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auteur de l'article : Lucienne Magalie PONS
Le Président Chirac avait choisi comme thème d’intérêt national la Lutte anti-tabac et il s’attachait tout également aux questions de sécurité routière avec une réussite dont nous devons le féliciter quelque soit notre appartenance politique.


Laurence PARISOT, Présidente du Medef
Auteur de l'article : Lucienne Magalie PONS
Le 18 septembre j'ai appris que François Fillon approuvait l'opinion émise par Philippe Séguin Président de la Cour des comptes qui proposait que soient supprimées ou plafonnées les exonérations de cotisations sociales sur les différents intéressements (stocks option, participation, indemnités de départ ... ) souvent exonérés de cotisations sociales, ce qui affecte lourdement les recettes de la Sécurité sociale
La présidente du Medef, Laurence Parisot, a estimé que la Cour des comptes n'était "pas dans son rôle" lorsqu'elle propose de rendre les stock-options imposables pour réduire les pertes enregistrées par la Sécurité sociale.
Mon commentaire : Je ne suis pas de l'avis de Mademoiselle PARISOT, La Cour des Comptes est tout à fait dans son rôle en analysant et débusquant les raisons et motifs financiers des manques à gagner du Régime Général de la Sécurité Sociale.
Il n'y a aucune raison à ce que des dirigeants salariés perçoivent une partie de leur salaire en stocks options pour la faire échapper aux cotisations sociales. Il s'agit là d'un montage financier qui a pour but de masquer une partie de leur salaire , en fait il s'agit d' un deuxième salaire déguisé.
J'ai écouté récemment une émission sur RMC "Les Grandes Gueules", deux des animateurs ont trouvé injustifiée l'exonération des cotisations sociales sur les stoks option et l'un d'entre eux a bien dit que selon lui il s'agissait d'un "salaire déguisé"
Pour moi je trouve inconvenant que Mademoiselle Laurence PARISOT se permette de se prononcer sur le rôle de la Cour des Comptes. Les Institutions de la Républiques Françaises ne sont pas sous son autorité.

Mme Christine BOUTIN, nous présente son bureau modulaire Algéco, sobrement décoré d'une photo présidentielle, place Bellecour à LYON.
Vendredi 28 Septembre, Madame BOUTIN ouvrira un nouveau chantier, national, cette fois !
visite imprévue de plusieurs Associations de « mal-logés » ou « pas logés du tout » provenant des quatre coins de France par leurs propres moyens, en stop , ou par trains selon leurs moyens respectifs et qui se sont invités sur la place Bellecour et y ont dressé leurs tentes pour passer un jour et une nuit sur le chantier de la Place Bellecour en réclamant « 100 000 logements tout de suite » !
Les logements vacants sont une solution immédiate. Sinon on sera obligés d’employer la force » a déclaré une manifestante aux journalistes.
et que ce sera en fait « l’ouverture du chantier national sur le logement »
Lucienne Magali PONS

Intervention télévisée du 18 Septembre 2007
Ma Revue de Presse du 18 Septembre 2007
Nicolas Sarkozy a proposé au Sénat devant l'Association des journalistes de l'information sociale (AJIS), un "nouveau contrat social" qui serait "profondément renouvelé, profondément différent"du système social actuel.
- le système social Français n’est pas tenable financièrement
- il décourage le travail …
- il n’assure pas l’égalité des chances …..
Pour modifier une organisation sociale française qui selon lui produit « plus d’injustice que de justice » Monsieur Sarkozy entend mettre en place un contrat de travail fondé sur « le travail, le mérite et l’égalité des chances »
- le principe : aligner les régimes spéciaux sur les régimes du secteur public :
- … "L'objectif doit consister, à tout le moins, à harmoniser les régimes spéciaux avec celui de la fonction publique. C'est une question d'équité, on n'entreprendra pas une troisième réforme des retraites sans y inclure … les régimes spéciaux…… la "convergence avec les autres régimes de retraites est inéluctable" …. il a toutefois précisé que chaque statut gardera des éléments spécifiques.
Sur la réforme des retraites prévue par la loi Fillon de 2003, qui doit aboutir à un nouvel allongement de la durée de cotisation, M. Sarkozy veut "aller vite"."Cela prendra un peu de temps, ….. Je souhaite (...) conclure cette réforme au cours du premier semestre 2008", a-t-il expliqué ; selon M. Sarkozy « la revalorisation des petites pensions sera "rendue possible par le rendez-vous de 2008 »
Critiquant la lenteur des procédures de rupture de contrat, M. Sarkozy propose différentes pistes et évoque « une rupture négociée et une simplification des prud'hommes… »
Il ajoute : "Nous ne pouvons faire l'économie d'une réflexion sur la période d'essai, sur les indemnités de licenciement, sur le champ d'intervention du juge, sur la manière d'assurer une plus grande fluidité dans le passage d'un CDD à un CDI, sur la’ transférabilité’ des droits à la formation ou à la prévoyance collective"
Et précise : «Quand il y aura eu accord, la loi le reprendra. Là où il n'y aurait pas eu accord, l'Etat prendra les mesures appropriées"
"Dans les quinze jours, des propositions sur le processus de fusion", seront faites par Christine Lagarde, Ministre de l’Economie
La fraude aux prestations sociales :
Le chef de l'Etat prévoit deux mesures :
La première, c'est que « les fraudeurs aux prestations sociales puissent perdre leurs droits à prestation pendant une ou plusieurs années, selon la gravité de la fraude »
La seconde à l’adresse des entreprises, pour « la fraude qui concerne souvent le travail illégal, il faudra mettre en place des peines plancher forfaitaires."
Monsieur Sarkozy estime que la suppression des marges arrière permettra d'augmenter le pouvoir d'achat, et rejoint ainsi la demande du président de la Fédération de la grande distribution, Jérôme Bédier, qui souhaite une plus grande liberté dans la fixation des prix.
"Sur la fixation du SMIC, nous avons besoin de dépassionner le débat", a affirmé Nicolas Sarkozy ; il annonce la mise en place d'"une commission indépendante", qui "fera chaque année des recommandations aux partenaires sociaux et au gouvernement » et précise
…. ".. le gouvernement sera libre de la suivre ou non" ; une conférence sur l'emploi et le pouvoir d'achat, prévue pour le 23 octobre, "devra être l'occasion d'avancer sur cette question".
Monsieur Sarkozy annonce :
"L’assurance-maladie n'a pas vocation à tout prendre en charge, sans rien contrôler et sans rien réguler. C'est pourquoi j'ouvre également un grand débat sur le financement de la santé", dont "les conclusions seront tirées au premier semestre de l'année prochaine".
Il affirme que les hôpitaux publics seraient en 2008 "intégralement financés à l’activité, …. contre un financement à l'activité à 50 % actuellement » et ajoute que « ces mesures n'étaient que l'amorce d'autres mesures fortes et structurantes".
Le système des franchises médicales … "sera présenté au Parlement dans le cadre de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2008"
TOP DÉPART !
Le slogan politique du Président de la République :
«Le dialogue social ne doit pas être un alibi à l'inaction"
- Fusion ANPE-UNEDIC : Il attend des propositions de Christine Lagarde, ministre de l'économie, "dans les quinze jours".
- Des sanctions contre les fraudeurs à l'assurance-chômage : "Avant la fin de l'année."
- La création d'un risque dépendance ? "Au premier semestre 2008."
- La réforme des retraites ? : "Au premier semestre 2008."
Bernard Thibault (CGT) dénonce : «Il cherche à mettre en place un partenariat pour mettre en œuvre ce que lui décide"
"Qui fait quoi ? Ce n'est pas clair"
Il demande à Nicolas Sarkozy :
- de ne pas fixer de "date butoir" pour la réforme des régimes spéciaux de retraites
- de "renoncer" à imposer une fusion entre l'ANPE et l'Unedic (assurance-chômage), parce qu'il faut retravailler le dossier »
(ndlr : Pour l'ANPE et l'Unedic, M. Mailly défend le "rapprochement" par opposition à "la fusion")
- qu'il dise ce qu'il souhaiterait faire (sur les régimes de retraites ) ….on va en discuter, qu'il ne bouscule pas les choses".
En outre, M. Mailly se déclare : prêt à "discuter" des régimes spéciaux de retraite à condition de prendre "le temps nécessaire". Si le chef de l'état "ne passe pas en force, s'il ne met pas les gens avec une épée dans le dos et que le gouvernement accepte de discuter sereinement… en prenant le temps nécessaire.
- et il prévient :
« ….. Pour la négociation avec le patronat : si nous arrivons à un bon compromis, les choses auront bien avancé, si ce n'est pas un bon accord et qu'il faut descendre dans la rue, on descendra dans la rue... »
Alain Olive (UNSA) insiste : "Il faut se mettre d'accord sur un agenda partagé de réformes"
François Chérèque (CFDT) s'inquiète des "délais impossibles à tenir" et souligne : … "Il y a un doute sur le calendrier et les façons de faire"
(ndlr) je n'attendais pas le grain de sel de Laurence PARISOT dans ce concert , je l'attendais sur le terrain des stocks option dont elle défend par ailleurs à cor et à cri le système privilégié d'éxonération des charges socialesallant à l'encontre des proposition de Philippe Seguin Président de La Cour des Comptes, qui serait lui favorable à la suppression de ce privilège qui prive le système social de plusieurs millions d'euros par an.( cette question du reste ne figure pas dans les propositions du Nouveau Contrat Social )
(pour mémoire : Monsieur Fillon quelques jours auparavant avait annoncé le contraire)
Vitesse et précipitation :
Des propositions politiques "sociales "que le président veut faire passer en force en imposant un calendrier fixant des délais trop courts pour mener des négociations qui s'annoncent difficiles
Force Tranquille :
Premières réactions et interrogations syndicales de bon sens qui espérons-le freineront par la force de la raison et de la persuasion le tourbillon politique de la droite libérale qui tentent d'imposer sa dictature de casse sociale .
(Ma prochaine revue de presse portera sur l’Intervention Télévisée du Chef de l’État)
IDOLATRIE et DENI D'IMPUISSANCE (par Lucienne Magalie PONS)
Il faut, oui je dis il faut que le Pouvoir mette en place d’urgence les moyens nécessaires pour que plus une seule personne en difficulté ne puisse se trouver abandonné sur le pavé livré au saupoudrage de quelques aides dispersées je le répète louables, mais palliatives discontinues et insuffisantes pour assurer leur sauvetage social. Il faut aussi que la population se mobilise pour cette cause et le fasse entendre à ses élus. Il y va de notre dignité nationale.
Les délégations arrivent au Palais Ciragan d'Istanbul (Turquie) pour les pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, le 2 juin 2025. ...