qui justement l'insultaient grossièrement en insistant sur ses cheveux blonds et ses yeux bleu.

Éditorial de Lucienne Magalie PONS

Marine Le Pen a comparé vendredi soir à Lyon "les prières de rue" de musulmans à l'Occupation, s'attirant de vives réactions de la gauche et de l'UMP pour qui elle montre le vrai visage de l'extrême droite. Lire la suite l'article

Les médias et les politiques ne cessent de vouloir étendre   sur Marine Le Pen la diabolisation dont ils ont affecté et affectent encore Monsieur le Pen
Il n’y a pas une émission de télévision ou elle n’est   invitée  sans que l’on  ne remette sur le tapis des accusations contre son père récentes ou  datant de plusieurs décennies

Les dirigeants et personnalités politiques de droite comme de gauche, des reponsables d’associations  communautaires ou autres sont à l’affût du moindre mot de Marine Le Pen et  se sont donnés pour mission de  graver dans  l’opinion publique que  Marine Le Pen  est à quelques nuances prêt encore plus extrémiste que son  père.

D’après Jean François Copé, nouveau Secrétaire Général de l’UMP  ……"Il faut arrêter de se mentir, c'est exactement la même personnalité que celle de son père c'est exactement les mêmes techniques que son père, les mêmes amalgames, il faut bien le dire, les mêmes propos", a dit le "patron" de l'UMP Jean-François Copé, en marge du conseil national du parti Samedi  11 Novembre.

Ndlr : Trop facile Monsieur Copé, il  ne s’agit pas de même techniques ou de même amalgames que son père, le discours de Marine Le Pen défend les mêmes valeurs que les discours de Jean Marie le Pen, elle n’est pas une renégate,  les chats ne font pas des chiens Monsieur Copé et les français  que vous le vouliez ou non font des français qui tiennent à leurs valeurs.

Arlette Chabot a eu le front récemment de se comporter en inquisitrice contre  Jean Marie Le Pen en essayant d’obtenir des réponses de Marine Le Pen qui l’aurait dénié !

 Mieux encore dans le registre de l’accusation  inquisitoire,  Chabot a eu l’outrecuidance de demander frontalement à Marine le Pen si elle était catholique !

Chabot aurait-elle l’intention de demander à un autre candidat présidentiel s’il est catholique, juif, musulman, protestant, bouddhiste,  témoins de Jéhovah, athée, franc-maçon etc …

Ce sont là des questions qui n’ont pas lieu d’être sur le plateau d’une télévision publique …le principe de laïcité dans ce genre d’émission politique vient d’être bafoué par Arlette Chabot à plusieurs point de vue.

Mais Dominique Paillé, porte-parole adjoint de l'UMP, a estimé sur i>Télé que les propos tenus par la responsable frontiste montraient qu'il n'y avait "aucune possibilité de dialogue avec le FN".

Dominique Paillé porte parole de l’UMP s’il espérait un rapprochement  un dialogue avec le FN, puisqu’il en parle a perdu son temps, jamais le FN n’a évoqué un rapprochement avec l’UMP pour dialoguer ni pour quoi que ce soit.

Bref  on  accuse de partout Marine le Pen d’être fasciste parcequ’elle a dénoncé les prières musulmanes dans les rues ou encore des mouvements communautaires contraire à l’esprit laïques.

Marine Le Pen a maintenu ses propos, tout en assurant samedi à Reuters qu'elle n'avait pas fait référence à l'occupation allemande pendant la Deuxième Guerre mondiale mais à toute forme d'occupation.

"J'aurais pu aussi parler de l'occupation par les Anglais à l'époque de Jeanne d'Arc", a-t-elle dit.

Les déclarations de Marine Le Pen  d’ailleurs  été rapportées samedi matin par le parisien.fr.

"Maintenant il y a dix ou quinze endroits où de manière régulière un certain nombre de personnes viennent pour accaparer les territoires. C'est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s'applique, c'est une occupation. Certes y a pas de blindés, y a pas de soldats, mais c'est une occupation tout de même", a-t-elle dit.

 D’autres politiques  en ont rajouté à leur façon:


Le secrétaire national du PCF Pierre Laurent a réclamé la condamnation par la justice de Marine Le Pen après ses déclarations qui "soulèvent le coeur".

Pour Benoît Hamon, porte-parole du Parti socialiste, la candidate à la présidence du FN montre le "vrai visage de l'extrême droite française".

 Certains autres estiment que les propos de Marine le Pen pourraient relever des tribunaux :

Harlem Désir, député européen, et Pierre Moscovici, député du Doubs, ont également estimé que les propos de Marine Le Pen pourraient relever des tribunaux.

"On ne peut pas transiger sur les valeurs avec le Front national", a déclaré  Moscovici  en marge de la convention du PS sur "l'égalité réelle", dans le XIIIe arrondissement.

Cécile Duflot, la dirigeante des Verts, a estimé que la fille de Jean-Marie Le Pen n'était "évidemment pas plus light que son père".

Il est évident que toutes personnalités politiques se sentirait déshonorée de ne pas diaboliser Marine Le Pen.

Quand à ces politiques et journalistes qui à travers Marine le Pen vise son père tout autant qu'elle , vont-ils se faire un devoir de dénoncer tous les pères des candidats pour avoir été ceci et celà en politique ou bien même dans leur religion ou vie privée ? 
Qu'a celà ne tienne, même quand on n'est pas du FN et si l'on se contente d'observer les faits on constate que les chiens aboient et que la caravane passe :
 
 Arlette Chabot qui avait  montée son émission »A vous de juger » de Jeudi  avec l’objectif apparent de diaboliser Martine le Pen  vu les accusations-questions qu’elle portait contre son invitée,  vu aussi les personnages invités sur le plateau  qui ont tenté une fois de plus de démolir la Vice-présidente du FN, est  passée  à côté de la plaque.

Contre toute attente des démolisseurs diaboliques de Marine le Pen , le FN a récolté des milliers d'adhésions à la suite de l'émission.soulignons aussi que le score de l’audience a été 3,8 millions de téléspectateurs jeudi soir. Ce score est supérieur à celui du Premier ministre François Fillon en septembre dernier.


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